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Pépère le chat du poète, suite

#1
Je demandais à Saturne de garder le camp.
Donc bazooka en patte, il se mettait à la tâche mon frérot, car c'est un costaud. Oui, ma fille n'écoute pas les élucubrations de mon moine qui prétend qu'il est toujours dans ses jambes. Non loin de là, il est toujours en mission et a pour tâche d'être nommé chat de garde par mon Hébreu germanique les poches pleines de choucroute chinoise.
Mais écoute la suite et tu ne vas pas en revenir ma fille.
- Oui, mon Papounet, raconte moi la suite, ça moi m'intéresse.
- Hé bien, ma love maîtresse que j'aime mangeait du miel. Non, qu'elle en soit friande, c'est un truc de grand-mère, ça enlève l'odeur du vin de la bouche. Sans doute, avait-elle eu peur de réflexions de ma part le lendemain.
Hé puis elle était dans l'hélicoptère et savait les dangers des vapeurs d'alcool au contact d'éléments électroniques et électriques.
Malheureusement pour elle, ce fut comme ça qu'elle attirait un ours qui baguenaudait dans les parages à la recherche d'une oursonne pour aller au restaurant ou en boîte de nuit, ne sait-on jamais.
La bête attirée par l'odeur du miel se dépêchait de partir vers ce restaurant inespéré comme mon frère Saturne autrefois courait vers la gamelle de flash, invitant ainsi Grenouille au restaurant.
Et les narines grandes ouvertes, il rentrait dans l'hélicoptère.
Ma love maîtresse se mettait à crier Pépère, Pépère, vite à l'aide, Pépère, Pépé...
Je disais à Saturne, surtout monte bien la garde et ne te laisse pas distraire par mon moine si des fois, il avait l'idée de te faire aller ailleurs. Oui, quand il écrit, il mange alors, il aurait pu oublier que mon frérot était de garde au camp de base.
Je partais vers l'hélicoptère en courant à une telle vitesse...
Non, tu peux réécrire moine s'il te plaît.
- Oui, mais court moins vite s'il te plaît.
Donc je partais vers l'hélicoptère en courant à une telle vitesse que mon curé claquait des dents en écrivant. À un tel point qu'il reçut un appel de madame le maire jeune fille au pair à ses moments perdus pour lui demander ce qu'il trifouillait sur son terrain.
C'est que j'écris Pépère, disait-il et il court dans une forêt de séquoias proche de Pripiat en Ukraine.
Doucement, lui disait-elle, je ne veux pas d'ennui avec la grande Russie de Rimidalv.
Donc, je courais à en perdre un pull de laine, mais celui-ci s'envolait sous mes moustaches.
L'ours savait piloter, car il jouait régulièrement à un de simulation de vol. D'ailleurs pour l'anecdote, il voulait s'engager dans l'armée de l'air ukrainienne, mais l'explosion de la centrale de Tchernobyl avait tué son rêve, bref.
Donc étant donné qu'il avait vu, love colis évanouie, il pensait m'échapper avec l'engin.
- Hé bien mon papa, un ours qui sait piloter un hélicoptère, c'est fabuleux, et impossible à inventer.
- Oui, ma fille comme Coin-coin vole avec les petites pattes vers sa love gendarme poète quand elle arrive vers sa mare. Il paraît qu'elle vole aussi, car elle connaît la légende de Ricard, chat chat chat.
- Oui, mon Papa, cette histoire paraît invraisemblable, pour tout dire.
- Hé bien, oui, ma fille, rappelle-toi que nous étions en Ukraine et le froid fait des héros.
Pour l'anecdote, ce fut à cet endroit que j'eus l'idée d'inventer le SMS congelé qui refroidit celui qui le reçoit.
Oui, souviens-toi, sans le savoir, je m'étais posé à Pripiat et en plus sache que l'ours avait muté à cause des radiations nucléaires.
Je ne faisais ni une, ni deux, ni trois virgule vingt douze sur l'échelle de la rapidité et je grimpais aux arbres en criant, tiens bon ma love maîtresse, j'arrive pour te sauver.
Et alors, d'arbre en arbre tel Tarzan, je courais sur les cimes pour arriver jusque sous l'hélicoptère. D'un bon, je sautais sur la queue de l'appareil en vol en évitant les pales. J'ouvrais l'engin et j'attrapais l'ours et je le sortais de l'hélicoptère.
Il tombait alors dans le vide et je le terrassais à coup de moustache pendant la chute.
Puis je le lâchais pour arriver après lui au sol et m'en servir comme trampoline. Ce fut ainsi que je revenais vers l'appareil atterrissant dedans après avoir fait dix salto.
Ensuite, je posais l'hélicoptère et ma love maîtresse était sauvée.
- Hé bien, mon papa, c'est une drôle d'histoire.
Oui, ma fille, mais tu nous retardes à parler, aide moi à grimper dans cette gaine que nous allions derrière cette boucherie, nous avons faim nous autres.
Pépère grâce à l'aide de sa fille, aurait-il la force de monter dans ce conduit...

La suite demain.

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