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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Proche de la mare à Coin-coin, tout le monde attendait Pépère.
La chienne robot réfléchissait comment elle pourrait faire pour éliminer une partie des amis à Pépère qui pourrait le défendre.
Elle était avec Bibou et Lolo et restait silencieuse.
Vers la mare, Avéame, Fripouille, Sybage, Elchaponne, Isidore et Un-œil gardaient à vue la chienne sous les ordres de Lolo.
La petite auto de Pépère était toujours à côté de la palette avec son hélicoptère.
Lolo entendit la sonnerie de son SMS.
- Hé, c'est ton chef qui te smesse.
Bibou fut amusé de cette notification assez originale.
Lolo prit le téléphone en patte et répondit à Pépère.
- Oui, chef, bonjour, ça fait plaisir de te retrouver, mais où es-tu ?
- Je suis à Mornay parti m'occuper de faire disparaître la soucoupe des Enarpilodiens. Grisou est déjà sur place.
- Ha, vous n'êtes que deux ?
Mais tu fais bien d'être sur place, aurais-tu besoin d'aide ?
- Non, j'ai mes deux coéquipiers de voyage, Coin-coin et Pêcheur. Puis j'ai surtout l'une des meilleures agentes de sa promotion, Ettesion, ma fille qui est en train d'endormir ses petits.
Attends, je surveille mon carnassier herbivore mangeur de capsule de bocaux de cerises à l'eau-de-vie.
- Ha, tu es déjà sur le terrain ?
- Non, je suis en face de chez la vilaine.
- Pourquoi es-tu là-bas, que fais-tu devant l'épicerie.
- Je suis passé récupérer un poulet en avance d'un service rendu à love lunettes. Elle me doit déjà un carton de saucissons et d'Henri le rôti, alors comme je ne voulais pas arriver les pattes vides devant Grisou, je me suis dit allons voir chez bec-de-lièvre.
J'ai eu une sacrée bonne idée, car mon stylo japonais plein d'encre alcoolisée d'Uruguay y était et il a fait des siennes.
- Ha bon mon copain, mais qu'y a-t-il fait ?
- Hé bien voilà, j'arrive à la boutique et je rentre sans trouver, cheveux rouillés.
Je l'appelle, hé vilaine où es-tu, vilaine. Je n'avais aucune réponse, je me disais, c'est bizarre, j'ai pourtant vu rentrer mon tricératops malgache coiffé d'une crête-de-coq indienne qui venait chercher sa vinasse. Mais où sont-ils, en train de se peindre l'estomac à grand renfort de peinture au vin.
Puis d'un seul coup, j'entends un bruit venant d'à côté du comptoir. C'est un vestiaire et c'est là que je trouvais la vilaine. Elle était en train de se burineur le râtelier à grand coup de cuillère à moules bretonnes. Pour soigner son anorexie, la vilaine avait avalé un Henri entier et l'avait dévoré avec la ficelle. La bougresse est tellement plate que le rôti dans son ventre lui donnait l'impression d'attendre des sextuplés, chat chat chat.
La ficelle s'était emmêlée dans son râteau dentaire et semblait indémêlable. C'est alors que j'ai pris une tenaille et que j'ai cisaillé la ficelle du rôti. Elle s'est écriée, je vais être estropiée des dents, c'est une catastrophe. Ce à quoi je lui ai répondu, pas de soucis, il y en a bien toujours une tous les six mètres, chat chat chat, oui elle a les dents du bonheur.
Pendant qu'elle se regardait les dents du fond avec le miroir, j'ai été voir si je ne trouvais pas mon bulot asiatique imbibé de Porto sibérien. Je l'ai retrouvé vers la rôtissoire. Il avait déjà englouti deux poulets.
Pépère, qu'il me dit, c'est toi. Pourquoi tu as picolé, tu crois halluciner. Oui, c'est moi, alors comme ça, on me vole mon dû que love bétonnière doit me donner.
