Malheureusement une amie poète vient de nous quitter......
Jojo...
Elle s'appelait Jojo, elle avait du caractère, elle était née pour diriger,
était vive et combative, savait y faire, ne lâchait rien, se battait bec et ongles,
Ce qu'elle a fait devant cette saleté de maladie, pendant de longues années,
Elle écrivait, avec spontanéité, nous livrait ses émotions...
Je crois encore entendre battre son cœur... celui d'une guerrière...
Jojo, tu es partie en catimini, saches que tu emportes avec toi une partie de
nous-même, tu vas nous manquer, que ton chemin te mène vers la lumière,
Adieu l'amie....On t'aime chère poétesse.........
Une pensée pour les siens ....Lys
Jojo je te dédie ce concours
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Concours : du 22 Janvier au 20 Février 2025
Résultats : 23 Février 2025
***************
Thème : « Partir... »
Consignes:
Prose ou rimesabab en employant ces vingt mots :
Voyager, horizon(s) merveille(s) éclat(s) astre, caverne(s) souverain(e)
Kaléidoscope, torrent(s) amour, flamme(s) danse, chariot, ombrage,
charme(s) tapis, regard, vent(s) espérance(s) tourbillon(s)
***************
Attention ! à l'orthographe,aux accords de temps ainsi qu'à la ponctuation.
Chaque participant(e) peut envoyer 3 poèmes ainsi qu'un Hors concours
Si vous désirez être juges, envoyez votre demande sur ma Mp...Merci
Embarquez-nous vers de nouveaux horizons....
Résultats du concours
*******************
Médailled' Or..........Laure Seaile.....9,95/10
Médaille d 'Argent........Adrian M.....9,87/10
Médaille de Bronze......Mireille D.....9,62/10
***************
A tous félicitations, un vrai succès poétique que vos écrits,
ainsi que le hors concours de Murielle
Amitiés....Lys
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Participant(e)s
*****************
S’éloigner de sa caverne.....Luron2ème....8,26/10
C’est la flamme du plus grand plaisir de mon amour,
Peindre les paysages étrangers est pour elle un bonheur,
Pour moi, je danse avec vos beaux mots en humour,
Comme un Kaléidoscope pour toutes les couleurs.
Voyager pour d’autres horizons et de merveilles,
Découvrir tous les éclats du chariot des étoiles
La beauté des astres est comme un torrent de miel
Qu’elle pourra remettre sans ombrage sur ses toiles
Je charme ainsi ma belle, la sortant de sa pauvre caverne,
Je la vois souveraine dans un tourbillon de vent,
Et je vous assure ce n’est point une baliverne,
Je suis tapis avec se regard d’espérance souvent.
Sortir un jour pour voler d’autres paysages,
Déguerpir de la monotonie si pressante,
Et prendre des décisions qui me semblent plus sages,
Pourquoi partir pour fuir ses gênes urgentes.
Consignes respectées (astre demandé au singulier)
Ce regard
J'aime votre titre, belle écriture, un poème bien construit
beaucoup de sensibilité....Consignes respectées
Ce regard
Merveilles et miel : rimes différentes)
***************
Destination intérieure, partir...en réflexions.....Vénézio....8,46/10
Le chariot de l’astre solaire, dans le Ciel, court
Sans considération pour tout ce qui lui fait ombrage.
Exemple à raviver, l’espérance, un regard d’amour
Sur tous ces horizons, à se perdre dans des marécages.
Voyager dans les contrées, balayées par les tourbillons
Sortis des cavernes, du moi-je, ses attachements,
C’est devoir traverser, le torrent des incompréhensions,
Aller même au tapis, d’avoir trahi bien des serments.
La danse des pensées produit toujours souveraine
Des merveilles d’effets, dont les flammes du désir,
Un kaléidoscope de joies, s’alternant aux peines;
Apanage d’une Vie, dont tout le charme est à saisir.
Mais dans l’instant présent ! Gage d’éclats de bonheur,
Car l’esprit demeure, lumineux, et tisse de beaux liens
Pour communier au vent, d’une Providence qui a Cœur,
Dans nos réflexions, d’entrevoir l’œuvre du Divin...
Belle réflexion, mots imposés bien présents
Beau titre,
Poème qui plonge le lecteur dans une profonde réflexion existentielle
( liens et divin: rimes légèrement différentes )
Mots imposés bien placés.
**************
Voyager dans les îles de rêve en automne.....Williams lecornier.....8,95/10
Quand l'astre souverain éclaire les saisons,
Les torrents amoureux murmurent des merveilles.
Un tapis flamboyant de pourpre et de charbon
S'étend sous les amas de feuilles sans pareilles.
Un écho dans la caverne éveille des chansons ;
Et un mouvement de danse enivre le paysage.
Un kaléidoscope d'or, de rouille et de frissons,
Charme la saison automnale où se reposent les ombrages.
Le chariot pour bagages emporté par les flammes,
Fait naître l'espérance aux douces résonances,
Sous le regard suspendu du reflet de l'âme,
Quand l'amour se déploie dans cette flamboyance.
Ainsi l'automne écrit ses vers en tourbillons,
Éclats mélancoliques, splendeur des souvenirs,
Voyager en automne vers de nouveaux horizons.
En visitant les Îles sous le vent, un bonheur pour qui sait le saisir.
Fort poétique, consignes bien respectées
Écriture aisée pour un poème plein de charme...
« Quand l'amour se déploie dans cette flamboyance. »
Mots bien placés...J'ai rêvé...
***************
Périple autour d’un conte.....Adrian M.....9,52/10
Depuis longtemps en Égypte, je rêve de voyager
Ainsi rompre les chaînes de toutes mes routines
Où les flammes de l’ennui, peuvent même brûler
Les radeaux d’aventures que mon esprit imagine
Pourtant cet horizon, aux pointes vers le Ciel
Près du delta du Nil, demeure souverain en moi
La danse des figurines en hiéroglyphes pluriels
M’a toujours fasciné, comme les tombeaux des Rois
En guise d’accueil, un tourbillon de sable
Au Caire m’a présenté, le vent chaud du désert
Un nuage ivoire, une main secourable
M’entrainant à l’abri, dans un étal berbère
Dans ce drôle de bazar, tout le charme d’Orient
Un kaléidoscope de formes et de couleurs
Mon regard s’est posé, sur un tapis aux pigments
D’un éclat chatoyant, presque enchanteur
Posé près d’un chariot, qui lui faisait ombrage
Dans cette caverne, aux merveilles étincelantes
L’astre du jour, lui donnait un éclairage
L’espace d’un instant, comme une magie intrigante
D’un torrent de pensée, me voilà entrainé
Dans les mille et une nuit, une folle espérance
Le tuf-té d’Aladin ? Il va me faire décoller ?
Cette lueur était un signe, pour sa délivrance ?
Par amour de mon or, le marchand a cédé
Et l’antique carpette, trône dans mon salon
Sans la formule magique, je n’ai pas pu voler
Cela m’apprendra à acheter une contrefaçon…
Consignes respectées, ce poème m’a fait voyager !
pointe d’humour dans la conclusion, manque toutefois de ponctuations…
Superbe titre, un grand plaisir de lecture, évasion garantie,
vers l’Égypte, glissant vers les contes de mille et une nuits,
la chute de votre écrit, non dénuée d'humour est parfaite
(entraînant)
***************
Cap sur l'île de la Réunion.....Williams le cornier.....8,28/10
Sous l'astre du ciel d'azur s'étend l'horizon bleu,
Un kaléidoscope emplit l'air de merveilles,
Les torrents de rivière s'écoulent joyeux,
Et l'amour se dévoile au détour des corbeilles.
l'éclat d'un regard admirant ces tapis verdoyants,
disparait dans le vent dans les voies aériennes
Le charme du paysage en murmures géants,
Embrasse l'espérance aux terres souveraines.
