Le Pépère sortit son téléphone pour montrer son site de poésie à sa fille et à sœur Mathilde.
La sœur n'en revenait pas de tous ses talents.
- Ha bon mon chat fils, vous êtes aussi poète comme Guillaumine Ettesion.
- Ha oui mon papoupnet, c'est donc ici que l'on peut voir ces poèmes.
- Hé bien, oui, ma fille ce site de poésie, chatpoème que je viens de te monter.
- Hé bien, mon chat fils, vous avez dû en écrire pas mal.
- Oui, ma sœur, mais je m'en suis fait voler par mon maître quand je suis arrivé ici, figurez-vous.
- Ha bon mon papa, c'est à peine croyable.
Tu es sûr de ce que tu dis mon Papa.
- Hé bien, oui, ma fille figure toi que quand je suis arrivé, j'étais tombé en panne avec mon hélicoptère sur le champ.
Le saligaud, c'est présenté à moi comme poète et me dit comme ça ;
quel bel engin, il est super ton hélicoptère, Pépère.
- Ha ce point-là, mon chat fils ?
- Oui, d'ailleurs, il a même eu l'audace de mettre sur son répondeur qu'il ne pouvait pas répondre, car il dépannait mon hélicoptère. Nous ne sommes pas dupes nous autres. Nous savons très bien que sous-prétexte de réparation d'hélicoptère, il se turbine les rotules à grands coups de pelle à huîtres Népalaise.
- Donc mon chat fils, cet hélicoptère était en panne et c'est vous qui l'avez réparé alors.
- Oui, ma sœur, c'est ce que je voulais faire. Malheureusement, lui répondis-je, il est en panne et je n'ai pas d'outillage sous la patte.
C'est alors qu'il me dit, je vais te le réparer gros minet.
Déjà vu l'insulte, j'aurais dû comprendre que je ne serais pas bien traité.
- Votre maître va être content de ce que vous dites de lui.
- Pas d'inquiétude sœur Mathilde, les bars ouvrent demain et il est déjà devant l'auberge des moines où il a planté sa tente. Il n'en saura rien, puis demain vu qu'il va se refaire le crépit dentaire à grands coups de moulissoire pour moules sibériennes, je suis tranquille.
Donc, j'écoutais ce qu'il disait et arrive derrière une femme qui vient me caresser et me dit, tu as de bien jolies Nike petit bouboule. C'est là où j'ai été victime de ma première brûlure de la rétine. Oui, j'avais fait connaissance avec love colis ma maîtresse.
Lui, commence à partir et s'arrête en chemin et s'écrie, vite de l'huile ma jambe est grippée.
Ce fut comme ça que je vis qu'il avait une jambe bionique que love boudin aux pommes lui graissait avec de l'huile de vidange d'un vieux char allemand.
Je n'ai rien vu venir, car les bougres sont rusés. Pour m'amadouer, ils me donnèrent de succulentes croquettes qui étaient en dessous son bureau dans le gourbi.
Je compris bien après que ce délicieux met était en fait sa nourriture.
C'est alors qu'ils sont entrés dans le capharnaüm et moi l'œil et les oreilles en feu, j'ai mangé mes croquettes. Ils sont sortis dix minutes plus tard une bouteille en main. C'est là que j'ai compris être tombé sur de biens drôles de pèlerins.
Love colis s'est alors écriée, et si tu réparait son hélicoptère.
C'est comme ça qu'il m'a volé mes poèmes en entrant dedans. Mais j'étais loin d'avoir tout vu.
- Ha bon, mon papa qui avait-il de plus à voir.
- Oui, dites-nous mon chat fils cela nous intéresse.
- Hé bien, c'est là que j'ai rencontré Mimine et j'en étais tombé chat-love. Mais je vis arriver un Momo qui me dit que diantre, monsieur est borgne, allez soignez votre œil maraud.
Forcément, j'avais une brûlure de la rétine au seizième degrés.
C'est ainsi que je dus partir chez le yeutiste pour chat qui m'a réparé la rétine au laser. C'est en revenant que je l'ai vu de mon hélicoptère avec mon recueil dans les mains. Mais ce n'était pas le pire croyez moi.
- Qu'est-ce qui s'était passé, mon chat fils ?
- J'adore tes histoires mon papoupnet.
- Rien, ma sœur, simplement le constat qu'il y avait un grave problème dans la région à l'époque.
- Qu'est-ce qu'il y avait, le cacoa minus?
- Tu n'avais plus de croquettes mon papoupnet.
- Non, sœur Mathilde pas à cette époque là, c'était un problème de famine.
Hé bien, oui, ma fille, des billes en pierre, voilà ce qui m'attendait comme nourriture. À l'époque, il creusait sur son terrain et je me demandais ce qu'il trifouillait, je me disais peut-être qu'il cherche un puits de vin comme certains cherchent du pétrole, ne sait-on jamais.
C'est alors qu'une fois au sol, il m'employait comme terrassier et que j'ai fait du tamis toute la journée. J'ai travaillé comme un manant par soixante-dix degrés à l'ombre en plein cagnard avec seulement une goutte d'eau dans une capsule de bière, comme boisson. C'est à la fin de la journée après avoir vidé une dernière brouette que je lui dis, c'est bien joli tout ça, mais nous avons faim nous autres.
C'est alors qu'il me montre le sol et me dit, voilà ton repas.
Hé, bien, oui, ma fille des cailloux voilà ce que fut mon repas, une honte.
- Hé bien, mon chat fils, je n'en reviens pas.
