Parce qu'un jour,
(alexandrins, pour que la vie prenne pieds)
Parce qu'un jour ils ont, une graine, planté,
Dans le creux d'un bosquet, au ventre de la terre,
Sous le regard des cieux, l’œil perçant le mystère,
Comme un enfant qui naît, par le monde enchanté,
Voilà que lentement, grâce aux fraîches ondées,
Au chaud et doux soleil, un brin s'épanouit,
Sa racine cherchant le terreau s'enfouit,
Pour nourrir la blancheur de ses fleurs fécondées,
Parce qu'un autre jour, l'oiseau vint picorer,
Le tendre fruit sucré, qu'un piège ils ont su faire,
Pour vivre ou bien survivre et plaisir satisfaire,
Que le bel animal se fera dévorer,
Là, quand un homme encor', par la bouche affamée,
De ses yeux dévorant ce naturel festin,
Ce pauvre le cœur nu, croyant en son destin,
Vit les autres s'armer et sa mort proclamée,
Par d'égoïstes cris, alors fut inventé,
Pour le bien et le mal, l'injustice et justice,
Fragile notion, d'une beauté factice,
Parce qu'un jour ils ont, une graine, planté
Il comprit que toujours, le ver est dans la pomme,
Que l'insecte éclot froid, infectant le verger,
Immonde et créatif, ignorant le danger,
En modelant détruit la terre qu'il consomme,
Comme dans l'air nouveau, par le souffle enfanté,
Dans nos cranes d'enfants, sous la croûte du sol,
En rêve d'avenir,chanter fa-si-la-sol,
Parce qu'un jour ils ont, une graine, planté,
Au gré des passions, quand le monde dévie,
Pour implanter l'amour, il nous faudra demain,
D'autres graines semer, où germera l'humain,
Ainsi les siècles vont, ainsi fleurit la vie.
poèmes écrit pour un concours dans la catégorie "poème à thème : la sauvegarde de la vie"
qui malheureusement n'a pas retenu l'attention des jurys
(alexandrins, pour que la vie prenne pieds)
Parce qu'un jour ils ont, une graine, planté,
Dans le creux d'un bosquet, au ventre de la terre,
Sous le regard des cieux, l’œil perçant le mystère,
Comme un enfant qui naît, par le monde enchanté,
Voilà que lentement, grâce aux fraîches ondées,
Au chaud et doux soleil, un brin s'épanouit,
Sa racine cherchant le terreau s'enfouit,
Pour nourrir la blancheur de ses fleurs fécondées,
Parce qu'un autre jour, l'oiseau vint picorer,
Le tendre fruit sucré, qu'un piège ils ont su faire,
Pour vivre ou bien survivre et plaisir satisfaire,
Que le bel animal se fera dévorer,
Là, quand un homme encor', par la bouche affamée,
De ses yeux dévorant ce naturel festin,
Ce pauvre le cœur nu, croyant en son destin,
Vit les autres s'armer et sa mort proclamée,
Par d'égoïstes cris, alors fut inventé,
Pour le bien et le mal, l'injustice et justice,
Fragile notion, d'une beauté factice,
Parce qu'un jour ils ont, une graine, planté
Il comprit que toujours, le ver est dans la pomme,
Que l'insecte éclot froid, infectant le verger,
Immonde et créatif, ignorant le danger,
En modelant détruit la terre qu'il consomme,
Comme dans l'air nouveau, par le souffle enfanté,
Dans nos cranes d'enfants, sous la croûte du sol,
En rêve d'avenir,chanter fa-si-la-sol,
Parce qu'un jour ils ont, une graine, planté,
Au gré des passions, quand le monde dévie,
Pour implanter l'amour, il nous faudra demain,
D'autres graines semer, où germera l'humain,
Ainsi les siècles vont, ainsi fleurit la vie.
poèmes écrit pour un concours dans la catégorie "poème à thème : la sauvegarde de la vie"
qui malheureusement n'a pas retenu l'attention des jurys
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