À la brasserie, pendant ce temps-là, les convives écoutaient les histoires du président.
D'un seul coup, il regarda son téléphone et se mit à sourire.
- une bonne nouvelle, mon bon président premier.
- Oui, mon bon vin de messe premier, et pas la moindre de toutes.
- Ha, monsieur bleu, laissez moi deviner, Olivier Variant arrive avec son arsenal pour les piqûres sur les cuculs.
- Hé bien, ma bonne, sœur du couvent des ivrognes inconnus, je me demande bien ce que fait cet olibrius qui ne décolle pas de la gendarmerie.
Non, la maman fée à père, la fée Chouânne arrive sur terre avec deux autres fées, la fée Liettuje et la fée leïlanne. Ce qui veut dire que Pépère sera bien disposé et propre. Elles vont nous raconter leurs exploits dans l'espace.
- Oui, c'est une bonne nouvelle, mais moi aussi en tant que pape, j'en fais tous les jours des exploits et personne n'en parle, c'est un scandale.
- Mais oui vieux Zébulon, le seul exploit que je te connais n'est pas très brillant.
- N'importe quoi, vieille chamelle déshydratée de l'oreille du ventricule, et quel exploit ?
- Hé bien la seule chose que tu étais arrivé à faire, si je me souviens, c'est de d'être produit en spectacle avec une plume dans le tsoin-tsoin et de finir par pondre un œuf, ha ha ha.
Sœur Mathilde, vite fait, déménagez ce comique qui est entré en vous, ha ha ha.
Désolé, je me fais des fleurs toutes seules, ha ha ha.
- Hé, qu'elle est vilaine, cette nonne d'opérette. Tu te rends compte des atrocités que tu aies dits à l'instant. Tu ne respectes rien, sœur du couvent des intoxiqués du smartphone.
- Calmez-vous, Monsieur le Pape, vous savez bien que sœur Mathilde aime à rire de tout.
Ce que vous ne savez pas par contre, c'est que moi-même, j'ai aussi été dans l'espace comme la maman fée à Pépère.
- Vous mon bon président bleu, dans l'espace, c'est incroyable.
- Et pourtant vrai, laissez moi vous l'entretenir. Vous verrez que j'ai aussi commis quelques bévues durant ce voyage.
Déjà que je vous situe l'histoire. Quelque temps plus tôt, j'étais allé aux États-Unis. C'était en mille neuf cent quatre-vingt-quinze. Durant mon séjour, je fus allé dans un restaurant pour manger des cordon-bleus à la confiture de fraises agrémentée de ketchup de Moldavie. Durant mon repas, je vis arrivé un homme qu'il me semblait connaître. Il passa à côté de moi et fut étonné que je misse en plus sur mes succulents cordon-bleus de la crème Chantilly. Ce fus ainsi qu'il me questionnait et que je lui assurais en mettre sur tout ce que je mangeais. Puis il fut étonné de mon cheveu frontal et me dit vouloir déjeuner avec moi pour que je lui explique cette bizarrerie.
Nous commençons à manger puis je lui racontais ce cheveu et ses capacités. Je lui disais comme ça, alors qu'il m'appelait, monsieur Emmanuel, appelez moi Manu. C'est entendu qu'il me fit, alors appelez moi Bill.
Ce fus alors, que je m'écriais, mais vous êtes Bill Clinton.
Je ne revenais pas, j'étais en train de manger des cordon-bleus avec Bill Clinton le chef d'état de la première puissance mondiale.
C'est alors que l'histoire de mon cheveu l'intéressait sur ses capacités à recevoir les ondes radios, plus loin qu'aucun équipement radio, connue.
Ce fut ainsi qu'il me proposait une mission avec la NASA.
Leurs services avaient capté des signaux extraterrestres aux confins de l'univers. Mais ceux-ci s'étaient éloignés et la puissance des appareils ne permettait pas de pouvoir les capter à nouveau.
Donc, deux jours plus tard, je fus habillé en cosmonaute et Bill vint me saluer et me souhaiter bon courage.
Il me dit comme ça, fiston, les États-Unis portent tous leurs espoirs sur vos capacités extraordinaires. Surtout, soyez héroïque et je puis vous assurer d'une chose ; dès votre retour, je ferai déboulonner la statue de la liberté et à la place, je ferai ériger la statue du cheveu de l'espace. Vous aurez pour l'éternité votre nom gravé dans la mémoire de tous les Américains. Votre statue sera en platine et votre cheveu en or. Courage Manu, je te laisse, c'est bientôt l'heure de mon dessin animé favori et je ne voudrais pas le manquer. Hé oui, fiston, Tom Sawyer, c'est très important à mes yeux.
Sept heures, plus tard, mon voyage commença à destination de l'inconnu.
J'étais confortablement installé sur mon siège et la fusée commença à prendre de la vitesse. J'ai eu un petit malaise à cause de tout ce que j'avais sur moi. Oui, je précise qu'un équipement avait été installé sur mon cheveu et relié à un puissant récepteur radio. Le problème, c'est que j'avais cent quarante kilos d'équipements électroniques sur le dos. Avec la poussée de la fusée, je me retrouvais à faire deux tonnes sept cent.
Malgré tout, je fus vite remis sur pied, car nous avons été très vite en apesanteur.
Très vite, nous atteignîmes l'univers et le voyage se passait pour le mieux.