La flamme du soleil sur les monts flamboyants,
Peint un chariot doré qui glisse en cadence,
Sous les danses du jour et les cieux éclatants,
Chaque instant du voyage un bonheur enchante la présence.
Par les sentiers secrets, loin des tourbillons amer,
L'île chante aux cavernes un refrain de croisière
Et l'âme en ces jardins, apprécie l'ombrage, le poids l'air,
De ces merveilles de la Réunion, où tout est lumière.
Une belle description ! danses (au singulier demandé)
et voyager et non voyage
Destination tentante. Bon titre.
« l'amour se dévoile au détour des corbeilles» très joli
( légèrement différentes les rimes : bleu et joyeux….
( aériennes et souveraines ...disparaît....amers)
le poids l'air, il me ensemble qu'une virgule après poids
serait nécessaire ?
***************
Partir en rêvant.....Laure Seaile.....9,95/10
Médaille d'Or
L’ombrage du jardin m’amène à rêvasser,
Caresse mon esprit, d’un vent d’espérance,
De nouveaux horizons, reprendre à voyager
Malgré ma blessure, mon corps en défaillance.
L’astre solaire chatoie, à travers les frondes
Souverain dans l’alternance d’éclats de lumière
À m’hypnotiser, que l’esprit vagabonde,
Ou entre dans la danse de pensées conseillères.
Sans compter le spectacle, du kaléidoscope
Si mon regard croise, trop souvent les rayons
À clore les yeux en rythme, d’une torpeur, j’écope
Comment résister au charme de l’abandon
La douceur de ce songe, où je m’évade souvent,
Quitte ce fauteuil, le chariot à perfusions,
Et dans un tourbillon, m’élever joyeusement
Sur un tapis magique qui n’a qu’une direction.
Le canyon des merveilles, au milieu d’un désert
Par-delà le volcan, ses flammes et fumées,
La vallée luxuriante en beauté de verts
Constellée de prairies, aux fleurs bariolées.
Là-bas d’une caverne, jaillit un torrent
Serpentant un Éden où tout pousse par amour
Je m’y pose sûre, que l’éternité m’attend;
Une voix résonne : Eve ?... Et vers lui je cours…
Respect des consignes, magnifique poésie emplie de musicalité, bravo !
Un titre émouvant tout comme votre écrit,haut en couleurs,
celles du coeur, tellement bien imagées...respect.
beau retour aux sources permettant de nous faire comprendre, ce
que nous avons perdu ; la fusion avec la nature... superbe chute.
(où entre )
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Ainsi rompre les chaînes de toutes mes routines
Où les flammes de l’ennui, peuvent même brûler
Les radeaux d’aventures que mon esprit imagine
Pourtant cet horizon, aux pointes vers le Ciel
Près du delta du Nil, demeure souverain en moi
La danse des figurines en hiéroglyphes pluriels
M’a toujours fasciné, comme les tombeaux des Rois
En guise d’accueil, un tourbillon de sable
Au Caire m’a présenté, le vent chaud du désert
Un nuage ivoire, une main secourable
M’entrainant à l’abri, dans un étal berbère
Dans ce drôle de bazar, tout le charme d’Orient
Un kaléidoscope de formes et de couleurs
Mon regard s’est posé, sur un tapis aux pigments
D’un éclat chatoyant, presque enchanteur
Posé près d’un chariot, qui lui faisait ombrage
Dans cette caverne, aux merveilles étincelantes
L’astre du jour, lui donnait un éclairage
L’espace d’un instant, comme une magie intrigante
D’un torrent de pensée, me voilà entrainé
Dans les mille et une nuit, une folle espérance
Le tuf-té d’Aladin ? Il va me faire décoller ?
Cette lueur était un signe, pour sa délivrance ?
Par amour de mon or, le marchand a cédé
Et l’antique carpette, trône dans mon salon
Sans la formule magique, je n’ai pas pu voler
Cela m’apprendra à acheter une contrefaçon…
Consignes respectées, ce poème m’a fait voyager !
pointe d’humour dans la conclusion, manque toutefois de ponctuations…
Superbe titre, un grand plaisir de lecture, évasion garantie,
vers l’Égypte, glissant vers les contes de mille et une nuits,
la chute de votre écrit, non dénuée d'humour est parfaite
(entraînant)
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Cap sur l'île de la Réunion.....Williams le cornier.....8,28/10
Sous l'astre du ciel d'azur s'étend l'horizon bleu,
Un kaléidoscope emplit l'air de merveilles,
Les torrents de rivière s'écoulent joyeux,
Et l'amour se dévoile au détour des corbeilles.
l'éclat d'un regard admirant ces tapis verdoyants,
disparait dans le vent dans les voies aériennes
Le charme du paysage en murmures géants,
Embrasse l'espérance aux terres souveraines.
La flamme du soleil sur les monts flamboyants,
Peint un chariot doré qui glisse en cadence,
Sous les danses du jour et les cieux éclatants,
Chaque instant du voyage un bonheur enchante la présence.
Par les sentiers secrets, loin des tourbillons amer,
L'île chante aux cavernes un refrain de croisière
Et l'âme en ces jardins, apprécie l'ombrage, le poids l'air,
De ces merveilles de la Réunion, où tout est lumière.
Une belle description ! danses (au singulier demandé)
et voyager et non voyage
Destination tentante. Bon titre.
« l'amour se dévoile au détour des corbeilles» très joli
( légèrement différentes les rimes : bleu et joyeux….
( aériennes et souveraines ...disparaît....amers)
le poids l'air, il me ensemble qu'une virgule après poids
serait nécessaire ?
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Partir en rêvant.....Laure Seaile.....9,95/10
Médaille d'Or
L’ombrage du jardin m’amène à rêvasser,
Caresse mon esprit, d’un vent d’espérance,
De nouveaux horizons, reprendre à voyager
Malgré ma blessure, mon corps en défaillance.
L’astre solaire chatoie, à travers les frondes
Souverain dans l’alternance d’éclats de lumière
À m’hypnotiser, que l’esprit vagabonde,
Ou entre dans la danse de pensées conseillères.
Sans compter le spectacle, du kaléidoscope
Si mon regard croise, trop souvent les rayons
À clore les yeux en rythme, d’une torpeur, j’écope
Comment résister au charme de l’abandon
La douceur de ce songe, où je m’évade souvent,
Quitte ce fauteuil, le chariot à perfusions,
Et dans un tourbillon, m’élever joyeusement
Sur un tapis magique qui n’a qu’une direction.
Le canyon des merveilles, au milieu d’un désert
Par-delà le volcan, ses flammes et fumées,
La vallée luxuriante en beauté de verts
Constellée de prairies, aux fleurs bariolées.
