Le Pépère était content de l'histoire qu'il venait de raconter à sœur Mathilde. Elle avait en tous cas été très impressionnée.
Il allait rejoindre sa fille et passait non loin du terrain. Il crut entendre la voix de son maître et se dirigea vers le fourgon.
- Tu penses avec un pied cassé, il doit chanter la messe mon moine rabougri élevé au lait d'escargot Ukrainien, chat chat chat, alors soûlard bobo pied pied, je suis chat mort de rire.
Il arrivait derrière le fourgon et jeta un œil en l'air et regardait l'heure sur son téléphone. L'hélicoptère tournait depuis cinq minutes. Il savait qu'il lui restait encore quinze minutes, ce qui lui laissait le temps de jeter un œil sur le terrain.
Il vit son maître avec un bâton pour s'aider à marcher. Il était devant sa cabane et l'appelait.
- Pépère, Pépère, vient, gamin, Pépère viens manger.
Se cachant derrière le fourgon, le s'écriait en le regardant méchamment.
- Traître, manger quoi, des cailloux, des rogatons de poulet, des croquettes avariées à la sciure de bois Canadienne polluées au pipi de caribou. Va te faire voir poète, malfrat, va à l'auberge des moines pour voir si j'y suis, et si tu vois love képi la bas paie lui un grand verre de lait de lapin génétiquement modifié, chat chat chat chat.
Pépère eut une telle crise de rire qu'il avait la tête qui lui tournait et il perdit connaissance.
- Chat va, chat va, mon papa, chat va.
Il reprit connaissance et vit sa fille à côté de lui.
Ettesion à force de l'attendre s'était inquiété et avait pris le chemin par l'extérieur du bois où était le fourgon pour le rejoindre. Il avait prétendu aller voir Momo donc, elle le pensait avec celui-ci.
- Chat va, qu'est ce qu'il t'arrive mon papounet tu n'es pas avec Momo, tu as eu un malaise ?
J'étais inquiète et j'étais partie te rejoindre vers Momo et je te trouve ici inanimé.
- Ça va ma fille, j'accuse le coup. Attends, je me reconstruis. Je suis entièrement brisé, j'ai été kidnappé.
- Ah, bon enlevé par qui ?
Tu veux dire que les Énarpilodiens sont sortis de leur soucoupe.
- Hé bien, ma fille, je vais t'expliquer, c'est épouvantable. Écoute bien cette histoire, tu là racontera à tes enfants pour qu'ils jugent à quel point leur grand-père est un héros.
Juste devant lui, aux pieds des caisses à poulets, il y avait une vieille poche de course à moitié déchiqueté.
- Dit moi mon papa, nous n'avons plus beaucoup de temps avant la fin de la ronde de l'hélicoptère.
- Oui, tu as raison, ma fille regagnons notre poste.
Ettesion et sa fille reprirent le chemin de leur poste de surveillance. Le Pépère ramassa la poche et la mit dans le chat-ventre. Ceci étonnait un peu sa fille.
Arrivés tous deux à l'endroit où ils étaient au départ le Pépère sortit le chatmsung et envoya un message à Coin-coin et Pêcheur pour les prévenir qu'ils devaient se tenir prêts. L'hélicoptère n'en avait plus que pour trois minutes de ronde.
-Voilà, nous allons bientôt passer à l'action. Dans trois minutes Pêcheur et Coin-coin vont faire le premier jet, après ils reviendront dix minutes plus tard. Envoyons un message à sœur Mathilde pour lui dire qu'il reste treize minutes avant qu'elle entre en action.
Le Pépère envoya la série de messages et sa fille le regardait croyant qu'il allait raconter son histoire.
- Alors, mon papa, j'attends que tu me racontes ce qui t'est arrivé !
- Ha oui c'est extrêmement effrayant laisse moi te raconter. Enfin, je veux dire effrayant pour un autre, pour Pépère, c'est une banalité parmi tant d'autres.
Il plongea la patte dans le chat ventre et s'écria ;
Tiens le parachute qui était toujours aux pieds des caisses, tu vois, c'est ce qui m'a permis de mener à bien mon atterrissage.
- Pourquoi un parachute, ce n'est qu'une poche de courses.
- Ma fille, écoute mon aventure, réelle pas fausse, extrêmement sérieuse et avérée vraie par l'huissier du mensonge qui n'est pas faux d'être tout à fait vrai.
Tout à l'heure quand je t'ai laissé, j'ai d'abord été voir Momo et il m'annonce que d'où il est il entend mon sapajou indien buveur de lait de baleine bretonne chanter la messe à tue-tête.
Je me suis dit, ça doit être son pied qui le gêne. Malgré que je sois heureux que ça l'ait éloigné du hangar, j'ai eu des remords et suis parti voir ce qui se passait là-bas.
J'arrive à la cabane, je regarde de derrière le carreau et là rien d'exceptionnel, il mangeait une tarte d'au moins dix personnes.
