Je fréquente très peu de monde, pour ne pas avoir à tout le temps pardonner.
Sinon, nous finirions par ne faire que ça ^^
Déjà, perso, pour mériter un pardon, il faut avoir été très loin. Sinon, ça finit toujours par redescendre et reprendre son cours après une explication au calme..
En revanche, ceux qui ont vraiment été trop loin, j'ai du mal.
Parfois je vais jusqu'à les ignorer proprement. Je déteste la contrition de certaines personnes.
Ce serait, pardonne moi pour que je puisse dormir tranquille. Mais ? Mais ? Depuis quand on inverse les rôles ?
Donc en ne pardonnant pas, la "victime" devient coupable de refuser le pardon.
C'est bien un monde de fous X)
L'imperfection ou l'erreur ne sont pas échecs.
Il suffit d'en retenir les leçons et de toujours chercher à progresser.
Avant tout pour soi, pour les siens. Ensuite seulement il est temps de partager les fruits avec plus de gens.
C'est la théorie des cercles Freudiens.
Le cercle de la famille, puis des amis, des connaissances, des gens que nous sommes obligés de voir pour quelques raisons que ce soit.
Puis le cercle éloigné, où ne sommes pas, le plus complexe à appréhender à mon sens.
Car comment faire, comment faire autrement que subir sans pouvoir changer des choses ?
Cinq cercles, cinq apprentissages, cinq mondes, cinq comportements et cinq façons de voir les choses.
Et puis, reste t'il vraiment quelque chose de pardonnable à l'humain en général ? Réparant ses propres erreurs avec des moyens inadéquates.
Ou créant des erreurs en croyant "savoir" ce qu'il fait. Certaines choses sont au delà de la compréhension de l'homme, mais il y a touché, et il s'est brûlé.
Amitiés, Matthale