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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Pendant que Pépère attendait sa maman fée avec Grenouille le professeur Ourat arrivait téléphone en main vers l'estrade.
Il parlait très fort et semblait en colère.
Le président fut surpris par le professeur. Il parlait tout seul téléphone en main, mais que se passait-il ?
Le président s'approcha de lui pour mieux comprendre l'affaire qui semblait contrarier le professeur.
- Alors là, c'est fort ça, moi pour détournement du secret médical !
- Hé bien, mon bon docteur virus, que vous arrive-t-il ?
- Il m'arrive, que je vais être poursuivi par l'ordre des virussologue. Moi rendez vous compte, c'est insensé cette histoire. Quand on pense que j'ai fait obtenir la nationalité française à des milliers de virus, c'est une honte.
- Mais pourquoi allez-vous être poursuivi ?
- Hé bien, tout ça parce que j'eus missionné Saturne, le frère à Pépère pour m'aider dans mes recherches.
Et pour couronner la piqûre, c'est Olivier Variant en personne qui a prévenu le conseil de l'ordre. Je vais lui faire une injection de varicelle, vous allez voir si le gaillard fera le malin après ça !
- Ha bon, et pourquoi est-ce inquiétant pour eux que vous eusses fait une telle chose.
- Hé bien, tout ça parce qu'ils disent que j'ai violé le secret de l'identité de milliers de virus en confiant à Saturne la liste des virus qu'il pouvait contacter s'il en avait besoin. C'est incroyable, ma sécurité est compromise à présent.
- Votre sécurité, peut-être pas quand même vous n'êtes pas en danger de mort.
- Hé bien si, figurez-vous que dernièrement, j'ai eu mal aux dents et qu'on a essayé de mettre une bombe dans ma bouche.
- Cela est très étonnant, que s'est-il passé ?
- Hé bien, voilà, tous les matins, depuis que je suis à Sancoins, je vais boire un café dans le même bar. L'autre jour, en sortant de ce bar, j'ai ressenti une vive douleur aux dents. C'est ainsi que je pris rendez-vous avec le dentologue local. En fait, c'était une ruse. Le patron du bar a été payé pour mettre un produit dans mon café pour que j'ai mal aux dents. Mon dentologue étant trop loin, on savait que je prendrais rendez-vous ici.
Oui, comprenez que mon dentologue est à Marseille.
Donc, ceux qui ont fait ça ont payé un acteur qui fit le rôle du soigneur. Le but était de mettre du poison dans ma dent ou une bombe.
Tout ça pour ce sacré cacao minus. Si un jour, on m'avait dit qu'un chat travaillerait sur mes virus.
- Ha oui, c'est étonnant votre histoire. Et moi donc si un jour, on m'avait dit que je ferais le gendarme une fois dans ma vie.
- Vous mon bon bleu, gendarme, c'est déroutant.
- Oui comme ta dent, microbe, ha ha ha, bref, je vais quand même vous raconter l'histoire qu'il m'est arrivé lors de mon premier jour de conduite automobile.
Voilà, c'était le jour où j'ai passé mon permis de conduire. Le soir, je me suis dit allons essayer ma petite auto que m'a achetée mon père. C'est alors qu'avec ma petite Porche de pauvre me prit l'idée de faire des drifts insensés sur la route.
J'ai oublié un détail en préambule, c'était à l'époque où mon cheveu était encore capable de produire de l'électricité et de recevoir des fréquences radios, c'est-à-dire deux jours avant son ablation.
Donc, je me prends au jeu et voilà que j'enchaîne, dérapage contrôlé, non-respect des feux rouges, j'en passe et des meilleurs. C'est alors que c'est mis à retentir la sirène derrière moi et je fus stoppé dans mon élan.
C'étaient les gendarmes, ils m'ont contrôlé et ensuite, nous avons parlé, ils connaissaient mon nom et ma notoriété acquise d'avoir aidé la NASA avec mon cheveu. C'est alors qu'ils me disent de faire preuve de Clémence, mais que si un jour, ils avaient besoin de moi, je leur devrais ce service.
C'est alors que je reprends ma route et que je me mets à voir le gyrophare des gendarmes sous mon nez, dans l'auto. En fait en me baissant pour leur parler proche de leur voiture, j'avais ramassé le gyrophare au bout de mon cheveu. Comme celui-ci produisait de l'électricité, il marchait aussi bien que sur leur auto. C'est alors que j'arrive à un stop et que je m'arrête avant d'être doublé par un vélo qui fonçait à toute allure. C'est alors que les gendarmes derrière moi ayant vu le gyrophare au bout de mon cheveu m'ont contacté par radio par l'entremise du cheveu. C'est ainsi que j'ai poursuivi un braqueur de banque extrêmement dangereux qui ayant été accidenté avec sa voiture et qui avait volé un vélo et fonçait au hasard. N'écoutant que mon courage, je l'ai poursuivi et l'ai coincé dans une rue en sens interdit. Bien que l'homme était une armoire à glace et que je faisais quarante kilos tout mouillés et lui au moins cent vingt, qu'il était armé d'un bazooka, de grenades et d'un lance-flammes et moi à mains nues, je suis arrivé à le maîtriser. Voilà monsieur virus, alors on rigole moins des oreilles à présent, avec sa dent

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Pièces jointes