Pendant que Pépère discutait avec sa fille, sur la scène les haut-parleurs se mirent en route.
Sœur Mathilde, regardait les corbeaux qui volaient au-dessus des platanes.
Le battement de leurs ailes lui suggérait autre chose.
Elle écoutait de la musique là où il n'en était pas.
- Trop cool ces corbeaux fait du rap, trop de la balle, il vont secouer leur boule ici, sœur Mathilde fait péter ton flow.
Yes sœur Mathilde
Tu fais du rap
Et ça décape
Whesh sœur Clotilde
J'suis pas une bille
Qu'boit du seven-up
Et oui, j'suis up
Pas une débile
Et les corbeaux
Ils font du rap
Et ils dérapent
Comme le métro
Hé puis la bombe
Il l'a ruiné, c'est une affaire
Pas de souci, c'est le Pépère
Qu'a évité, la vilaine tombe
Des démineurs
C'est un vrai crack
Il a pas le trac.
C'est lui le meilleur
Et sœur Mathilde
Fête l'événement.
Loin du couvent
Je suis dans sa guilde
Elle criait si fort que cela couvrait le bruit des coassements et Pépère eut peur qu'elle ne soit entendue dans tout le bois, y compris, dans la soucoupe par la chatte robot.
Il ne fallait surtout pas qu'elle soit au courant que la bombe fut désamorcée.
Il arriva derrière la sœur qui surprise s'arrêta net dans son monologue.
- Hé bien ma sœur, vous allez nous faire repérer si ça continue.
- Ha, vous ici mon chat fils, mais vous n'êtes plus avec votre fille ?
- Hé bien, nous n'écoutons que vous ici et la chatte robot ne dois pas savoir que la bombe est désamorcée et vous aller le voir l'informer avec votre rap.
- Ha, oui, je n'y avais pas pensé, hé bien, je vais écouter la musique sur mon MP3.
Le Pépère revint vers sa fille et la regardait avec étonnement.
Elle avait son chatmsung en patte.
- Tu as fait tomber ton téléphone du chat-ventre et tu as reçu un message de ton maître qui a éclaté une roue.
Le Pépère pris le téléphone et regarda le message.
- Mais non ma fille, c'est un ancien message. Je me disais encore une fois.
- Pourquoi, il a crevé récemment ?
- Hé bien, c'était le jour où je fus appelé pour le harnais par ma maîtresse.
- Ha, bon, c'était dans le coin ?
- Non, à Saint-Amand, le bougre, était parti à la mairie. Puis love képi qui patrouillait dans le secteur avait vu sa voiture devant un bar à cent mètres de la mairie, du coup elle allait voir ce qu'il faisait.
Après s'être copieusement rempli le gésier à grands coups de poêle à glaçon chinois, chacun repartait à ses occupations.
Mon tricéphale de la chopine avait tapé une roue sur le trottoir devant le bar en repartant.
J'y étais allé pour ne pas éveiller les soupçons sur la gendarmerie, car il bloquait le passage et love gendarme ne pouvait plus repartir.
- Donc, mon papa si je comprends bien, tu as été changer sa roue sur place ?
- Oui ma fille, en a peine deux minutes.
- En deux minutes, tu es sacrément costaud !
- Oui, grâce à ma force légendaire, j'ai réparé la roue en à peine deux minutes, ma fille.
Et en plus, mon comanche milanais n'avait aucun outillage dans sa voiture.
- Ha, bon, comment se faut-il ?
- C'est une voiture de courses et il y a un minimum au cas où il devrait s'arrêter pour déménager une cave, chat chat chat.
Donc, je commençais par soutenir la voiture avec mon dos et je la soulevais. Ensuite, à l'aide de ma patte droite qui est d'une force considérable, je défis les écrous ensuite, toujours en tenant la voiture sur mon dos, je déjantais le pneu avec mes griffes. Ensuite, je glissais un sac dedans. J'arrachais ensuite la valve avec mes dents, je la remettais avec la poche qui sortait légèrement du trou. Avec mes moustaches, je remettais le pneu sur la jante. Ensuite, je vissais les écrous. Puis je reposais la voiture et gonflais la roue avec ma gueule, tu vois ma fille, c'est d'une totale banalité.
