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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Trop classe la sonnerie, là, tu m'as tué cousin.
- Tu connais Strochaë ; que lui répond l'agent
- Bien sûr, c'est moi qui ai écrit une partie de son album, c'est mon pote depuis des années, bref, je reprends mon histoire.
Je continue donc mon enquête sur les faux billets pour les matchs de foot joués par des escargots à poil angora. Je me rends compte que sur ces billets, il y a une matière suspecte dessus.
Mais quelle histoire farfelue allait-il encore raconter.
Turbo à l'arrière du véhicule s'écriait, hé bien pour un chat champion de la vitesse, c'était bien la peine de gagner deux minutes pour en perdre dix derrière.
Ettesion rigolait en silence de l'allusion de Turbo.
Donc ce jour-là et pas un autre d'être un certain jour qui n'aurait pas été ce jour-là, je prenais l'autoroute en direction de Rome avec ma chatlauréanne pour regagner mon laboratoire et je me faisais doublé par deux chars tuning qui faisait un run.
J'appelais César et lui disais sérieusement, tu as raison, ce sont des malades vers chez toi.
Écoute que je lui disais, je vais régler ton problème très rapidement, j'ai une idée de démoyennisation de la moyenne compensée pour arriver à mes fins. Entre temps, il m'était impossible de savoir quelle matière contenaient ces billets.
J'inventais ce jour grâce à mon génie la recherche moléculaire et je devenais le premier moléculérologue et je trouvais la chose.
Le papier des faux billets était enduit de sucre. Au début, je me disais, nous avons à faire à un diabétique visiblement. Bon les diabétiques ayant du diabète dans les veines une simple prise de diabète veineuse suffirait à retrouver celui qui l'avait en lui.
Entre temps je mettais au point un appareil pour mesurer la vitesse d'un objet en mouvement qui n'est pas immobiles, car il se déplace comme on monte en haut pour descendre en bas en partant de gauche pour revenir vers la droite devant des monteurs qui montent.
Je peaufinais mes recherches et je trouvais, il était fabriqué par une usine pour le sucre cristallisé dans la préparation de la tarte aux abeilles sibériennes élevées par ces chauves unijambistes.
Donc cette spécialité était très connue à cette époque à Rome et elle a malheureusement disparue.
Je faisais pâtisserie par pâtisserie et j'arrivais enfin à la source des mangeurs de tartes d'abeille et aussi démantelé un réseau de faux billets pour les matchs de foot d'escargots poilus dont l'un des joueurs de l'équipe de Rome était complice et surnommé Bernard l'ermite le tondu.
Ensuite, je contactais la sécurité routière pour proposer mon appareil que l'on appelait le radar.
Les contrevenants avaient été pour la plupart arrêtés avec leurs chars tuning dont certains pouvaient monter à deux cent cinquante kilomètres à l'heure. César me disait, Pépère tu es trop bon alors tu me le dédicaces le dernier album de Strochaë.
Voilà l'histoire qu'elle est vraie réelle, pas fausse et authentiquement avérée vraie par l'huissier du mensonge pas faux.
Le gendarme regardait le Pépère et lui dit ;
- Pépère, tu es un génie, tu peux reprendre la route, merci pour l'autographe.
Et le Pépère répartit en direction du canal.
Le président pendant ce temps-là était aux commandes de sa soucoupe et le brigadier, bien qu'il était à moitié alcoolisé était effrayé par ce pilote.
- Hé bien, mon bon travail premier, vous allez nous tuer avec cet engin.
- Mais non rassurez-vous mon bon chômeur premier. Sachez qu'un jour, j'ai arrêté un voleur de linge qui se faisait passer pour un Martien en lui volant sa soucoupe volante. Alors vous ne craignez absolument rien.
- Vous mon bon loi premier, vous vous êtes pris pour un policier ?
- Hé bien mon bon anarchiste premier, oui, un jeune de mon quartier quand j'étais jeune, de n'être pas âgé et de ne pas être vieux d'être jeune comme un vieux n'est pas jeune.
- Hé bien, mon bon vieillard premier avant de me raconter cette histoire déjà, pouvez-vous poser cette soucoupe.
- Écoutez mon bon gamin premier, profitons de cet engin. Je vous raconterai ça après.
Mais qu'avait donc fait le président ce jour-là.

La suite demain.