Il se posa sur mes mains
je lui arrachai les ailes
je tuai le soleil et le matin
en fermant mes persiennes
Tu me deprimes
repondit mon miroir
tu me degoutes
reprit ma pensee
tombe dans le desespoir
Repondit L'abime
j'y sauverai quelques goutes
Repondit l'eternite
Tout me partage
comme une charcuterie
Tout le monde veut son heritage
comme un quelconque fruit
la vie a oublier
a quel point je me suis battu
la terre a oublier
toutes mes retenue pour ne pas tomber
mon miroir a effacer
mes visages ravagees
Et l'abime a dans son antre de la haine
car je n'ai pas voulu me tailler les veines
Et l'eternite me demande des comptes!
comme un prix, une dette a payer!
voila, les blessures, les miseres et la honte
de se reveiller, de vivre et de mourir ecrasee
par le poids du sort
Tu en veux encore ?
Dans la vie sur terre j'ai partagee
mon histoire, mes savoirs
j'ai accompli mes devoirs
sans demander le reste de mes indemnites
Je suis mort, maintenant
je partage une derniere fois dans le temps
Mon ame et mon corps
mes vices pour l'enfer
et le peu qui reste pour le paradis
Le corps pour la terre
et ma presence pour l'oubli
est-ce assez equitable a votre gout mon seigneur
J'ai combattu violemment contre moi meme avec honneur
maintenant que le temps est ecoulee
croyez moi que j'ai regretter
par cette mort terne et certaine
qu'avant je ne m'etais pas taille les veines
Le diable en serait content
et moi dans l'abandon
je me foutterai bien du maitre
car seuls les belles ames interessent tendrement
avant de terminer ma chanson...
entendez avec ironie, le paradis me traiter de traitre.
je lui arrachai les ailes
je tuai le soleil et le matin
en fermant mes persiennes
Tu me deprimes
repondit mon miroir
tu me degoutes
reprit ma pensee
tombe dans le desespoir
Repondit L'abime
j'y sauverai quelques goutes
Repondit l'eternite
Tout me partage
comme une charcuterie
Tout le monde veut son heritage
comme un quelconque fruit
la vie a oublier
a quel point je me suis battu
la terre a oublier
toutes mes retenue pour ne pas tomber
mon miroir a effacer
mes visages ravagees
Et l'abime a dans son antre de la haine
car je n'ai pas voulu me tailler les veines
Et l'eternite me demande des comptes!
comme un prix, une dette a payer!
voila, les blessures, les miseres et la honte
de se reveiller, de vivre et de mourir ecrasee
par le poids du sort
Tu en veux encore ?
Dans la vie sur terre j'ai partagee
mon histoire, mes savoirs
j'ai accompli mes devoirs
sans demander le reste de mes indemnites
Je suis mort, maintenant
je partage une derniere fois dans le temps
Mon ame et mon corps
mes vices pour l'enfer
et le peu qui reste pour le paradis
Le corps pour la terre
et ma presence pour l'oubli
est-ce assez equitable a votre gout mon seigneur
J'ai combattu violemment contre moi meme avec honneur
maintenant que le temps est ecoulee
croyez moi que j'ai regretter
par cette mort terne et certaine
qu'avant je ne m'etais pas taille les veines
Le diable en serait content
et moi dans l'abandon
je me foutterai bien du maitre
car seuls les belles ames interessent tendrement
avant de terminer ma chanson...
entendez avec ironie, le paradis me traiter de traitre.