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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Le Pépère était enfin décidé à partir vers Sancoins.
Le président lui avait envoyé un message pour lui demander où il en était car il s'impatientait.
Entre temps, le brigadier et le général arrivèrent vers le canal. Le président insistant, ils finirent par accepter de le conduire à Mornay. Il voulait voir Pépère, du moins essayer de l'apercevoir, car il n'avait pas de réponse à ses messages.
Ils arrivaient vers le champ de la jument et croisèrent la représentante.
Après un bref interrogatoire, ils surent que Pépère était dans les parages.
Le Pépère, était déjà dans sa voiture et il arrivait au bout de l'allée.
- Sympathique la chatmoureuse de Petitmimi, en plus elle croit mes histoires. C'est bon pour ma publicité tout ça, mince, qui arrive, le général avec le brigadier et cordon bleu.
Pépère fait demi-tour et passe par le bois. Si je commence à les suivre, je ne pourrai pas aller seul chez la vilaine pour dérober un poulet.
Le brigadier Tatouvu était persuadé d'avoir vu la voiture du Pépère.
Le président n'avait rien vu et c'est arrivé devant le terrain du poète qu'ils se mirent à scruter de toutes parts les environs.
- Non, d'un bouton rouge, ne restons pas ici, je descends enquêter auprès de cette jument en face.
- Mais non, Général ce n'est pas la peine, il n'est pas là !
Le président avait à peine fini sa phrase que le général descendit de la voiture.
En fait d'enquête, il partit avec sous sa large veste quatre bouteilles dérobées chez la cousine du brigadier Tatouvu le matin même.
Il s'enferma dans la cabane à Bibou et le brigadier l'avait vu y entrer.
- Alors que fait-il avec la chevale.
- C'est un cheval pas une chevale.
- Vous n'y connaissez rien, brigadier, c'est une femelle et l'on dit une chevale. Est-ce que je me mêle de vos enquêtes moi ?
- Comme vous voudrez, président bleu, en attendant, vous pouvez toujours attendre le général Picolle en regardant en face. Vous n'êtes pas près de le voir !
- Ha bon, pourquoi, je vois clair, brigadier, vous êtes insolent.
- Alors vous avez des yeux dans le dos, car il est parti vers la cabane du chien derrière nous.
Le président était furax et il descendit avec précipitation pour aller voir ce qu'il y faisait.
Le général finissait la dernière bouteille quand il entendit du bruit à l'extérieur.
C'est alors qu'il regarda entre les interstices des planches qui constituaient la cabane.
- Zut, le cheveu bleu Pépère, il va me voir, vite finissons cette bouteille.
Le président se demandait ce que le général faisait à l'intérieur.
Il ne manquât que lui pour le départ et le brigadier était impatient de son retour.
Le président était persuadé que Pépère n'était plus en ce lieu.
Il fit semblant de s'éloigner de la cabane.
Il entendit le Général sortir de la cabane.
Il lui semblait que l'homme était tout rouge et légèrement chancelant.
- Hé bien, général Picolle, j'ai l'impression que vous avez arrêté un marchand de vin comme malfrat.
C'était donc ça le but de votre enquête ?
- Monsieur bleu, je viens de suivre un gaillard de plus de cent cinquante kilos pour deux mètres de haut. Le bougre m'a échappé à cause d'un alligator qui passait voir la bougres se et cela m'a distrait.
Il était chez la chevaleresse en face ils parlaient ensemble d'armement et d'attentats. J'ai collé dix ans de bouton rouge au noyer qui est à côté pour compliqué de meurtre de la statue.
- Nous vous attendons pour repartir avec le brigadier, ne vous inquiétez pas vous en arrêterez d'autres des bandits.
Pépère est sûrement reparti, sinon nous l'aurions vu, non !
- Oui, j'ai mes entrées à la cour et je retrouverais Mozart, je peux vous l'assurer.