Là-bas d’une caverne, jaillit un torrent
Serpentant un Éden où tout pousse par amour
Je m’y pose sûre, que l’éternité m’attend;
Une voix résonne : Eve ?... Et vers lui je cours…
Respect des consignes, magnifique poésie emplie de musicalité, bravo !
Un titre émouvant tout comme votre écrit,haut en couleurs,
celles du coeur, tellement bien imagées...respect.
beau retour aux sources permettant de nous faire comprendre, ce
que nous avons perdu ; la fusion avec la nature... superbe chute.
(où entre )
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Voyage attablé….. Mireille D.....8,77/10
La danse des papilles, amène un véritable
Tourbillon de plaisir, tel pour le chocolat;
De Suisse ! Sans ombrage à d’autres lieux notables,
Au regard des palais, qui l’aiment à tout va.
Des repas de fêtes font aussi voyager,
À travers les merveilles de victuailles exquises,
Soulevant l’espérance de tout pouvoir goûter
Sans qu’un vent de haut le cœur, nous amenuise.
Les tables ravissent, de leurs tapis de fleurs,
Du reflet de l’astre, sur les verres en cristal.
Sur le chariot des vins, quelques crus aguicheurs
À visiter Bordeaux, Lisbonne, Épinal.
Pastis et olives Grecques, à l’apéro souverains,
Pour se laisser prendre, au charme des autres plats,
Kaléidoscope d’arômes, de couleurs à donner faim!
La caverne aux boyaux s’y prépare de surcroît.
Surtout qu’à l’horizon, des plateaux de brochettes,
S’approchent, à raviver, la flamme du carnivore.
Les saucissons de Corse qu’on goute, promettent
Des éclats de saveurs, des louanges sonores.
Mention particulière pour le coin à desserts;
Pâtisseries inédites au Rhum de Martinique,
Et un amour de déco, à remplir l’atmosphère
D’un torrent de Bravo, pour ces mets féeriques.
Consignes respectées, plats/surcroit…rime acceptée de justesse
L’auteur doit être un sacré gourmet !
Un titre très original Superbe voyage gustatif, olfactif, j'en ai eu l'eau à la bouche, je sens le parfum des fleurs et des grands crus sur vos tables, Écriture fort dynamique, un plaisir de lire ce tour du monde et régions. ( surcroît et plats : rimes un peu différentes )
***************
Voyage à travers le monde.....Williams lecornier.....9,10/10
Sur un bateau ancien, style contemporain.
Partir dans les tourbillons des mers dans les îles de rêve,
Sous le charme du soleil flamboyant éclairant le lointain,
Un kaléidoscope émettant ses couleurs quand le jour se lève.
Et dans les torrents de lumière scintillant sous l'ombrage,
Des astres merveilleux illuminant les cieux,
L'espérance renaît au détour des rivages ;
Où la caverne abrite un tapis de trésors précieux.
Sous les regards apaisés contemplant les merveilles,
les brises légères en secret murmurent leur amour,
Quand chaque éclat d'un instant à nos âmes s'éveille
Et peint sur l'horizon d'un éternel retour.
Voyager dans les flots éclatants de l'ardeur souveraine,
D'un chariot voyageur aux promesses d'ailleurs,
Qui envoie la flamme d'un bonheur, d'une danse sereine,
Qui nous conduit sur l'océan d'un vent meilleur.
La danse des papilles, amène un véritable
Tourbillon de plaisir, tel pour le chocolat;
De Suisse ! Sans ombrage à d’autres lieux notables,
Au regard des palais, qui l’aiment à tout va.
Des repas de fêtes font aussi voyager,
À travers les merveilles de victuailles exquises,
Soulevant l’espérance de tout pouvoir goûter
Sans qu’un vent de haut le cœur, nous amenuise.
Les tables ravissent, de leurs tapis de fleurs,
Du reflet de l’astre, sur les verres en cristal.
Sur le chariot des vins, quelques crus aguicheurs
À visiter Bordeaux, Lisbonne, Épinal.
Pastis et olives Grecques, à l’apéro souverains,
Pour se laisser prendre, au charme des autres plats,
Kaléidoscope d’arômes, de couleurs à donner faim!
La caverne aux boyaux s’y prépare de surcroît.
Surtout qu’à l’horizon, des plateaux de brochettes,
S’approchent, à raviver, la flamme du carnivore.
Les saucissons de Corse qu’on goute, promettent
Des éclats de saveurs, des louanges sonores.
Mention particulière pour le coin à desserts;
Pâtisseries inédites au Rhum de Martinique,
Et un amour de déco, à remplir l’atmosphère
D’un torrent de Bravo, pour ces mets féeriques.
Consignes respectées, plats/surcroit…rime acceptée de justesse
L’auteur doit être un sacré gourmet !
Un titre très original Superbe voyage gustatif, olfactif, j'en ai eu l'eau à la bouche, je sens le parfum des fleurs et des grands crus sur vos tables, Écriture fort dynamique, un plaisir de lire ce tour du monde et régions. ( surcroît et plats : rimes un peu différentes )
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Voyage à travers le monde.....Williams lecornier.....9,10/10
Sur un bateau ancien, style contemporain.
Partir dans les tourbillons des mers dans les îles de rêve,
Sous le charme du soleil flamboyant éclairant le lointain,
Un kaléidoscope émettant ses couleurs quand le jour se lève.
Et dans les torrents de lumière scintillant sous l'ombrage,
Des astres merveilleux illuminant les cieux,
L'espérance renaît au détour des rivages ;
Où la caverne abrite un tapis de trésors précieux.
Sous les regards apaisés contemplant les merveilles,
les brises légères en secret murmurent leur amour,
Quand chaque éclat d'un instant à nos âmes s'éveille
Et peint sur l'horizon d'un éternel retour.
Voyager dans les flots éclatants de l'ardeur souveraine,
D'un chariot voyageur aux promesses d'ailleurs,
Qui envoie la flamme d'un bonheur, d'une danse sereine,
Qui nous conduit sur l'océan d'un vent meilleur.
Astre et regard demandés au singulier,
fort beau voyage.
Que de belles métaphores ! Écriture aisée et très poétique,
Vous m'avez emportée sur le vaisseau de l'espérance.
***************
Le Voyage de la Souveraine.....Angepapillonnanou .....8,07/10
Plongeant un œil dans son kaléidoscope, elle observe les horizons,
Elle aperçoit entres les astres lointains, un chariot d'étoiles,
Douces merveilles illuminant le ciel à foison,
Sous le regard émerveillé de la jeune souveraine, qui se dévoile.
Entre les vents, elle laisse errer son doux regard,
Celui-ci part voyager entre le soleil et l'ombrage,
Rêvant d'y découvrir les cavernes d'or, tel un tapis qu'on égare,
Malgré les torrents, elle continue son voyage sans faire naufrage.
Observant avec tendresse toutes les rivières d'espérances,
Où jaillissent des immenses tourbillons de charme,
A travers ce paysage aux éclats magiques, elle entre dans une danse,
Soudainement, elle sent monter en elle, un amour telles des flammes.
Consignes respectées (astre demandé au singulier)
2 fois ‘regard’… un beau voyage
Joli titre...Poème où plane la classe d'une souveraine,
on ressent bien le vagabondage de son esprit...
mais attention à la longueur de certains vers.
