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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Décidément, que de héros dans cette histoire, mais qu'allait-il encore se passer par la suite.
Pendant que la fée rétablissait les choses en faveur de Pépère, le président en profitait pour rentrer dans la soucoupe volante.
Le brigadier qui était non loin vint avec prudence vers la soucoupe.
Il n'était pas très rassuré bien que la fée avait disparu.
Le président lui trouvait les deux robots démembrés par sœur Mathilde. Puis il ramassait au sol le déguisement Pépère grandeur nature de sœur Mathilde.
- Étrange, c'est un déguisement Pépère, mais dans quel but celui-ci a été fait. Et puis ces deux machines au sol, qui les a ainsi fracassées.
Bon sang de bois, j'ai la tête qui tourne, bonjour l'angoisse, son jus de fruits. Je suis certain qu'il est rempli de sucre artificiel et maintenant, je dois être avec un sang diabéteux. D'ailleurs, où est-il l'autre oiseau, il a eu la frousse ?
Mais cette soucoupe est en parfait état et ma foi, j'aurais bien aimé l'essayer pour voir ce que ça donne.
Le brigadier Tatouvu arrivait à cet instant derrière le président.
- Hé bien, mon bon déshydraté premier, vous parlez tout seul ?
- Hé bien, mon bon alcoolique premier, cela m'arrive. Je ne suis pas très bien à cause de votre jus de fruits.
- Ha bon, mon bon mensonge premier, qu'est-ce qu'il y a comme problème avec mon jus de fruits cent pour cent naturel ?
- Hé bien mon bon bandit premier, il est bourré de sucre. Sachez qu'actuellement, j'ai un sang diabéteux à cause de celui-ci.
Mais ça va passer, moi, je me disais que l'on aurait pu essayer cette soucoupe volante qu'en pensez-vous ?
- Hé bien mon bon conducteur premier, déjà, avez vous le permis de conduire ?
Ne prenez pas la mouche, mais piloter une soucoupe ce n'est pas comme allumer un barbecue, cela demande des connaissances soucoupales.
- Hé bien, mon bon pilote premier, c'est drôle, votre histoire de mouche et de barbecue cela me rappelle une histoire.
- Ha, bon, mon bon papier hygiénique premier, vous avez fait rôtir une mouche sur un barbecue peut-être. Remarquez avec vous plus rien ne m'étonne et peut-être même qu'elle fut rôti au bout de votre célèbre cheveu frontal, hi hi hi.
- Hé bien mon bon proxénète premier oui et non, mais j'ai eu un ennui à cause d'une mouche effectivement et d'ailleurs un sérieux problème.
- Ha bon mon bon président premier, je suis curieux de connaître cette anecdote.
- Malheureusement, c'est bien plus qu'une anecdote, mon bon Brigadier premier.
Voilà, que je vous explique le tableau et vous allez comprendre. Voilà, c'était, quelque temps, avant de passer mon permis de conduire. Je faisais régulièrement des stages de conduite avec mon père sur un circuit privé. Un soir, il m'annonçait être fier de mes résultats. Pour fêter ma progression, il décidait de m'emmener à une exposition de voitures de prestige, Ferrari, Lamborghini, Maserati, porche, Mercedes, Bugatti, enfin la voiture de monsieur tout le monde.
Nous arrivions sur la manifestation et malgré mes lunettes de plongée, j'en prenais plein les yeux. Mon père m'avait prévenu de ne pas trop m'approcher de ces bolides pour ne pas rayer une carrosserie avec mon cheveu. C'était d'ailleurs ce que je faisais et ils n'y eurent aucun incident. Arrivés vers les midis, nous avions été vers un buffet pour nous restaurer. C'était très rustique mais néanmoins convivial. C'est alors que nous arrivions et que nous constations que ce était la panique. Après renseignement, il s'était avéré que les organisateurs qui eurent pensé à tout eurent oublié les piques pour les brochettes. Du coup, les barbecues furent devenus superfétatoires et ce fut la désolation. C'est alors que mon père avait proposé mes services. Il leur avait assuré qu'avec mon cheveu frontal, je pouvais faire griller les brochettes. J'acceptais la tâche même si ce fut pénible et que je pris un coup de soleil à cause du barbecue. Nous avions ensuite mangé, puis il était proposé un baptême de circuit pour les personnes qui avaient le permis de conduire. Mon père demandait aux organisateurs si je pouvais le faire. Étant donné le service que j'avais rendu, ils acceptèrent à condition que je porte un casque. Mon père leur avait assuré que j'avais déjà beaucoup roulé sur circuit pour mes cours privés. Ce fut ainsi que l'on me prêtait un casque. Mais il fallut une heure pour trouver une perceuse pour faire un trou dedans pour que mon cheveu y passe. Ce fut ainsi que je prenais le volant d'une Bugatti de plus de mille chevaux et de quelques millions de francs à l'époque. J'avais déjà fait deux tours de circuit quand tout à coup une grosse mouche vint me perturber. À cause d'elle, je commençais par avoir une crise de bigloucherie. Puis, elle avait disparu et mon co-pilote me disait, ce n'est pas grave, elle est au-dessus de votre tête.
Je levais alors la tête et ce fut le drame, mon cheveu se plantait dans le toit. Ce fut à cause de ça que mon pied enfonçait l'accélérateur à fond.
Oui, en faisant des efforts pour dégager mon cheveu, j'avais fortement accéléré et la voiture s'était retrouvée à trois cents à l'heure en quelques secondes et que nous avions fini perché sur les gradins.
C'est comme ça que mon père s'était retrouvé à faire un prêt de quelques millions de francs pour rembourser la voiture, voilà cette banale anecdote.
- Hé bien, vous étiez Gaston Lagaffe, mon bon bleu Premier.
Mais Pépère pendant ce temps, était-il proche de chez le vétérinaire pour faire soigner le pauvre Lolo.

La suite demain...