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Partie 1. Mémoires d'un fou.

Anarkhia

Nouveau poète
#1
J'écris rapidement ces quelques lignes, avec l'espoir inconscient de me libérer de cette incertitude. En espérant qu'elles se perdront dans le flot des temps et que nul yeux jamais, ne poseront leurs regard sur ces mots. Il faut que j'aille vite, je ferais donc court.. Ou du moins, le plus cours qu'il me soit possible de faire pour raconter non histoire. Car il ne fait aucun doute que personnes ne comprendra quoi que ce soit dans les grandes lignes. Moi même je ne comprend pas, suis-je fou? Je l'espère. Peut être la Folie est la seule explication possible, mais peut être est-elle également ma seule issue pour que je puisse échapper à ce mal qui me ronge. Je ne supporte plus d'y penser, et me refuse La réflexion ainsi que tout acte qui pourrait solliciter ma mémoire. Je me dépêche donc, la bougie qui m'éclaire est en train de s'essouffler, et elle n'est pas la seule. Mon coeur, aussi grâce au ciel. Il y a quelque temps déjà de cela, j'étais partis rendre visite à quelque connaissances obscures que j'avais eu durant ce passé que l'on oublie chaque jours un peut plus. cétais des personnages quelques peut étrange, pour le moins excentrique. Mais Je n'en faisait aucune manière, puisqu'après tout, il ne faisait aucun cas que je l'etais également. c'est sans doute ce qui rendi d'ailleurs plus confortable la facilitée de croire que je fus pris de folie aux yeux de mes proches amis qui eurent avant, l'habitude de me côtoyer, chaque jours certes, mais a vrai dire sans jamais s'intéresser. sans jamais comprendre mes manière. Je leur rendis visite donc, dans un coins perdu au fin fond du vieux continent. Les vallée la-bas étaient si profonde, les châteaux si hauts, les landes si tortueuse et le brouillard si épais, que ce sombre spectacle prêtaient à la poésie du paysage toute la tristesse mélancolique nécessaire pour forger le décor de la plus sombre histoire... et ce sentiment d'abandon de désolation, était tel, qu'il ne suffisait que d'un instant fugace, court si court pour que tout cerveaux, même le plus raisonnable et rationnel, se perde à ses divagations les plus rédhibitoire. Une seconde seule était nécessaire pour qu'il se laisse envahir par les souvenirs de toutes les légendes, de tout les contes entendus murmurer, mâchés, crachés, ravalés au bord des lèvres, au fond de la gorge, jusqu'à s'étouffer dans les poumons tient, par peur d'être entendu sur l'abomination de ces lieux.