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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Après avoir énervé confortablement Cookie, le Pépère repartit vers son auto. La pauvre jument était dans tous ses états et Lucie eut un mal fou à la calmer.
- Bon, Pépère ce n'est pas tout ça, mais il faut penser à ta remise de médailles. Et puis nous devons manger nous autres, mais j'y pense mon intelligence est au bord de la crise d'hypoglycémie. Je devrais peut-être passer chez la vilaine. Oui, c'est une bonne idée, il doit bien rester un bon René dans la rôtissoire pour Pépère. Comment se pourrait-il en être autrement, la commune sachant qu'il y a un héros en ses terres à bien du prévoir un kit de survie pour moi seul.
Le Pépère en était à ses réflexions se voyant déjà avec René en patte quand il se cogna dans sa voiture.
- Hé bien, nous sommes en danger de mort de la faim nous autres, je n'avais pas vu que j'étais déjà ici. Forcément, je cours sans cesse et ne mange rien. Sans compter que je me fais insulter de crasseux alors forcément ça m'a détraqué l'intelligence.
Il sauta dans sa voiture et avec sa magie partit vers le champ à Cookie plutôt que de prendre la route.
Il la vit entrer dans sa maison.
- Bon Pépère, c'est le moment de faire ton show pour distraire ton amie Cookie.
Il commença à faire le tour de la cabane.
La jument n'entendait pas l'auto qui était électrique et commençait à s'endormir après que Lucie soit parvenue à la calmer.
Mais le Pépère sur son auto électrique avait un système qui pouvait reproduire le bruit d'un bolide.
- Alors, Ferrari, c'est pas mal ça pour ma copine.
Il mit le son à fond et commença à tourner à toute allure.
La pauvre Cookie se réveilla en sursaut.
- Hiii un avion au-dessus de ma cabane, hiiii c'est la première fois que ça arrive, hiiii c'est sûrement un coup du cacateux.
Elle se précipita vers l'entrée et vit le Pépère qui faisait des tours infernaux autour de la cabane. Il faisait des figures en conduisant. Il tenait le volant avec les pattes arrières et sortait la moitié du corps de la voiture par la vitre pour faire des grimaces. Il se loupa et fut éjecté sur le côté.
La voiture ayant les roues braquée continuait sa course folle autour de la cabane. Tout se passait très vite et l'auto dérapait de façon à ce qu'elle se trouva juste à l'endroit où le Pépère avait été éjecté en roue infernale. Il tapa sur la voiture et sa patte, avant attrapant le rétroviseur, il se propulsa dans l'auto.
Il était de nouveau assis au volant et n'en revenait pas.
- Ça alors, Pépère, tu es le meilleur chatscadeur au monde.
Il coupa le son et la voiture redevint silencieuse. Cookie pensait qui allait partir, mais il continua sa ronde et se mit à chanter.
- Tu l'as mangé le haricot coco, coco, tu l'as mangé, tu as le fil de haricots dans les dents, tu es un blaireau coco, coco t'es un blaireau. Tu cuisines des ondes coco, tu manges des fréquences hertziennes avec mon soûlard coco. Tu es le cuisinier à Cookie, coco, hé oui, elle est dingo, coco.
Chat chat où t'es où as-tu mis ton chat chat, chat chat, où t'es, tu es le meilleur chatscadeur au monde.
Puis il donna un violent coup d'accélérateur et reparti vers le terrain du poète.
Dans sa précipitation, il oublia sa magie et la voiture passa sous la clôture. Ayant un système de sécurité, elle s'arrêta à un centimètre de la barrière de l'entrée de son maître.
Lui se retrouva plié en deux sur le grillage. Le fil de fer se tendit et agrippé au chat-ventre, il fit catapulte en revenant. Le Pépère se retrouva dans le noyer juste en face.
Son maître, qui était dessous, entendit du bruit et il leva la tête.
- Ça, alors, bouboule dans l'arbre, mais je pensais qu'il était incapable de grimper avec son obésité. C'est incroyable, tu as faim mon Pépère ?
Le Pépère le regardait méchamment.