Quelques répétitions, 2 fois : entre...observe... regard...
entre pas de s ( 2ème vers)
***************
Avoir maille à partir.....Laure Seaile.....9,12/10
Parfois on peut voyager au cœur de l’humain,
Telles ses espérances, ses rêves d’autres horizons,
Mais l’ombrage des autres, le contrarie si bien
Que son astre égoïque, veut la confrontation.
Des éclats de voix, puis un torrent d’injures,
D’un différend digne de l’ère des cavernes
Le regard qui tue, à en en fendre toute armure
D’argumentaires, perçus en balivernes.
Le vent de la colère, colporte des noms d’oiseaux
Au charme particulier, pour le spectateur,
Souverain comme au théâtre, loin s’en faut,
D’un plaisir refoulé, voire même de voyeur.
Les postures, les gestes, ressemblent à une danse.
Parfois très menaçants, d’envoyer l’autre au tapis,
Du doigt pointé jaillit, la flamme des véhémences
Qu’un tourbillon de pensées, hostiles nourrit.
Au kaléidoscope d’émotions intérieures
La grisaille des motifs, se perpétue à merveille
Et il faudrait un chariot de souvenirs de bonheurs
Pour qu’un peu d’amour, au fond d’eux-mêmes, réveille
Le meilleur que chacun, porte caché en Soi
Ce fondement de faire, à l’Autre comme à soi-même
Et partir alors gagnants, d’un accord, d’égal poids…
Même en Religion, mais ça c’est un autre thème...
Consignes respectées, j’aime ce titre en jeu de mots,
porte à réflexion sur le comportement humain…
Bien trouvé le titre, pour un sujet qui n'épargne personne, un peu de « sel » dans l'existence de chacun d'entre nous...
Un réel talent d'écrivain, une chute parfaite ( Rimes différentes: humain et bien …horizons et confrontation )
( Mettre la virgule après hostiles et non après pensées, il me semble.)
***************
Périples en toiles ? ..... Mireille D.....9,62/10
Médaille de Bronze
Voyager sans partir, peut sembler paradoxal,
Et pourtant que d’horizons, s’ouvrent par un regard
Certains tableaux de Maîtres, ont un éclat trivial,
Du charme, du génie, à sublimer cet art.
Au musée de ma ville, tapis rouge à Chagall,
L’astre de l’onirique, du surréalisme, souverain,
Au kaléidoscope, de formes… sidérales,
Où la danse des couleurs, plairait à un Arlequin.
Arrêt prolongé sur ses œuvres : "Bibliques"
Aux scènes d’espérances, le vent de la Foi,
Des flammes des enfers, aux êtres Angéliques,
Tout parle de l’Amour, gravé en tables de Lois.
Contraste de sujet, dans la toile sur la guerre
Et son chariot central sur un torrent de sang,
Un autre décalé, semble flotter dans l’air,
L’artiste joue l’ombrage, par des tons gris, blanc.
Aux vues des amants bleus, et ses nombreux portraits,
L'esprit crie : merveilles ! S'attarde à chaque détail,
Un tourbillon créatif,sublime vraiment les traits
d'une palette joyeuse, même pour un vitrail.
fort beau voyage.
Que de belles métaphores ! Écriture aisée et très poétique,
Vous m'avez emportée sur le vaisseau de l'espérance.
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Le Voyage de la Souveraine.....Angepapillonnanou .....8,07/10
Plongeant un œil dans son kaléidoscope, elle observe les horizons,
Elle aperçoit entres les astres lointains, un chariot d'étoiles,
Douces merveilles illuminant le ciel à foison,
Sous le regard émerveillé de la jeune souveraine, qui se dévoile.
Entre les vents, elle laisse errer son doux regard,
Celui-ci part voyager entre le soleil et l'ombrage,
Rêvant d'y découvrir les cavernes d'or, tel un tapis qu'on égare,
Malgré les torrents, elle continue son voyage sans faire naufrage.
Observant avec tendresse toutes les rivières d'espérances,
Où jaillissent des immenses tourbillons de charme,
A travers ce paysage aux éclats magiques, elle entre dans une danse,
Soudainement, elle sent monter en elle, un amour telles des flammes.
Consignes respectées (astre demandé au singulier)
2 fois ‘regard’… un beau voyage
Joli titre...Poème où plane la classe d'une souveraine,
on ressent bien le vagabondage de son esprit...
mais attention à la longueur de certains vers.
Quelques répétitions, 2 fois : entre...observe... regard...
entre pas de s ( 2ème vers)
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Avoir maille à partir.....Laure Seaile.....9,12/10
Parfois on peut voyager au cœur de l’humain,
Telles ses espérances, ses rêves d’autres horizons,
Mais l’ombrage des autres, le contrarie si bien
Que son astre égoïque, veut la confrontation.
Des éclats de voix, puis un torrent d’injures,
D’un différend digne de l’ère des cavernes
Le regard qui tue, à en en fendre toute armure
D’argumentaires, perçus en balivernes.
Le vent de la colère, colporte des noms d’oiseaux
Au charme particulier, pour le spectateur,
Souverain comme au théâtre, loin s’en faut,
D’un plaisir refoulé, voire même de voyeur.
Les postures, les gestes, ressemblent à une danse.
Parfois très menaçants, d’envoyer l’autre au tapis,
Du doigt pointé jaillit, la flamme des véhémences
Qu’un tourbillon de pensées, hostiles nourrit.
Au kaléidoscope d’émotions intérieures
La grisaille des motifs, se perpétue à merveille
Et il faudrait un chariot de souvenirs de bonheurs
Pour qu’un peu d’amour, au fond d’eux-mêmes, réveille
Le meilleur que chacun, porte caché en Soi
Ce fondement de faire, à l’Autre comme à soi-même
Et partir alors gagnants, d’un accord, d’égal poids…
Même en Religion, mais ça c’est un autre thème...
Consignes respectées, j’aime ce titre en jeu de mots,
porte à réflexion sur le comportement humain…
Bien trouvé le titre, pour un sujet qui n'épargne personne, un peu de « sel » dans l'existence de chacun d'entre nous...
Un réel talent d'écrivain, une chute parfaite ( Rimes différentes: humain et bien …horizons et confrontation )
( Mettre la virgule après hostiles et non après pensées, il me semble.)
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Périples en toiles ? ..... Mireille D.....9,62/10
Médaille de Bronze
Voyager sans partir, peut sembler paradoxal,
Et pourtant que d’horizons, s’ouvrent par un regard
Certains tableaux de Maîtres, ont un éclat trivial,
Du charme, du génie, à sublimer cet art.
Au musée de ma ville, tapis rouge à Chagall,
L’astre de l’onirique, du surréalisme, souverain,
Au kaléidoscope, de formes… sidérales,
Où la danse des couleurs, plairait à un Arlequin.
Arrêt prolongé sur ses œuvres : "Bibliques"
Aux scènes d’espérances, le vent de la Foi,
Des flammes des enfers, aux êtres Angéliques,
Tout parle de l’Amour, gravé en tables de Lois.
Contraste de sujet, dans la toile sur la guerre
Et son chariot central sur un torrent de sang,
Un autre décalé, semble flotter dans l’air,
L’artiste joue l’ombrage, par des tons gris, blanc.
Aux vues des amants bleus, et ses nombreux portraits,
L'esprit crie : merveilles ! S'attarde à chaque détail,
Un tourbillon créatif,sublime vraiment les traits
d'une palette joyeuse, même pour un vitrail.
Celui de Sarrebourg, et ceux de Hadassah.
