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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Malgré tout, je retournais prévenir mon curé et je ne fus pas déçu et j'aurai mieux fait de ne rien lui dire.
En une nuit, je dus démonter la cloche et la ramener à côté de l'église.
Ensuite, je dus démolir la minie église faire un trou et enterrer les détritus.
Et aujourd'hui, c'est-à-dire après mon travail de bagnard de la nuit, je venais combattre Marat le rat pour le compte de jambe vacheuse.
Alors, vous voyez, je rendais service et n'est rien commis de mal, chat chat chat.
Est-ce que Momo n'allait pas encore s'agacer de cette histoire farfelue ?
- Que de fariboles mes seigneurs, enfin, il faut bien que la jeunesse se passe. Butor, allez donc dire cette fable à un cheval boiteux et il vous donnerait un coup de sabot. Inimaginable baragouin, mon pauvre Momo, tu auras tout entendu, les parents ont cueilli des raisins verts et les dents des enfants ont été agacées, chat chat chat.
Pendant que Momo s'agaçait tout seul, vers la mare à Coin-coin, Pêcheur était seul avec Turbo qui était venu l'avertir du désastre au magasin provoqué par Pépère.
Il regardait sur Google si toutefois les informations en parlaient et il tombait sur un article paru sur Voitchat.
Momo était toujours en train de disserter sur la fable de Pépère quand Lolo reçut un message de Turbo.
Il faisait les gros yeux, mais il était faussement étonné de cette information puisque c'était lui-même qui avait appelé la rédaction et Loulou Lecurieux en particulier.
- Momo, je reçois un message de Turbo, figure toi que Loulou Lecurieux est déjà informé de l'incident du magasin. Il paraît qu'il a fait un long article où le boubou... oups, Pépère est décoré pour l'hiver.
- Diantre, mais cela ne s'arrête donc jamais, qui informe ce butor, c'est carrément insensé et incontournable chaque fois ce godelureau sait parfaitement ce que nous faisons.
Je vous le dis, tout net, je n'accepterai pas d'être traîné dans la boue. Si cet article mentionne mon nom, je ferai frémir l'huile et le butor finira dans ce même chaudron sur l'agora de mon château.
- Hé bien, en effet, il y va fort ce Loulou, oulala mon papa, c'est incroyable.
- Attends ma fille, je vais aller voir ça de très près sur le Chatmsung.
Ah oui, effectivement rien que le titre.
Non, je ne peux pas lire de telles histoires, Chatdore peux-tu nous lire ce tissu de racontars.
Chatdore se mit à la page de Voichat et souriait très fort. Il se disait dans sa tête, ça commence bien pour le crasseux déjà rien que l'image.
Effectivement, l'article démarrait par un dessin satirique où le Pépère était représenté avec un ventre énorme recouvert de salissures. Il était assis sur un tas d'os et il mangeait avec ses quatre pattes et sa queue en même temps. Chatdore se retenait pour ne pas rire devant le Pépère pour ne pas le vexer.
Momo de son côté, regardait aussi le dessin et ne se privait pas de commentaires contrairement à Chatdore.
Celui-ci regardait le préambule de l'article.
- Que diantre mon impatience déborde lisez nous donc ce préambule.
- Chatdore se mit à lire l'introduction.
Amis de la vraie vérité, avant de vous relater les faits sur un événement local, ce jour même, laissez moi vous remémorer un court extrait de ce que me relatait mot pour mot mon fidèle informateur dont je tairais le nom par respect à sa chamoureuse, Sybage.
Figurez-vous que l'autre jour le ventre sur pattes était pour commettre un délit de vol de nourriture à la boulangerie Thauvin. Le bougre a essayé de passer par un soupirail où une vache sumotori passerait sans problème.
Mais le vendre du boubouline est resté coincé dans cette ouverture. Évidemment, il ne pouvait pas crier à l'aide sans se faire attraper. La boulangère qui habite deux étages plus haut fut surprise par une vilaine odeur de cucul sal plein de caca. Elle trouvait, ça étrange et descendait directement vers la boulangerie. Elle se souvenait de cette vilaine odeur, car un jour, le pleutre était entré dans le fournil et il avait fait ses besoins sous une étagère. Il fut délogé par la chatte de la boulangère et la fifille ne demandait pas son reste. Donc, elle vint à la boutique où l'odeur était encore plus intense. Elle finissait par aller dans la ruelle à côté de la boutique pour voir ce qu'il s'y passait. Et ce fut là qu'elle vit la queue du bouboule qui était coincé dans le trou. Impossible de le récupérer soit d'un côté ou de l'autre, elle appelait les pompiers. Ils finissaient par mettre le masque pour s'en approcher tellement l'odeur du cucul sale était insupportable.
Ils ont mis une journée pour le dégager la fifille et l'avaient emmené à la spchat pensant que c'était un SDF malgré son embonpoint.
Le bougre n'arrêtait pas de le répéter, je suis SDF, oui supplicié de la faim, chat chat chat. Hé bien, amis lecteurs, rien ne change en ce domaine, lisez donc la suite.
Mais qu'est-ce que Loulou Lecurieux avait encore inventé.

La suite demain. Screenshot_2024-03-09-07-51-00-20_99c04817c0de5652397fc8b56c3b3817.jpg