C'est alors qu'il m'offrit un poulet pour que je ne dise rien à la vilaine.
Elle arrivait au même moment et le salopard regardant la bougresse lui a dit ; un chat sdf chez vous regarder, il vous vole un poulet, il vient d'en manger deux. C'est alors que d'un coup de patte, j'ai envoyé la rôtissoire au sol et je suis parti en courant. L'autre hypocrite était dehors, Pépère, Pépère, nabon les croquettes, miam miam, viens à la cabane.
Ce a quoi, j'ai crié en partant vers la soucoupe. Tu n'as qu'à te faire cuire un œuf de mammouths, soûlard, et puis je suis sdf, tu m'entends, sdf, oui, supplicié de la faim.
Là, je le surveille, il est avec un type devant. Un énorme camion de bois, mais il monte dedans. Sûrement, qu'ils vont faire un barbecue avec love alambic pour fêter le retour de Pépère.
Écoute, nous aurons peut-être besoin de renfort nousaautres, si tu veux, viens me rejoindre avec ma petite auto. Avant fait chauffer un peu les roues en roulant dans le champ, puis surtout pour bien la reprendre en pattes.
Lolo était heureux, il allait le retrouver à Mornay.
En plus, il allait pouvoir frimer devant la chienne.
Il démarra la voiture et se mit à faire des zigzags en tous sens devant Bibou et sa nouvelle amie.
Il avait trouvé une nouvelle admiratrice et il usait et en abusait en crânant avec la voiture du Pépère.
Puis il revint vers la palette.
- Bon, je vais devoir vous laisser pour rejoindre Pépère.
- Whouaf, Lolo, tu l'as bien en main la voiture ; lui dit elle.
- Je suis un peu Chatmareur et j'ai gagné des grands prix à plus finir contre des F1 professionnelles à la préhistoire.
- Whouaf, des grands prix à la préhistoire, whouaf, hé bien Lolo, tu es très fort.
- Oui, Bibou, même qu'un jour un coureur en passant à côté de moi à essayer de percer mes pneus avec un silex pour me faire perdre. N'empêche que le soir, je me suis bien foutu de lui quand il a essayé d'allumer le barbecue et que son silex était mort. Il n'arrivait plus à faire l'étincelle pour le feu et du coup, on a mangé ses chipolatas de mammouth acheté chez l'éclair en promotion totalement froides.
La chienne était curieuse de savoir ses liens avec Pépère.
- Whouaf, mais comment as-tu connu Pépère au fait ?
- Je l'ai connu en Irak et je lui ai sauvé la vie. Il avait reçu un éclat de noix de coco d'un cocotier qui avait exposé par un tir d'obus. Sans eau et par soixante degrés en plein désert, je l'ai porté sur mon dos pour m'emmener se faire soigner. En le transportant d'une patte armée, j'ai réussi malgré tout à tuer plus de cent terroristes.
Tout en parlant, il ne voyait pas qu'il piétinait et un vers de terre fit surface.
Bibou était très étonné, car Pépère avait déjà raconté la même histoire.
- Oui Bibou, des centaines... Maman maman moi peur maman.
Il partit quelques mètres plus loin tout tremblant.
- Whouaf qu'est ce qu'il t'est arrivé c'est le vers de terre.
- Oui, je suis allergique depuis mon sauvetage de pépère. En route, j'ai été attaqué par un vers mutant qui crachaient des gaz bactériologiques. J'ai été contaminé, mais je suis quand même arrivé après les avoir exterminé à parcourir les cent kilomètres qu'il me restait tout en me battant et le Pépère sur mon dos. J'ai été soigné, mais à présent une seul contact avec un vers peut m'être fatale.
- Enfin, bref, je minimise l'histoire, car c'était encore pire que ça, mais si je disais la vérité vraie, tu risquerais de ne pas me croire alors je t'ai raconté ce sauvetage en événements bénins.
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#2
Proche de la mare à Coin-coin, tout le monde attendait Pépère.
