Parle moi!
Parle moi de tous ça!
De ce que tu vois là-bas!
De l'épreuve qui t'adviens, au seuil, de tes lendemains.
De tes peurs cachés, mais que je sait présente.
Tes angoisses régulières, que je connais si bien.
Blâmer tous cet horreur,
en pénétré la peur, en renifler l'odeur,
sans pouvoir imposer, tes sentiments inquiets,
me font mal pour toi.
L'amour que je te porte, soulagerons tes peines,
le jour, ou tu me reviendra, de ce pays meurtrie.
Ce ne sera pas simple, à estompé tes pleurs,
à dissiper tes peurs. Je ne serais pas loin,
je soignerai ton cœur, je lui ferais savoir,
que la vie vaut de l'or, et que moi je suis là.
Ton trésor tu le tiens, au creux de tes deux mains,
la terreur vécu, doit te rendre meilleur.
Mais, dans la consternation, de toutes tes interrogations,
tu devra tous d'abord en préserver le poids.
Décrypter tes pensées, pour mieux les exploités,
afin de découvrir, l'homme que tu étais, et que tu retrouveras,
avec l'humanité et l'amour que tu as.
A toi petit soldat,
Parle moi de tous ça!
De ce que tu vois là-bas!
De l'épreuve qui t'adviens, au seuil, de tes lendemains.
De tes peurs cachés, mais que je sait présente.
Tes angoisses régulières, que je connais si bien.
Blâmer tous cet horreur,
en pénétré la peur, en renifler l'odeur,
sans pouvoir imposer, tes sentiments inquiets,
me font mal pour toi.
L'amour que je te porte, soulagerons tes peines,
le jour, ou tu me reviendra, de ce pays meurtrie.
Ce ne sera pas simple, à estompé tes pleurs,
à dissiper tes peurs. Je ne serais pas loin,
je soignerai ton cœur, je lui ferais savoir,
que la vie vaut de l'or, et que moi je suis là.
Ton trésor tu le tiens, au creux de tes deux mains,
la terreur vécu, doit te rendre meilleur.
Mais, dans la consternation, de toutes tes interrogations,
tu devra tous d'abord en préserver le poids.
Décrypter tes pensées, pour mieux les exploités,
afin de découvrir, l'homme que tu étais, et que tu retrouveras,
avec l'humanité et l'amour que tu as.
A toi petit soldat,
