Pendant que Pépère prenait son temps de raconter sa vie à ses amis, sœur Mathilde, Grisou et Petitmimi attendaient toujours que l'on vienne les récupérer.
À force de discussion le long du canal où tout le monde voulait aller les chercher, personne n'arrivait à se décider et ils attendaient désespérément.
Isidore de son côté essayait d'en savoir plus sur cette histoire d'invasion sur terre depuis déjà trente ans de la part des Énarpilodiens. Fripouille et Elchaponne écoutaient et regardaient tout ce que faisait Isidore.
Le puissant Aketok pensait être toujours en liaison avec Annahoj qui était désintégrée depuis un moment.
- C'est terrible mes amis, comment savoir qui est qui, si ces robots ont une apparence humaine.
- Nous devrions en parler au président de la République, qu'en pensez-vous ?
- Oui, Fripouille, mais comme dis Isidore, qui est qui !
Ça peut-être tout aussi bien un robot Énarpilodien qui est en mission sur terre.
- Oui, peut-être, Elchaponne, mais comment le savoir. Il faut continuer de parler avec le puissant Aketok et d'essayer de savoir comment les reconnaître. Ils ont peut-être une particularité que les humains n'ont pas qui puisse nous permettre de les reconnaître.
- Oui, faisons comme ça avant de le prévenir.
- je reçois un message de Grisou, mince, je devais aller le récupérer. Il va chat prévenir Pépère et il ne sera pas content.
Je lui dis que quelqu'un arrive pour le calmer et lui explique la situation qu'il comprenne pourquoi je l'ai oublié. À cause de cette découverte, je ne suis plus trop quoi penser.
Grisou reçut le message de Fripouille et compris parfaitement la situation. Il pouvait en parler à sœur Mathilde. D'après Isidore, les robots Énarpilodiens déguisés en humains n'étaient que des hommes d'influence. Des politiciens et des hommes de justice représenteraient ces quelques milliers de robots Énarpilodiens.
- Cela est terrible mon chat fils, comment allons nous tous les combattre.
- Hé bien, ma sœur grâce à Pépère, nous allons réaliser cette mission.
- Tu es sûr qu'il puisse y arriver, Pépère, c'est plutôt le travail de l'armée non !
- Oui, Petitmimi, mais Pépère serait sûrement cité comme chef de manœuvre dans cette affaire. N'oublie pas qu'il connaît Dieu en personne.
- Oui, mon chat fils, Grisou à raison, d'ailleurs cela a été confirmé par le pape. Je l'ai même vu marcher sur l'eau.
- C'est pour ça qu'ils ont volé l'eau du canal, c'était pour avoir des réserves sur Énarpilode pour faire des essais de pollution dessus.
- Comment ça, je ne comprends pas.
- Hé bien, Petitmimi, c'est simple, cette eau va être contaminé pour rendre les gens malades. Après, ils vont dire que ces maladies sont dues à la combustion de l'essence dans les voitures. Après, un pseudo-génie dira avoir inventé un carburant révolutionnaire.
- Je ne comprends pas tout, mon chat fils Grisou.
- Hé bien, sœur Mathilde d'après Grisou, ce carburant vas modifier l'atmosphère pour la rendre vivable aux Énarpilodiens. D'après Isidore qui le tient du puissant Aketok, l'atmosphère terrestre est nocif pour eux, car elle endommage leurs circuits électroniques, donc ils doivent la préparer avant l'arrivée des leurs ici. C'est pour ça qu'ils ne sont que quelques milliers de robots. Ils ont besoin d'un antidote et celui-ci est fait avec une substance rare qui n'existe que sur Énarpilode. S'ils envoient plus de monde, ils ne pourraient pas faire assez d'antidote et seraient contraints de quitter la terre.
- Hé bien, il faut que Pépère aille sur Énarpilode et détruise les réserves de cette substance. Comme ça, ils ne pourront plus faire l'antidote et les robots Énarpilodiens seront obligés de quitter la terre. Nous éviterons ainsi une guerre.
- Génial, Petitmimi, tu as trouvé la solution, j'en parle à Isidore tout de suite.
Grisou prit son chatmsung et se dépêcha de l'appeler.
Le Pépère arrivait vers son hélicoptère et son frère n'en revenait pas de ses histoires.
- Incroyable, un caddy avec des roues de camion.
- Oui, c'est sûr, mais il s'était un peu loupé et c'est comme ça que j'ai découvert que love soutane allait me voler un Henri qu'elle m'avait promis.
- comment ça loupé, explique toi.