De sa Russie natale il a croqué des visions,
Avec ce style célèbre, qui ne vient que d’un endroit;
La caverne aux trésors, qu’est son imagination...
Respect des consignes dans ce voyage très artistique
Magnifique visite de votre musée personnel, un amour
de l'art pictural vient de s'unir à votre talent poétique,
Merci, le texte s'accorde parfaitement avec votre titre
( Hadassah et endroit: rimes différentes )
***************
Voyage en Fractalies........Vénézio.... 9,32/10
Trois longs miroirs en triangle, pour voyager
Aux pays des merveilles où règnent les couleurs,
Des éclats de lumières, des formes à succomber
Au torrent d’émotions, pour l’enfant intérieur.
De belles images s’offrent à mon regard,
Le charme des reflets, multipliés à l’infini,
Dans le kaléidoscope, tant de desseins d’art
Des losanges imbriqués, des motifs de tapis.
À viser feu et braises, dans la cheminée
Le noir s’unit en danse, au rouge, à l’orange
Pour créer des fleurs, de jaunes constellés
Aux pétales étonnants d’ovales étranges.
Les flammes s’inversent, s’étalent endiablées
Exaltent l’espérance d’autres rêveries
Comme le tourbillon de noir et blanc, à pointer
La petite caverne où loge une souris.
L’astre de la nuit sur un chariot de nuages,
En visant le Ciel, dispense un vent argenté,
Un souffle léger sur l’œil, vissé à l’ombrage
Que Venus inflige aux étoiles d’à côté.
Comme si tout l’Amour, d’un Souverain Créateur
Arrivait concentré, jusqu’au tréfonds de l’Âme,
Y gravant un horizon, où convergent les Cœurs
Pour traverser la Vie avec bonheurs et drames.
De sa Russie natale il a croqué des visions,
Avec ce style célèbre, qui ne vient que d’un endroit;
La caverne aux trésors, qu’est son imagination...
Respect des consignes dans ce voyage très artistique
Magnifique visite de votre musée personnel, un amour
de l'art pictural vient de s'unir à votre talent poétique,
Merci, le texte s'accorde parfaitement avec votre titre
( Hadassah et endroit: rimes différentes )
***************
Voyage en Fractalies........Vénézio.... 9,32/10
Trois longs miroirs en triangle, pour voyager
Aux pays des merveilles où règnent les couleurs,
Des éclats de lumières, des formes à succomber
Au torrent d’émotions, pour l’enfant intérieur.
De belles images s’offrent à mon regard,
Le charme des reflets, multipliés à l’infini,
Dans le kaléidoscope, tant de desseins d’art
Des losanges imbriqués, des motifs de tapis.
À viser feu et braises, dans la cheminée
Le noir s’unit en danse, au rouge, à l’orange
Pour créer des fleurs, de jaunes constellés
Aux pétales étonnants d’ovales étranges.
Les flammes s’inversent, s’étalent endiablées
Exaltent l’espérance d’autres rêveries
Comme le tourbillon de noir et blanc, à pointer
La petite caverne où loge une souris.
L’astre de la nuit sur un chariot de nuages,
En visant le Ciel, dispense un vent argenté,
Un souffle léger sur l’œil, vissé à l’ombrage
Que Venus inflige aux étoiles d’à côté.
Comme si tout l’Amour, d’un Souverain Créateur
Arrivait concentré, jusqu’au tréfonds de l’Âme,
Y gravant un horizon, où convergent les Cœurs
Pour traverser la Vie avec bonheurs et drames.
Constellées
Titre savant : « fractale : objet géométrique infiniment morcelé »
De très belles images bien poétiques…
Un titre s'accordant parfaitement, avec votre écrit
doté d'une grande sensibilité, guidée par l'art du vécu...
Frisant la perfection, un régal de lecture.
De l'introduction à la chute...Bravo !
***************
Titre savant : « fractale : objet géométrique infiniment morcelé »
De très belles images bien poétiques…
Un titre s'accordant parfaitement, avec votre écrit
doté d'une grande sensibilité, guidée par l'art du vécu...
Frisant la perfection, un régal de lecture.
De l'introduction à la chute...Bravo !
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La Vie au fil de l'eau.........Adrian M....9,87/10
Médaille d'Argent
Partir, prendre la mer, confier mon âme au vent,
D’une espérance vive, d’éloigner l’ombrage
Du chariot funeste, et son chancre affligeant,
Mon souffle si insouciant, de se causer dommages.
Aux tourbillons d’écumes, j’offrirai mes pensées
Du regard de la mort, après mon respirant.
L’astre dans mon Cœur, saura lui rappeler
Qu’elle n’est pas la seule,souveraine de cet instant.
Et même si la peur peut m’envoyer au tapis,
Tout comme les vagues, la folle danse du bateau,
De son éclat argenté, un bout de lune suffit,
À me relever joyeux, une belle énergie en cadeau.
En guise de longue vue, mon kaléidoscope
Me divertira, de merveilles de fractales,
De Ciel, d’eau, de nuages, que l’esprit s’enveloppe,
Du charme singulier, de fantaisies florales.
Voyager au gré du chaland, ainsi que des courants
Alternant facétieux, d’être bras nus ou en ciré,
C’est sourire même les jours, où il pleut à torrents,
Et ceux au calme plat, invitant à rêvasser.
Aux histoires de marin, de trésors dans des cavernes,
De voiliers en flammes, incendiés par les pirates
J’ai sans doute trop lu les romans de Jules Verne,
Car là où je me rends, d’autres réalités épatent.
Comme voir à l’horizon, le lever du jour,
Inonder de sa beauté toutes mes cellules,
Qu’elles se renouvellent par l’onde d’amour,
Mêlée d’embruns Divins, que mon mal, recule...
Respect des consignes, un air marin souffle dans vos vers !
Votre titre est un appel à la vie, sans l'eau que serions nous ?
Comme c'est émouvant, écrire est un acte d'amour,
un don de soi, il est juste en retour qu'il rejaillisse sur celui
qui nous offre une partie de lui-même à travers ses mots,...
Très bel écrit...Je suis très touchée...
***************
Un petit tour de Globe…....Vénézio....9,08/10
Elle a encore plus de charme, vue de l’espace,
Le regard s’éclaire d’une telle merveille.
Sur la planète bleue, mer et terres s’enlacent,
Célèbrent la Vie, qu’un bel astre ensoleille.
La scène fait ombrage à mon globe terrestre
Trônant souverain sur un tapis étoilé,
Car, pas d’autre horizon, qu’un tableau alpestre,
Mais je peux voyager, grâce à lui, en pensées.
Une caresse appuyée ; il s’élance promptement,
Les continents s’animent, de la danse des couleurs.
Je ferme les yeux, approche un doigt en exhortant
Mon esprit de dompter, mon côté trop rêveur.
Arrêt glissé, sur le cap de Bonne Espérance.
Les tourbillons de vents, mes peurs libèrent,
Surtout sans pied marin, adieu une douce plaisance…
Et redonne une impulsion à ma belle sphère.
Encore l’Afrique ! Sous l’index le Congo ;
Goma y apparaît, célèbre par son volcan
Qui signe de flammes, je me nomme Nyiragongo
Aux torrents de lave dans la nuit, rougeoyants.
Un peu trop chaud pour moi… Allez, hop, relance…
Oh le chanceux pointage ! L’Inde, pile dessus !
