Et il était reparti avec amertume à sec, car la carte disait, j'ai perdu ma langue et je suis aphone.
Oui, impossible de trouver un cartologue dans les parages pour lui greffer des cordes vocales.
Donc, carte muette, c'est ce que l'appareil avait dit, effectivement, pas la carte elle-même puisqu'elle ne parlait plus d'être muette.
Et voilà comment le lendemain matin, il partait à la poste pour sa carte qui ne parlait plus.
Il finissait en garde à vue sous la vue d'un type qui le surveillait étroitement dans cet espace restreint comme la cabine d'un satellite à Léonne Muscle.
Et il se mettait à tourner en rond dans sa cellule carré dans une ville sans coin, chat chat chat.
Oui, il attendait que son chat vienne le délivrer des yeux qui le regardaient.
Mais où Pépère voulait-il en venir encore une fois avec cette étrange histoire de carte muette et de garde à vue ?
- Mais pourquoi était-il en garde à vue ?
- Hé bien Lolo, il était en cellule pour changement de couleur, oui pour passer du gris au blanc. Enfin, moi, c'est ce que je pensais, mais je n'étais pas dans le bon registre de couleur.
Oui, je me disais, hier, il a fait abstinence donc il a dû aller à l'auberge des moines se dératiser la langue à grands coups de taille haie japonais pour nain de jardin coréen.
Puis au passage manger une trentaine de crêpes ce qui ne pas effrayer ce chameau néerlandais imbibé de rhum congolais.
Je partais donc à la gendarmerie où je fus reçu avec tapis rouge et cérémonie du, à mon rang de meilleurs chargent de France.
Voilà me disait, le brigadier Tatouvu, votre maître est poursuive par la poste pour usurpation d'identité d'une vraie personne pas fausse.
Je ne comprenais pas où il voulait en venir cet invétéré buveur de villageoise. Je pensais qu'il était déjà totalement cramé de la tonsure à neuf heures du matin.
En fait, je comprenais enfin cette histoire d'usurpation des usurpés qui ne le sont pas.
Sa carte d'identité ne correspondait plus à sa couleur de peau.
En effet depuis la veille de bien bronzé il était passé au super bronzé comme s'il était resté dans une cabine de bronzage sous des UV durant une semaine.
Le reconnaissant tout de même, j'arrivais à le faire libérer.
Il rentrait dans son gourbi à Mornay sur Allier et je devais enquêter sur ce phénomène.
Arrivé là-bas, je croisais Ainos ma chamoureuse et elle me lançait comme ça, figure toi que des créoles viennent d'emménager dans la rue.
Ha oui, que je lui disais, c'est bizarre, car je n'étais pas au courant.
J'allais donc enquêter chez sa pauvre mère et son frère. Stupéfait, je les retrouvais aussi bronzé que mon comanche irlandais du grattez moi-là.
Je me disais, mais qu'est-ce qu'il a bien pu trafiquer pour qu'ils soient tous cramés comme ça. Je croyais que mon Marc Givré s'était livré à quelque expérience culinaire gargantuesque qui avaient eu pour conséquence qu'ils aient tous le sang complètement noirci, ce qui expliquerait la situation.
Oui, mais voilà, je n'étais pas au courant des fils et sans la plainte du tapage de nuit que c'est nocturne et pas de jour, je n'aurais pas compris toute cette histoire.
- C'est quoi cette histoire de fils, et pourquoi une plainte pour tapage nocturne, c'est incompréhensible.
- Hé bien, Lolo, je vois que tu es nul en deparabolisation de la parabole du cosinus decosinusé d'une moyenne composée démoyennisée.
- Moi non plus je n'ai pas compris mon papa ?
- Non, est-ce possible, pourtant, c'est d'une telle simplicité qu'après tu me diras, mais oui bien sûr mon papa excuse moi de t'avoir fait user de la salive pour une telle évidence ?
Hé bien, je reprends donc la fin en reparabolisant la parabole de l'équation que j'ai deparaboliser.
Voilà, sa mère et son frère furent arrêtés pour tapage nocturne à vingt et une heure et zéro virgule un centième de seconde.
Oui, les voisins attendaient qu'il soit vingt et une heure plus une seconde pour appeler la gendarmerie.
Forcément, si mon curé avait eu une licence en lampadairologie cela ne serait pas arrivé et ils n'auraient pas fait du bruit tous les soirs.
Et puis mon moine n'aurait pas été victimes comme sa mère et son frère d'une africanisation.
Mais où Pépère voulait-il en venir encore une fois avec cette étrange histoire de fils et de couleur de peau sur fond de plainte pour tapage nocturne.
