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Pépère le chat du poète, suite.

#1
- Hiiii, bonjour, c'est Cookie qui vient vous parler du paradis.
Que je vous raconte comment cela s'est passé.
J'ai été reçu par Momo et Mimine accompagné de Caramel.
J'étais très étonné, car Pépère n'était pas dans les parages. Hiii, je me disais enfin la tranquillité, il à autre chose à faire ici. Mais je trouvais ça suspect.
Mais Momo pourrait peut-être mieux vous en parler, car je suis un peu émue. En même temps, je suis fière que mon auteur continue de me faire figurer dans l'histoire de Pépère.
- Merci mon amie d'avoir pris la parole malgré votre pénible voyage.
Que je vous conte, amis lecteurs, ce qui fut arrivé hier en lieu paisible.
Enfin, paisible, ceci courait avant l'arrivée de ce butor de Pépère. Figurez-vous que ce malappris fait des salissures en tout lieu. Ainsi, faisant, nos braves anges, qui veillent sur nous, maraudent à longueur de journée en ces contrées pour nettoyer ces saletés. De plus, le bougre d'animal laisse des os de poulet un peu partout. Remarquez, il est ainsi aisé de saisir l'animal. Oui, comprenez bien qu'il nous suffissions de suivre les os pour retrouver ses pattes sales.
Donc, aujourd'hui, je blâme l'animal, car je pensais qu'il ferait preuve de correction.
La seule obligeance à laquelle il fit allégeance fut à la mesure de son impolitesse.
Je fus alloué par les anges à la tâche de la gouverne de la venue de notre brave jument.
J'eus l'outrecuidance d'assurer à ceux-ci la correction de ce godelureau.
Avec diligence, je reçus donc notre ami. Saint-pierre qui est, je puis vous l'assurer, totalement myope, mis un temps incroyable aux formalités. Ceci fut fastidieux et long, car le bougre ne s'y retrouvait point en ces papiers.
J'étais accompagné de Caramel et Mimine. Pépère nous avais assuré partir se promener pour se remettre de son chagrin.
Le gougnafier dont je pensais être parti admirer nos jolis paysages et les papillons qui survolent les fleurs magnifiques de nos régions, était dans l'option d'une autre besogne.
Le butor visait une bien vile impolitesse à l'égard de la brave malchanceuse.
Ce fut après un temps interminable que Saint-Pierre laissait enfin entrer Cookie vers le paradis.
Nous étions, Mimine et moi-même silencieux et laissions la pauvre découvrir sa dernière demeure.
J'étais fier de la maison qu'avaient réalisée tous nos amis de la Terre.
Je vis Pépère qui souriait d'un sourire narquois et je me demandais pourquoi.
Que diantre, m'écriais-je à l'intention se l'assemblée plénière.
La belle tranquillité dont nous avions jouissance, dès lors est compromise, mes chers amis. Que va encore nous dire ce sacré margoulin. Ils vont nous assurer aller délivrer un quelconque quidam en ce paradis.
Oui, l'aisance de ses mensonges n'a pas d'audace. Que fit-il alors que sa meilleure amie arrivait en ce lieu ?
Ne sais-je, mais dussé-je le subodorer, il va nous dire qu'une baleine ait fait un nid dans un arbre tout proche. Puis, il nous assurera que la bête dérange les anges qui volent en ces horizons. Oui, j'ouis çà, un village de sornettes abracadabrantesque. Mais ceci est déjà écrit, je puis vous l'assurer, ce Pépère est un conte sur pattes pour enfants déraisonnables. Mais que disais-je, regarder le butor sourit sous nos mirettes et s'en court vers nous.
Il avait l'air heureux et affirmait à Cookie que la jolie tenture qui pendait à l'entrée de sa nouvelle demeure avait été cousue par ces soins.
En fait, le butor avait tendu cette toile pour un objectif diabolique.
Il avait fixé en son bas ourlet une barre. Si bien que la seule possibilité que laissât ce joli rideau fut de rentrer et pouvoir ressortir.
Oui, ils n'y avaient pas d'autres options possibles, car la barre débordait des deux côté.
Après nous avoir fait étalage de sa science sur les tissus, il nous assurait avoir cousu cette tenture de fils d'or spécialement pour sa meilleure amie, nous assurait il.
Je me forlignais à le croire, dussé-je avoir été distrait pour une fausse idée, ou bien de telle sorte.
La pauvre Cookie entrait donc dans sa demeure.
Nul ne savait qu'elle découvrit une couche de paille toute fraîche.
Elle s'y couchait promptement car elle était épuisée.
Ce fus à ce moment que Pépère éclatait de rire.
Il tira le rideau et s'écria bienvenue avec tarte d'intelligence sous la paille façon Pépère.
Une odeur nauséabonde faillie nous faire chavirer.
Puis il lâchait la tenture et l'on entendit la pauvre Cookie qui était prisonnière de cette même à cause de la barre ourlée tout le tour en débordement.
- Pirate, cacateux, goujat, qu'a-t-il fait ici. Hiiii, je veux sortir, pirate ;
Furent les mots de la pauvre bête.
Nous dûmes la délivrer et nettoyer sa couche. Puis nous retirâmes la barre cousue sous l'ourlet.
Le butor avait disparu et j'attends de le revoir pour lui en toucher deux mots...

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