Le bougre en prit plein les oreilles, car la bougresse avait sonné volontairement.
Le fameux spécialiste en chose inutile qui ne servent à rien de ne pas servir rendait son compte-rendu et affirmait que la bougresse était vieille et qu'elle avait les artères bouchées.
Et ce fut ainsi que le lendemain les gens de la commune apprenaient par l'affichage local que la cloche ne sonnerait plus.
L'avis d'obsèques avait déjà été écrit avant qu'elle ne soit fondue le lendemain.
Madame le Maire, refit une séance extraordinaire à la mairie pour annoncer la pose d'une cloche toute neuve et jeune de quelques semaines.
Mais les habitants étaient malgré tout furax. Oui, déjà qu'ils n'avaient plus de télé, ils ne pouvaient même pas se distraire du son de la cloche qui avait définitivement rendu l'âme. L'avis de décès avait été officiellement signé par le clochologue en chef le même jour. La bougresse était déjà dans un four en train de fondre pour devenir avec dégoût des bouches d'égout ce qui n'était pas très à son goût, car d'une belle cloche couleur bronze elle allait devenir des centaines de couvercles tout gris, comme quoi les goûts et les couleurs ça ne se discutent pas.
Donc les gens râlaient et pour les endormir elle leur fit un cours sur la fabrication de la nouvelle cloche.
Cet exposé en clochologie dura deux heures vingt douze et les habitants furent satisfait de ce monologue pompeux qui ne voulait rien dire du tout. Enfin, à peu près ça en démoyennisant la moyenne compensée de son discours.
La nouvelle était donc faite d'un bronze extrait en Azerbaïdjan par des chauves polonais élevé au lait de brebis ukrainiennes. Ce bronze avait été travaillé en Chine par des communistes comoriens en travaux d'intérêt de se tenir à carreau et non derrière les mains dans les poches. Ensuite, le moule de la cloche avait été réalisé en France par des travailleurs volontaires sous peine de se faire virer de Paul Jemploie car payer par Rosa tous les mois.
Donc une fois fabriquée, elle fut mise sur une palette en sapin norvégien coupé par des Turcs daltonien qui quittaient pour la première fois la deltonie.
Elle fut chargée sur un camion napolitain fait en Corée par des Marocains, mangeurs de piment violet du grattez moi-là.
Ce camion était conduit par un Roumain de mère française avec un permis de conduire africain en poche.
Le convoi fut enfin escorté par des agents du FBI pour le fait d'avoir peint en jaune la maison blanche un jour de pleine lune bleue. Oui, c'était un blâme, ils devaient escorter des convois en France pendant une année entière avec un jour de repos tous les trente-deux de chaque mois.
Donc, la cloche arrivait sur la commune et les habitants le soir même assistèrent à une messe exceptionnelle où le brave curé un peu speed bénissait la cloche.
Et c'est en pleine génuflexion qu'il laissait ses parents pour aller donner des cours privés sur l'amour humain à un petit n'enfant.
Moi, pendant ce temps, j'étais passé à la phase suivante du plan de mon moinillon.
Et c'est sous un déluge de musique grégorienne en soixante-dix-huit tours diffusée sur l'autoradio à galène de ma pauvre chatlauréane que truelle en patte, je construisais sa minie église.
Mon, rabougri eut vent de ce qui se passait sur la commune. Il se doutait bien que ce fût certainement l'appareil à ultrasons qui était responsable de ça.
Donc, pour clore le débat avant qu'il ne commence avec la mairie, il remisait l'appareil en question.
Pour que les animaux de ne s'approcher pas de son local à blé, il disposait à l'orée du bois des auges contenant les croquettes pourries bourrées de cocaïne du commissariat offert gratuitement par love château.
La ruse était finaude, car en les nourrissant au loin, ils étaient repus et ne s'approchaient pas de son blé.
Marat le rat trouvait que ces croquettes avaient une bonne odeur et partait y goûter sans ne rien dire à mon curé.
Malheureusement, l'auge qui contenait les croquettes avait été utilisée pour mettre de l'uranium deux cent trente-huit. Oui, c'est important pour la fin sinon je devrais démoyenniser ma moyenne compensée.
Momo était stupéfait par la verve de Pépère et comme les autres, il attendait le dénouement de ce tissu de racontars assemblés l'un à l'autre...
