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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Lolo et Grisou écoutaient Pépère avec attention. Pour un chat qui est pressé au point que nous ne pouvons même pas dormir, il ne se dépêche pas trop se disait, Lolo.
Grisou qui était là depuis peu de temps, trouvait géniales les histoires du Pépère.
- Pépère regarde, ton maître, il est juste devant nous.
- Ne t'inquiète pas mon copain, la voiture lui est invisible.
- En tout cas ça a dû y aller les bouteilles, il est tout rouge.
En effet l'homme qui était passer chez sa mère en avait profiter pour faire une retouche de peinture à la bombe sur le toit de sa voiture. Avec le vent, il en avait pris plein le visage.
- C'est peut-être à force de taper ses silex pour faire le feu de sa mère, ça lui a donné chaud, chat chat chat.
- Ça, c'est drôle, Lolo, oui, il est rouge comme une tomate.
- Ça me rappelle, la mère tomate qui s'était fait arrêter sur l'autoroute à deux cent kilomètres à l'heure avec son déambulateur, chat chat chat.
- Ha oui, je m'en souviens.
- Peut-être, Lolo, mais moi, je ne sais pas de quoi tu parles.
- Ha oui, c'est vrai, Grisou, attend le temps qu'il s'en aille de ma vue, je vais te raconter l'histoire. Va t'en de là, soûlard, tu es dans mon champ de vision.
- Oui, raconte-moi cette histoire Pépère, ça m'intéresse.
Hé bien voilà, Grisou, un jour mon poêle à vin manquait d'argent, sans doute en l'absence de commande d'armes, il propose ses services chez une vielle dame des plus gentille au monde.
Bon, love garbure avait préparé le terrain. Sous prétexte de prévention, elle était allée chez la brave femme en uniforme. Elle avait vanté les compétences de grandes dents.
Il s'en va donc faire le jardinier alors qu'il n'y connaissait rien.
- Oui, ça commence fort, chat chat chat.
- Oui, attends, Grisou, donc, je précise que love Gaston passait régulièrement chez la dame sous prétexte de le surveiller. Elle l'avait présenté comme étant un repris de justice qui sortait de prison et sous prétexte de réinsertion.
Pour accréditer son histoire elle lui avait montré une photo où le bougre avait fait le père Noël à la gendarmerie.
La brave femme lui avait alors fait confiance.
Elle était arrivée à convaincre la brave vieille dont il allait lui cultiver des tomates.
Elle savait que la brave femme est friande de ce légume.
Oui, ils faisaient de la drogue avec les feuilles pour mettre dans les croquettes pourries du commissariat.
Et ce n'est pas tout, mon pauvre Grisou, love rhum cueillait les tomates les vidait et elle mettait dedans du rhum avec du sucre à macérer pour faire de la boisson très forte.
Que veux-tu, c'est des alcooliques. Il avait fait au moins mille pieds pour pouvoir se faire des milliers de litres d'alcool pour l'hiver et avec les feuilles la drogue des croquettes des malinois. La bonne-dame n'était au courant de rien. Pour la parade, ils achetaient des tomate au supermarché pour lui faire croire que c'était de son jardin. La pauvre femme ne pouvait à peine marcher et elle se déplaçait avec un déambulateur.
Un jour, elle tomba dans sa véranda avec l'appareil. Elle avait cassé une roue et c'était catastrophique pour elle. Bon qu'il lui dit, je vais vous réparer votre engin. Il lui a mis dessus des roues de vélo, oui des roues de vélo.
La vielle était enchantée et lui dit, il ne manque qu'un moteur à mon engin.
C'est alors qu'il pensait à un vieux moteur électrique qui traînait chez lui.
Le soir, il en parle à love tourterelle et elle lui dit, que veux-tu qu'elle fasse d'un moteur sur un déambulateur. Ce fut alors qu'il lui répondit. Elle pourrait aller se promener et nous aurions plus de liberté pour les tomates.
Ça, c'est une bonne idée qu'elle lui dit, appelle Pépère, il va s'en occuper.
Le lendemain, il va chez la vieille et lui dit écouter mère tomate, mon chat qui est un génie va vous mettre un moteur sur votre engin.
Je pourrais aller à mes tomates qu'elle lui répondit. Non, qu'il disait, le terrain étant constamment mouillé, vous aller vous embourber avec les roues de vélo que j'aie monté sur votre appareil. Par contre vous pourrez aller dehors vous promener.
C'est alors qu'il revient avec l'engin et m'appelle.
- Pépère, tu vas monter ce moteur électrique sur le déambulateur de la mère tomate.
Je l'ai regardé méchamment et lui ai répondu, tu ne pouvais pas lui faire toi espèce d'ivrogne, pourquoi pas un autoradio tant que tu y es.
Et c'est comme ça que durant toute la matinée entre clés de treize tournevis cosses et autres accessoires sous quarante degrés à l'ombre, j'ai installé le moteur et un autoradio.