La chienne robot réfléchissait comment elle pourrait faire pour éliminer une partie des amis à Pépère qui pourrait le défendre.
Elle était avec Bibou et Lolo et restait silencieuse.
Vers la mare, Avéame, Fripouille, Sybage, Elchaponne, Isidore et Un-œil gardaient à vue la chienne sous les ordres de Lolo.
La petite auto de Pépère était toujours à côté de la palette avec son hélicoptère.
Lolo entendit la sonnerie de son SMS.
- Hé, c'est ton chef qui te smesse.
Bibou fut amusé de cette notification assez originale.
Lolo prit le téléphone en patte et répondit à Pépère.
- Oui, chef, bonjour, ça fait plaisir de te retrouver, mais où es-tu ?
- Je suis à Mornay parti m'occuper de faire disparaître la soucoupe des Enarpilodiens. Grisou est déjà sur place.
- Ha, vous n'êtes que deux ?
Mais tu fais bien d'être sur place, aurais-tu besoin d'aide ?
- Non, j'ai mes deux coéquipiers de voyage, Coin-coin et Pêcheur. Puis j'ai surtout l'une des meilleures agentes de sa promotion, Ettesion, ma fille qui est en train d'endormir ses petits.
Attends, je surveille mon carnassier herbivore mangeur de capsule de bocaux de cerises à l'eau-de-vie.
- Ha, tu es déjà sur le terrain ?
- Non, je suis en face de chez la vilaine.
- Pourquoi es-tu là-bas, que fais-tu devant l'épicerie.
- Je suis passé récupérer un poulet en avance d'un service rendu à love lunettes. Elle me doit déjà un carton de saucissons et d'Henri le rôti, alors comme je ne voulais pas arriver les pattes vides devant Grisou, je me suis dit allons voir chez bec-de-lièvre.
J'ai eu une sacrée bonne idée, car mon stylo japonais plein d'encre alcoolisée d'Uruguay y était et il a fait des siennes.
- Ha bon mon copain, mais qu'y a-t-il fait ?
- Hé bien voilà, j'arrive à la boutique et je rentre sans trouver, cheveux rouillés.
Je l'appelle, hé vilaine où es-tu, vilaine. Je n'avais aucune réponse, je me disais, c'est bizarre, j'ai pourtant vu rentrer mon tricératops malgache coiffé d'une crête-de-coq indienne qui venait chercher sa vinasse. Mais où sont-ils, en train de se peindre l'estomac à grand renfort de peinture au vin.
Puis d'un seul coup, j'entends un bruit venant d'à côté du comptoir. C'est un vestiaire et c'est là que je trouvais la vilaine. Elle était en train de se burineur le râtelier à grand coup de cuillère à moules bretonnes. Pour soigner son anorexie, la vilaine avait avalé un Henri entier et l'avait dévoré avec la ficelle. La bougresse est tellement plate que le rôti dans son ventre lui donnait l'impression d'attendre des sextuplés, chat chat chat.
La ficelle s'était emmêlée dans son râteau dentaire et semblait indémêlable. C'est alors que j'ai pris une tenaille et que j'ai cisaillé la ficelle du rôti. Elle s'est écriée, je vais être estropiée des dents, c'est une catastrophe. Ce à quoi je lui ai répondu, pas de soucis, il y en a bien toujours une tous les six mètres, chat chat chat, oui elle a les dents du bonheur.
Pendant qu'elle se regardait les dents du fond avec le miroir, j'ai été voir si je ne trouvais pas mon bulot asiatique imbibé de Porto sibérien. Je l'ai retrouvé vers la rôtissoire. Il avait déjà englouti deux poulets.
Pépère, qu'il me dit, c'est toi. Pourquoi tu as picolé, tu crois halluciner. Oui, c'est moi, alors comme ça, on me vole mon dû que love bétonnière doit me donner.
C'est alors qu'il m'offrit un poulet pour que je ne dise rien à la vilaine.
