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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Suite d'hier...
Pépère vient de raconter le déchargement de la mobylette.
- Donc, je n'avais encore pas eu le temps de commencer que mon déshydratée de la chopine arrivait.
Un cyclone avec des vents de deux cents kilomètres l'heure étaient annoncés sur sa région.
Il me regarde et sort une corde de derrière son dos.
Je me suis dit ça y est, c'est Pépère qui va faire du harnais à tous les coups.
Non, pas du tout, il annonçait à love Renault douze qu'il y allait avoir une tempête terrible. La corde était pour attaché le chalet de peur qu'il s'envole.
J'étais chat mort de rire car je me disais ; tu ferais mieux de l'attacher à ta jambe bionique la corde. Tu t'es vu l'allumette. De profil, tu ressembles à une feuille de papier.
Je n'avais pas fini de penser à ça qu'une bourrasque de vent balaya le terrain.
Mon moine tibétain, imbibé de bière à l'uranium du Kazakhstan, était aux pieds de la cabane et s'envolait dans les airs.
Love mobylette avait saisi la corde et mon rabougri spasmophile du cheveu de la langue de l'orteil était à l'autre bout.
Je trouvais ce jeu d'enfant très amusant et le cerf-volant original.
À force de criée, il avait saturé les nuages de vapeurs d'alcool.
Ceci provoquait un éclair et la corde partit en fumée.
C'est comme ça qu'il s'est retrouvé aspiré par le vent. Il a fini sur le port du Havre.
Mon hélicoptère était en révision et love messe me dit, comment allons nous faire.
Hé bien, c'est là que j'ai eu l'idée de récupéré le moteur du camion à vin.
Je l'ai monté sur la mobylette et comme elle était propulsée à plus de mille kilomètres à l'heure elle flottait sur les nuages.
Voilà comment j'ai traversé toute la France en mobylette sur les nuages pour récupérer mon chauve varicelleux de l'estomac du nez de l'ongle du pouce.
Alors mes amis, ce n'est pas un exploit ça !
- Oui, Pépère, mais c'est quoi ce moteur de camion à vin.
- Hé bien, c'était les restes d'un camion qu'il m'avait fait trafiquer.
Oui, celui avec lequel mon curé iranie faisant la messe en italien avait réparé le caddie de love messe.