- Ha, oui, en effet papoupnet, c'est dur.
La sœur n'en revenait pas de tous ses talents.
- Ha bon mon chat fils, vous êtes aussi poète comme Guillaumine Ettesion.
- Ha oui mon papoupnet, c'est donc ici que l'on peut voir ces poèmes.
- Hé bien, oui, ma fille ce site de poésie, chatpoème que je viens de te monter.
- Hé bien, mon chat fils, vous avez dû en écrire pas mal.
- Oui, ma sœur, mais je m'en suis fait voler par mon maître quand je suis arrivé ici, figurez-vous.
- Ha bon mon papa, c'est à peine croyable.
Tu es sûr de ce que tu dis mon Papa.
- Hé bien, oui, ma fille figure toi que quand je suis arrivé, j'étais tombé en panne avec mon hélicoptère sur le champ.
Le saligaud, c'est présenté à moi comme poète et me dit comme ça ;
quel bel engin, il est super ton hélicoptère, Pépère.
- Ha ce point-là, mon chat fils ?
- Oui, d'ailleurs, il a même eu l'audace de mettre sur son répondeur qu'il ne pouvait pas répondre, car il dépannait mon hélicoptère. Nous ne sommes pas dupes nous autres. Nous savons très bien que sous-prétexte de réparation d'hélicoptère, il se turbine les rotules à grands coups de pelle à huîtres Népalaise.
- Donc mon chat fils, cet hélicoptère était en panne et c'est vous qui l'avez réparé alors.
- Oui, ma sœur, c'est ce que je voulais faire. Malheureusement, lui répondis-je, il est en panne et je n'ai pas d'outillage sous la patte.
C'est alors qu'il me dit, je vais te le réparer gros minet.
Déjà vu l'insulte, j'aurais dû comprendre que je ne serais pas bien traité.
- Votre maître va être content de ce que vous dites de lui.
- Pas d'inquiétude sœur Mathilde, les bars ouvrent demain et il est déjà devant l'auberge des moines où il a planté sa tente. Il n'en saura rien, puis demain vu qu'il va se refaire le crépit dentaire à grands coups de moulissoire pour moules sibériennes, je suis tranquille.
Donc, j'écoutais ce qu'il disait et arrive derrière une femme qui vient me caresser et me dit, tu as de bien jolies Nike petit bouboule. C'est là où j'ai été victime de ma première brûlure de la rétine. Oui, j'avais fait connaissance avec love colis ma maîtresse.
Lui, commence à partir et s'arrête en chemin et s'écrie, vite de l'huile ma jambe est grippée.
Ce fut comme ça que je vis qu'il avait une jambe bionique que love boudin aux pommes lui graissait avec de l'huile de vidange d'un vieux char allemand.
Je n'ai rien vu venir, car les bougres sont rusés. Pour m'amadouer, ils me donnèrent de succulentes croquettes qui étaient en dessous son bureau dans le gourbi.
Je compris bien après que ce délicieux met était en fait sa nourriture.
C'est alors qu'ils sont entrés dans le capharnaüm et moi l'œil et les oreilles en feu, j'ai mangé mes croquettes. Ils sont sortis dix minutes plus tard une bouteille en main. C'est là que j'ai compris être tombé sur de biens drôles de pèlerins.
Love colis s'est alors écriée, et si tu réparait son hélicoptère.
C'est comme ça qu'il m'a volé mes poèmes en entrant dedans. Mais j'étais loin d'avoir tout vu.
- Ha bon, mon papa qui avait-il de plus à voir.
- Oui, dites-nous mon chat fils cela nous intéresse.
- Hé bien, c'est là que j'ai rencontré Mimine et j'en étais tombé chat-love. Mais je vis arriver un Momo qui me dit que diantre, monsieur est borgne, allez soignez votre œil maraud.
Forcément, j'avais une brûlure de la rétine au seizième degrés.
C'est ainsi que je dus partir chez le yeutiste pour chat qui m'a réparé la rétine au laser. C'est en revenant que je l'ai vu de mon hélicoptère avec mon recueil dans les mains. Mais ce n'était pas le pire croyez moi.
- Qu'est-ce qui s'était passé, mon chat fils ?
- J'adore tes histoires mon papoupnet.
- Rien, ma sœur, simplement le constat qu'il y avait un grave problème dans la région à l'époque.
- Qu'est-ce qu'il y avait, le cacoa minus?
- Tu n'avais plus de croquettes mon papoupnet.
- Non, sœur Mathilde pas à cette époque là, c'était un problème de famine.
Hé bien, oui, ma fille, des billes en pierre, voilà ce qui m'attendait comme nourriture. À l'époque, il creusait sur son terrain et je me demandais ce qu'il trifouillait, je me disais peut-être qu'il cherche un puits de vin comme certains cherchent du pétrole, ne sait-on jamais.
C'est alors qu'une fois au sol, il m'employait comme terrassier et que j'ai fait du tamis toute la journée. J'ai travaillé comme un manant par soixante-dix degrés à l'ombre en plein cagnard avec seulement une goutte d'eau dans une capsule de bière, comme boisson. C'est à la fin de la journée après avoir vidé une dernière brouette que je lui dis, c'est bien joli tout ça, mais nous avons faim nous autres.
C'est alors qu'il me montre le sol et me dit, voilà ton repas.
Hé, bien, oui, ma fille des cailloux voilà ce que fut mon repas, une honte.
- Hé bien, mon chat fils, je n'en reviens pas.
- Ha, oui, en effet papoupnet, c'est dur.
