Moi, j'attendais vers la porte Chatmsung en patte.
Oui, je sais ce plan était génial et signé Tagada donc rien n'était fait au hasard du destin.
J'enlevais la canne du vieux de derrière la porte et je posais le Chatmsung du laideron près de celle-ci.
Elle s'écriait d'un coup, ça pue le gaz.
Je me disais qu'est-ce que ça peut te faire tu as peur que tes cheveux brûlent et ne plus être rouquine, tu as deux lardons ça te fera deux roux de secours, chat chat chat.
Je faisais alors sonner le Chatmsung et elle poussait la porte. Le briquet que j'avais trafiqué en chalumeau fit une flamme immense qui rentrait dans le conduit dans lequel elle était aspirée.
Et voilà comment l'explosion expulsait Pépère derrière la boutique. Puis deux autres explosions se firent et le chat-ventre et René rejoignaient Pépère à l'extérieur.
Mais qu'allait-il en penser le Pépère de cette histoire ?
- Hé bien, Tagada, tu as parfaitement réussi ta mission et maintenant, tu es l'un de nos chatgents, c'est officiellement officiel que ça ne l'était pas de ne pas l'être avant que ce soit.
-Hé bien, Tagada s'écriait Lolo à son tour, c'était une sacrée explosion, je pensais que le laideron avait mis un obus dans la boutique pour tuer Pépère, ne sait-on jamais avec un phénomène pareil.
- Mais ne restons pas dans les parages et repartons vers le scooter à Toutblanc pour rejoindre ma fille qui nous attend dans la chatchatmobile.
Intimait le Pépère aux autres, car il était pressé de fuir cet endroit.
Effectivement, celle-ci était accompagnée de Chatdore, Grenouille, Fripouillet, Toutblanc et Ypsig attendait toujours l'arrivée de Pépère.
Elle se demandait bien ce qu'il faisait avec Lolo et Tagada qu'elle trouvait très prétentieux.
Pépère marchait devant et se retourna un instant.
Il commença à raconter une histoire imaginaire de vente d'obus sur une brocante par son maître pour répondre à la suggestion de Lolo.
- Stop, comment ça imaginaire mon histoire de bombe.
- Que se passe-t-il, Pépère ?
Je n'ai jamais vendu des obus sur une brocante !
- Hé bien, la mémoire ça ne va pas mieux. Bon, love raisin avait raison, c'est à cause de l'alcool chat chat chat chat.
Inimaginable, maintenant, il veut faire passer son chat pour un mythomane.
Rendez-vous compte moi qui ne dis que la vérité vraie réelle pas fausse et authentiquement avérée vraie par l'huissier du mensonge pas faux et rétablie par le juge des vraies histoires pas fausses jugées par le tribunal des vérités vraies.
Écoutez un peu cette information, vous verrez si je mens.
Alpes-Maritimes : un tourbillon de poussière de plusieurs mètres de haut observé samedi.
Oui, me direz vous, quel est le rapport. Hé bien, je vais vous le dire, voilà, vous vous souvenez qu'un jour, je vous disais avoir parcouru le village en tous sens.
Mes pauvres pattes, ayant fait des centaines de kilomètres, étaient à une température de soixante-dix degrés sur l'échelle du Robert de la température pattale.
Donc, à force de tourner en rond, j'avais créé un tourbillon de poussière d'au moins quatre cents kilomètres à l'heure.
Celui-ci s'était enfui jusque dans les Alpes-Maritimes. Voilà, pour rétablir une vérité vraie, tu peux continuer bec en zinc.
- Donc, pendant que Pépère racontait aux autres l'histoire de vente d'obus sur une brocante par son maître Ettesion, était folle d'impatience.
- Mais Pépère pourquoi tu nous racontes cette histoire de poussière dans le ciel.
- Hé bien Tagada, c'est pour te dire que même si tu es le chat le plus rapide du monde, moi, je suis capable de soulever un nuage de poussière rien qu'en marchant.
- Oui, mais l'histoire de la bombe, que s'était-il passé.
- Hé bien Tagada que je te raconte cette journée en enfer que je vécus ce jour-là.
Tout commençait un matin dès le réveil. Je me levais, donc et comme chaque matin, je m'en allais faire une royale toilette.
Il régnait un silence incroyable et je n'en revenais pas. Pas un seul oiseau à l'horizon ni même un nuage. Pas un son de messe ou de goulot qui venait du capharnaüm de mon déjanté des croquettes chimiques de Patagonie enrichies au bicarbonate de soude argentin.
Je revenais vers le gourbi et là je miaulais si fort que le soleil fit un bon dans le ciel. C'était étrange comme si d'un seul coup notre bon roi céleste était devenu paranoïaque.
Mais où Pépère voulait-il en venir encore une fois avec cette étrange histoire de bombe ?
