Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Pépère le chat du poète, suite.

#1
Bonjour les amis aujourd'hui, c'est samedi et je me repose de mon travail d'hier.
- Ho, Pépère, s'il te plaît, je peux continuer mon histoire.
- Tais-toi, brindille de titane, c'est mon histoire. Tu t'appelles Pépère ou squelettor. Laisse ton chat raconter ce qu'il fait de sa vie entre deux histoires. Tu ferais mieux d'aller chez Thauvin, car j'ai eu vent que Pauline la chocolatine avait envoyer un SMS à love Bernadette. D'après ce que je sais, après avoir appelé Firmin le pain aux raisins pour lui demander des nouvelles. Oui, il s'était fait une fracture de la pâte. Hé bien, love église est devant la boulangerie et ton boulanger a déjà l'écriteau, fermé pour rupture de stock.
En plus, si tu passes à l'auberge des moines aujourd'hui, ils font une promotion sur les crêpes. Et tu n'oublieras pas que ton chat doit reprendre des forces à cause de son travail de charde du corps, hier.
- Mais de quoi parles-tu ?
- Hé bien, je parle de te taire ivrogne que j'explique à mes lecteurs la journée de fou que j'ai vécue hier.
- Hé bien, je me demande ce q....
- Tais-toi jambe bionique, ton chat à des choses à dire.
Donc, hier après-midi, j'apprends qu'une promotion est en cours à l'auberge des moines.
Je me disais, Pépère, si tu y allais, après tout une crêpe ou deux ça te changerait des cailloux ou de la purée d'azote enrichie au plutonium.
Je pris donc ma voiture et partit en direction de l'auberge des moines.
Passant devant l'épicerie, je vois le seize soupapes de mon dégarni du jarret de l'oreille du pied de la langue.
Je me disais, Pépère, tu as pris la sage décision. Oui, si j'avais dû compter sur lui pour manger, je serais mort de faim le jour même. Le salopard était sûrement dans la rôtissoire. Je l'avais vu quelques minutes plus tôt en train de se limer les dents avec une râpe à bois. Je comprenais pourquoi ses grandes dents avaient besoin de mordant.
Donc, je continuais ma route sous les soubresauts du sol. Oui, il devait manger les os et ses grandes canines faisaient trembler toute la commune.
J'en pris mon parti et continuais directement vers Sancoins.
J'arrive à l'auberge tout content et là, la patronne me dit je ferme mon brave minet.
Je me demandais ce qui se passait et je vois des clients mécontents s'écrier. Incroyable, qui est ce ventre sur pattes qui a dévoré les deux cent quatre-vingts crêpes qu'ils restaient en cuisine ?
Puis je me retrouvais avec la porte close devant le museau avec un écriteau, fermé pour cause de gargantuanisme de la part d'un client habituel.
Je ne mettais pas longtemps à comprendre de qui il s'agissait.
Le ventre creux, je repris la direction de ma petite auto. Mon pauvre ventre hurlait de colère au point où les dents de mon estomac en tremblaient de peur et de faim.
Je me disais va en face au café de la paix, le vendredi, c'est la tête de veau. Et là, une nouvelle déception, fermée pour rupture de tête de veau et de boisson.
Je compris que mon ogre transgénique du Nicaragua élevé au lait de fourmis spasmophiles avait ravagé la commune en nourriture et en boisson.
C'est alors que je décidais de rendre visite à mes amis le long du canal, que je reçus un coup de téléphone de love grotte.
Salut Pépère, que fais-tu, me disait-elle.
Je lui répondis.
Une enquête sur la famine dans le Cher et je crois que c'est de la faute à...
- Bras en latex, oui, Gontran le flanc m'a appelé pour m'en parler, c'est une honte de manger comme ça.
Finissait-elle de répondre.
Mon gentil minet, as-tu un pass sanitaire en règle.
- Bien sûr que je lui répondis, règle, compas, rapporteur, je sais tout du nombre pi alors, je suis en règle.
- Ne pourrais-tu pas me rendre un service ?
Là, c'est moi qui finissais la phrase.
Vous êtres en train de vous cirer les orteils à grands coups de loche à escargot japonais.
Mais que veux-tu exactement, love maîtresse que j'aime.
Hé bien, déjà que tu me parles plus fort, car j'entends mal me disait elle.
Oui, problème de réseaux que je répondis. En fait, j'avais le téléphone à bout de patte. Oui, j'avais peur que les vapeurs finissent par sortir du téléphone et de me retrouver avec une brûlure de la rétine au trentième degré.
Oui, j'entendais nettement les vapeurs parler du menu et des cartes des vins.
Donc me disait-elle, saute dans l'hélicoptère, tu vas me rendre un service. Viens à Lourdes, j'y suis déjà. Je suis invité à une tecnho-messe avec Manu et j'ai besoin d'un charde du corps.
Voilà à quoi j'ai passé ma journée à les surveiller à la grotte pendant qu'ils dansaient comme Isidore dans toutes griffes dehors en se bourrant le groin à grands coups de pilules roses psycholeptique.
Je n'en pouvais plus, j'ai eu en version techno six heures de messe et de chant grégorien.
Alors aujourd'hui, je n'en peux plus.