Elle arrivait au même moment et le salopard regardant la bougresse lui a dit ; un chat sdf chez vous regarder, il vous vole un poulet, il vient d'en manger deux. C'est alors que d'un coup de patte, j'ai envoyé la rôtissoire au sol et je suis parti en courant. L'autre hypocrite était dehors, Pépère, Pépère, nabon les croquettes, miam miam, viens à la cabane.
Ce a quoi, j'ai crié en partant vers la soucoupe. Tu n'as qu'à te faire cuire un œuf de mammouths, soûlard, et puis je suis sdf, tu m'entends, sdf, oui, supplicié de la faim.
Là, je le surveille, il est avec un type devant. Un énorme camion de bois, mais il monte dedans. Sûrement, qu'ils vont faire un barbecue avec love alambic pour fêter le retour de Pépère.
Écoute, nous aurons peut-être besoin de renfort nousaautres, si tu veux, viens me rejoindre avec ma petite auto. Avant fait chauffer un peu les roues en roulant dans le champ, puis surtout pour bien la reprendre en pattes.
Lolo était heureux, il allait le retrouver à Mornay.
En plus, il allait pouvoir frimer devant la chienne.
Il démarra la voiture et se mit à faire des zigzags en tous sens devant Bibou et sa nouvelle amie.
Il avait trouvé une nouvelle admiratrice et il usait et en abusait en crânant avec la voiture du Pépère.
Puis il revint vers la palette.
- Bon, je vais devoir vous laisser pour rejoindre Pépère.
- Whouaf, Lolo, tu l'as bien en main la voiture ; lui dit elle.
- Je suis un peu Chatmareur et j'ai gagné des grands prix à plus finir contre des F1 professionnelles à la préhistoire.
- Whouaf, des grands prix à la préhistoire, whouaf, hé bien Lolo, tu es très fort.
- Oui, Bibou, même qu'un jour un coureur en passant à côté de moi à essayer de percer mes pneus avec un silex pour me faire perdre. N'empêche que le soir, je me suis bien foutu de lui quand il a essayé d'allumer le barbecue et que son silex était mort. Il n'arrivait plus à faire l'étincelle pour le feu et du coup, on a mangé ses chipolatas de mammouth acheté chez l'éclair en promotion totalement froides.
La chienne était curieuse de savoir ses liens avec Pépère.
- Whouaf, mais comment as-tu connu Pépère au fait ?
- Je l'ai connu en Irak et je lui ai sauvé la vie. Il avait reçu un éclat de noix de coco d'un cocotier qui avait exposé par un tir d'obus. Sans eau et par soixante degrés en plein désert, je l'ai porté sur mon dos pour m'emmener se faire soigner. En le transportant d'une patte armée, j'ai réussi malgré tout à tuer plus de cent terroristes.
Tout en parlant, il ne voyait pas qu'il piétinait et un vers de terre fit surface.
Bibou était très étonné, car Pépère avait déjà raconté la même histoire.
- Oui Bibou, des centaines... Maman maman moi peur maman.
Il partit quelques mètres plus loin tout tremblant.
- Whouaf qu'est ce qu'il t'est arrivé c'est le vers de terre.
- Oui, je suis allergique depuis mon sauvetage de pépère. En route, j'ai été attaqué par un vers mutant qui crachaient des gaz bactériologiques. J'ai été contaminé, mais je suis quand même arrivé après les avoir exterminé à parcourir les cent kilomètres qu'il me restait tout en me battant et le Pépère sur mon dos. J'ai été soigné, mais à présent une seul contact avec un vers peut m'être fatale.
- Enfin, bref, je minimise l'histoire, car c'était encore pire que ça, mais si je disais la vérité vraie, tu risquerais de ne pas me croire alors je t'ai raconté ce sauvetage en événements bénins.
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Une lecture agréable
Merci Daniel
Bon dimanchem
Amicalement
Gaby