La suite demain...
D'un seul coup, il regarda son téléphone et se mit à sourire.
- une bonne nouvelle, mon bon président premier.
- Oui, mon bon vin de messe premier, et pas la moindre de toutes.
- Ha, monsieur bleu, laissez moi deviner, Olivier Variant arrive avec son arsenal pour les piqûres sur les cuculs.
- Hé bien, ma bonne, sœur du couvent des ivrognes inconnus, je me demande bien ce que fait cet olibrius qui ne décolle pas de la gendarmerie.
Non, la maman fée à père, la fée Chouânne arrive sur terre avec deux autres fées, la fée Liettuje et la fée leïlanne. Ce qui veut dire que Pépère sera bien disposé et propre. Elles vont nous raconter leurs exploits dans l'espace.
- Oui, c'est une bonne nouvelle, mais moi aussi en tant que pape, j'en fais tous les jours des exploits et personne n'en parle, c'est un scandale.
- Mais oui vieux Zébulon, le seul exploit que je te connais n'est pas très brillant.
- N'importe quoi, vieille chamelle déshydratée de l'oreille du ventricule, et quel exploit ?
- Hé bien la seule chose que tu étais arrivé à faire, si je me souviens, c'est de d'être produit en spectacle avec une plume dans le tsoin-tsoin et de finir par pondre un œuf, ha ha ha.
Sœur Mathilde, vite fait, déménagez ce comique qui est entré en vous, ha ha ha.
Désolé, je me fais des fleurs toutes seules, ha ha ha.
- Hé, qu'elle est vilaine, cette nonne d'opérette. Tu te rends compte des atrocités que tu aies dits à l'instant. Tu ne respectes rien, sœur du couvent des intoxiqués du smartphone.
- Calmez-vous, Monsieur le Pape, vous savez bien que sœur Mathilde aime à rire de tout.
Ce que vous ne savez pas par contre, c'est que moi-même, j'ai aussi été dans l'espace comme la maman fée à Pépère.
- Vous mon bon président bleu, dans l'espace, c'est incroyable.
- Et pourtant vrai, laissez moi vous l'entretenir. Vous verrez que j'ai aussi commis quelques bévues durant ce voyage.
Déjà que je vous situe l'histoire. Quelque temps plus tôt, j'étais allé aux États-Unis. C'était en mille neuf cent quatre-vingt-quinze. Durant mon séjour, je fus allé dans un restaurant pour manger des cordon-bleus à la confiture de fraises agrémentée de ketchup de Moldavie. Durant mon repas, je vis arrivé un homme qu'il me semblait connaître. Il passa à côté de moi et fut étonné que je misse en plus sur mes succulents cordon-bleus de la crème Chantilly. Ce fus ainsi qu'il me questionnait et que je lui assurais en mettre sur tout ce que je mangeais. Puis il fut étonné de mon cheveu frontal et me dit vouloir déjeuner avec moi pour que je lui explique cette bizarrerie.
Nous commençons à manger puis je lui racontais ce cheveu et ses capacités. Je lui disais comme ça, alors qu'il m'appelait, monsieur Emmanuel, appelez moi Manu. C'est entendu qu'il me fit, alors appelez moi Bill.
Ce fus alors, que je m'écriais, mais vous êtes Bill Clinton.
Je ne revenais pas, j'étais en train de manger des cordon-bleus avec Bill Clinton le chef d'état de la première puissance mondiale.
C'est alors que l'histoire de mon cheveu l'intéressait sur ses capacités à recevoir les ondes radios, plus loin qu'aucun équipement radio, connue.
Ce fut ainsi qu'il me proposait une mission avec la NASA.
Leurs services avaient capté des signaux extraterrestres aux confins de l'univers. Mais ceux-ci s'étaient éloignés et la puissance des appareils ne permettait pas de pouvoir les capter à nouveau.
Donc, deux jours plus tard, je fus habillé en cosmonaute et Bill vint me saluer et me souhaiter bon courage.
Il me dit comme ça, fiston, les États-Unis portent tous leurs espoirs sur vos capacités extraordinaires. Surtout, soyez héroïque et je puis vous assurer d'une chose ; dès votre retour, je ferai déboulonner la statue de la liberté et à la place, je ferai ériger la statue du cheveu de l'espace. Vous aurez pour l'éternité votre nom gravé dans la mémoire de tous les Américains. Votre statue sera en platine et votre cheveu en or. Courage Manu, je te laisse, c'est bientôt l'heure de mon dessin animé favori et je ne voudrais pas le manquer. Hé oui, fiston, Tom Sawyer, c'est très important à mes yeux.
Sept heures, plus tard, mon voyage commença à destination de l'inconnu.
J'étais confortablement installé sur mon siège et la fusée commença à prendre de la vitesse. J'ai eu un petit malaise à cause de tout ce que j'avais sur moi. Oui, je précise qu'un équipement avait été installé sur mon cheveu et relié à un puissant récepteur radio. Le problème, c'est que j'avais cent quarante kilos d'équipements électroniques sur le dos. Avec la poussée de la fusée, je me retrouvais à faire deux tonnes sept cent.
Malgré tout, je fus vite remis sur pied, car nous avons été très vite en apesanteur.
Très vite, nous atteignîmes l'univers et le voyage se passait pour le mieux.
La suite demain...
