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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Bonjour, bonjour, c'est encore Pépère, totalement mort de fatigue.
Mon panda normand, élevé au jus de bambou transgénique enrichi d'uranium, est enfin localisé. Ça n'a pas été de tout repos.
Oui, vous l'aurez compris, c'est encore Pépère qui écrit aujourd'hui. Espérons que le bougre n'en prenne pas l'habitude.
Donc après avoir retrouvé, Pêcheur, je m'apprêtais à reprendre les recherches de mon soûlard.
Bien qu'il ne m'aurait pas trop manqué, car pendant qu'il n'est pas là, j'ai le temps de m'occuper de mes missions.
Oui, dès qu'il arrive, c'est soit avec le harnais, la pelle, le râteau, la tronçonneuse ou la brouette. Bref, vous l'aurez compris, je suis le chat à tout faire. Après vu mes connaissances supérieures, cela n'a rien d'étonnant me direz-vous. Après, oui, je suis nourri de cailloux, mais pas tous les jours.
Donc, je me suis dit, partons à sa recherche, car nous risquons de mourir de faim après, nous autres.
Donc ce fut à ce moment-là que love glace m'appelait pour me dire que Cot cot l'avait réveillée.
Ce fut à cet instant que je lui annonçais que je partais à la recherche de mon moine.
Elle me dit comme ça, visite les terrasses en premier. Franchement, cela semblait évident. J'eus à peine le temps de lui répondre qu'elle me disait que c'était l'heure de son traitement pour sa bulléose fronteuse.
En fait, je pense plutôt qu'elle avait peur que les glaçons fondent dans le verre.
Je partis donc à sa recherche le ventre vide sans rien à boire. J'étais quand même déçu que love bétonnière ne m'ait pas offert le gîte et le couvert avant d'aller chercher mon tricéphale de la chopine.
Je partis donc à patte, car de l'hélicoptère, je ne pouvais pas voir correctement, malgré que mes yeux, sont ultras puissants, les rues sont étroites et j'aurais été gêné.
Donc, je me mis à arpenter les ruelles les plus sombres au risque de ma vie. Oui, je n'étais pas à l'abri de croiser un brigand, un rat Androïde ou ne sais-je quels monstres.
Je fis au moins cinquante terrasses et je parcourais au moins plus de deux cents kilomètres à pattes nues. Oui, en évitant les petites rues, j'étais contraint de passer par les grandes avenues ce qui m'a conduit à passer par Tarbes au moins vingt fois. Je n'en pouvais plus et j'avais besoin de fraîcheur. Mes pattes étaient en feu à un tel point que je laissais des traces dans le bitume qui fumaient encore cinq minutes après mon passage.
C'est alors que je me suis décidé à grimper dans un arbre pour me reposer. Malheureusement à peine endormi, je me mis à faire un cauchemar. J'étais sous le soleil sur une table où je faisais du vin chaud. Autour de la table, mes deux druides du pichet me disaient, vas-y, Pépère chauffe, chauffe. Eux étaient dans la neige et le soleil ne chauffait que la table. Puis d'un seul coup, les pompiers arrivèrent sirènes hurlantes. L'un des hommes mit un coup de lance en direction de love neige. Il s'écriait, attention les vapeurs, votre chat va rôtir. Ce fut à ce moment-là que je me réveillais terrorisé de ce cauchemar.
Sous l'arbre, je vis des millions de litres d'eau et le soleil était toujours là en pleine nuit. En fait, j'étais sous un énorme spot qui était dans l'arbre pour éclairer la pelouse.
Cela m'avait tellement donné chaud que j'en fis ce cauchemar et que j'ai transpiré abondamment au point d'avoir inondé la rue. Les pompiers étaient là pour pomper l'eau. Ils en étaient déjà à près de dix citernes de huit mille litres.
J'attendis patiemment qu'ils furent partis pour ne pas être accusé d'inondation.
Une heure plus tard, je descendis de mon arbre. Ce fut en traversant que je vis comme un éclair. Puis je me rendis compte que ma pauvre queue était toute plate.
J'avais failli passer sous les roues d'une voiture que je n'ai pas entendu arriver. Pour cause, c'était une toute petite automobile sans permis et en plus électrique.
Une femme en descendit et je me disais, je connais cette tête.
En s'approchant, je la reconnus, c'était, Annaol.
Oui, un dinosaure, Anaol, la grande gagnante préhistoire de Soft Henri.
- Ha mince, mon pauvre petit gros, je ne t'ai pas vu traversé.
- Je l'ai regardé méchamment lui disant, quoi, petit gros, tu t'es vu avec tes cheveux cramés à l'azote et ton lifting le bon coin.
Elle me regardait et souriait comme une bécasse.
Je lui ai dit, arrête de sourire les fils vont péter, j'en déjà assez d'avoir été aveuglé dans le passé et d'avoir une raquette à la place de la queue à cause de ta voiture.
Puis entre gens bons, nous avons parlé un peu et je lui appris que j'étais en dépression, car je cherchais mon maître. Elle m'offrit une boîte de prozac et me dis, deux le matin le reste de la boîte le soir, lol. Enfin, bref, une idiote qui donnait des cours au chat qui a trente-huit licences en médecine.
Ce fut là qu'elle m'annonçait qu'elle avait failli déjà avoir un accident avec une voiture qui lui avait coupé la route.
Je chat rigolais me disant, Pépère si c'est le prozac, évite de prendre cette saloperie.
Puis elle me dit, j'ai ramassé le type et je l'ai emmener vers la grotte des moines. Il m'a mis la messe dans la voiture. Je crois que c'était un curé, sa voiture avait un capot blanc comme les anges, lol, pas ceux de la télé.
Je me disais, mais qu'elle est sotte. Puis, je repris, quoi capot blanc et la voiture qu'est-ce que c'était. Une Neortic Arasx me répondit elle.
Ha, qu'est-ce que c'est que ça ?
- Tiens regarde, j'ai fait une photo, lol, avec la lumière du flash, on la voit super bien.
- Hé bien, tu ne l'as pas à tous les étages la lumière toi. C'est écrit Citroën Xsara.
- Ha bon, je vois écrit Neortic Arasx moi.
- Hé bien, ils t'ont coupé le courant là-haut, plus rien de s'éclaire, tu ne vois pas qu'elle est sur le toit la voiture, bécassine.
- Ah, oui, lol, je me disais les roues en l'air, c'est peut-être une voiture pour rouler à l'envers sur les nuages, lol, comme les avions.