- Hé bien, voilà, ce jour-là, je téléphonais à love rhum que je passerai à la brigade récupérer mon Henri.
Elle me disait être au marché pour acheter des artichauts et avoir oublié Henri.
Je savais qu'Henri était sous l'alibi dans le cabas à cause de l'invention de mon chauve du nez de l'orteil de la rate.
Hé oui, je n'étais pas dupe, je savais bien que dessous Diego l'artichaut se cachait autre chose.
- Ce n'étaient peut-être que des artichauts. Pépère, tu as trop d'imagination.
- Pas du tout Chatdore, d'ailleurs, ce fut sa réponse
- Oui, ce n'est que de l'artichaut, je t'assure ma crapouille, rien d'autre, qu'elle s'efforçait de me dire.
- Hé bien, tu me prends vraiment pour une quiche, j'en ai bien l'impression.
Figure-toi que je lui répondais. Oui, j'entendais, gling, gling, quand elle avançait avec son caddie.
Oui, l'invention du docteur Marc Givré n'était pas très au point.
C'était pratique, mais ça sautait beaucoup sur le trottoir.
Voilà pourquoi j'entendais gling gling.
Donc ayant un doute sur le fait qu'il n'y ait que des artichauts, j'avais envoyé un message à Quentin. Il ne répondait pas alors j'insistais et d'un seul coup, il me répondit étonné. Pépère, me disait-il que se passe-t-il ?
Oui, lui disais-je, quel est donc ce bruit derrière toi ?
Je suis à la recherche de Henri.
Ha, oui, qu'il me répondit excuse moi, j'avais les écouteurs. J'avais mon mp3, car impossible de parler avec Henri le rôti, je suis écrasé entre deux bouteilles de rhum.
Ha d'accord, lui répondis-je qu'écoutais-tu, lui demandais-je.
Idées grises de Latine Naturelle.
Ha oui, j'aime bien ce titre ;
j'avais mangé tout le rôti
Et comme tu n'étais toujours pas là
J'ai dévoré toutes les chipolatas...
Excellent choix, bon alors il est avec toi dans le caddie ?
Oui, avec Paulette la paupiette pourquoi tu passes à la maison ce soir.
Oui, lui dis-je, comme ça, j'aurais des centaines de bisous sur mes grosses joues et j'aurai mon rôti, chat chat chat.
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À force de discussion le long du canal où tout le monde voulait aller les chercher, personne n'arrivait à se décider et ils attendaient désespérément.
Isidore de son côté essayait d'en savoir plus sur cette histoire d'invasion sur terre depuis déjà trente ans de la part des Énarpilodiens. Fripouille et Elchaponne écoutaient et regardaient tout ce que faisait Isidore.
Le puissant Aketok pensait être toujours en liaison avec Annahoj qui était désintégrée depuis un moment.
- C'est terrible mes amis, comment savoir qui est qui, si ces robots ont une apparence humaine.
- Nous devrions en parler au président de la République, qu'en pensez-vous ?
- Oui, Fripouille, mais comme dis Isidore, qui est qui !
Ça peut-être tout aussi bien un robot Énarpilodien qui est en mission sur terre.
- Oui, peut-être, Elchaponne, mais comment le savoir. Il faut continuer de parler avec le puissant Aketok et d'essayer de savoir comment les reconnaître. Ils ont peut-être une particularité que les humains n'ont pas qui puisse nous permettre de les reconnaître.
- Oui, faisons comme ça avant de le prévenir.
- je reçois un message de Grisou, mince, je devais aller le récupérer. Il va chat prévenir Pépère et il ne sera pas content.
Je lui dis que quelqu'un arrive pour le calmer et lui explique la situation qu'il comprenne pourquoi je l'ai oublié. À cause de cette découverte, je ne suis plus trop quoi penser.
Grisou reçut le message de Fripouille et compris parfaitement la situation. Il pouvait en parler à sœur Mathilde. D'après Isidore, les robots Énarpilodiens déguisés en humains n'étaient que des hommes d'influence. Des politiciens et des hommes de justice représenteraient ces quelques milliers de robots Énarpilodiens.
- Cela est terrible mon chat fils, comment allons nous tous les combattre.
- Hé bien, ma sœur grâce à Pépère, nous allons réaliser cette mission.
- Tu es sûr qu'il puisse y arriver, Pépère, c'est plutôt le travail de l'armée non !
- Oui, Petitmimi, mais Pépère serait sûrement cité comme chef de manœuvre dans cette affaire. N'oublie pas qu'il connaît Dieu en personne.