Le général qui était sous calmant et sous antidépresseurs, vit ce qu'il en coûtait de mélanger ces substances avec de l'alcool. C'est alors qu'il se mit à délirer totalement.
- Ha, bon, vous connaissez un roi en particulier ?
- Vous avez bu, ce n'est pas possible !
- Oui, parfaitement, j'ai vu et bien vu ce jour-là, car j'ai sauvé Elvis Presley.
- Vous avez sauvé Elvis Presley, vous êtes sûr que ça va bien mon général ?
Oui, je l'ai sauvé alors que le concert de Chopin était à peine terminé, c'est là qu'est arrivé le faux roi Louis trente-trois avec le carnet à souches de Louis de Funès. J'ai de suite compris que l'homme qui se prétendait faire du nudisme était en fait un imposteur et que son carnet était un pain de plastique C4. J'ai fait signe à Elvis qui a de suite compris la situation et lui a donné un coup de guitare sur le dos. Chopin a été sauvé de justesse et l'homme croupi actuellement dans une prison de d'Oklahoma où je l'ai condamné à deux cents ans de bouton rouge avec un sursis de trois mille ans de chaise électrique. Hé oui, monsieur cordon bleu n'abuse pas le général Picolle qui veut. J'en ai maté d'autres des terroristes par la suite, ça, je peux vous l'assurer. D'ailleurs, le maréchal Pépère pourrait vous le confirmer. Mais où étiez vous en fait monsieur bleu. Le général était tellement dans son délire qu'il n'avait même pas fait attention que le président était derrière lui depuis déjà dix minutes. Comme d'ailleurs, il n'avait même pas vu qu'il lui tournait le dos et qu'il parlait à la paroi du cabanon.
Le président avait la tête qui lui tournait tellement cette histoire du général était totalement incompréhensible.
Après beaucoup d'insistance, il réussit enfin à faire répartit le général devant lui en direction de la Dacia.
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GABY73

Maître Poète
#2
Le Pépère était enfin décidé à partir vers Sancoins.
Le président lui avait envoyé un message pour lui demander où il en était car il s'impatientait.
Entre temps, le brigadier et le général arrivèrent vers le canal. Le président insistant, ils finirent par accepter de le conduire à Mornay. Il voulait voir Pépère, du moins essayer de l'apercevoir, car il n'avait pas de réponse à ses messages.
Ils arrivaient vers le champ de la jument et croisèrent la représentante.
Après un bref interrogatoire, ils surent que Pépère était dans les parages.
Le Pépère, était déjà dans sa voiture et il arrivait au bout de l'allée.
- Sympathique la chatmoureuse de Petitmimi, en plus elle croit mes histoires. C'est bon pour ma publicité tout ça, mince, qui arrive, le général avec le brigadier et cordon bleu.
Pépère fait demi-tour et passe par le bois. Si je commence à les suivre, je ne pourrai pas aller seul chez la vilaine pour dérober un poulet.
Le brigadier Tatouvu était persuadé d'avoir vu la voiture du Pépère.
Le président n'avait rien vu et c'est arrivé devant le terrain du poète qu'ils se mirent à scruter de toutes parts les environs.
- Non, d'un bouton rouge, ne restons pas ici, je descends enquêter auprès de cette jument en face.
- Mais non, Général ce n'est pas la peine, il n'est pas là !
Le président avait à peine fini sa phrase que le général descendit de la voiture.
En fait d'enquête, il partit avec sous sa large veste quatre bouteilles dérobées chez la cousine du brigadier Tatouvu le matin même.
Il s'enferma dans la cabane à Bibou et le brigadier l'avait vu y entrer.
- Alors que fait-il avec la chevale.
- C'est un cheval pas une chevale.
- Vous n'y connaissez rien, brigadier, c'est une femelle et l'on dit une chevale. Est-ce que je me mêle de vos enquêtes moi ?