IMG_20210717_145143.jpg
 

GABY73

Maître Poète
#2
Bonjour les amis aujourd'hui, c'est samedi et je me repose de mon travail d'hier.
- Ho, Pépère, s'il te plaît, je peux continuer mon histoire.
- Tais-toi, brindille de titane, c'est mon histoire. Tu t'appelles Pépère ou squelettor. Laisse ton chat raconter ce qu'il fait de sa vie entre deux histoires. Tu ferais mieux d'aller chez Thauvin, car j'ai eu vent que Pauline la chocolatine avait envoyer un SMS à love Bernadette. D'après ce que je sais, après avoir appelé Firmin le pain aux raisins pour lui demander des nouvelles. Oui, il s'était fait une fracture de la pâte. Hé bien, love église est devant la boulangerie et ton boulanger a déjà l'écriteau, fermé pour rupture de stock.
En plus, si tu passes à l'auberge des moines aujourd'hui, ils font une promotion sur les crêpes. Et tu n'oublieras pas que ton chat doit reprendre des forces à cause de son travail de charde du corps, hier.
- Mais de quoi parles-tu ?
- Hé bien, je parle de te taire ivrogne que j'explique à mes lecteurs la journée de fou que j'ai vécue hier.
- Hé bien, je me demande ce q....
- Tais-toi jambe bionique, ton chat à des choses à dire.
Donc, hier après-midi, j'apprends qu'une promotion est en cours à l'auberge des moines.
Je me disais, Pépère, si tu y allais, après tout une crêpe ou deux ça te changerait des cailloux ou de la purée d'azote enrichie au plutonium.
Je pris donc ma voiture et partit en direction de l'auberge des moines.
Passant devant l'épicerie, je vois le seize soupapes de mon dégarni du jarret de l'oreille du pied de la langue.
Je me disais, Pépère, tu as pris la sage décision. Oui, si j'avais dû compter sur lui pour manger, je serais mort de faim le jour même. Le salopard était sûrement dans la rôtissoire. Je l'avais vu quelques minutes plus tôt en train de se limer les dents avec une râpe à bois. Je comprenais pourquoi ses grandes dents avaient besoin de mordant.
Donc, je continuais ma route sous les soubresauts du sol. Oui, il devait manger les os et ses grandes canines faisaient trembler toute la commune.
J'en pris mon parti et continuais directement vers Sancoins.
J'arrive à l'auberge tout content et là, la patronne me dit je ferme mon brave minet.
Je me demandais ce qui se passait et je vois des clients mécontents s'écrier. Incroyable, qui est ce ventre sur pattes qui a dévoré les deux cent quatre-vingts crêpes qu'ils restaient en cuisine ?
Puis je me retrouvais avec la porte close devant le museau avec un écriteau, fermé pour cause de gargantuanisme de la part d'un client habituel.
Je ne mettais pas longtemps à comprendre de qui il s'agissait.
Le ventre creux, je repris la direction de ma petite auto. Mon pauvre ventre hurlait de colère au point où les dents de mon estomac en tremblaient de peur et de faim.
Je me disais va en face au café de la paix, le vendredi, c'est la tête de veau. Et là, une nouvelle déception, fermée pour rupture de tête de veau et de boisson.
Je compris que mon ogre transgénique du Nicaragua élevé au lait de fourmis spasmophiles avait ravagé la commune en nourriture et en boisson.
C'est alors que je décidais de rendre visite à mes amis le long du canal, que je reçus un coup de téléphone de love grotte.
Salut Pépère, que fais-tu, me disait-elle.
Je lui répondis.
Une enquête sur la famine dans le Cher et je crois que c'est de la faute à...
- Bras en latex, oui, Gontran le flanc m'a appelé pour m'en parler, c'est une honte de manger comme ça.
Finissait-elle de répondre.
Mon gentil minet, as-tu un pass sanitaire en règle.
- Bien sûr que je lui répondis, règle, compas, rapporteur, je sais tout du nombre pi alors, je suis en règle.
- Ne pourrais-tu pas me rendre un service ?
Là, c'est moi qui finissais la phrase.
Vous êtres en train de vous cirer les orteils à grands coups de loche à escargot japonais.
Mais que veux-tu exactement, love maîtresse que j'aime.
Hé bien, déjà que tu me parles plus fort, car j'entends mal me disait elle.
Oui, problème de réseaux que je répondis. En fait, j'avais le téléphone à bout de patte. Oui, j'avais peur que les vapeurs finissent par sortir du téléphone et de me retrouver avec une brûlure de la rétine au trentième degré.
Oui, j'entendais nettement les vapeurs parler du menu et des cartes des vins.
Donc me disait-elle, saute dans l'hélicoptère, tu vas me rendre un service. Viens à Lourdes, j'y suis déjà. Je suis invité à une tecnho-messe avec Manu et j'ai besoin d'un charde du corps.
Voilà à quoi j'ai passé ma journée à les surveiller à la grotte pendant qu'ils dansaient comme Isidore dans toutes griffes dehors en se bourrant le groin à grands coups de pilules roses psycholeptique.
Je n'en pouvais plus, j'ai eu en version techno six heures de messe et de chant grégorien.
Alors aujourd'hui, je n'en peux plus.

Afficher la pièce jointe 34360
Même dans Pépère on retrouve le pass sanitaire hihi
Amicalement
Gaby