Soudain à Mumbai et son marché, je repense
À son kaléidoscope d’épices, de tissus,
L’éclat des émaux sur de Divines statues,
Une bombarde sur chariot, fierté d’un Maharadja,
Et cet amour de capucin à la main tendue,
Voyant ma banane, peluchée en petit encas.
À ne plus jamais oublier, son maître, un Derviche,
Semblant sorti tout droit d’une caverne d’ocre.
Il s’est incliné devant moi, m’a fait sentir si riche
De toutes ces choses en moi, qu’avant je trouvais médiocres…
Consignes respectées, charmante poésie
où j’apprécie la vue de l’espace et la mappemonde…
Elle est si belle notre planète vue du ciel, heureusement
que les poètes sont là pour lui rendre grâce, avant qu'un fou
nous la fasse disparaître, cette merveille divine...Bravo! Pour
ce magnifique tour de globe...Un plaisir de vous lire.
***************
Partir… En rondeaux....Laure Seaile....8,62/10
De tous temps, bien sûr, ce mode de voyager
A ses charmes reconnus, pour mon cœur folichon
Libre de l’ombrage qui fait abandonner,
Dès qu’il y a pluie, Zéphyrs, et tourbillons,
Merveilles d’un Ciel, qui sait les distiller.
Tout l’horizon, change, au rythme des saisons,
À ravir mon regard, de tableaux paysagers
Que l’astre du jour, retouche avec passion.
De tous temps, bien sûr !
Je campe à la belle étoile, au crépitement léger
D’un feu souverain, aux flammes en session
D’une danse de lumières, sur la tente, installée
Sans éclat de piquet, ni torrent de jurons,
Mais un sentiment, d’un bonheur à chanter:
De tous temps, bien sûr…
Toute une aventure, à parfois rencontrer
Un paysan en charriot, à l’âne moribond,
Un amour d’écureuil pressé de traverser,
Rejoindre en coup de vent, son abri dans un tronc,
Adieu l’espérance de le photographier!
Mais un kaléidoscope m’est offert en don
Quand une prairie, est en fleurs, à préserver,
Si bien qu’à chaque pas, réussir mes contorsions;
Toute une aventure !
Tels les sentiers en hauteurs, aux reliefs à cacher
Une jolie caverne, au tapis champignons,
L’envol de chauve-souris, encore à cauchemarder
Surtout quand l’une d’elles, s’accroche au veston,
Et criant toutes deux effrayées, pour la décrocher…
Toute une aventure !
Médaille d'Argent
Partir, prendre la mer, confier mon âme au vent,
D’une espérance vive, d’éloigner l’ombrage
Du chariot funeste, et son chancre affligeant,
Mon souffle si insouciant, de se causer dommages.
Aux tourbillons d’écumes, j’offrirai mes pensées
Du regard de la mort, après mon respirant.
L’astre dans mon Cœur, saura lui rappeler
Qu’elle n’est pas la seule,souveraine de cet instant.
Et même si la peur peut m’envoyer au tapis,
Tout comme les vagues, la folle danse du bateau,
De son éclat argenté, un bout de lune suffit,
À me relever joyeux, une belle énergie en cadeau.
En guise de longue vue, mon kaléidoscope
Me divertira, de merveilles de fractales,
De Ciel, d’eau, de nuages, que l’esprit s’enveloppe,
Du charme singulier, de fantaisies florales.
Voyager au gré du chaland, ainsi que des courants
Alternant facétieux, d’être bras nus ou en ciré,
C’est sourire même les jours, où il pleut à torrents,
Et ceux au calme plat, invitant à rêvasser.
Aux histoires de marin, de trésors dans des cavernes,
De voiliers en flammes, incendiés par les pirates
J’ai sans doute trop lu les romans de Jules Verne,
Car là où je me rends, d’autres réalités épatent.
Comme voir à l’horizon, le lever du jour,
Inonder de sa beauté toutes mes cellules,
Qu’elles se renouvellent par l’onde d’amour,
Mêlée d’embruns Divins, que mon mal, recule...
Respect des consignes, un air marin souffle dans vos vers !
Votre titre est un appel à la vie, sans l'eau que serions nous ?
Comme c'est émouvant, écrire est un acte d'amour,
un don de soi, il est juste en retour qu'il rejaillisse sur celui
qui nous offre une partie de lui-même à travers ses mots,...
Très bel écrit...Je suis très touchée...
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Un petit tour de Globe…....Vénézio....9,08/10
Elle a encore plus de charme, vue de l’espace,
Le regard s’éclaire d’une telle merveille.
Sur la planète bleue, mer et terres s’enlacent,
Célèbrent la Vie, qu’un bel astre ensoleille.
La scène fait ombrage à mon globe terrestre
Trônant souverain sur un tapis étoilé,
Car, pas d’autre horizon, qu’un tableau alpestre,
Mais je peux voyager, grâce à lui, en pensées.
Une caresse appuyée ; il s’élance promptement,
Les continents s’animent, de la danse des couleurs.
Je ferme les yeux, approche un doigt en exhortant
Mon esprit de dompter, mon côté trop rêveur.
Arrêt glissé, sur le cap de Bonne Espérance.
Les tourbillons de vents, mes peurs libèrent,
Surtout sans pied marin, adieu une douce plaisance…
Et redonne une impulsion à ma belle sphère.
Encore l’Afrique ! Sous l’index le Congo ;
Goma y apparaît, célèbre par son volcan
Qui signe de flammes, je me nomme Nyiragongo
Aux torrents de lave dans la nuit, rougeoyants.
Un peu trop chaud pour moi… Allez, hop, relance…
Oh le chanceux pointage ! L’Inde, pile dessus !
Soudain à Mumbai et son marché, je repense
À son kaléidoscope d’épices, de tissus,
L’éclat des émaux sur de Divines statues,
Une bombarde sur chariot, fierté d’un Maharadja,
Et cet amour de capucin à la main tendue,
Voyant ma banane, peluchée en petit encas.
À ne plus jamais oublier, son maître, un Derviche,
Semblant sorti tout droit d’une caverne d’ocre.
Il s’est incliné devant moi, m’a fait sentir si riche
De toutes ces choses en moi, qu’avant je trouvais médiocres…
Consignes respectées, charmante poésie
où j’apprécie la vue de l’espace et la mappemonde…
Elle est si belle notre planète vue du ciel, heureusement
que les poètes sont là pour lui rendre grâce, avant qu'un fou
nous la fasse disparaître, cette merveille divine...Bravo! Pour
ce magnifique tour de globe...Un plaisir de vous lire.
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Partir… En rondeaux....Laure Seaile....8,62/10
De tous temps, bien sûr, ce mode de voyager
A ses charmes reconnus, pour mon cœur folichon
Libre de l’ombrage qui fait abandonner,
Dès qu’il y a pluie, Zéphyrs, et tourbillons,
Merveilles d’un Ciel, qui sait les distiller.
Tout l’horizon, change, au rythme des saisons,
À ravir mon regard, de tableaux paysagers
Que l’astre du jour, retouche avec passion.
De tous temps, bien sûr !
