Pas Le Droit
Savions nous que nous allions nous revoir ce soir ?
Evidemment, on avait le coeur emplit d'espoir
On ne voulait pas se le montrer
Mais quand tu as crié mon prénom dans l'allée
Il y avait dans ta voix de l'émotion, de l'excitation
Mon coeur s'est emballé, j'avais envie de t'embrasser
Là, comme ça, devant tout le monde
Sous le clair de lune, l'air était encore chaud
Mon coeur cognait comme un marteau
Puis je me suis mis loin de toi, dans cette salle
Ou le brouhaha me donnait envie de m'enfuir avec toi
Ton regard me carressait doucement
Mais fuyait dès qu'il croisait le mien
Je n'ai pas tenu, peut être n'aurais je pas du
J'ai posé mes mains contre toi, pretextant une farce
Tu l'as serrée fort contre toi
Parfois certains instants passent trop vite
Ils deviennent des souvenirs glacés, fanés
Ton parfum, le frotement de ta peau contre mon bras
Qu'avons nous fait ?
Pour ne pas avoir droit, à l'instant...
Celui qui ne vient pas
A l'insoutenable attraction, qui empoisonne nos sens
A l'insoutenable trahison qui flotte dans nos yeux
A cette culpabilité que je te fais ressentir
A mes mains qui discrêtement te touchent
Aux tiennent qui ne les repoussent pas
Nos émotions, nos sentiments
resterons celles de deux enfants
Deux enfants espiègles assis sur un banc
Qui se pincent, se font mal
Pour ne pas montrer qu'ils s'aiment.
Yag
Savions nous que nous allions nous revoir ce soir ?
Evidemment, on avait le coeur emplit d'espoir
On ne voulait pas se le montrer
Mais quand tu as crié mon prénom dans l'allée
Il y avait dans ta voix de l'émotion, de l'excitation
Mon coeur s'est emballé, j'avais envie de t'embrasser
Là, comme ça, devant tout le monde
Sous le clair de lune, l'air était encore chaud
Mon coeur cognait comme un marteau
Puis je me suis mis loin de toi, dans cette salle
Ou le brouhaha me donnait envie de m'enfuir avec toi
Ton regard me carressait doucement
Mais fuyait dès qu'il croisait le mien
Je n'ai pas tenu, peut être n'aurais je pas du
J'ai posé mes mains contre toi, pretextant une farce
Tu l'as serrée fort contre toi
Parfois certains instants passent trop vite
Ils deviennent des souvenirs glacés, fanés
Ton parfum, le frotement de ta peau contre mon bras
Qu'avons nous fait ?
Pour ne pas avoir droit, à l'instant...
Celui qui ne vient pas
A l'insoutenable attraction, qui empoisonne nos sens
A l'insoutenable trahison qui flotte dans nos yeux
A cette culpabilité que je te fais ressentir
A mes mains qui discrêtement te touchent
Aux tiennent qui ne les repoussent pas
Nos émotions, nos sentiments
resterons celles de deux enfants
Deux enfants espiègles assis sur un banc
Qui se pincent, se font mal
Pour ne pas montrer qu'ils s'aiment.
Yag