Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Pépère le chat du poète, suite.

#1
À Nevers pendant ce temps-là, Saturne, Chatdore et Un-œil attendaient devant la gare que l'on veuille bien venir les chercher.
- Je me demande bien ce que fait mon frérot !
- Hé bien, ils sont en mission, eux tous, et ma chatmoureuse est avec eux.
- Ha bon, Chatdore, mais que font ils exactement ?
Je croyais qu'ils avaient fini de détruire les robots qui sont vers chez l'ivrogne.
- Oui, Un-œil, mais une chatte robot est toujours sur place et ils sont partis la combattre dans le bois à la sortie du village.
- C'est bien gentil tout ça, mais qu'allons nous faire nous autres. Le président aurait pu nous envoyer une voiture, tout de même. Nous travaillons pour le professeur Ourat et c'est ingrat comme réponse non.
- Oui, Saturne, tu as raison, c'est vraiment injuste. En plus, nous avons faim nous autres et nous ne savons où aller pour nous restaurer.
- Écoutez, et si nous rentrions seuls en trouvant un moyen.
- Oui, Chatdore, mais comment ?
- Hé bien, je ne sais pas trop, mais regarder en face ce panneau.
Au poulet d'or, le surfin de la faim prend fin.
- Trop fort, oui, Chatdore, c'est une rôtisserie.
Les trop chats partirent donc en direction de cet endroit.
Tous les trois salivaient déjà à l'idée de manger du poulet grillé.
- Mais comment ferons nous, arrivés là-bas, pour acheter ces poulets.
- Hé bien, Saturne, nous allons les voler tout simplement.
Écoutez ce que l'on va faire. Un-œil, tu vas rentrer en premier et t'arranger pour mettre la rôtissoire par terre.
Toi saturne, tu rentreras pour proposer de l'aide à les ramasser prétextant qu'Un-œil est ton frère et qu'il ne l'a pas fait exprès car il voit mal.
Moi, je rentrerais discrètement et je ferais du bruit dans une pièce fermée derrière le comptoir. Il doit bien y avoir un local technique sur place.
Le bougre ou la bougresse rentrera dedans voir ce qui s'y passe. Je l'y enfermerais. Après à nous de manger, miam miam les bons René.
Les trois chats partirent l'un derrière l'autre.
Arrivés en face de la rôtisserie, ils se mirent à regarder à l'intérieur.
Il fallait qu'il n'y ait plus un seul client sur place.
- Alors, que font-ils tous, là-dedans, nous avons faim nous autres.
- Oui, ça, tu peux le dire, Saturne. Mais regarder qui tient la boutique, c'est une rouquine.
- Oui, Chatdore, tu as raison, c'est incroyable. Elle ressemble à la vilaine de Mornay, vous ne trouvez pas, vous autres.
- Oui, Un-œil, elle est aussi moche que le laideron de l'épicerie.
Tu crois que c'est partout comme ça que les rôtisseries sont tenu par des laiderons.
- Hé bien, moi, je pense que oui, car si vous avez bien observé, la bougresse comme celle de Mornay à un barbelé sur les dents.
- Quel est le rapport, Saturne ?
- Hé bien, les poulets doivent être goûtés et le fils de fer sur les dents a pour but de rendre plus solides les os pour les manger avec la chair.
- Ça, c'est finement observé, Saturne.
- Oui, Chatdore, je ne suis pas le frérot de Pépère pour rien. Vite, Un-œil, vas-y le laideron est tout seul.
Chatdore et Saturne attendaient en face et Un-œil pénétra à l'intérieur. Quelques minutes, plus tard, un vacarme épouvantable se fit entendre et la femme hurlait.
- La rôtissoire au sol, à l'aide, la rôtissoire au sol...
- Saturne, vas-y, et occupe bien la vilaine rouillée.
Chatdore attendait et visiblement, le plan fonctionnait, Saturne parlait avec la femme et faisait semblant d'être compatissant avec elle.
Il la vit un peu à l'écart et rentra à toute vitesse.
Il partit derrière le comptoir et vit la réserve derrière. La porte était ouverte. Chatdore y pénétra et mit une étagère au sol en cassant un pied de celle-ci avec un extincteur.
La femme se précipita d'y aller et se retrouva renfermée.
Deux minutes plus tard, sous les décibels de l'alarme qu'avait déclenchée la femme, trois chats sortaient de la rôtisserie en courant, poulet en gueule.
Le Pépère, pendant ce temps préparait son....
- Non, je ne prépare rien, je suis scandalisé !
- Pourquoi, qu'est-ce qu'il t'arrive encore ?
- Laisse-moi parler, j'ai un peu de mal à digérer certaines choses.
Voilà amis, lecteurs, que je vous précise une chose.
Cet ignoble écrivain est un plagiat sur pattes. Il y a deux jours, il m'a volé un poème dans ma petite valise qui est dans mon hélicoptère. C'est le poème sur les mûres. En fait, c'est un poème qui s'appelle, Garbure mon ami. Du coup, hier, j'ai publié un nouvel essai qui s'appelle la paupiette. C'est en hommage à une amie de mes dents et pour vous prouver que je l'aime, honteusement plagié.
Et là, ce matin qu'est-ce que je lis.
J'en ai les larmes à l'estomac. Mon frère, Chatdore et Un-œil vont se régaler d'un bon poulet de grain. Moi, ça fait des jours que je combats le ventre vide. Tout ce dont j'ai eu droit étant une brioche l'horreur price déposer dans une poche de chez Thauvin pour me tromper. La honte, cet immonde plagiat de patoche la brioche m'a donné la gastro-entérite. Du coup, moi qui dois tenir un là standing me, voilà puant le caca et les Nike tâchées. Une honte dont j'aurais beaucoup de mal à me remettre.
Et puis tu me fis le coup de la poche de catisfaction que j'ai dû partager avec Grisou.
Et tu me fais faire une moyenne compensée où j'ai été lésé sur le partage.
Je te préviens, les choses ont intérêt à changer à présent.
Allez soûlard à demain matin.
Je vais reposer ma colère.