Il me vit et je restais un peu pour voir l'état du pied. Oui, ayant dix licences en médecine, je me suis dit, des fois qu'il soit au bord de l'amputation, je serais là pour le soigner.
Il allait bien en fait mis à part la douleur au pied et me donna l'emballage découpé avec des croquettes reconstituées dans un bol. Bon tellement affamé de toutes mes manœuvres de ce jour et vu ma faiblesse due à ma maigreur, et avant tout mon bon cœur pour ne pas vexer chat aux brillants, je mangeais l'infâme mixture de sorcière.
- Ha, c'est ça qui t'a rendu malade, c'est pour ça que tu as eu un malaise mon papa.
- Non, non, non, ma fille, laisse moi terminer mon histoire. Qui d'ailleurs ne l'est pas main bien un fait cent pour-cent authentique. Étant donné le peu de denrée et pour ne pas m'énerver à la vue de ce qu'il cache dans son antre. Je décide de revenir sans ne rien dire. D'un seul coup, je ressens une présence, mais rien à côté de moi, vers le fourgon. Je me retourne et devant moi deux chats gigantesques, je ne savais pas qu'en fait, c'était des chatmatiens.
- Des chatmatiens, qu'est-ce que c'est.
- Des chats extraterrestres qui vivent sur Mars. Ils sont faciles à reconnaître, ils ont le haut du corps du chat et le reste est celui du kangourou et des nageoires sur le dos.
- Tu ne les as pas reconnus mon papounet ?
- Non, ma fille, ils étaient déguisés, tu te doutes bien ! Je n'ai rien pu faire, car ils m'ont envoyé une piqûre dans le ventre et comme je n'ai que la peau sur les os ça a fait effet immédiatement. Ils m'ont ensuite séquestré dans leur vaisseau, ils m'ont mis une puce radioactive sous la peau du cou. Ils ont ensuite tenté de faire des expériences sur moi.
- Whaaaaaa mon papa en si peu de temps, comment tu es arrivé ici.
- Tu connais ma force légendaire, donc la piqûre qui aurait tué une baleine m'avait seulement un peu endormi. Pendant qu'ils posaient des électrodes sur ma tête, j'ai arraché d'un coup tous mes liens, j'ai saisi ma poche de courses du chat-ventre, j'avais mon idée. Ensuite, j'ai mis un coup de patte dans la porte du vaisseau et sauté dans le vide, j'ai entendu le vaisseau exploser sous l'effet de la décompression du vide intersidéral et le sac m'a servi de parachute. Tu vois, je ne te mens pas, il est dans ma patte.
Il allait rejoindre sa fille et passait non loin du terrain. Il crut entendre la voix de son maître et se dirigea vers le fourgon.
- Tu penses avec un pied cassé, il doit chanter la messe mon moine rabougri élevé au lait d'escargot Ukrainien, chat chat chat, alors soûlard bobo pied pied, je suis chat mort de rire.
Il arrivait derrière le fourgon et jeta un œil en l'air et regardait l'heure sur son téléphone. L'hélicoptère tournait depuis cinq minutes. Il savait qu'il lui restait encore quinze minutes, ce qui lui laissait le temps de jeter un œil sur le terrain.
Il vit son maître avec un bâton pour s'aider à marcher. Il était devant sa cabane et l'appelait.
- Pépère, Pépère, vient, gamin, Pépère viens manger.
Se cachant derrière le fourgon, le s'écriait en le regardant méchamment.
- Traître, manger quoi, des cailloux, des rogatons de poulet, des croquettes avariées à la sciure de bois Canadienne polluées au pipi de caribou. Va te faire voir poète, malfrat, va à l'auberge des moines pour voir si j'y suis, et si tu vois love képi la bas paie lui un grand verre de lait de lapin génétiquement modifié, chat chat chat chat.
Pépère eut une telle crise de rire qu'il avait la tête qui lui tournait et il perdit connaissance.
- Chat va, chat va, mon papa, chat va.
Il reprit connaissance et vit sa fille à côté de lui.
Ettesion à force de l'attendre s'était inquiété et avait pris le chemin par l'extérieur du bois où était le fourgon pour le rejoindre. Il avait prétendu aller voir Momo donc, elle le pensait avec celui-ci.
- Chat va, qu'est ce qu'il t'arrive mon papounet tu n'es pas avec Momo, tu as eu un malaise ?
J'étais inquiète et j'étais partie te rejoindre vers Momo et je te trouve ici inanimé.
- Ça va ma fille, j'accuse le coup. Attends, je me reconstruis. Je suis entièrement brisé, j'ai été kidnappé.
- Ah, bon enlevé par qui ?
Tu veux dire que les Énarpilodiens sont sortis de leur soucoupe.
- Hé bien, ma fille, je vais t'expliquer, c'est épouvantable. Écoute bien cette histoire, tu là racontera à tes enfants pour qu'ils jugent à quel point leur grand-père est un héros.
