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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Suite d'hier.

J'envoyais un message à love mille feuilles et effectivement, elle me répondit d'être en train de préparer du gel hydrhumalcoolique avec Francis Saplane.
Je me disais, c'est du joli et je repris les airs avec mon hélicoptère.
Enfin, je repris les airs est un bien grand mot. En fait, je survolais le champ de ma meilleure amie. Oui, comprenez-moi, je voulais savoir si mon spaghetti cambodgien, amidonné à la farine camerounaise par des induits manchots, avait bien tenu sa parole concernant le retour de Cookie.
Elle était avec Lucie dans le champ, légèrement désorienté. Comprenez que ce n'est pas facile, comprenez moi. Personnellement entre le paradis et ici, moi-même, j'ai fort à faire.
Donc, je me disais va donc lui dire un mot d'adieu avant de partir vers Lourdes. Je me posais derrière sa cabane et vis de loin que des anges étaient avec Lucie et Cookie. Je ne voulais pas les déranger. Je suis donc rentré chez elle pour lui poser un adieu temporaire sous forme d'une plaisanterie. Celle-ci est innommable et fortement drôle, mais ne peux être comprise que de moi et Cookie.
Je repartis donc vers l'hélicoptère et je décollais. Je passais avant au-dessus de la maison de mon anorexique corse atteint d'obésité bretonne. Je le vis avec un énorme sac de croquettes premier choix. Je me disais, regarde Pépère ce qu'ils mangent là-dedans, pendant que tu suces des cailloux.
C'est d'un coup de filin que je pris le sac devant la porte. Oui, il était entré sûrement pour se buriner la rate à grands coups de fourchette à soupe chinoise.
Et c'est avec une belle réserve de nourriture que je fendais les airs en direction de Lourdes.
Je me rendis compte au dernier moment que je n'avais plus de masque pour la protection de mes yeux. Enfin, remettons les choses à l'endroit, je reçus un message de love cathédrale qui me disait ainsi ; mon gentil crapouillot, peux-tu m'amener des masques respiratoires pour faire ma messe.
De suite, je mis le pilotage automatique et partis en commander chez monsieur Google. Là, je fus stupéfait, même pour dire, j'ai eu peur, je venais de tomber sur une annonce. Je croyais que mon moine auvergnat les poches pleines d'hosties revendait tout son attirail d'apéritif. Je téléphonais à love missel et elle s'écriait mince, il doit y avoir des fuites. Je ne comprenais plus rien et lui demandais pourquoi. Hé bien, me répondait elle, je vais lui offrir un nouveau service tout neuf pour Noël. Il a dû le savoir, mais comment c'est possible.
J'étais rassuré, mon maître resterait bien l'ivrogne que je connus depuis toujours, bouteille en main et bible dans l'autre en se gavant les oreilles de messes jusqu'à l'overdose de vin de messe. Ouf, il n'était pas malade, je peux vous assurer que j'ai eu des sueurs froides, je l'aime mon maître. Oui, qui m'aurait nourrit après, bref, et l'histoire qui aurait écrit ma vie.
Donc, moi et love Quentin étions rassurés.
Je continuais mon vole et je reçus un message d'Olivier Variant qui me disait de me dépêcher d'aller à Lourdes.
Il avait téléphoné avant à love gendarme et son téléphone avait pris feu dans ses mains après qu'elle lui eût dit qu'elle avait un problème dentaire.
Je me disais qu'elle avait dû abuser du gel hydrhumalcoolique et qu'elle crachait le feu.
Donc j'arrivais là-bas et je me mis à sa recherche. Je croisais en chemin Francis Saplane totalement chauve, sans barbe.
C'est alors qu'il me dit n'avoir rien compris. Il avait mangé ensemble et arrivé au dessert en lui parlant elle lui avait brûlé la barbe et le visage.
Je me disais, hé bien, je vois ce que c'est, une tarte faite avec des fruits de chez l'horreur price.
En fait, elle avait mangé une tarte aux pommes nucléaire.
Oui, mon apache varicelle de la langue du cheveu de la rate, lui avait donné des pommes en bocaux. Ces pommes venaient de son jardin, mais il avait utilisé des récipients qui contentaient de l'uranium.
Et ce fus comme ça que ma boîte à sucre chinoise pour café polonais était arrivé sans le vouloir à faire manger une tarte nucléaire à love église.
Oui, j'étais furax, et l'appelais pour lui dire d'un ton peu commode ;
- Hé soûlard, je sais que tu picoles du matin au soir et dévores toute ma nourriture, mes catisfactions, mes croquettes Whiskas, mes sachets et les succulents poulets que tu achètes à la vilaine, mais là ça trop loin, tu te rends compte de ce que tu as fait.
- Bon, Pépère ça va suffire là-dessous, je suis au téléphone avec l'hôpital pour ma mère. Ce n'est pas vrai ce que tu dis.
- Si, c'est vrai, jambe bionique.
J'en veux pour preuve pas plus tard qu'il y a deux jours où tu m'as dit, viens ! Mon joli Pépère, j'ai du poulet pour toi. Et moi pauvre souffreteux, j'ai été voir cette manne inespérée et mes pauvres yeux ont été à moitié aveuglés à cause des vapeurs d'alcool que tu dégageais en parlant et je n'ai vu qu'une maigre carcasse.
Oui mes amis, un squelette où l'ignoble individu avait commencé à manger les os des cuisses.
Excusez-moi mes amis, mais je suis énervé.
Donc elle fit, une tarte nucléaire à cause de mon rabougri spasmophile ce n'est pas drôle, tout de même.
Je l'ai retrouvé dans la chapelle prête à répéter sa messe.
Ses dents étaient chargées de radioactivité et elle brûlait tout sûr ce dont elle soufflait. Elle ne s'était pas rendu compte qu'en faisant sa messe, elle avait brûlé le micro et l'autel.
Oui, elle se sentait un peu lasse et cette répétition l'ennuyait et elle s'était mise à soupirer sur le micro. Celui-ci avait fondu sous ses yeux. Elle avait alors téléphoné à Olivier Variant. Elle pensait que s'était à cause de sa piqûre au cucul et des effets indésirables.
Elle n'eut que le temps de dire, vite prévenez crapouillot que son téléphone était fondu. J'ai dû m'équiper d'une tenue anti-radiation nucléaire pour la soigner.
La suite demain.



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