Sœur Mathilde, regardait les corbeaux qui volaient au-dessus des platanes.
Le battement de leurs ailes lui suggérait autre chose.
Elle écoutait de la musique là où il n'en était pas.
- Trop cool ces corbeaux fait du rap, trop de la balle, il vont secouer leur boule ici, sœur Mathilde fait péter ton flow.
Yes sœur Mathilde
Tu fais du rap
Et ça décape
Whesh sœur Clotilde
J'suis pas une bille
Qu'boit du seven-up
Et oui, j'suis up
Pas une débile
Et les corbeaux
Ils font du rap
Et ils dérapent
Comme le métro
Hé puis la bombe
Il l'a ruiné, c'est une affaire
Pas de souci, c'est le Pépère
Qu'a évité, la vilaine tombe
Des démineurs
C'est un vrai crack
Il a pas le trac.
C'est lui le meilleur
Et sœur Mathilde
Fête l'événement.
Loin du couvent
Je suis dans sa guilde
Elle criait si fort que cela couvrait le bruit des coassements et Pépère eut peur qu'elle ne soit entendue dans tout le bois, y compris, dans la soucoupe par la chatte robot.
Il ne fallait surtout pas qu'elle soit au courant que la bombe fut désamorcée.
Il arriva derrière la sœur qui surprise s'arrêta net dans son monologue.
- Hé bien ma sœur, vous allez nous faire repérer si ça continue.
- Ha, vous ici mon chat fils, mais vous n'êtes plus avec votre fille ?
- Hé bien, nous n'écoutons que vous ici et la chatte robot ne dois pas savoir que la bombe est désamorcée et vous aller le voir l'informer avec votre rap.
- Ha, oui, je n'y avais pas pensé, hé bien, je vais écouter la musique sur mon MP3.
Le Pépère revint vers sa fille et la regardait avec étonnement.
Elle avait son chatmsung en patte.
- Tu as fait tomber ton téléphone du chat-ventre et tu as reçu un message de ton maître qui a éclaté une roue.
Le Pépère pris le téléphone et regarda le message.
- Mais non ma fille, c'est un ancien message. Je me disais encore une fois.
- Pourquoi, il a crevé récemment ?
- Hé bien, c'était le jour où je fus appelé pour le harnais par ma maîtresse.
- Ha, bon, c'était dans le coin ?
- Non, à Saint-Amand, le bougre, était parti à la mairie. Puis love képi qui patrouillait dans le secteur avait vu sa voiture devant un bar à cent mètres de la mairie, du coup elle allait voir ce qu'il faisait.
Après s'être copieusement rempli le gésier à grands coups de poêle à glaçon chinois, chacun repartait à ses occupations.
Mon tricéphale de la chopine avait tapé une roue sur le trottoir devant le bar en repartant.
J'y étais allé pour ne pas éveiller les soupçons sur la gendarmerie, car il bloquait le passage et love gendarme ne pouvait plus repartir.
- Donc, mon papa si je comprends bien, tu as été changer sa roue sur place ?
- Oui ma fille, en a peine deux minutes.
- En deux minutes, tu es sacrément costaud !
- Oui, grâce à ma force légendaire, j'ai réparé la roue en à peine deux minutes, ma fille.
Et en plus, mon comanche milanais n'avait aucun outillage dans sa voiture.
- Ha, bon, comment se faut-il ?
- C'est une voiture de courses et il y a un minimum au cas où il devrait s'arrêter pour déménager une cave, chat chat chat.
Donc, je commençais par soutenir la voiture avec mon dos et je la soulevais. Ensuite, à l'aide de ma patte droite qui est d'une force considérable, je défis les écrous ensuite, toujours en tenant la voiture sur mon dos, je déjantais le pneu avec mes griffes. Ensuite, je glissais un sac dedans. J'arrachais ensuite la valve avec mes dents, je la remettais avec la poche qui sortait légèrement du trou. Avec mes moustaches, je remettais le pneu sur la jante. Ensuite, je vissais les écrous. Puis je reposais la voiture et gonflais la roue avec ma gueule, tu vois ma fille, c'est d'une totale banalité.