Juste devant lui, aux pieds des caisses à poulets, il y avait une vieille poche de course à moitié déchiqueté.
- Dit moi mon papa, nous n'avons plus beaucoup de temps avant la fin de la ronde de l'hélicoptère.
- Oui, tu as raison, ma fille regagnons notre poste.
Ettesion et sa fille reprirent le chemin de leur poste de surveillance. Le Pépère ramassa la poche et la mit dans le chat-ventre. Ceci étonnait un peu sa fille.
Arrivés tous deux à l'endroit où ils étaient au départ le Pépère sortit le chatmsung et envoya un message à Coin-coin et Pêcheur pour les prévenir qu'ils devaient se tenir prêts. L'hélicoptère n'en avait plus que pour trois minutes de ronde.
-Voilà, nous allons bientôt passer à l'action. Dans trois minutes Pêcheur et Coin-coin vont faire le premier jet, après ils reviendront dix minutes plus tard. Envoyons un message à sœur Mathilde pour lui dire qu'il reste treize minutes avant qu'elle entre en action.
Le Pépère envoya la série de messages et sa fille le regardait croyant qu'il allait raconter son histoire.
- Alors, mon papa, j'attends que tu me racontes ce qui t'est arrivé !
- Ha oui c'est extrêmement effrayant laisse moi te raconter. Enfin, je veux dire effrayant pour un autre, pour Pépère, c'est une banalité parmi tant d'autres.
Il plongea la patte dans le chat ventre et s'écria ;
Tiens le parachute qui était toujours aux pieds des caisses, tu vois, c'est ce qui m'a permis de mener à bien mon atterrissage.
- Pourquoi un parachute, ce n'est qu'une poche de courses.
- Ma fille, écoute mon aventure, réelle pas fausse, extrêmement sérieuse et avérée vraie par l'huissier du mensonge qui n'est pas faux d'être tout à fait vrai.
Tout à l'heure quand je t'ai laissé, j'ai d'abord été voir Momo et il m'annonce que d'où il est il entend mon sapajou indien buveur de lait de baleine bretonne chanter la messe à tue-tête.
Je me suis dit, ça doit être son pied qui le gêne. Malgré que je sois heureux que ça l'ait éloigné du hangar, j'ai eu des remords et suis parti voir ce qui se passait là-bas.
J'arrive à la cabane, je regarde de derrière le carreau et là rien d'exceptionnel, il mangeait une tarte d'au moins dix personnes.
Il me vit et je restais un peu pour voir l'état du pied. Oui, ayant dix licences en médecine, je me suis dit, des fois qu'il soit au bord de l'amputation, je serais là pour le soigner.
Il allait bien en fait mis à part la douleur au pied et me donna l'emballage découpé avec des croquettes reconstituées dans un bol. Bon tellement affamé de toutes mes manœuvres de ce jour et vu ma faiblesse due à ma maigreur, et avant tout mon bon cœur pour ne pas vexer chat aux brillants, je mangeais l'infâme mixture de sorcière.
- Ha, c'est ça qui t'a rendu malade, c'est pour ça que tu as eu un malaise mon papa.
- Non, non, non, ma fille, laisse moi terminer mon histoire. Qui d'ailleurs ne l'est pas main bien un fait cent pour-cent authentique. Étant donné le peu de denrée et pour ne pas m'énerver à la vue de ce qu'il cache dans son antre. Je décide de revenir sans ne rien dire. D'un seul coup, je ressens une présence, mais rien à côté de moi, vers le fourgon. Je me retourne et devant moi deux chats gigantesques, je ne savais pas qu'en fait, c'était des chatmatiens.
- Des chatmatiens, qu'est-ce que c'est.
- Des chats extraterrestres qui vivent sur Mars. Ils sont faciles à reconnaître, ils ont le haut du corps du chat et le reste est celui du kangourou et des nageoires sur le dos.
- Tu ne les as pas reconnus mon papounet ?
- Non, ma fille, ils étaient déguisés, tu te doutes bien ! Je n'ai rien pu faire, car ils m'ont envoyé une piqûre dans le ventre et comme je n'ai que la peau sur les os ça a fait effet immédiatement. Ils m'ont ensuite séquestré dans leur vaisseau, ils m'ont mis une puce radioactive sous la peau du cou. Ils ont ensuite tenté de faire des expériences sur moi.
- Whaaaaaa mon papa en si peu de temps, comment tu es arrivé ici.
- Tu connais ma force légendaire, donc la piqûre qui aurait tué une baleine m'avait seulement un peu endormi. Pendant qu'ils posaient des électrodes sur ma tête, j'ai arraché d'un coup tous mes liens, j'ai saisi ma poche de courses du chat-ventre, j'avais mon idée. Ensuite, j'ai mis un coup de patte dans la porte du vaisseau et sauté dans le vide, j'ai entendu le vaisseau exploser sous l'effet de la décompression du vide intersidéral et le sac m'a servi de parachute. Tu vois, je ne te mens pas, il est dans ma patte.
