Devant Pépère, la petite minette était très étonnée de son allure. Le chat-ventre était déchiré sur le côté et sortait par le trou la ficelle du poulet que lui avait offert Fripouillet.
Son poil était tout ébouriffé et ses Nike souillées de boue.
Tout ça mélangé au parfum gras de poulet lui donnait un air de chat sdf.
- Oui, je comprends ta réaction Grenouille et si tu entends du bruit chez mon maître, c'est normal.
Il fait des essais souterrains de bombes nucléaires.
- Ha, bon, c'est étrange ça, et c'est pour ça que tu es tout sale ?
- Oui, c'est pour cette raison que tu me vois tout sale, j'ai dû creuser des tunnels à plus de deux cents mètres de profondeur.
- Ha bon, aussi profond que ça, c'est incroyable.
- Enfin, oui, mais je minimise la chose. Si je te disais la vérité vraie, tu aurais peur de moi.
- Ha bon, pourquoi, je n'ai pas peur de toi et j'ai déjà entendu parler de toi. Je lis tes aventures dans le chat détective. Puis je lis l'histoire de ton maître. Il y a deux jours, il disait que tu es crasseux.
- N'écoute pas ces histoires fausses pas vraies qui sont des vrais mensonges totalement faux. Là tel que tu me vois, si je reste sale, c'est pour être déguisé et passé inaperçu. Dans mon chat-ventre, j'ai un savon révolutionnaire, je le regarde et en dix centièmes de secondes, je suis parfaitement propre.
Oui, tu n'as pas peur de moi, car creuser à deux cents mètres de profondeur avec un marteau-piqueur, c'est banal.
Mais si je te disais la vérité vraie, tu serais soufflé, car c'était plutôt à sept, huit, cent mètres de profondeur que j'ai creusé et avec une petite cuillère et en quelques minutes. Alors, tu comprends ma force.
C'est des travaux de forçats quand même.
- Ma pauvre Grenouille si tu savais tout ce que j'ai enduré depuis que je suis ici.
- Ha bon, à ce point-là !
- Oui, laisse-moi t'en parler un peu et tu comprendras que ma vie n'est pas de tout repos.
Le Pépère était content d'avoir trouvé un auditoire pour se lamenter et il y allait de bon train.
- Ma pauvre Grenouille, quand je suis arrivé chez lui, il me faisait déjà creuser la terre comme un manant pour soi-disant faire des essais de pétards à taupe.
En fait, c'était pour enterrer ses saloperies chimiques. Moi bon cœur, j'ai creusé, creusé, creusé, et comme repas qu'ai-je eu, si tu savais ma pauvre, des cailloux, oui, tu as bien entendu des cailloux.
Ensuite, j'ai eu un problème au nez.
Un morceau de nuage qui était coincé dedans après une prospection avec mon hélicoptère pour trouver un endroit frais.
Oui, ce fut moi qui enterrais les déchets d'uranium et je fus irradié et mon pauvre dos n'avait plus de poils. Je mourrais de chaud, car c'était pendant la canicule.
J'ai été emmené chez un tortureur et on a fait des expériences sur moi.
Je suis ressorti avec des poils violets et des dents bleus et avec une brûlure de la rétine au trentième degré. Oui le tortureur m'avait soufflé dans les yeux et il était chargé comme une barrique, les vapeurs avaient même décollé la moquette du mur dans le cabinet. Ce n'est pas pour dire, bref.
Non-content de ça je fus spolié de ma chatlauréane. C'est une voiture que j'ai fabriquée et avec laquelle je peux voyager dans le temps.
Le salopard a mis dedans un autoradio de mille neuf-cent où il passe dedans des disques sillons soixante-dix huit tours.
Donc je fus emmené dans ma voiture de force et parqué devant l'auberge des moines durant des heures.
C'est une échoppe où mon bout de gras de mammouth pour anorexique malgache va pour se turbiner les oreilles à grands coups de tournevis à rôtis de moules.
Je dus écouter la messe en boucle pendant que l'ignoble individu qui m'avait fait mangé des cailloux était en train de s'empiffrer des montagnes de crêpes.
Ensuite, il s'alcoolisa avec love gendarme qui est sa compagne.
Puis il me ramena avec ma voiture entièrement trafiquée du poste en me forçant à écouter la messe tandis qu'il roulait en zigzaguant à cent quatre-vingt-dix kilomètres à l'heure au péril de ma vie.
Voilà ma pauvre Grenouille ce que j'endure depuis que je suis ici.
