Alors curé que je lui disais, c'est bien gentil ton église, mais sans cloche ça n'est plus trop une église non. Oui, c'est comme une valise sans poignée, un avion sans réservoir ou un verre percé ça ne servirait à rien.
Ah oui, qu'il me disait mon moinillon, je n'avais pas pensé à cette chose-là, c'est vrai comment je vais appeler mes fidèles à la messe sans cloche.
Bon écoute, tu as déjà bien avancé qu'il me disait met cet ouvrage en attendant que je trouve une solution. Le clocher n'est pas au bout donc je verrai ça demain.
Il parlait, murmurait et marmonnait tout seul dans son capharnaüm à un tel point que madame le maire lui téléphonait pour savoir s'il n'avait pas organisé un séminaire de messe basse.
Fâché de la question, il disait avoir fait un cauchemar. Évidemment, il ne voulait pas dire qu'il réfléchissait à la construction de son église qui était faite sans aucune autorisation que ce soit.
Du coup, il se mit à se gratter la tête, mais ça faisait trembler tout le bois. Du coup, je l'écoutais se limer les canines et je comprenais qu'il allait manger. Enfin, après deux heures d'un repas gargantuesque dans le gourbi, il me laissait enfin dormir. Je précise qu'il était deux heures du matin.
À quatre heures du matin, je fis un bon en l'air, car il venait de donner un coup de pied dans mon pucier pour me réveiller.
Pépère, qu'il s'écriait, l'heureux ça comme disait Andromède, j'ai trouvé la solution à ton problème de cloche.
Lève-toi et va commencer du ciment demain matin, tu reprends l'ouvrage.
Ah oui, que je lui répondais et qu'est-ce que je dois faire ?
Hé bien, appelle Hervé le harnais, je sais où en trouver une de cloche.
Et c'est le harnais en dos que je partais vers l'église de Mornay.
Et voilà comment il me faisait voler la nouvelle cloche qui fut cachée au fond du terrain sous un tas de feuilles.
Je précise que ces feuilles furent ramassées par Pépère sur tous les arbres de la commune.
Avec tout ça, il était déjà quinze heures de l'après-midi et je finissais enfin mon clocher.
Et ce fut à la fin de la soirée que je le retrouvais effondré, Marat le rat avait disparu.
Mais où pouvait être Marat le rat mon moinillon était dans tous ses états.
Je lui annonçais que le clocher était fini et il se reprit un peu et je lui demandais comment nous allons mettre la cloche dans ce clocher.
Hé bien, Pépère, c'est simple, tu vas le lever avec ton hélicoptère et la descendre à l'intérieur. Nous communiquerons par téléphone et je te guiderai, une fois en place, je la fixerai ne t'inquiète pas.
Bon, que je lui disais, je vais dormir.
Ah bon, qu'il me disait, mais Marat le rat qui va le rechercher ?
Non, non, pas question de dormir, tu vas fouiller le bois de fond en comble et si tu le retrouves, tu m'envoies un message.
Vois, je vais marcher dans le village, peut-être que le coquin est à la recherche d'une ratamoureuse ne sait-on jamais.
Je passais ainsi une partie de la soirée et de la nuit à la recherche de Marat le rat dans le bois.
En revenant, je vis les cerfs et me rendais compte qu'avec les croquettes pourries du commissariat les bêtes avaient triplé de volume. Au début de loin, je pensais voir un troupeau de mammouths ce n'est pas compliqué.
Puis les bêtes vinrent rôder vers sa minie église.
Je me disais vu la taille des bestioles, si l'un d'eux est enrhumé et qu'il éternue à côté, elle finira sur la lune.
Lui, revenait de son côté avec une tête d'enterrement comme quelqu'un qui a perdu son porte-monnaie un jour de paye.
Et voilà comment, Marat finissait au fichier de rat disparus que nous ne les voyons plus ici de n'être plus là et qu'ils y étaient avant.
Et c'est il y a deux jours que jambe vacheuse le directeur du magasin vit un rat inconnu derrière le magasin en train de fouiller dans les poubelles.
De suite, il le prenait en photo et partait à la gendarmerie, car l'animal était aussi gros qu'un chien berger allemand.
Et ce fut ainsi que Marat le rat fut identifié. Le bougre dévorait tout dans le magasin la nuit et grossissait comme les cerfs de la forêt.
En fait, les croquettes pourries du commissariat bourrées de cocaïne qui avaient trempé dans l'auge qui avait contenu de l'uranium avaient fait muté Marat le rat et voilà comment je me retrouvais missionné par jambe vacheuse d'éliminer Marat le rat bien qu'il était à mon moinillon.
Alors, vous voyez, je rendais service et n'est rien commis de mal, chat chat chat.