IMG_20210615_092050.jpg
 

GABY73

Maître Poète
#2
À Nevers pendant ce temps-là, Saturne, Chatdore et Un-œil attendaient devant la gare que l'on veuille bien venir les chercher.
- Je me demande bien ce que fait mon frérot !
- Hé bien, ils sont en mission, eux tous, et ma chatmoureuse est avec eux.
- Ha bon, Chatdore, mais que font ils exactement ?
Je croyais qu'ils avaient fini de détruire les robots qui sont vers chez l'ivrogne.
- Oui, Un-œil, mais une chatte robot est toujours sur place et ils sont partis la combattre dans le bois à la sortie du village.
- C'est bien gentil tout ça, mais qu'allons nous faire nous autres. Le président aurait pu nous envoyer une voiture, tout de même. Nous travaillons pour le professeur Ourat et c'est ingrat comme réponse non.
- Oui, Saturne, tu as raison, c'est vraiment injuste. En plus, nous avons faim nous autres et nous ne savons où aller pour nous restaurer.
- Écoutez, et si nous rentrions seuls en trouvant un moyen.
- Oui, Chatdore, mais comment ?
- Hé bien, je ne sais pas trop, mais regarder en face ce panneau.
Au poulet d'or, le surfin de la faim prend fin.
- Trop fort, oui, Chatdore, c'est une rôtisserie.
Les trop chats partirent donc en direction de cet endroit.
Tous les trois salivaient déjà à l'idée de manger du poulet grillé.
- Mais comment ferons nous, arrivés là-bas, pour acheter ces poulets.
- Hé bien, Saturne, nous allons les voler tout simplement.
Écoutez ce que l'on va faire. Un-œil, tu vas rentrer en premier et t'arranger pour mettre la rôtissoire par terre.
Toi saturne, tu rentreras pour proposer de l'aide à les ramasser prétextant qu'Un-œil est ton frère et qu'il ne l'a pas fait exprès car il voit mal.
Moi, je rentrerais discrètement et je ferais du bruit dans une pièce fermée derrière le comptoir. Il doit bien y avoir un local technique sur place.
Le bougre ou la bougresse rentrera dedans voir ce qui s'y passe. Je l'y enfermerais. Après à nous de manger, miam miam les bons René.
Les trois chats partirent l'un derrière l'autre.
Arrivés en face de la rôtisserie, ils se mirent à regarder à l'intérieur.
Il fallait qu'il n'y ait plus un seul client sur place.
- Alors, que font-ils tous, là-dedans, nous avons faim nous autres.
- Oui, ça, tu peux le dire, Saturne. Mais regarder qui tient la boutique, c'est une rouquine.
- Oui, Chatdore, tu as raison, c'est incroyable. Elle ressemble à la vilaine de Mornay, vous ne trouvez pas, vous autres.
- Oui, Un-œil, elle est aussi moche que le laideron de l'épicerie.
Tu crois que c'est partout comme ça que les rôtisseries sont tenu par des laiderons.
- Hé bien, moi, je pense que oui, car si vous avez bien observé, la bougresse comme celle de Mornay à un barbelé sur les dents.
