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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Après trente-deux heures vingt douze de leçons, d'équations et de théorèmes mes élèves étaient enfin prêt pour de nouvelles recherches sur mon état de santé.
L'un d'eux au bout de deux dixièmes de seconde grâce à mon enseignement me disait, Pépère, vite à l'hôpital, je vais te faire une radio pour confirmer ce que tu as.
Ni une ni dix mille sur l'échelle des solutions, on me fit une radio.
Alors comprends-tu ma fille, tu vois ce n'était pas grave en fait.
Ettesion n'avait absolument rien compris à la fin de l'histoire.
- Mais qu'avais-tu en fait mon papa ?
- Hé bien, je viens de te le dire, il le confirmait à l'hôpital voilà.
- Mais quel était donc ce mal qui te tenait mon papa.
- Ha oui, je vois ce que c'est, hé moine, tu n'as pas oublié quelque chose à la fin ?
- Pépère, mais que veux tu ?
- Il me demande ce que je veux, il est gonflé ce gougnafier. Tu n'as pas vu que tu as démoyennisé ma moyenne compensée à la fin de mon histoire. Oui, c'est une honte, ma fille n'a rien compris à cause de toi.
- Mais Pépère c'est toi qui, rac.....
- Stop, soûlard, nous ne sommes pas dupes nous autres, figure toi que depuis hier au fur et à mesure que tu écris moi, ma fille et tout le magasin tremble comme une feuille. Nous sachons pourquoi nous autres, du verbe sachoir, tu étais en train de manger un cuisseau de mammouth et tu as dû t'arrêter pour te limer les dents. Oui, soûlard du coup, tu t'es dit nous n'avons qu'à démoyenniser la moyenne compensée de cette histoire pour la finir plus vite.
C'est une honte, tu m'entends.
Hé bien, il n'est pas très content le bougre de se faire reprendre, mais je m'en fous.
Oui, déjà, il y a deux jours, notez mes bien amis lecteurs qu'il disait en se servant de moi que j'avais sauvé love Manu dans un séquoia. Et puis à la fin il démoyennisait ma moyenne compensée et c'est de l'hélicoptère que je la sauvais. Alors moine, il faut arrêter l'alcool, il y a un sérieux problème dans tes histoires. Et en plus, c'est moi qui ai la honte auprès de mes lecteurs, car bien entendu, c'est moi qui raconte l'histoire, comme par hasard.
Tiens, au fait en parlant de love gendarme, je ne vous ai pas raconté la dernière en date. Voilà, love mission était partie faire une enquête dans un village français. Oui, elle menait une enquête sur un fait extrêmement grave. Un enfant de l'école maternelle de la ville où elle était, était rentré un soir avec son bonnet déchiré. Évidemment, il fallait retrouver l'enfant qui avait fait ça afin de l'arrêter le juger et qu'il purge une peine de prison d'au moins cinq ans.
Donc elle était dans ce village reculé ignoré par ENGIE, gaz de France et Léonne Muscle et elle buvait un café dans un bar.
Après l'histoire ne dit pas si la tasse contenait vraiment du vin.
Donc, elle était en terrasse, car le bar était en fait à l'extérieur de l'habitat du propriétaire.
Et d'un seul coup, elle faillit s'évanouir, car arrivait dans ce même lieu un homme dont elle est fan absolue. D'ailleurs, ce n'est pas compliqué, elle a le tee-shirt et les chaussettes à son effigie. Puis son papier peint est aussi à son image. Il n'y a que sa cuisine où un révolutionnaire est à l'honneur. Jérôme Rodriguez notre, Navalny national.
Donc, elle se levait et partait voir ce visiteur inattendu, Manu en personne accompagné de Gabrivieille Natal.
Elle partait donc lui demander un autographe lui disant être fan absolue et lui demandait ce qu'il faisait là.
Il s'était en fait arrêté pour acheter un jeu à gratter. Et de fil en aiguille sur le trône de tricot premier, ils finissaient ensemble par se faire une orgie de cordon-bleu le Sioluag.
C'est bon soûlard tu peux continuer avec moi.

La suite demain.

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