Je campe à la belle étoile, au crépitement léger
D’un feu souverain, aux flammes en session
D’une danse de lumières, sur la tente, installée
Sans éclat de piquet, ni torrent de jurons,
Mais un sentiment, d’un bonheur à chanter:
De tous temps, bien sûr…
Toute une aventure, à parfois rencontrer
Un paysan en charriot, à l’âne moribond,
Un amour d’écureuil pressé de traverser,
Rejoindre en coup de vent, son abri dans un tronc,
Adieu l’espérance de le photographier!
Mais un kaléidoscope m’est offert en don
Quand une prairie, est en fleurs, à préserver,
Si bien qu’à chaque pas, réussir mes contorsions;
Toute une aventure !
Tels les sentiers en hauteurs, aux reliefs à cacher
Une jolie caverne, au tapis champignons,
L’envol de chauve-souris, encore à cauchemarder
Surtout quand l’une d’elles, s’accroche au veston,
Et criant toutes deux effrayées, pour la décrocher…
Toute une aventure !
Chariot … mots imposés bien présents,
une belle aventure au sein de la nature !
Titre original, une touche de classicisme en notre concours,
Belle aventure en cette approche du rondeau poétique, où,
chaque mot imposé a trouvé sa place.
( 1seul r à chariot )
***************
une belle aventure au sein de la nature !
Titre original, une touche de classicisme en notre concours,
Belle aventure en cette approche du rondeau poétique, où,
chaque mot imposé a trouvé sa place.
( 1seul r à chariot )
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Seulement… à deux..... Mireille D.... 8,62/10
Partir m’est difficile, sans être en Amour
Je veux vivre en duo la joie de voyager
Être main dans la main, là où la fin du jour
Ressemble à un incendie, aux flammes orangées.
À quoi bon le charme des côtes de Zanzibar
Et ses merveilles sous l’eau, d’un azur cristallin
Sans l’astre lumineux, d’un autre regard
Le torrent d’émotions, qu’on partage à la fin.
À deux dans un chariot, j’aimerais traverser
De l’Oregon les plaines où le vent est tourbillons
Ressentir l’espérance, au point d’être renversés
Quand des pans de Ciel bleu, gagnent l’horizon.
Sous des tentes d’ombrage, on serait à Téhéran
Voilées de la tête aux pieds, au marché des tapis
Motifs kaléidoscope, autour d’un grand paon
À l’éventail souverain, d’une beauté infinie.
Avec mon style de pas, hérité des cavernes
Je ferais l’attraction à un festival de danse
Mais en paire de claquettes, New York nous décerne
La palme de la grâce et de la performance.
Une vélo odyssée en Italie, en tandem
Nous rendrait heureuses, de pédaler à Florence
En éclats de Joie, de fous rires et je t’aime
Prélude qui me fait rêver, pour d’inoubliables vacances.
Consignes respectées, un clin d’œil pour la st Valentin ?
Belle perspective de vacances à deux, point n'est besoin de la foule pour être heureuses...
Vacances en vélo, très sain permettant de s'arrêter là où l'on veut.
j'ai aimé « autour d'un grand paon à l'éventail souverain, d'une beauté infinie»
Drôle, « le style de pas, hérité des cavernes »
***************
Sous les Ombres du Kaléidoscope....Angepapillonnanou....7,25/10
Au gré du vent, elle pose son regard reflétant son charme,
Part voyager entre tellement d'océans et les immenses plages,
Dans son kaléidoscope, elle aperçoit la caverne et d'anciennes armes,
La souveraine observe toutes les merveilles sous les ombrages.
Entre les grands torrents et les immenses tourbillons,
Elle aperçoit la pureté des doux éclats de chaque astre,
Les étoiles entre elles forment une danse sous leurs rayons,
Tel un chariot d'espérances qu'on dû former les astres.
Fixant les lointains horizons, tellement de tapis d'oasis,
Elle rêve d'un amour qu'au fond d'elle, secrètement, elle réclame,
Pourvu qu'un souverain l'approche et la choisisse,
Dans les transparences de leurs regards, s'immiscent des flammes.
Dommage : astre rimant avec lui-même…
Suggestion : tel un chariot empli d’espérances et de piastres (ancienne monnaie)
Mots imposés bien présents, toutefois ombrage était demandé au singulier…
Un joli poème qui mériterait d'être remanié
Suggestion :
" Plonge dans l'eau de ses grands yeux, où brûle encore une flamme " (peut-être
préférable dans le dernier quatrain, pour plus de compréhension )
( Répétitions :astre ...immense...elle aperçoit...)
***************
La Souveraine vagabonde.....Angepapillonnanou.....6,50/10
Dans un grand tourbillon,
S'emporte dans une danse,
Les vents suivent sa fusion,
Elle voue ses espérances.
Elle fait ce rêve d'aller souvent voyager,
La belle souveraine au charme des floraisons,
Dans son regard ses rêves dansent au gré du vent léger,
De son kaléidoscope, elle observe les horizons.
Sous son regard, vont et viennent des torrents de merveilles,
De nombreux éclats d'un scintillant chariot d'étoiles,
Ses chimères partent vers une caverne où des soldats veillent,
Entre des immenses tapis d'astres et leurs jolis voiles.
Leurs éclats s'égalent à de belles flammes,
Brillent sous tout le grand chêne qui lui fait de l'ombrage,
Quelques instants, elle rêve d'un amour qui ferait rage,
Là, elle oublie, qu'elle est souveraine et tombe sous son charme
2 fois ‘vent’ et 2 fois ‘charme’
Astre demandé au singulier…
Dernier quatrains…et les rimes ? peu d’harmonie dans les vers…qqfois trop longs…
Un poème qui mériterait d'être remanié,
Trop d'inégalité dans la longueur de vos vers
hélas des répétitions.
Rimes embrassées abba dans le dernier quatrain.
***************
Hors concours
Partir…sans m’éloigner.....LLumièrelive
M’aventurer sans voyager
Avec mes rêves pour horizon,
M’hasarder sans immerger
En quelque danse de déraison,
Partir sous regard d’espérance
Dans une caverne baignée de lumière
Où mon âme s’emplirait de délivrance
Comme le réveil d’un astre sans lisière,
Entendre le vent respirer
Tel un chariot aux roues grinçantes,
Percevoir l’ombrage vénéré
De merveilles reconnues innocentes,
Bercée dans un tourbillon enivrant
Où comme dans un kaléidoscope en flamme
Je m’apaiserais dans un calme torrent
A l’éclat de pureté sans trame,
Blottie sur un tapis illusoire
Je n’aspire guère à l’amour souverain,
Je n’ose en ignorer les déboires
Son charme se cache au tréfonds d’un écrin.
***************
Sous mon arbre.....Lys
Partir, voyager, cadeau céleste, ne coûte pas un sou,
S'asseoir sous un arbre, s'adosser contre son écorce,
Inspirez profondément un torrent d'effluves, rêve fou,
S'unir au tourbillon du vent, à sa caresse et sa force...
Laissez-vous bercer par le charme de nuages blancs,
Aux murmures de la nature souveraine, lâchez-prise...
Merveille que cette caverne d'Ali Baba qui, libérant
Votre âme, lui dévoilera peu à peu son monde cerise...
Redécouvrez le kaléidoscope des flammes d'amour,
Osez flâner sur les tapis volants de vos espérances,
Ils vous mèneront vers de nouveaux horizons alentour,
Laissez planer votre regard sous l'ombrage qui danse...
Au grand chêne s'invite le chant de l'astre lunaire,
Captant l'éclat grandiose d'étoiles sur leur chariot...
