Et c'est en voulant le grimper dans la Renault 4 que je le recevais sur une patte et que celle-ci écrasée ne se transforme en raquette de tennis.
Et le quatre-vingt-dix me direz vous, hé bien sont intérêt était de le coller à côté du trou dans la caisse proche du tuyau.
Oui, c'était pour qu'à l'arrêt un passant qui serait passé dans la rue ne mette pas la main sur la tôle autour.
Oui, comme ça, les gens savaient que la tôle était à quarante-cinq degrés.
Me voyant avec ma pauvre patte en forme de raquette il s'exclamait, hé bien, Pépère, tu vas pouvoir te mettre au ping-pong.
Oui, je sais, c'est désolant comme histoire.
Donc le Pépère devait gérer le général Picolle devant l'épicière.
Le président était avec le pape et sœur Mathilde et un nouvel arrivant. Le brigadier Tatouvu n'avait pas pu venir personnellement et il avait missionné à sa place le professeur Ourat.
Celui-ci était en train de raconter sa vie plutôt que de s'occuper du général.
- Hé bien moi, je vous le dis toute infection a un remède croyez moi. Oui, j'ai déjà trouvé le traitement pour le cacaominus et je pense que ce général a un nouveau virus. Le mieux serait de lui trouver le bon remède.
- Ha oui, mon bon maladie premier je me souviens, mais sans mon ministre, les piqûres au cucul n'auraient pas été toutes administrées en un temps record.
Le général Picolle semblait très intéressé par cette conversation et il se mit à écouter la discussion entre le professeur et le président.
Les deux hommes ainsi que sœur Mathilde et le pape ne faisaient plus du tout attention à celui-ci lui.
Il s'éloignait de l'épicière qui était bien heureuse de le voir partir vers la rôtissoire.
Le général Picolle s'avançait vers eux en applaudissant.
- Monsieur Ourat, le général Picolle est fier de vos exploits.
Je n'en reviens pas de la sorte de laquelle vous parlez des virus. Franchement, il faut le faire, à avoir fabriqué en conséquence de quoi vacciné des millions de personnes.
Au nom du bouton rouge, le général Picolle vous décerne la médaille de la chaise électrique à perpétuité. Oups, la médaille du mérite nationale des piqûres au cucul qui sans votre découverte n'aurait pu aboutir.
- Oui, je suis le plus fort au monde général, c'est moi qui ait découvert le vaccin. Je suis l'homme au vaccin d'or dont le monde entier célébrera un jour sa gloire en élevant une statue dans chaque capitale du monde.
- Oui monsieur Ourat, mais moi-même de mes yeux vu qui ne l'avaient pas vu avant de l'avoir vu, j'ai vu un homme faire un exploit qui mériterait autant de gloire à son égard.
- Ha bon, mon bon combat premier, je demande à en savoir plus sur ses exploits, au bougre dont vous louez les mérites.
- Hé bien, mon bon variole premier écoutez cette histoire.
Quand je combattais au Tchad dans les marécages, je me souviens avoir vu un homme soulever un tank d'une seule main pour remettre en place la chenille qui avait déraillé suite au passage du char sur une mine.
Le bougre était unijambiste et n'avait qu'un bras. Hé bien, d'un tank totalement enfoncé dans un marécage, il en fit une Ferrari. Tout en mitraillant l'ennemi, il remit la chenille sur le char de sa main unique. Puis il reprit les commandes du tank dont les occupant s'étaient enfuis totalement sourds suite à la déflagration de la mine juste sous la chenille.
Il sautait dedans et le pied sur l'accélérateur, il fit décoller le tank et fonça sur l'ennemi.
Non seulement, il transforma ce véhicule militaire en fusée, mais il eut même l'audace de donner un coup de pied dans le derrière d'un ennemi qui essayait de lui arracher les commandes de sa main unique. De mémoire, en le bottant, il lui fit même un doigt d'honneur.
Le soir au campement, l'homme n'en finissait pas de nous étonner en nous disant qu'en plus d'être unijambiste et n'avoir qu'un bras qu'il était sourd et muet. Nous n'en revenions pas et quand il a pris sa canne pour aller se coucher l'un des hommes lui a demandé pourquoi, il avait toujours ses lunettes de soleil. L'homme lui a répondu qu'il était aveugle. Bien que j'aie vu d'autres hommes plus forts que lui, il m'avait épaté. Je me souviens aussi qu'il nous avait avoués à moi et à mon aide de camp qu'il nous avait sauvé la vie.
- Malgré mes infirmités, j'ai évité les deux trous de balle qui étaient devant le tank et les ai ainsi sauvés du choc avec les chenilles.
Non seulement, il avait remis en état le char, mais il nous avait évité à chacun une balle qui était destinée à une chenille géante qui était devant nous.