La suite demain.
Oui, je sais ce plan était génial et signé Tagada donc rien n'était fait au hasard du destin.
J'enlevais la canne du vieux de derrière la porte et je posais le Chatmsung du laideron près de celle-ci.
Elle s'écriait d'un coup, ça pue le gaz.
Je me disais qu'est-ce que ça peut te faire tu as peur que tes cheveux brûlent et ne plus être rouquine, tu as deux lardons ça te fera deux roux de secours, chat chat chat.
Je faisais alors sonner le Chatmsung et elle poussait la porte. Le briquet que j'avais trafiqué en chalumeau fit une flamme immense qui rentrait dans le conduit dans lequel elle était aspirée.
Et voilà comment l'explosion expulsait Pépère derrière la boutique. Puis deux autres explosions se firent et le chat-ventre et René rejoignaient Pépère à l'extérieur.
Mais qu'allait-il en penser le Pépère de cette histoire ?
- Hé bien, Tagada, tu as parfaitement réussi ta mission et maintenant, tu es l'un de nos chatgents, c'est officiellement officiel que ça ne l'était pas de ne pas l'être avant que ce soit.
-Hé bien, Tagada s'écriait Lolo à son tour, c'était une sacrée explosion, je pensais que le laideron avait mis un obus dans la boutique pour tuer Pépère, ne sait-on jamais avec un phénomène pareil.
- Mais ne restons pas dans les parages et repartons vers le scooter à Toutblanc pour rejoindre ma fille qui nous attend dans la chatchatmobile.
Intimait le Pépère aux autres, car il était pressé de fuir cet endroit.
Effectivement, celle-ci était accompagnée de Chatdore, Grenouille, Fripouillet, Toutblanc et Ypsig attendait toujours l'arrivée de Pépère.
Elle se demandait bien ce qu'il faisait avec Lolo et Tagada qu'elle trouvait très prétentieux.
Pépère marchait devant et se retourna un instant.
Il commença à raconter une histoire imaginaire de vente d'obus sur une brocante par son maître pour répondre à la suggestion de Lolo.
- Stop, comment ça imaginaire mon histoire de bombe.
- Que se passe-t-il, Pépère ?
Je n'ai jamais vendu des obus sur une brocante !
- Hé bien, la mémoire ça ne va pas mieux. Bon, love raisin avait raison, c'est à cause de l'alcool chat chat chat chat.
Inimaginable, maintenant, il veut faire passer son chat pour un mythomane.
Rendez-vous compte moi qui ne dis que la vérité vraie réelle pas fausse et authentiquement avérée vraie par l'huissier du mensonge pas faux et rétablie par le juge des vraies histoires pas fausses jugées par le tribunal des vérités vraies.
Écoutez un peu cette information, vous verrez si je mens.
Alpes-Maritimes : un tourbillon de poussière de plusieurs mètres de haut observé samedi.
Oui, me direz vous, quel est le rapport. Hé bien, je vais vous le dire, voilà, vous vous souvenez qu'un jour, je vous disais avoir parcouru le village en tous sens.
Mes pauvres pattes, ayant fait des centaines de kilomètres, étaient à une température de soixante-dix degrés sur l'échelle du Robert de la température pattale.
Donc, à force de tourner en rond, j'avais créé un tourbillon de poussière d'au moins quatre cents kilomètres à l'heure.
Celui-ci s'était enfui jusque dans les Alpes-Maritimes. Voilà, pour rétablir une vérité vraie, tu peux continuer bec en zinc.
- Donc, pendant que Pépère racontait aux autres l'histoire de vente d'obus sur une brocante par son maître Ettesion, était folle d'impatience.
- Mais Pépère pourquoi tu nous racontes cette histoire de poussière dans le ciel.
- Hé bien Tagada, c'est pour te dire que même si tu es le chat le plus rapide du monde, moi, je suis capable de soulever un nuage de poussière rien qu'en marchant.
- Oui, mais l'histoire de la bombe, que s'était-il passé.
- Hé bien Tagada que je te raconte cette journée en enfer que je vécus ce jour-là.
Tout commençait un matin dès le réveil. Je me levais, donc et comme chaque matin, je m'en allais faire une royale toilette.
Il régnait un silence incroyable et je n'en revenais pas. Pas un seul oiseau à l'horizon ni même un nuage. Pas un son de messe ou de goulot qui venait du capharnaüm de mon déjanté des croquettes chimiques de Patagonie enrichies au bicarbonate de soude argentin.
Je revenais vers le gourbi et là je miaulais si fort que le soleil fit un bon dans le ciel. C'était étrange comme si d'un seul coup notre bon roi céleste était devenu paranoïaque.
Mais où Pépère voulait-il en venir encore une fois avec cette étrange histoire de bombe ?
La suite demain.