je vois le jour tel que le monde ne le voi plus
ne suivent pas le cour de la vie
je vois la nuit noircir les âmes
les emportés loin,loin,loin,loin
au confin du néant dans un malheur apparant
je vois le regard de cet homme
appeuré par le bruit,
affamé et meurtrie par le froid
glaçans chaque membre de son corps
l'affectant de maladie
et de douleur incompris par l'esprit
je vois le regard de cette femme
appeurée par la douleur de cet homme
de leur larme qui ne cesse de couler
sur leur visage angeleur
les mains remplis d'engelure
témoignant leur desepoir érintant
je vois le regard d'un enfant
appeuré par la foule
effrayé par les cris
par la violence de leur détresse d'apparance
attendant le moment de creuvé en silence
je te vois toi guidant ses gens
leur montrant que l'etre humain
n'avais de prix
mais un coeur pour toute une vie
un cerveau et deux main pour survie!
ne suivent pas le cour de la vie
je vois la nuit noircir les âmes
les emportés loin,loin,loin,loin
au confin du néant dans un malheur apparant
je vois le regard de cet homme
appeuré par le bruit,
affamé et meurtrie par le froid
glaçans chaque membre de son corps
l'affectant de maladie
et de douleur incompris par l'esprit
je vois le regard de cette femme
appeurée par la douleur de cet homme
de leur larme qui ne cesse de couler
sur leur visage angeleur
les mains remplis d'engelure
témoignant leur desepoir érintant
je vois le regard d'un enfant
appeuré par la foule
effrayé par les cris
par la violence de leur détresse d'apparance
attendant le moment de creuvé en silence
je te vois toi guidant ses gens
leur montrant que l'etre humain
n'avais de prix
mais un coeur pour toute une vie
un cerveau et deux main pour survie!