- Ça alors, bras d'acier, tu es à-jeun. Mais je pensais que c'était impossible avec ton alcoolisme. C'est incroyable, tu as soif mon soûlard ?
Un son de musique classique se fit entendre et le poète partit vers la cabane. Le Pépère était enfin tranquille, son maître était au téléphone.
Il descendit et partit espionné ce qui se disait au téléphone.
Il en avait assez écouté pour comprendre que la mère du poète était à l'hôpital.
Il repartit vers sa voiture, cette fois-ci, bien décidé à partir vers Sancoins.
- Hé bien, je m'en doutais, forcément à allumer du feu avec des silex, elle a pris froid le temps que le feu démarre. Pire que ça, certainement qu'il lui cuit ses gigots de mammouth à la rôtissoire dans la cheminée. Si ça se trouve elle est morte de faim comme le pauvre chat de son maître que je suis. Ou bien la viande était avariée le temps qu'il démarre le feu.
Tu n'as pas honte, soûlard de rendre malade ta pauvre mère.
Il monta dans l'auto et repartit enfin. Il roulait tranquillement en chantant.
- Chat chat, où t'es où as-tu mis ton chat, chat où t'es, qui rend sa pauvre mère malade, chat chat, et bien, c'est bras d'acier, chat chat où t'es où as....
Qu'est-ce que c'est, hiiiiii, heureusement que j'ai de bons freins.
Devant ses roues, était tombée une minette. Elle était sur une branche du saule qui était en bordure du chemin et elle avait glissée de celle-ci.
Le Pépère sortit son flacon de parfum, gras de poulet du chat-ventre à toute vitesse.
- Voilà, soyons présentable devant cette minette.
Il descendit et l'aida à se relever.
- Hé bien, tu m'as fait une sacrée peur, un peu plus tu étais sous mes roues.
Je suis Pépère et j'habite au bout de l'allée, et toi ?
- Je m'appelle, Grenouille et je sais qui tu es. D'ailleurs il y a un sacré remue-ménage vers chez-toi...

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GABY73

Maître Poète
#2
Après avoir énervé confortablement Cookie, le Pépère repartit vers son auto. La pauvre jument était dans tous ses états et Lucie eut un mal fou à la calmer.
- Bon, Pépère ce n'est pas tout ça, mais il faut penser à ta remise de médailles. Et puis nous devons manger nous autres, mais j'y pense mon intelligence est au bord de la crise d'hypoglycémie. Je devrais peut-être passer chez la vilaine. Oui, c'est une bonne idée, il doit bien rester un bon René dans la rôtissoire pour Pépère. Comment se pourrait-il en être autrement, la commune sachant qu'il y a un héros en ses terres à bien du prévoir un kit de survie pour moi seul.
Le Pépère en était à ses réflexions se voyant déjà avec René en patte quand il se cogna dans sa voiture.
- Hé bien, nous sommes en danger de mort de la faim nous autres, je n'avais pas vu que j'étais déjà ici. Forcément, je cours sans cesse et ne mange rien. Sans compter que je me fais insulter de crasseux alors forcément ça m'a détraqué l'intelligence.
Il sauta dans sa voiture et avec sa magie partit vers le champ à Cookie plutôt que de prendre la route.
Il la vit entrer dans sa maison.
- Bon Pépère, c'est le moment de faire ton show pour distraire ton amie Cookie.
Il commença à faire le tour de la cabane.
La jument n'entendait pas l'auto qui était électrique et commençait à s'endormir après que Lucie soit parvenue à la calmer.
Mais le Pépère sur son auto électrique avait un système qui pouvait reproduire le bruit d'un bolide.
- Alors, Ferrari, c'est pas mal ça pour ma copine.
Il mit le son à fond et commença à tourner à toute allure.
La pauvre Cookie se réveilla en sursaut.
- Hiii un avion au-dessus de ma cabane, hiiii c'est la première fois que ça arrive, hiiii c'est sûrement un coup du cacateux.
Elle se précipita vers l'entrée et vit le Pépère qui faisait des tours infernaux autour de la cabane. Il faisait des figures en conduisant. Il tenait le volant avec les pattes arrières et sortait la moitié du corps de la voiture par la vitre pour faire des grimaces. Il se loupa et fut éjecté sur le côté.