- Hé bien, c'est une drôle de vie tout de même, je ne pensais pas.
Mais dis moi avec ton hélicoptère comment fais-tu pour te retrouver.
- Hé bien, c'est moi qui l'ai créé et j'ai un GPS intégré qui fonctionne avec mes pensées.
- Ha oui, mes maîtres en ont un dans l'auto, c'est une invention utile.
- C'est moi qui l'aie inventé, oui, Grenouille, moi, Pépère.
- Ha, bon, comme ça, tu l'as inventé. Mais c'est récent tout de même.
- Pas du tout, je l'ai créé à la préhistoire.
- À la préhistoire, mais c'est incroyable.
- Hé bien, pourtant, c'est la vérité vraie pas fausse authentiquement avérée vraie par l'huissier du mensonge qui n'est pas faux, enfin, tu comprends.
Que je t'explique la chose et tu vas comprendre.
Les hommes des cavernes étaient très écologiques et ils ne voulaient pas utiliser les camions pour le transport des marchandises.
Ils s'étaient creusé la tête et avaient consulté monsieur Google qui n'était pas arrivé à leur donner une réponse. Et l'hiver venu, ils étaient dépourvus de toutes les grottes discount étaient vides. Un jour monsieur baleine en surfant sur le net eut vent de cette information. Il en avait marre de manger du sel à chaque repas qu'il payait une misère à madame mer.
- La mer vendait du sel ?
- Oui, et elle vendait aussi du caviar, mais il était hors de prix.
Alors monsieur baleine premier a eu l'idée de faire une entreprise de transport. Grâce à mon génie génétique et sous les ordres de monsieur, baleine premier, je fabriquais des baleines à jambes et à poumons. Ensuite, elles ont fait un marché avec monsieur neanderthal premier, sous couvert des États-Unis qui s'étaient porté garant comme fournisseur. Le problème était que les bestioles se perdaient constamment et elles tournaient en rond.
Un jour monsieur néanderthal s'écria s'en est assez à la baleine vous ruinez l'économie en livrant des marchandises avariées avec des mois de retard. Je fus donc consulté par monsieur États-Unis qui m'expliquait le problème en me disant, vous Pépère inventeur du TGV, de l'intelligence artificielle sur nos téléphones, que pouvons nous faire ? Alors j'inventais le GPS et elles ne se perdaient plus en route voilà l'histoire vraie réelle et pas fausse.
Son poil était tout ébouriffé et ses Nike souillées de boue.
Tout ça mélangé au parfum gras de poulet lui donnait un air de chat sdf.
- Oui, je comprends ta réaction Grenouille et si tu entends du bruit chez mon maître, c'est normal.
Il fait des essais souterrains de bombes nucléaires.
- Ha, bon, c'est étrange ça, et c'est pour ça que tu es tout sale ?
- Oui, c'est pour cette raison que tu me vois tout sale, j'ai dû creuser des tunnels à plus de deux cents mètres de profondeur.
- Ha bon, aussi profond que ça, c'est incroyable.
- Enfin, oui, mais je minimise la chose. Si je te disais la vérité vraie, tu aurais peur de moi.
- Ha bon, pourquoi, je n'ai pas peur de toi et j'ai déjà entendu parler de toi. Je lis tes aventures dans le chat détective. Puis je lis l'histoire de ton maître. Il y a deux jours, il disait que tu es crasseux.
- N'écoute pas ces histoires fausses pas vraies qui sont des vrais mensonges totalement faux. Là tel que tu me vois, si je reste sale, c'est pour être déguisé et passé inaperçu. Dans mon chat-ventre, j'ai un savon révolutionnaire, je le regarde et en dix centièmes de secondes, je suis parfaitement propre.
Oui, tu n'as pas peur de moi, car creuser à deux cents mètres de profondeur avec un marteau-piqueur, c'est banal.
Mais si je te disais la vérité vraie, tu serais soufflé, car c'était plutôt à sept, huit, cent mètres de profondeur que j'ai creusé et avec une petite cuillère et en quelques minutes. Alors, tu comprends ma force.
C'est des travaux de forçats quand même.
- Ma pauvre Grenouille si tu savais tout ce que j'ai enduré depuis que je suis ici.
- Ha bon, à ce point-là !
- Oui, laisse-moi t'en parler un peu et tu comprendras que ma vie n'est pas de tout repos.
Le Pépère était content d'avoir trouvé un auditoire pour se lamenter et il y allait de bon train.
- Ma pauvre Grenouille, quand je suis arrivé chez lui, il me faisait déjà creuser la terre comme un manant pour soi-disant faire des essais de pétards à taupe.