A la tombée de la nuit, on y découvre un sanctuaire,
Refuge du désir, dévoilant de nos vies, le scénario...
***************
A bientôt mes amours.....Lys
Partir m’est difficile, sans être en Amour
Je veux vivre en duo la joie de voyager
Être main dans la main, là où la fin du jour
Ressemble à un incendie, aux flammes orangées.
À quoi bon le charme des côtes de Zanzibar
Et ses merveilles sous l’eau, d’un azur cristallin
Sans l’astre lumineux, d’un autre regard
Le torrent d’émotions, qu’on partage à la fin.
À deux dans un chariot, j’aimerais traverser
De l’Oregon les plaines où le vent est tourbillons
Ressentir l’espérance, au point d’être renversés
Quand des pans de Ciel bleu, gagnent l’horizon.
Sous des tentes d’ombrage, on serait à Téhéran
Voilées de la tête aux pieds, au marché des tapis
Motifs kaléidoscope, autour d’un grand paon
À l’éventail souverain, d’une beauté infinie.
Avec mon style de pas, hérité des cavernes
Je ferais l’attraction à un festival de danse
Mais en paire de claquettes, New York nous décerne
La palme de la grâce et de la performance.
Une vélo odyssée en Italie, en tandem
Nous rendrait heureuses, de pédaler à Florence
En éclats de Joie, de fous rires et je t’aime
Prélude qui me fait rêver, pour d’inoubliables vacances.
Consignes respectées, un clin d’œil pour la st Valentin ?
Belle perspective de vacances à deux, point n'est besoin de la foule pour être heureuses...
Vacances en vélo, très sain permettant de s'arrêter là où l'on veut.
j'ai aimé « autour d'un grand paon à l'éventail souverain, d'une beauté infinie»
Drôle, « le style de pas, hérité des cavernes »
***************
Sous les Ombres du Kaléidoscope....Angepapillonnanou....7,25/10
Au gré du vent, elle pose son regard reflétant son charme,
Part voyager entre tellement d'océans et les immenses plages,
Dans son kaléidoscope, elle aperçoit la caverne et d'anciennes armes,
La souveraine observe toutes les merveilles sous les ombrages.
Entre les grands torrents et les immenses tourbillons,
Elle aperçoit la pureté des doux éclats de chaque astre,
Les étoiles entre elles forment une danse sous leurs rayons,
Tel un chariot d'espérances qu'on dû former les astres.
Fixant les lointains horizons, tellement de tapis d'oasis,
Elle rêve d'un amour qu'au fond d'elle, secrètement, elle réclame,
Pourvu qu'un souverain l'approche et la choisisse,
Dans les transparences de leurs regards, s'immiscent des flammes.
Dommage : astre rimant avec lui-même…
Suggestion : tel un chariot empli d’espérances et de piastres (ancienne monnaie)
Mots imposés bien présents, toutefois ombrage était demandé au singulier…
Un joli poème qui mériterait d'être remanié
Suggestion :
" Plonge dans l'eau de ses grands yeux, où brûle encore une flamme " (peut-être
préférable dans le dernier quatrain, pour plus de compréhension )
( Répétitions :astre ...immense...elle aperçoit...)
***************
La Souveraine vagabonde.....Angepapillonnanou.....6,50/10
Dans un grand tourbillon,
S'emporte dans une danse,
Les vents suivent sa fusion,
Elle voue ses espérances.
Elle fait ce rêve d'aller souvent voyager,
La belle souveraine au charme des floraisons,
Dans son regard ses rêves dansent au gré du vent léger,
De son kaléidoscope, elle observe les horizons.
Sous son regard, vont et viennent des torrents de merveilles,
De nombreux éclats d'un scintillant chariot d'étoiles,
Ses chimères partent vers une caverne où des soldats veillent,
Entre des immenses tapis d'astres et leurs jolis voiles.
Leurs éclats s'égalent à de belles flammes,
Brillent sous tout le grand chêne qui lui fait de l'ombrage,
Quelques instants, elle rêve d'un amour qui ferait rage,
Là, elle oublie, qu'elle est souveraine et tombe sous son charme
2 fois ‘vent’ et 2 fois ‘charme’
Astre demandé au singulier…
Dernier quatrains…et les rimes ? peu d’harmonie dans les vers…qqfois trop longs…
Un poème qui mériterait d'être remanié,
Trop d'inégalité dans la longueur de vos vers
hélas des répétitions.
Rimes embrassées abba dans le dernier quatrain.
***************
Hors concours
Partir…sans m’éloigner.....LLumièrelive
M’aventurer sans voyager
Avec mes rêves pour horizon,
M’hasarder sans immerger
En quelque danse de déraison,
Partir sous regard d’espérance
Dans une caverne baignée de lumière
Où mon âme s’emplirait de délivrance
Comme le réveil d’un astre sans lisière,
Entendre le vent respirer
Tel un chariot aux roues grinçantes,
Percevoir l’ombrage vénéré
De merveilles reconnues innocentes,
Bercée dans un tourbillon enivrant
Où comme dans un kaléidoscope en flamme
Je m’apaiserais dans un calme torrent
A l’éclat de pureté sans trame,
Blottie sur un tapis illusoire
Je n’aspire guère à l’amour souverain,
Je n’ose en ignorer les déboires
Son charme se cache au tréfonds d’un écrin.
***************
Sous mon arbre.....Lys
Partir, voyager, cadeau céleste, ne coûte pas un sou,
S'asseoir sous un arbre, s'adosser contre son écorce,
Inspirez profondément un torrent d'effluves, rêve fou,
S'unir au tourbillon du vent, à sa caresse et sa force...
Laissez-vous bercer par le charme de nuages blancs,
Aux murmures de la nature souveraine, lâchez-prise...
Merveille que cette caverne d'Ali Baba qui, libérant
Votre âme, lui dévoilera peu à peu son monde cerise...
Redécouvrez le kaléidoscope des flammes d'amour,
Osez flâner sur les tapis volants de vos espérances,
Ils vous mèneront vers de nouveaux horizons alentour,
Laissez planer votre regard sous l'ombrage qui danse...
Au grand chêne s'invite le chant de l'astre lunaire,
Captant l'éclat grandiose d'étoiles sur leur chariot...
A la tombée de la nuit, on y découvre un sanctuaire,
Refuge du désir, dévoilant de nos vies, le scénario...
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A bientôt mes amours.....Lys
Je suis dans une caverne, un tunnel sans fin mène je ne sais où, il me semble que l'on m'arrache les entrailles, j'étais la souveraine d'un monde que je pensais amour, à présent mon âme dérive, se laisse emporter par un vent d'espérance, mais mon cœur est en flammes, mon regard se pose alentour, quel est donc ce lieu, où sont nos merveilles ? celles que tu m'avais offertes...
Un tapis volant nous les a ravies, où donc est ce tourbillon de charme sacrifié sur l'autel de la haine ?
En ma tête, tourne le kaléidoscope de notre vie, torrent de sourires, ceux de nos chers trésors, hélas couverts d'un voile d'ombrage...
Ma dernière danse, celle de la vie, je vous la dédie, elle m'emporte vers l'horizon d'un monde apaisé, où l'astre solaire dépose l'éclat de ses rais d'or, m’emmène voyager sur les doux champs fleuris de l'éternité...
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