- Comme vous voudrez, président bleu, en attendant, vous pouvez toujours attendre le général Picolle en regardant en face. Vous n'êtes pas près de le voir !
- Ha bon, pourquoi, je vois clair, brigadier, vous êtes insolent.
- Alors vous avez des yeux dans le dos, car il est parti vers la cabane du chien derrière nous.
Le président était furax et il descendit avec précipitation pour aller voir ce qu'il y faisait.
Le général finissait la dernière bouteille quand il entendit du bruit à l'extérieur.
C'est alors qu'il regarda entre les interstices des planches qui constituaient la cabane.
- Zut, le cheveu bleu Pépère, il va me voir, vite finissons cette bouteille.
Le président se demandait ce que le général faisait à l'intérieur.
Il ne manquât que lui pour le départ et le brigadier était impatient de son retour.
Le président était persuadé que Pépère n'était plus en ce lieu.
Il fit semblant de s'éloigner de la cabane.
Il entendit le Général sortir de la cabane.
Il lui semblait que l'homme était tout rouge et légèrement chancelant.
- Hé bien, général Picolle, j'ai l'impression que vous avez arrêté un marchand de vin comme malfrat.
C'était donc ça le but de votre enquête ?
- Monsieur bleu, je viens de suivre un gaillard de plus de cent cinquante kilos pour deux mètres de haut. Le bougre m'a échappé à cause d'un alligator qui passait voir la bougres se et cela m'a distrait.
Il était chez la chevaleresse en face ils parlaient ensemble d'armement et d'attentats. J'ai collé dix ans de bouton rouge au noyer qui est à côté pour compliqué de meurtre de la statue.
- Nous vous attendons pour repartir avec le brigadier, ne vous inquiétez pas vous en arrêterez d'autres des bandits.
Pépère est sûrement reparti, sinon nous l'aurions vu, non !
- Oui, j'ai mes entrées à la cour et je retrouverais Mozart, je peux vous l'assurer.
Le général qui était sous calmant et sous antidépresseurs, vit ce qu'il en coûtait de mélanger ces substances avec de l'alcool. C'est alors qu'il se mit à délirer totalement.
- Ha, bon, vous connaissez un roi en particulier ?
- Vous avez bu, ce n'est pas possible !
- Oui, parfaitement, j'ai vu et bien vu ce jour-là, car j'ai sauvé Elvis Presley.
- Vous avez sauvé Elvis Presley, vous êtes sûr que ça va bien mon général ?
Oui, je l'ai sauvé alors que le concert de Chopin était à peine terminé, c'est là qu'est arrivé le faux roi Louis trente-trois avec le carnet à souches de Louis de Funès. J'ai de suite compris que l'homme qui se prétendait faire du nudisme était en fait un imposteur et que son carnet était un pain de plastique C4. J'ai fait signe à Elvis qui a de suite compris la situation et lui a donné un coup de guitare sur le dos. Chopin a été sauvé de justesse et l'homme croupi actuellement dans une prison de d'Oklahoma où je l'ai condamné à deux cents ans de bouton rouge avec un sursis de trois mille ans de chaise électrique. Hé oui, monsieur cordon bleu n'abuse pas le général Picolle qui veut. J'en ai maté d'autres des terroristes par la suite, ça, je peux vous l'assurer. D'ailleurs, le maréchal Pépère pourrait vous le confirmer. Mais où étiez vous en fait monsieur bleu. Le général était tellement dans son délire qu'il n'avait même pas fait attention que le président était derrière lui depuis déjà dix minutes. Comme d'ailleurs, il n'avait même pas vu qu'il lui tournait le dos et qu'il parlait à la paroi du cabanon.
Le président avait la tête qui lui tournait tellement cette histoire du général était totalement incompréhensible.
Après beaucoup d'insistance, il réussit enfin à faire répartit le général devant lui en direction de la Dacia.
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Toujours cette grande imagination que j'apprécie
Amicalement
Gaby