Papa je regrette,
Que tu ne met pas plus souvent prise dans tes bras,
Ces moments ou je t’attendais ou j’avais besoin de toi,
A l’école on me demandais tu fesais quoi,
Et comme je ne te voyais pas,
Je ne répondais pas,
Alors on se moquait de moi,
Pourquoi maman et moi tu nous à abandonné,
Pour des femmes qui n’en voulait qu’a tes billets,
Et pour sa ta fille tu la laissé,
J’ai grandi et essayé,
Chaque jour de te montré,
A quel point pour moi tu comptais,
Mais tu m’ignorais,
Alors a la fenêtre je ne fesais que pleuré,
Un jour tu es revenu,
Ta voulu m’enlassé,
Comme si rien ne c’était passé,
Mais je n’peux te pardonner,
Tout le mal que ta causer,
Aujourd’hui tu subit,
Se qui de toi me fait fuir,
On ne reconstruit pas une enfance brisé,
Tes cadeau ne vont rien changé,
Tout ce que je demandais,
C’était un père pour mélevé,
Mais maman c’est battu pour moi,
Et on y est arrivé,
Tu vois sans toi on c’est débrouiller,
Pas besoin de tes billets,
Pas besoin de tes regrets,
Aujourd’hui je vie,
Grâce au effort quel a fourni,
Pour qu’un jour même sans toi je puisse avancé.
S.leils.
Que tu ne met pas plus souvent prise dans tes bras,
Ces moments ou je t’attendais ou j’avais besoin de toi,
A l’école on me demandais tu fesais quoi,
Et comme je ne te voyais pas,
Je ne répondais pas,
Alors on se moquait de moi,
Pourquoi maman et moi tu nous à abandonné,
Pour des femmes qui n’en voulait qu’a tes billets,
Et pour sa ta fille tu la laissé,
J’ai grandi et essayé,
Chaque jour de te montré,
A quel point pour moi tu comptais,
Mais tu m’ignorais,
Alors a la fenêtre je ne fesais que pleuré,
Un jour tu es revenu,
Ta voulu m’enlassé,
Comme si rien ne c’était passé,
Mais je n’peux te pardonner,
Tout le mal que ta causer,
Aujourd’hui tu subit,
Se qui de toi me fait fuir,
On ne reconstruit pas une enfance brisé,
Tes cadeau ne vont rien changé,
Tout ce que je demandais,
C’était un père pour mélevé,
Mais maman c’est battu pour moi,
Et on y est arrivé,
Tu vois sans toi on c’est débrouiller,
Pas besoin de tes billets,
Pas besoin de tes regrets,
Aujourd’hui je vie,
Grâce au effort quel a fourni,
Pour qu’un jour même sans toi je puisse avancé.
S.leils.