- Réparer un caddie avec un camion, c'est incroyable.
- Pas du tout mon frérot, tu ne connais pas l'oiseau auvergnat les poches pleines de bouchons.
Ses amis s'arrêtèrent pour souffler un peu et le regardaient très étonnés.
- Oui, laissez-moi vous expliquer l'histoire de ce caddie.
Voilà, il y a un moment de ça, mon décoloré de la dent du milieu, s'était mis dans l'idée d'acheter un camion. Soi-disant pour rouler du bois ce qui était totalement mensongé vous vous doutez bien. Le but était d'avoir un véhicule adapté au volume de liquide qu'il va chaque jour chercher à Sancoins auprès de l'auberge des moines.
Malheureusement, le bougre s'était fait avoir et le moteur était mort. Il vint donc me trouver me disant, mon gentil minet, pourrais-tu me le remettre en état.
C'est alors que j'examinais l'engin qui était à un ancien vigneron. Le gars le faisait rouler au vin et le moteur était très abîmé. Les pistons avaient un cancer des segments et l'arbre à cames une cirrhose des soupapes. Je lui avais clairement fait comprendre que le pauvre camion sortait de soins palliatifs et qu'il ne pourrait plus jamais rien faire.
C'est alors qu'il me dit, écoute Pépère, j'ai un moteur sous le hangar, tu ne pourrais pas le monter et l'adapter à la place.
Étonné, je lui demandais d'où il venait et il me répondit qu'il provenait d'un avion rafale tout droit venu d'Irak.
Je n'avais jamais compris pourquoi il avait acheté ce moteur d'avion de chasse.
Quoi qu'il en soit grâce à mes compétences, j'arrivais à ressusciter Léon le camion d'entre les casses.
Je l'avais pourtant prévenu de ne rouler qu'en première. Sur cette vitesse, le pauvre camion roulait déjà à six cents kilomètres l'heure.
Par précaution et connaissant son inattention permanente, j'avais installé un siège éjectable.
Un matin, il s'en était allé chercher sa cargaison de vin pour la semaine.
Ce jour-là love rhum était à côté de l'auberge des moines. Elle faisait des contrôles de pression des essuies glaces et de l'alcoolémie des pneus en azote.
C'est comme ça qu'il avait été la rejoindre et qu'il s'était cirés la langue à grand coup de cirage à bouteille.
Oui, il fallait bien digérer les vingt-deux crêpes qu'il venait d'ingurgiter.
Donc, après s'être remplis le gésier, il avait été cherché sa vinasse. En revenant le drame arrivait.
Il avait essayé son camion en vitesse. Arrivé à mille deux cents kilomètres à l'heure le camion était parti dans les airs.
Heureusement que j'avais prévu le siège éjectable.
Il était retombé en douceur sur l'essieu qui était resté en plein milieu de la route. Il s'était arraché sous la poussée du moteur.
Ce fut moi, le pauvre miséreux récupérait les restes avec mon copain le harnais.
Quelque temps plus tôt, love Renault avait acheté un caddie sur le bon coin des mauvaises affaires et le pauvre avait fait un infarctus des roues. Du coup, il n'y avait plus de roues et ce fut comme ça que mon mangeur de spaghetti coréen a la sauce au vin congolais avait eu l'idée de monter l'essieu de camion à la place. C'était pratique, mais ça sautait beaucoup sur le trottoir.
Voilà mes amis maintenant, vous savez de quoi est capable le bougre.





IMG_20210709_101211.jpg spaceship1.png images.jpeg téléchargement (1).jpeg
 

GABY73

Maître Poète
#2
Suite d'hier...
Pépère vient de raconter le déchargement de la mobylette.
- Donc, je n'avais encore pas eu le temps de commencer que mon déshydratée de la chopine arrivait.
Un cyclone avec des vents de deux cents kilomètres l'heure étaient annoncés sur sa région.
Il me regarde et sort une corde de derrière son dos.
Je me suis dit ça y est, c'est Pépère qui va faire du harnais à tous les coups.
Non, pas du tout, il annonçait à love Renault douze qu'il y allait avoir une tempête terrible. La corde était pour attaché le chalet de peur qu'il s'envole.
J'étais chat mort de rire car je me disais ; tu ferais mieux de l'attacher à ta jambe bionique la corde. Tu t'es vu l'allumette. De profil, tu ressembles à une feuille de papier.
Je n'avais pas fini de penser à ça qu'une bourrasque de vent balaya le terrain.
Mon moine tibétain, imbibé de bière à l'uranium du Kazakhstan, était aux pieds de la cabane et s'envolait dans les airs.
Love mobylette avait saisi la corde et mon rabougri spasmophile du cheveu de la langue de l'orteil était à l'autre bout.
Je trouvais ce jeu d'enfant très amusant et le cerf-volant original.
À force de criée, il avait saturé les nuages de vapeurs d'alcool.
Ceci provoquait un éclair et la corde partit en fumée.
C'est comme ça qu'il s'est retrouvé aspiré par le vent. Il a fini sur le port du Havre.
Mon hélicoptère était en révision et love messe me dit, comment allons nous faire.
Hé bien, c'est là que j'ai eu l'idée de récupéré le moteur du camion à vin.
Je l'ai monté sur la mobylette et comme elle était propulsée à plus de mille kilomètres à l'heure elle flottait sur les nuages.
Voilà comment j'ai traversé toute la France en mobylette sur les nuages pour récupérer mon chauve varicelleux de l'estomac du nez de l'ongle du pouce.
Alors mes amis, ce n'est pas un exploit ça !
- Oui, Pépère, mais c'est quoi ce moteur de camion à vin.
- Hé bien, c'était les restes d'un camion qu'il m'avait fait trafiquer.
Oui, celui avec lequel mon curé iranie faisant la messe en italien avait réparé le caddie de love messe.