La suite demain...





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GABY73

Maître Poète
#2
Bonjour, bonjour, c'est encore Pépère, totalement mort de fatigue.
Mon panda normand, élevé au jus de bambou transgénique enrichi d'uranium, est enfin localisé. Ça n'a pas été de tout repos.
Oui, vous l'aurez compris, c'est encore Pépère qui écrit aujourd'hui. Espérons que le bougre n'en prenne pas l'habitude.
Donc après avoir retrouvé, Pêcheur, je m'apprêtais à reprendre les recherches de mon soûlard.
Bien qu'il ne m'aurait pas trop manqué, car pendant qu'il n'est pas là, j'ai le temps de m'occuper de mes missions.
Oui, dès qu'il arrive, c'est soit avec le harnais, la pelle, le râteau, la tronçonneuse ou la brouette. Bref, vous l'aurez compris, je suis le chat à tout faire. Après vu mes connaissances supérieures, cela n'a rien d'étonnant me direz-vous. Après, oui, je suis nourri de cailloux, mais pas tous les jours.
Donc, je me suis dit, partons à sa recherche, car nous risquons de mourir de faim après, nous autres.
Donc ce fut à ce moment-là que love glace m'appelait pour me dire que Cot cot l'avait réveillée.
Ce fut à cet instant que je lui annonçais que je partais à la recherche de mon moine.
Elle me dit comme ça, visite les terrasses en premier. Franchement, cela semblait évident. J'eus à peine le temps de lui répondre qu'elle me disait que c'était l'heure de son traitement pour sa bulléose fronteuse.
En fait, je pense plutôt qu'elle avait peur que les glaçons fondent dans le verre.
Je partis donc à sa recherche le ventre vide sans rien à boire. J'étais quand même déçu que love bétonnière ne m'ait pas offert le gîte et le couvert avant d'aller chercher mon tricéphale de la chopine.
Je partis donc à patte, car de l'hélicoptère, je ne pouvais pas voir correctement, malgré que mes yeux, sont ultras puissants, les rues sont étroites et j'aurais été gêné.
Donc, je me mis à arpenter les ruelles les plus sombres au risque de ma vie. Oui, je n'étais pas à l'abri de croiser un brigand, un rat Androïde ou ne sais-je quels monstres.
Je fis au moins cinquante terrasses et je parcourais au moins plus de deux cents kilomètres à pattes nues. Oui, en évitant les petites rues, j'étais contraint de passer par les grandes avenues ce qui m'a conduit à passer par Tarbes au moins vingt fois. Je n'en pouvais plus et j'avais besoin de fraîcheur. Mes pattes étaient en feu à un tel point que je laissais des traces dans le bitume qui fumaient encore cinq minutes après mon passage.
C'est alors que je me suis décidé à grimper dans un arbre pour me reposer. Malheureusement à peine endormi, je me mis à faire un cauchemar. J'étais sous le soleil sur une table où je faisais du vin chaud. Autour de la table, mes deux druides du pichet me disaient, vas-y, Pépère chauffe, chauffe. Eux étaient dans la neige et le soleil ne chauffait que la table. Puis d'un seul coup, les pompiers arrivèrent sirènes hurlantes. L'un des hommes mit un coup de lance en direction de love neige. Il s'écriait, attention les vapeurs, votre chat va rôtir. Ce fut à ce moment-là que je me réveillais terrorisé de ce cauchemar.