Il est ensuite reparti lui donner l'engin.
Du coup, la pauvre femme arrivait à se déplacer plus facilement.
Elle se promenait dans sa rue en écoutant du Jull à fond et mon soûlard avait la paix pour ses tomates.
Mais un soir, elle se dit, et si j'essayais d'aller à mes tomates.
Elle prit donc le risque d'aller derrière la maison voir ces tomates, malgré les consignes de mon nuage de Porto sibérien.
Elle s'est dite, finalement l'engin ne s'embourbe pas, c'est épatant.
Elle fut surprise et se disait, suis-je aussi myope que ça, je vois des milliers de pieds où il y en a une dizaine.
Bon, se dit-elle, si je faisais une salade de tomates.
Dans la soirée, le bison futé annonçait un danger de la route sur l'autoroute de Paris, à la sortie de Nevers.
Une vieille sur un déambulateur à plus de deux cents kilomètres l'heure avait été signalée, forçant le passage des autres usagers en écoutant du Jull à fond.
- Hé bien, c'est incroyable cette histoire.
-Oui Grisou, et je te laisse deviner la suite. La pauvre femme a été arrêtée sur l'autoroute à trente kilomètres de Nevers. Entre temps, elle s'était trompée de voie et elle était à contresens et dans un état proche du coma éthylique. Les gendarmes ont étouffé l'affaire par l'intermédiaire de love rôti. Heureusement, l'absorption des tomates alcoolisées au rhum avait rendu la brave dame amnésique. Pendant qu'elle était à l'hôpital, love Pépère et mon soûlard ont extrait quatre litres d'alcool à quarante-cinq degrés qu'ils ont bu en même pas trois mois, voilà pourquoi, je rigole de le voir rouge comme une tomate.
- Quelle histoire, Pépère, je ne me souvenais pas de tous ces détails.
- Hé bien, oui, Lolo, c'est tellement inimaginable.
- Hé pourtant mes amis, c'est la vérité vraie qu'elle n'est pas fausse, alors soûlard, tu vas retourner dans ta cahute

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#2
Lolo et Grisou écoutaient Pépère avec attention. Pour un chat qui est pressé au point que nous ne pouvons même pas dormir, il ne se dépêche pas trop se disait, Lolo.
Grisou qui était là depuis peu de temps, trouvait géniales les histoires du Pépère.
- Pépère regarde, ton maître, il est juste devant nous.
- Ne t'inquiète pas mon copain, la voiture lui est invisible.
- En tout cas ça a dû y aller les bouteilles, il est tout rouge.
En effet l'homme qui était passer chez sa mère en avait profiter pour faire une retouche de peinture à la bombe sur le toit de sa voiture. Avec le vent, il en avait pris plein le visage.
- C'est peut-être à force de taper ses silex pour faire le feu de sa mère, ça lui a donné chaud, chat chat chat.
- Ça, c'est drôle, Lolo, oui, il est rouge comme une tomate.
- Ça me rappelle, la mère tomate qui s'était fait arrêter sur l'autoroute à deux cent kilomètres à l'heure avec son déambulateur, chat chat chat.
- Ha oui, je m'en souviens.
- Peut-être, Lolo, mais moi, je ne sais pas de quoi tu parles.
- Ha oui, c'est vrai, Grisou, attend le temps qu'il s'en aille de ma vue, je vais te raconter l'histoire. Va t'en de là, soûlard, tu es dans mon champ de vision.
- Oui, raconte-moi cette histoire Pépère, ça m'intéresse.
Hé bien voilà, Grisou, un jour mon poêle à vin manquait d'argent, sans doute en l'absence de commande d'armes, il propose ses services chez une vielle dame des plus gentille au monde.
Bon, love garbure avait préparé le terrain. Sous prétexte de prévention, elle était allée chez la brave femme en uniforme. Elle avait vanté les compétences de grandes dents.
Il s'en va donc faire le jardinier alors qu'il n'y connaissait rien.
- Oui, ça commence fort, chat chat chat.
- Oui, attends, Grisou, donc, je précise que love Gaston passait régulièrement chez la dame sous prétexte de le surveiller. Elle l'avait présenté comme étant un repris de justice qui sortait de prison et sous prétexte de réinsertion.
Pour accréditer son histoire elle lui avait montré une photo où le bougre avait fait le père Noël à la gendarmerie.
La brave femme lui avait alors fait confiance.
Elle était arrivée à convaincre la brave vieille dont il allait lui cultiver des tomates.
Elle savait que la brave femme est friande de ce légume.
Oui, ils faisaient de la drogue avec les feuilles pour mettre dans les croquettes pourries du commissariat.
Et ce n'est pas tout, mon pauvre Grisou, love rhum cueillait les tomates les vidait et elle mettait dedans du rhum avec du sucre à macérer pour faire de la boisson très forte.