- Réparer un caddie avec un camion, c'est incroyable.
- Pas du tout mon frérot, tu ne connais pas l'oiseau auvergnat les poches pleines de bouchons.
Ses amis s'arrêtèrent pour souffler un peu et le regardaient très étonnés.
- Oui, laissez-moi vous expliquer l'histoire de ce caddie.
Voilà, il y a un moment de ça, mon décoloré de la dent du milieu, s'était mis dans l'idée d'acheter un camion. Soi-disant pour rouler du bois ce qui était totalement mensongé vous vous doutez bien. Le but était d'avoir un véhicule adapté au volume de liquide qu'il va chaque jour chercher à Sancoins auprès de l'auberge des moines.
Malheureusement, le bougre s'était fait avoir et le moteur était mort. Il vint donc me trouver me disant, mon gentil minet, pourrais-tu me le remettre en état.
C'est alors que j'examinais l'engin qui était à un ancien vigneron. Le gars le faisait rouler au vin et le moteur était très abîmé. Les pistons avaient un cancer des segments et l'arbre à cames une cirrhose des soupapes. Je lui avais clairement fait comprendre que le pauvre camion sortait de soins palliatifs et qu'il ne pourrait plus jamais rien faire.
C'est alors qu'il me dit, écoute Pépère, j'ai un moteur sous le hangar, tu ne pourrais pas le monter et l'adapter à la place.
Étonné, je lui demandais d'où il venait et il me répondit qu'il provenait d'un avion rafale tout droit venu d'Irak.
Je n'avais jamais compris pourquoi il avait acheté ce moteur d'avion de chasse.
Quoi qu'il en soit grâce à mes compétences, j'arrivais à ressusciter Léon le camion d'entre les casses.
Je l'avais pourtant prévenu de ne rouler qu'en première. Sur cette vitesse, le pauvre camion roulait déjà à six cents kilomètres l'heure.
Par précaution et connaissant son inattention permanente, j'avais installé un siège éjectable.
Un matin, il s'en était allé chercher sa cargaison de vin pour la semaine.
Ce jour-là love rhum était à côté de l'auberge des moines. Elle faisait des contrôles de pression des essuies glaces et de l'alcoolémie des pneus en azote.
C'est comme ça qu'il avait été la rejoindre et qu'il s'était cirés la langue à grand coup de cirage à bouteille.
Oui, il fallait bien digérer les vingt-deux crêpes qu'il venait d'ingurgiter.
Donc, après s'être remplis le gésier, il avait été cherché sa vinasse. En revenant le drame arrivait.
Il avait essayé son camion en vitesse. Arrivé à mille deux cents kilomètres à l'heure le camion était parti dans les airs.
Heureusement que j'avais prévu le siège éjectable.
Il était retombé en douceur sur l'essieu qui était resté en plein milieu de la route. Il s'était arraché sous la poussée du moteur.
Ce fut moi, le pauvre miséreux récupérait les restes avec mon copain le harnais.
Quelque temps plus tôt, love Renault avait acheté un caddie sur le bon coin des mauvaises affaires et le pauvre avait fait un infarctus des roues. Du coup, il n'y avait plus de roues et ce fut comme ça que mon mangeur de spaghetti coréen a la sauce au vin congolais avait eu l'idée de monter l'essieu de camion à la place. C'était pratique, mais ça sautait beaucoup sur le trottoir.
Voilà mes amis maintenant, vous savez de quoi est capable le bougre.





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Super Daniel
Merci beaucoup et à demain pour la suite
Amicalement
Gaby