Sous l'arbre, je vis des millions de litres d'eau et le soleil était toujours là en pleine nuit. En fait, j'étais sous un énorme spot qui était dans l'arbre pour éclairer la pelouse.
Cela m'avait tellement donné chaud que j'en fis ce cauchemar et que j'ai transpiré abondamment au point d'avoir inondé la rue. Les pompiers étaient là pour pomper l'eau. Ils en étaient déjà à près de dix citernes de huit mille litres.
J'attendis patiemment qu'ils furent partis pour ne pas être accusé d'inondation.
Une heure plus tard, je descendis de mon arbre. Ce fut en traversant que je vis comme un éclair. Puis je me rendis compte que ma pauvre queue était toute plate.
J'avais failli passer sous les roues d'une voiture que je n'ai pas entendu arriver. Pour cause, c'était une toute petite automobile sans permis et en plus électrique.
Une femme en descendit et je me disais, je connais cette tête.
En s'approchant, je la reconnus, c'était, Annaol.
Oui, un dinosaure, Anaol, la grande gagnante préhistoire de Soft Henri.
- Ha mince, mon pauvre petit gros, je ne t'ai pas vu traversé.
- Je l'ai regardé méchamment lui disant, quoi, petit gros, tu t'es vu avec tes cheveux cramés à l'azote et ton lifting le bon coin.
Elle me regardait et souriait comme une bécasse.
Je lui ai dit, arrête de sourire les fils vont péter, j'en déjà assez d'avoir été aveuglé dans le passé et d'avoir une raquette à la place de la queue à cause de ta voiture.
Puis entre gens bons, nous avons parlé un peu et je lui appris que j'étais en dépression, car je cherchais mon maître. Elle m'offrit une boîte de prozac et me dis, deux le matin le reste de la boîte le soir, lol. Enfin, bref, une idiote qui donnait des cours au chat qui a trente-huit licences en médecine.
Ce fut là qu'elle m'annonçait qu'elle avait failli déjà avoir un accident avec une voiture qui lui avait coupé la route.
Je chat rigolais me disant, Pépère si c'est le prozac, évite de prendre cette saloperie.
Puis elle me dit, j'ai ramassé le type et je l'ai emmener vers la grotte des moines. Il m'a mis la messe dans la voiture. Je crois que c'était un curé, sa voiture avait un capot blanc comme les anges, lol, pas ceux de la télé.
Je me disais, mais qu'elle est sotte. Puis, je repris, quoi capot blanc et la voiture qu'est-ce que c'était. Une Neortic Arasx me répondit elle.
Ha, qu'est-ce que c'est que ça ?
- Tiens regarde, j'ai fait une photo, lol, avec la lumière du flash, on la voit super bien.
- Hé bien, tu ne l'as pas à tous les étages la lumière toi. C'est écrit Citroën Xsara.
- Ha bon, je vois écrit Neortic Arasx moi.
- Hé bien, ils t'ont coupé le courant là-haut, plus rien de s'éclaire, tu ne vois pas qu'elle est sur le toit la voiture, bécassine.
- Ah, oui, lol, je me disais les roues en l'air, c'est peut-être une voiture pour rouler à l'envers sur les nuages, lol, comme les avions.


La suite demain...





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Ah ah une sacrée histoire
Amicalement
Gaby