Est-ce que Momo n'allait pas encore s'agacer de cette histoire farfelue...
La suite demain.
Ah oui, qu'il me disait mon moinillon, je n'avais pas pensé à cette chose-là, c'est vrai comment je vais appeler mes fidèles à la messe sans cloche.
Bon écoute, tu as déjà bien avancé qu'il me disait met cet ouvrage en attendant que je trouve une solution. Le clocher n'est pas au bout donc je verrai ça demain.
Il parlait, murmurait et marmonnait tout seul dans son capharnaüm à un tel point que madame le maire lui téléphonait pour savoir s'il n'avait pas organisé un séminaire de messe basse.
Fâché de la question, il disait avoir fait un cauchemar. Évidemment, il ne voulait pas dire qu'il réfléchissait à la construction de son église qui était faite sans aucune autorisation que ce soit.
Du coup, il se mit à se gratter la tête, mais ça faisait trembler tout le bois. Du coup, je l'écoutais se limer les canines et je comprenais qu'il allait manger. Enfin, après deux heures d'un repas gargantuesque dans le gourbi, il me laissait enfin dormir. Je précise qu'il était deux heures du matin.
À quatre heures du matin, je fis un bon en l'air, car il venait de donner un coup de pied dans mon pucier pour me réveiller.
Pépère, qu'il s'écriait, l'heureux ça comme disait Andromède, j'ai trouvé la solution à ton problème de cloche.
Lève-toi et va commencer du ciment demain matin, tu reprends l'ouvrage.
Ah oui, que je lui répondais et qu'est-ce que je dois faire ?
Hé bien, appelle Hervé le harnais, je sais où en trouver une de cloche.
Et c'est le harnais en dos que je partais vers l'église de Mornay.
Et voilà comment il me faisait voler la nouvelle cloche qui fut cachée au fond du terrain sous un tas de feuilles.
Je précise que ces feuilles furent ramassées par Pépère sur tous les arbres de la commune.
Avec tout ça, il était déjà quinze heures de l'après-midi et je finissais enfin mon clocher.
Et ce fut à la fin de la soirée que je le retrouvais effondré, Marat le rat avait disparu.
Mais où pouvait être Marat le rat mon moinillon était dans tous ses états.
Je lui annonçais que le clocher était fini et il se reprit un peu et je lui demandais comment nous allons mettre la cloche dans ce clocher.
Hé bien, Pépère, c'est simple, tu vas le lever avec ton hélicoptère et la descendre à l'intérieur. Nous communiquerons par téléphone et je te guiderai, une fois en place, je la fixerai ne t'inquiète pas.
Bon, que je lui disais, je vais dormir.
Ah bon, qu'il me disait, mais Marat le rat qui va le rechercher ?
Non, non, pas question de dormir, tu vas fouiller le bois de fond en comble et si tu le retrouves, tu m'envoies un message.
Vois, je vais marcher dans le village, peut-être que le coquin est à la recherche d'une ratamoureuse ne sait-on jamais.
Je passais ainsi une partie de la soirée et de la nuit à la recherche de Marat le rat dans le bois.
En revenant, je vis les cerfs et me rendais compte qu'avec les croquettes pourries du commissariat les bêtes avaient triplé de volume. Au début de loin, je pensais voir un troupeau de mammouths ce n'est pas compliqué.
Puis les bêtes vinrent rôder vers sa minie église.
Je me disais vu la taille des bestioles, si l'un d'eux est enrhumé et qu'il éternue à côté, elle finira sur la lune.
Lui, revenait de son côté avec une tête d'enterrement comme quelqu'un qui a perdu son porte-monnaie un jour de paye.
Et voilà comment, Marat finissait au fichier de rat disparus que nous ne les voyons plus ici de n'être plus là et qu'ils y étaient avant.
Et c'est il y a deux jours que jambe vacheuse le directeur du magasin vit un rat inconnu derrière le magasin en train de fouiller dans les poubelles.
De suite, il le prenait en photo et partait à la gendarmerie, car l'animal était aussi gros qu'un chien berger allemand.
Et ce fut ainsi que Marat le rat fut identifié. Le bougre dévorait tout dans le magasin la nuit et grossissait comme les cerfs de la forêt.
En fait, les croquettes pourries du commissariat bourrées de cocaïne qui avaient trempé dans l'auge qui avait contenu de l'uranium avaient fait muté Marat le rat et voilà comment je me retrouvais missionné par jambe vacheuse d'éliminer Marat le rat bien qu'il était à mon moinillon.
Alors, vous voyez, je rendais service et n'est rien commis de mal, chat chat chat.
Est-ce que Momo n'allait pas encore s'agacer de cette histoire farfelue...
La suite demain.