Décidément, ce général Picolle était très étonnant, qu'allait-il raconter de plus comme loufoquerie.
La suite demain,

Et le quatre-vingt-dix me direz vous, hé bien sont intérêt était de le coller à côté du trou dans la caisse proche du tuyau.
Oui, c'était pour qu'à l'arrêt un passant qui serait passé dans la rue ne mette pas la main sur la tôle autour.
Oui, comme ça, les gens savaient que la tôle était à quarante-cinq degrés.
Me voyant avec ma pauvre patte en forme de raquette il s'exclamait, hé bien, Pépère, tu vas pouvoir te mettre au ping-pong.
Oui, je sais, c'est désolant comme histoire.
Donc le Pépère devait gérer le général Picolle devant l'épicière.
Le président était avec le pape et sœur Mathilde et un nouvel arrivant. Le brigadier Tatouvu n'avait pas pu venir personnellement et il avait missionné à sa place le professeur Ourat.
Celui-ci était en train de raconter sa vie plutôt que de s'occuper du général.
- Hé bien moi, je vous le dis toute infection a un remède croyez moi. Oui, j'ai déjà trouvé le traitement pour le cacaominus et je pense que ce général a un nouveau virus. Le mieux serait de lui trouver le bon remède.
- Ha oui, mon bon maladie premier je me souviens, mais sans mon ministre, les piqûres au cucul n'auraient pas été toutes administrées en un temps record.
Le général Picolle semblait très intéressé par cette conversation et il se mit à écouter la discussion entre le professeur et le président.
Les deux hommes ainsi que sœur Mathilde et le pape ne faisaient plus du tout attention à celui-ci lui.
Il s'éloignait de l'épicière qui était bien heureuse de le voir partir vers la rôtissoire.
Le général Picolle s'avançait vers eux en applaudissant.
- Monsieur Ourat, le général Picolle est fier de vos exploits.
Je n'en reviens pas de la sorte de laquelle vous parlez des virus. Franchement, il faut le faire, à avoir fabriqué en conséquence de quoi vacciné des millions de personnes.
Au nom du bouton rouge, le général Picolle vous décerne la médaille de la chaise électrique à perpétuité. Oups, la médaille du mérite nationale des piqûres au cucul qui sans votre découverte n'aurait pu aboutir.
- Oui, je suis le plus fort au monde général, c'est moi qui ait découvert le vaccin. Je suis l'homme au vaccin d'or dont le monde entier célébrera un jour sa gloire en élevant une statue dans chaque capitale du monde.
- Oui monsieur Ourat, mais moi-même de mes yeux vu qui ne l'avaient pas vu avant de l'avoir vu, j'ai vu un homme faire un exploit qui mériterait autant de gloire à son égard.
- Ha bon, mon bon combat premier, je demande à en savoir plus sur ses exploits, au bougre dont vous louez les mérites.
- Hé bien, mon bon variole premier écoutez cette histoire.
Quand je combattais au Tchad dans les marécages, je me souviens avoir vu un homme soulever un tank d'une seule main pour remettre en place la chenille qui avait déraillé suite au passage du char sur une mine.
Le bougre était unijambiste et n'avait qu'un bras. Hé bien, d'un tank totalement enfoncé dans un marécage, il en fit une Ferrari. Tout en mitraillant l'ennemi, il remit la chenille sur le char de sa main unique. Puis il reprit les commandes du tank dont les occupant s'étaient enfuis totalement sourds suite à la déflagration de la mine juste sous la chenille.
Il sautait dedans et le pied sur l'accélérateur, il fit décoller le tank et fonça sur l'ennemi.
Non seulement, il transforma ce véhicule militaire en fusée, mais il eut même l'audace de donner un coup de pied dans le derrière d'un ennemi qui essayait de lui arracher les commandes de sa main unique. De mémoire, en le bottant, il lui fit même un doigt d'honneur.
Le soir au campement, l'homme n'en finissait pas de nous étonner en nous disant qu'en plus d'être unijambiste et n'avoir qu'un bras qu'il était sourd et muet. Nous n'en revenions pas et quand il a pris sa canne pour aller se coucher l'un des hommes lui a demandé pourquoi, il avait toujours ses lunettes de soleil. L'homme lui a répondu qu'il était aveugle. Bien que j'aie vu d'autres hommes plus forts que lui, il m'avait épaté. Je me souviens aussi qu'il nous avait avoués à moi et à mon aide de camp qu'il nous avait sauvé la vie.
- Malgré mes infirmités, j'ai évité les deux trous de balle qui étaient devant le tank et les ai ainsi sauvés du choc avec les chenilles.
Non seulement, il avait remis en état le char, mais il nous avait évité à chacun une balle qui était destinée à une chenille géante qui était devant nous.
Décidément, ce général Picolle était très étonnant, qu'allait-il raconter de plus comme loufoquerie.
La suite demain,