La voiture ayant les roues braquée continuait sa course folle autour de la cabane. Tout se passait très vite et l'auto dérapait de façon à ce qu'elle se trouva juste à l'endroit où le Pépère avait été éjecté en roue infernale. Il tapa sur la voiture et sa patte, avant attrapant le rétroviseur, il se propulsa dans l'auto.
Il était de nouveau assis au volant et n'en revenait pas.
- Ça alors, Pépère, tu es le meilleur chatscadeur au monde.
Il coupa le son et la voiture redevint silencieuse. Cookie pensait qui allait partir, mais il continua sa ronde et se mit à chanter.
- Tu l'as mangé le haricot coco, coco, tu l'as mangé, tu as le fil de haricots dans les dents, tu es un blaireau coco, coco t'es un blaireau. Tu cuisines des ondes coco, tu manges des fréquences hertziennes avec mon soûlard coco. Tu es le cuisinier à Cookie, coco, hé oui, elle est dingo, coco.
Chat chat où t'es où as-tu mis ton chat chat, chat chat, où t'es, tu es le meilleur chatscadeur au monde.
Puis il donna un violent coup d'accélérateur et reparti vers le terrain du poète.
Dans sa précipitation, il oublia sa magie et la voiture passa sous la clôture. Ayant un système de sécurité, elle s'arrêta à un centimètre de la barrière de l'entrée de son maître.
Lui se retrouva plié en deux sur le grillage. Le fil de fer se tendit et agrippé au chat-ventre, il fit catapulte en revenant. Le Pépère se retrouva dans le noyer juste en face.
Son maître, qui était dessous, entendit du bruit et il leva la tête.
- Ça, alors, bouboule dans l'arbre, mais je pensais qu'il était incapable de grimper avec son obésité. C'est incroyable, tu as faim mon Pépère ?
Le Pépère le regardait méchamment.
- Ça alors, bras d'acier, tu es à-jeun. Mais je pensais que c'était impossible avec ton alcoolisme. C'est incroyable, tu as soif mon soûlard ?
Un son de musique classique se fit entendre et le poète partit vers la cabane. Le Pépère était enfin tranquille, son maître était au téléphone.
Il descendit et partit espionné ce qui se disait au téléphone.
Il en avait assez écouté pour comprendre que la mère du poète était à l'hôpital.
Il repartit vers sa voiture, cette fois-ci, bien décidé à partir vers Sancoins.
- Hé bien, je m'en doutais, forcément à allumer du feu avec des silex, elle a pris froid le temps que le feu démarre. Pire que ça, certainement qu'il lui cuit ses gigots de mammouth à la rôtissoire dans la cheminée. Si ça se trouve elle est morte de faim comme le pauvre chat de son maître que je suis. Ou bien la viande était avariée le temps qu'il démarre le feu.
Tu n'as pas honte, soûlard de rendre malade ta pauvre mère.
Il monta dans l'auto et repartit enfin. Il roulait tranquillement en chantant.
- Chat chat, où t'es où as-tu mis ton chat, chat où t'es, qui rend sa pauvre mère malade, chat chat, et bien, c'est bras d'acier, chat chat où t'es où as....
Qu'est-ce que c'est, hiiiiii, heureusement que j'ai de bons freins.
Devant ses roues, était tombée une minette. Elle était sur une branche du saule qui était en bordure du chemin et elle avait glissée de celle-ci.
Le Pépère sortit son flacon de parfum, gras de poulet du chat-ventre à toute vitesse.
- Voilà, soyons présentable devant cette minette.
Il descendit et l'aida à se relever.
- Hé bien, tu m'as fait une sacrée peur, un peu plus tu étais sous mes roues.
Je suis Pépère et j'habite au bout de l'allée, et toi ?
- Je m'appelle, Grenouille et je sais qui tu es. D'ailleurs il y a un sacré remue-ménage vers chez-toi...

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Merci Daniel pour ce nouvel episode
Amicalement
Gaby