En fait, c'était pour enterrer ses saloperies chimiques. Moi bon cœur, j'ai creusé, creusé, creusé, et comme repas qu'ai-je eu, si tu savais ma pauvre, des cailloux, oui, tu as bien entendu des cailloux.
Ensuite, j'ai eu un problème au nez.
Un morceau de nuage qui était coincé dedans après une prospection avec mon hélicoptère pour trouver un endroit frais.
Oui, ce fut moi qui enterrais les déchets d'uranium et je fus irradié et mon pauvre dos n'avait plus de poils. Je mourrais de chaud, car c'était pendant la canicule.
J'ai été emmené chez un tortureur et on a fait des expériences sur moi.
Je suis ressorti avec des poils violets et des dents bleus et avec une brûlure de la rétine au trentième degré. Oui le tortureur m'avait soufflé dans les yeux et il était chargé comme une barrique, les vapeurs avaient même décollé la moquette du mur dans le cabinet. Ce n'est pas pour dire, bref.
Non-content de ça je fus spolié de ma chatlauréane. C'est une voiture que j'ai fabriquée et avec laquelle je peux voyager dans le temps.
Le salopard a mis dedans un autoradio de mille neuf-cent où il passe dedans des disques sillons soixante-dix huit tours.
Donc je fus emmené dans ma voiture de force et parqué devant l'auberge des moines durant des heures.
C'est une échoppe où mon bout de gras de mammouth pour anorexique malgache va pour se turbiner les oreilles à grands coups de tournevis à rôtis de moules.
Je dus écouter la messe en boucle pendant que l'ignoble individu qui m'avait fait mangé des cailloux était en train de s'empiffrer des montagnes de crêpes.
Ensuite, il s'alcoolisa avec love gendarme qui est sa compagne.
Puis il me ramena avec ma voiture entièrement trafiquée du poste en me forçant à écouter la messe tandis qu'il roulait en zigzaguant à cent quatre-vingt-dix kilomètres à l'heure au péril de ma vie.
Voilà ma pauvre Grenouille ce que j'endure depuis que je suis ici.
- Hé bien, c'est une drôle de vie tout de même, je ne pensais pas.
Mais dis moi avec ton hélicoptère comment fais-tu pour te retrouver.
- Hé bien, c'est moi qui l'ai créé et j'ai un GPS intégré qui fonctionne avec mes pensées.
- Ha oui, mes maîtres en ont un dans l'auto, c'est une invention utile.
- C'est moi qui l'aie inventé, oui, Grenouille, moi, Pépère.
- Ha, bon, comme ça, tu l'as inventé. Mais c'est récent tout de même.
- Pas du tout, je l'ai créé à la préhistoire.
- À la préhistoire, mais c'est incroyable.
- Hé bien, pourtant, c'est la vérité vraie pas fausse authentiquement avérée vraie par l'huissier du mensonge qui n'est pas faux, enfin, tu comprends.
Que je t'explique la chose et tu vas comprendre.
Les hommes des cavernes étaient très écologiques et ils ne voulaient pas utiliser les camions pour le transport des marchandises.
Ils s'étaient creusé la tête et avaient consulté monsieur Google qui n'était pas arrivé à leur donner une réponse. Et l'hiver venu, ils étaient dépourvus de toutes les grottes discount étaient vides. Un jour monsieur baleine en surfant sur le net eut vent de cette information. Il en avait marre de manger du sel à chaque repas qu'il payait une misère à madame mer.
- La mer vendait du sel ?
- Oui, et elle vendait aussi du caviar, mais il était hors de prix.
Alors monsieur baleine premier a eu l'idée de faire une entreprise de transport. Grâce à mon génie génétique et sous les ordres de monsieur, baleine premier, je fabriquais des baleines à jambes et à poumons. Ensuite, elles ont fait un marché avec monsieur neanderthal premier, sous couvert des États-Unis qui s'étaient porté garant comme fournisseur. Le problème était que les bestioles se perdaient constamment et elles tournaient en rond.
Un jour monsieur néanderthal s'écria s'en est assez à la baleine vous ruinez l'économie en livrant des marchandises avariées avec des mois de retard. Je fus donc consulté par monsieur États-Unis qui m'expliquait le problème en me disant, vous Pépère inventeur du TGV, de l'intelligence artificielle sur nos téléphones, que pouvons nous faire ? Alors j'inventais le GPS et elles ne se perdaient plus en route voilà l'histoire vraie réelle et pas fausse.