- Quel est le rapport, Saturne ?
- Hé bien, les poulets doivent être goûtés et le fils de fer sur les dents a pour but de rendre plus solides les os pour les manger avec la chair.
- Ça, c'est finement observé, Saturne.
- Oui, Chatdore, je ne suis pas le frérot de Pépère pour rien. Vite, Un-œil, vas-y le laideron est tout seul.
Chatdore et Saturne attendaient en face et Un-œil pénétra à l'intérieur. Quelques minutes, plus tard, un vacarme épouvantable se fit entendre et la femme hurlait.
- La rôtissoire au sol, à l'aide, la rôtissoire au sol...
- Saturne, vas-y, et occupe bien la vilaine rouillée.
Chatdore attendait et visiblement, le plan fonctionnait, Saturne parlait avec la femme et faisait semblant d'être compatissant avec elle.
Il la vit un peu à l'écart et rentra à toute vitesse.
Il partit derrière le comptoir et vit la réserve derrière. La porte était ouverte. Chatdore y pénétra et mit une étagère au sol en cassant un pied de celle-ci avec un extincteur.
La femme se précipita d'y aller et se retrouva renfermée.
Deux minutes plus tard, sous les décibels de l'alarme qu'avait déclenchée la femme, trois chats sortaient de la rôtisserie en courant, poulet en gueule.
Le Pépère, pendant ce temps préparait son....
- Non, je ne prépare rien, je suis scandalisé !
- Pourquoi, qu'est-ce qu'il t'arrive encore ?
- Laisse-moi parler, j'ai un peu de mal à digérer certaines choses.
Voilà amis, lecteurs, que je vous précise une chose.
Cet ignoble écrivain est un plagiat sur pattes. Il y a deux jours, il m'a volé un poème dans ma petite valise qui est dans mon hélicoptère. C'est le poème sur les mûres. En fait, c'est un poème qui s'appelle, Garbure mon ami. Du coup, hier, j'ai publié un nouvel essai qui s'appelle la paupiette. C'est en hommage à une amie de mes dents et pour vous prouver que je l'aime, honteusement plagié.
Et là, ce matin qu'est-ce que je lis.
J'en ai les larmes à l'estomac. Mon frère, Chatdore et Un-œil vont se régaler d'un bon poulet de grain. Moi, ça fait des jours que je combats le ventre vide. Tout ce dont j'ai eu droit étant une brioche l'horreur price déposer dans une poche de chez Thauvin pour me tromper. La honte, cet immonde plagiat de patoche la brioche m'a donné la gastro-entérite. Du coup, moi qui dois tenir un là standing me, voilà puant le caca et les Nike tâchées. Une honte dont j'aurais beaucoup de mal à me remettre.
Et puis tu me fis le coup de la poche de catisfaction que j'ai dû partager avec Grisou.
Et tu me fais faire une moyenne compensée où j'ai été lésé sur le partage.
Je te préviens, les choses ont intérêt à changer à présent.
Allez soûlard à demain matin.
Je vais reposer ma colère.



Afficher la pièce jointe 34013
Quelle organisation
Merci Daniel
Amicalement
Gaby