La suite demain.
Oui, impossible de trouver un cartologue dans les parages pour lui greffer des cordes vocales.
Donc, carte muette, c'est ce que l'appareil avait dit, effectivement, pas la carte elle-même puisqu'elle ne parlait plus d'être muette.
Et voilà comment le lendemain matin, il partait à la poste pour sa carte qui ne parlait plus.
Il finissait en garde à vue sous la vue d'un type qui le surveillait étroitement dans cet espace restreint comme la cabine d'un satellite à Léonne Muscle.
Et il se mettait à tourner en rond dans sa cellule carré dans une ville sans coin, chat chat chat.
Oui, il attendait que son chat vienne le délivrer des yeux qui le regardaient.
Mais où Pépère voulait-il en venir encore une fois avec cette étrange histoire de carte muette et de garde à vue ?
- Mais pourquoi était-il en garde à vue ?
- Hé bien Lolo, il était en cellule pour changement de couleur, oui pour passer du gris au blanc. Enfin, moi, c'est ce que je pensais, mais je n'étais pas dans le bon registre de couleur.
Oui, je me disais, hier, il a fait abstinence donc il a dû aller à l'auberge des moines se dératiser la langue à grands coups de taille haie japonais pour nain de jardin coréen.
Puis au passage manger une trentaine de crêpes ce qui ne pas effrayer ce chameau néerlandais imbibé de rhum congolais.
Je partais donc à la gendarmerie où je fus reçu avec tapis rouge et cérémonie du, à mon rang de meilleurs chargent de France.
Voilà me disait, le brigadier Tatouvu, votre maître est poursuive par la poste pour usurpation d'identité d'une vraie personne pas fausse.
Je ne comprenais pas où il voulait en venir cet invétéré buveur de villageoise. Je pensais qu'il était déjà totalement cramé de la tonsure à neuf heures du matin.
En fait, je comprenais enfin cette histoire d'usurpation des usurpés qui ne le sont pas.
Sa carte d'identité ne correspondait plus à sa couleur de peau.
En effet depuis la veille de bien bronzé il était passé au super bronzé comme s'il était resté dans une cabine de bronzage sous des UV durant une semaine.
Le reconnaissant tout de même, j'arrivais à le faire libérer.
Il rentrait dans son gourbi à Mornay sur Allier et je devais enquêter sur ce phénomène.
Arrivé là-bas, je croisais Ainos ma chamoureuse et elle me lançait comme ça, figure toi que des créoles viennent d'emménager dans la rue.
Ha oui, que je lui disais, c'est bizarre, car je n'étais pas au courant.
J'allais donc enquêter chez sa pauvre mère et son frère. Stupéfait, je les retrouvais aussi bronzé que mon comanche irlandais du grattez moi-là.
Je me disais, mais qu'est-ce qu'il a bien pu trafiquer pour qu'ils soient tous cramés comme ça. Je croyais que mon Marc Givré s'était livré à quelque expérience culinaire gargantuesque qui avaient eu pour conséquence qu'ils aient tous le sang complètement noirci, ce qui expliquerait la situation.
Oui, mais voilà, je n'étais pas au courant des fils et sans la plainte du tapage de nuit que c'est nocturne et pas de jour, je n'aurais pas compris toute cette histoire.
- C'est quoi cette histoire de fils, et pourquoi une plainte pour tapage nocturne, c'est incompréhensible.
- Hé bien, Lolo, je vois que tu es nul en deparabolisation de la parabole du cosinus decosinusé d'une moyenne composée démoyennisée.
- Moi non plus je n'ai pas compris mon papa ?
- Non, est-ce possible, pourtant, c'est d'une telle simplicité qu'après tu me diras, mais oui bien sûr mon papa excuse moi de t'avoir fait user de la salive pour une telle évidence ?
Hé bien, je reprends donc la fin en reparabolisant la parabole de l'équation que j'ai deparaboliser.
Voilà, sa mère et son frère furent arrêtés pour tapage nocturne à vingt et une heure et zéro virgule un centième de seconde.
Oui, les voisins attendaient qu'il soit vingt et une heure plus une seconde pour appeler la gendarmerie.
Forcément, si mon curé avait eu une licence en lampadairologie cela ne serait pas arrivé et ils n'auraient pas fait du bruit tous les soirs.
Et puis mon moine n'aurait pas été victimes comme sa mère et son frère d'une africanisation.
Mais où Pépère voulait-il en venir encore une fois avec cette étrange histoire de fils et de couleur de peau sur fond de plainte pour tapage nocturne.
La suite demain.