Que veux-tu, c'est des alcooliques. Il avait fait au moins mille pieds pour pouvoir se faire des milliers de litres d'alcool pour l'hiver et avec les feuilles la drogue des croquettes des malinois. La bonne-dame n'était au courant de rien. Pour la parade, ils achetaient des tomate au supermarché pour lui faire croire que c'était de son jardin. La pauvre femme ne pouvait à peine marcher et elle se déplaçait avec un déambulateur.
Un jour, elle tomba dans sa véranda avec l'appareil. Elle avait cassé une roue et c'était catastrophique pour elle. Bon qu'il lui dit, je vais vous réparer votre engin. Il lui a mis dessus des roues de vélo, oui des roues de vélo.
La vielle était enchantée et lui dit, il ne manque qu'un moteur à mon engin.
C'est alors qu'il pensait à un vieux moteur électrique qui traînait chez lui.
Le soir, il en parle à love tourterelle et elle lui dit, que veux-tu qu'elle fasse d'un moteur sur un déambulateur. Ce fut alors qu'il lui répondit. Elle pourrait aller se promener et nous aurions plus de liberté pour les tomates.
Ça, c'est une bonne idée qu'elle lui dit, appelle Pépère, il va s'en occuper.
Le lendemain, il va chez la vieille et lui dit écouter mère tomate, mon chat qui est un génie va vous mettre un moteur sur votre engin.
Je pourrais aller à mes tomates qu'elle lui répondit. Non, qu'il disait, le terrain étant constamment mouillé, vous aller vous embourber avec les roues de vélo que j'aie monté sur votre appareil. Par contre vous pourrez aller dehors vous promener.
C'est alors qu'il revient avec l'engin et m'appelle.
- Pépère, tu vas monter ce moteur électrique sur le déambulateur de la mère tomate.
Je l'ai regardé méchamment et lui ai répondu, tu ne pouvais pas lui faire toi espèce d'ivrogne, pourquoi pas un autoradio tant que tu y es.
Et c'est comme ça que durant toute la matinée entre clés de treize tournevis cosses et autres accessoires sous quarante degrés à l'ombre, j'ai installé le moteur et un autoradio.
Il est ensuite reparti lui donner l'engin.
Du coup, la pauvre femme arrivait à se déplacer plus facilement.
Elle se promenait dans sa rue en écoutant du Jull à fond et mon soûlard avait la paix pour ses tomates.
Mais un soir, elle se dit, et si j'essayais d'aller à mes tomates.
Elle prit donc le risque d'aller derrière la maison voir ces tomates, malgré les consignes de mon nuage de Porto sibérien.
Elle s'est dite, finalement l'engin ne s'embourbe pas, c'est épatant.
Elle fut surprise et se disait, suis-je aussi myope que ça, je vois des milliers de pieds où il y en a une dizaine.
Bon, se dit-elle, si je faisais une salade de tomates.
Dans la soirée, le bison futé annonçait un danger de la route sur l'autoroute de Paris, à la sortie de Nevers.
Une vieille sur un déambulateur à plus de deux cents kilomètres l'heure avait été signalée, forçant le passage des autres usagers en écoutant du Jull à fond.
- Hé bien, c'est incroyable cette histoire.
-Oui Grisou, et je te laisse deviner la suite. La pauvre femme a été arrêtée sur l'autoroute à trente kilomètres de Nevers. Entre temps, elle s'était trompée de voie et elle était à contresens et dans un état proche du coma éthylique. Les gendarmes ont étouffé l'affaire par l'intermédiaire de love rôti. Heureusement, l'absorption des tomates alcoolisées au rhum avait rendu la brave dame amnésique. Pendant qu'elle était à l'hôpital, love Pépère et mon soûlard ont extrait quatre litres d'alcool à quarante-cinq degrés qu'ils ont bu en même pas trois mois, voilà pourquoi, je rigole de le voir rouge comme une tomate.
- Quelle histoire, Pépère, je ne me souvenais pas de tous ces détails.
- Hé bien, oui, Lolo, c'est tellement inimaginable.
- Hé pourtant mes amis, c'est la vérité vraie qu'elle n'est pas fausse, alors soûlard, tu vas retourner dans ta cahute

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La meilleure 200km/h avec un déambulatoire. ...
Par contre une chose que je ne comprends pas. Si la voiture de Pépère est invisible devant vous comment ne lui rentrez pas dedans ?????
Bel épisode
Merci DANIEL
Amicalement
Gaby
 
#3
La meilleure 200km/h avec un déambulatoire. ...
Par contre une chose que je ne comprends pas. Si la voiture de Pépère est invisible devant vous comment ne lui rentrez pas dedans ?????
Bel épisode
Merci DANIEL
Amicalement
Gaby
Elle est invisible par la matière je passe à travers comme Bourvil dans les mur dans un film