- Oui, mon chat fils, Grisou à raison, d'ailleurs cela a été confirmé par le pape. Je l'ai même vu marcher sur l'eau.
- C'est pour ça qu'ils ont volé l'eau du canal, c'était pour avoir des réserves sur Énarpilode pour faire des essais de pollution dessus.
- Comment ça, je ne comprends pas.
- Hé bien, Petitmimi, c'est simple, cette eau va être contaminé pour rendre les gens malades. Après, ils vont dire que ces maladies sont dues à la combustion de l'essence dans les voitures. Après, un pseudo-génie dira avoir inventé un carburant révolutionnaire.
- Je ne comprends pas tout, mon chat fils Grisou.
- Hé bien, sœur Mathilde d'après Grisou, ce carburant vas modifier l'atmosphère pour la rendre vivable aux Énarpilodiens. D'après Isidore qui le tient du puissant Aketok, l'atmosphère terrestre est nocif pour eux, car elle endommage leurs circuits électroniques, donc ils doivent la préparer avant l'arrivée des leurs ici. C'est pour ça qu'ils ne sont que quelques milliers de robots. Ils ont besoin d'un antidote et celui-ci est fait avec une substance rare qui n'existe que sur Énarpilode. S'ils envoient plus de monde, ils ne pourraient pas faire assez d'antidote et seraient contraints de quitter la terre.
- Hé bien, il faut que Pépère aille sur Énarpilode et détruise les réserves de cette substance. Comme ça, ils ne pourront plus faire l'antidote et les robots Énarpilodiens seront obligés de quitter la terre. Nous éviterons ainsi une guerre.
- Génial, Petitmimi, tu as trouvé la solution, j'en parle à Isidore tout de suite.
Grisou prit son chatmsung et se dépêcha de l'appeler.
Le Pépère arrivait vers son hélicoptère et son frère n'en revenait pas de ses histoires.
- Incroyable, un caddy avec des roues de camion.
- Oui, c'est sûr, mais il s'était un peu loupé et c'est comme ça que j'ai découvert que love soutane allait me voler un Henri qu'elle m'avait promis.
- comment ça loupé, explique toi.
- Hé bien, voilà, ce jour-là, je téléphonais à love rhum que je passerai à la brigade récupérer mon Henri.
Elle me disait être au marché pour acheter des artichauts et avoir oublié Henri.
Je savais qu'Henri était sous l'alibi dans le cabas à cause de l'invention de mon chauve du nez de l'orteil de la rate.
Hé oui, je n'étais pas dupe, je savais bien que dessous Diego l'artichaut se cachait autre chose.
- Ce n'étaient peut-être que des artichauts. Pépère, tu as trop d'imagination.
- Pas du tout Chatdore, d'ailleurs, ce fut sa réponse
- Oui, ce n'est que de l'artichaut, je t'assure ma crapouille, rien d'autre, qu'elle s'efforçait de me dire.
- Hé bien, tu me prends vraiment pour une quiche, j'en ai bien l'impression.
Figure-toi que je lui répondais. Oui, j'entendais, gling, gling, quand elle avançait avec son caddie.
Oui, l'invention du docteur Marc Givré n'était pas très au point.
C'était pratique, mais ça sautait beaucoup sur le trottoir.
Voilà pourquoi j'entendais gling gling.
Donc ayant un doute sur le fait qu'il n'y ait que des artichauts, j'avais envoyé un message à Quentin. Il ne répondait pas alors j'insistais et d'un seul coup, il me répondit étonné. Pépère, me disait-il que se passe-t-il ?
Oui, lui disais-je, quel est donc ce bruit derrière toi ?
Je suis à la recherche de Henri.
Ha, oui, qu'il me répondit excuse moi, j'avais les écouteurs. J'avais mon mp3, car impossible de parler avec Henri le rôti, je suis écrasé entre deux bouteilles de rhum.
Ha d'accord, lui répondis-je qu'écoutais-tu, lui demandais-je.
Idées grises de Latine Naturelle.
Ha oui, j'aime bien ce titre ;
j'avais mangé tout le rôti
Et comme tu n'étais toujours pas là
J'ai dévoré toutes les chipolatas...
Excellent choix, bon alors il est avec toi dans le caddie ?
Oui, avec Paulette la paupiette pourquoi tu passes à la maison ce soir.
Oui, lui dis-je, comme ça, j'aurais des centaines de bisous sur mes grosses joues et j'aurai mon rôti, chat chat chat.
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