La suite demain.
La suite demain.
Le fameux spécialiste en chose inutile qui ne servent à rien de ne pas servir rendait son compte-rendu et affirmait que la bougresse était vieille et qu'elle avait les artères bouchées.
Et ce fut ainsi que le lendemain les gens de la commune apprenaient par l'affichage local que la cloche ne sonnerait plus.
L'avis d'obsèques avait déjà été écrit avant qu'elle ne soit fondue le lendemain.
Madame le Maire, refit une séance extraordinaire à la mairie pour annoncer la pose d'une cloche toute neuve et jeune de quelques semaines.
Mais les habitants étaient malgré tout furax. Oui, déjà qu'ils n'avaient plus de télé, ils ne pouvaient même pas se distraire du son de la cloche qui avait définitivement rendu l'âme. L'avis de décès avait été officiellement signé par le clochologue en chef le même jour. La bougresse était déjà dans un four en train de fondre pour devenir avec dégoût des bouches d'égout ce qui n'était pas très à son goût, car d'une belle cloche couleur bronze elle allait devenir des centaines de couvercles tout gris, comme quoi les goûts et les couleurs ça ne se discutent pas.
Donc les gens râlaient et pour les endormir elle leur fit un cours sur la fabrication de la nouvelle cloche.
Cet exposé en clochologie dura deux heures vingt douze et les habitants furent satisfait de ce monologue pompeux qui ne voulait rien dire du tout. Enfin, à peu près ça en démoyennisant la moyenne compensée de son discours.
La nouvelle était donc faite d'un bronze extrait en Azerbaïdjan par des chauves polonais élevé au lait de brebis ukrainiennes. Ce bronze avait été travaillé en Chine par des communistes comoriens en travaux d'intérêt de se tenir à carreau et non derrière les mains dans les poches. Ensuite, le moule de la cloche avait été réalisé en France par des travailleurs volontaires sous peine de se faire virer de Paul Jemploie car payer par Rosa tous les mois.
Donc une fois fabriquée, elle fut mise sur une palette en sapin norvégien coupé par des Turcs daltonien qui quittaient pour la première fois la deltonie.
Elle fut chargée sur un camion napolitain fait en Corée par des Marocains, mangeurs de piment violet du grattez moi-là.
Ce camion était conduit par un Roumain de mère française avec un permis de conduire africain en poche.
Le convoi fut enfin escorté par des agents du FBI pour le fait d'avoir peint en jaune la maison blanche un jour de pleine lune bleue. Oui, c'était un blâme, ils devaient escorter des convois en France pendant une année entière avec un jour de repos tous les trente-deux de chaque mois.
Donc, la cloche arrivait sur la commune et les habitants le soir même assistèrent à une messe exceptionnelle où le brave curé un peu speed bénissait la cloche.
Et c'est en pleine génuflexion qu'il laissait ses parents pour aller donner des cours privés sur l'amour humain à un petit n'enfant.
Moi, pendant ce temps, j'étais passé à la phase suivante du plan de mon moinillon.
Et c'est sous un déluge de musique grégorienne en soixante-dix-huit tours diffusée sur l'autoradio à galène de ma pauvre chatlauréane que truelle en patte, je construisais sa minie église.
Mon, rabougri eut vent de ce qui se passait sur la commune. Il se doutait bien que ce fût certainement l'appareil à ultrasons qui était responsable de ça.
Donc, pour clore le débat avant qu'il ne commence avec la mairie, il remisait l'appareil en question.
Pour que les animaux de ne s'approcher pas de son local à blé, il disposait à l'orée du bois des auges contenant les croquettes pourries bourrées de cocaïne du commissariat offert gratuitement par love château.
La ruse était finaude, car en les nourrissant au loin, ils étaient repus et ne s'approchaient pas de son blé.
Marat le rat trouvait que ces croquettes avaient une bonne odeur et partait y goûter sans ne rien dire à mon curé.
Malheureusement, l'auge qui contenait les croquettes avait été utilisée pour mettre de l'uranium deux cent trente-huit. Oui, c'est important pour la fin sinon je devrais démoyenniser ma moyenne compensée.
Momo était stupéfait par la verve de Pépère et comme les autres, il attendait le dénouement de ce tissu de racontars assemblés l'un à l'autre...
La suite demain.
La suite demain.