Fripouille avait déjà fait deux repérages et s'apprêtait donc à poser la soucoupe.
Il avait vu François par les hublots de la soucoupe qui s'était enfuit à travers la forêt. Puis il avait vu les Américains à ses trousses.
- Mon père, il y a un danger, mais nous allons quand même nous poser.
- Mais que se passe-t-il donc ?
- Hé bien, l'homme moteur est en bas et il est pris en chasse par les Américains. Je ne doute pas que Pépère sache éloigner tous ces gêneurs.
- Un homme avec un moteur, je ne vous suis pas mon chat fils, comment, c'est possible ça.
- Non, l'homme moteur, François, c'est le fils du voisin du maître à Pépère.
- Mais pourquoi l'appelez-vous donc ainsi ?
- Hé bien, le temps de revenir atterrir pendant que la soucoupe fait sa boucle, j'ai le temps de vous raconter l'histoire.
Voilà déjà, sachez que son voisin n'a eu qu'une fille. Son grand regret était de ne pas avoir de fils. C'est alors qu'un jour, le maître a Pépère avait été lui faire une réparation sur un tracteur. Bien évidemment, c'était Pépère qui l'aidait en venant l'assister. C'est alors que l'homme commençait à se plaindre de ne pas avoir de fils. Puis le maître a Pépère partit réparer le tracteur.
Ce fut comme ça que le Pépère lui proposait ses services en lui disant qu'il pourrait lui faire un fils. L'homme étonné lui dit que cela serait impossible. Pépère lui assurait qu'il pourrait avec son maître le faire.
Le fils aurait des souvenirs comme s'il le fut et un passé gravé dans sa mémoire. Une apparence humaine très réelle et qu'il aurait les mêmes sensations qu'un vrai humain, qu'il mangerait et respirerait et aurait des sentiments.
Ce fut ainsi qu'il repartir avec le tracteur démonté en mille morceaux. Arrivés chez le poète, ils sortirent une caisse remplis de cartes électroniques d'ordinateur et des disques durs d'ordinateur.
Pépère fit François en une nuit et dut malheureusement partir en mission. Son maître se proposait de faire la partie électronique. Ce qu'il fit d'ailleurs le même jour. Malheureusement, il était complètement bourré et il s'était trompé dans ses programmes. Déjà, le père voulait qu'il s'appelât Alain et il lui donnait François comme prénom, à cause de son adoration pour la messe et le pape. Ce fut comme ça que François naquit un matin d'automne. C'est l'homme moteur de la région, mais il ne sait pas.
Il passe son temps avec une enceinte Bluetooth en main et il est toujours accompagné par un hologramme qui s'appelle Adélaïde.
- Hé bien, mon chat fils, c'est extrêmement étonnant cette histoire, Pépère est un véritable génie.
- Oui, mon Pére, préparez-vous, nous allons poser la soucoupe d'ici une minute.
Au sol, Pépère attendait toujours avec ses trois amis au milieu du champ. Ils avaient préparé une nasse de camouflage pour dissimuler la soucoupe en quelques secondes. Il fallait faire très vite dès que ses occupants en seraient sortis. Les Américains n'étaient pas très loin et ils pourraient la voir si l'opération était trop longue.
Grisou était toujours étonné des histoires de Pépère et se posait une question.
- Dit moi, Pépère, s'il mange tout le temps ton maître pourquoi ne grossit il pas.
- Hé bien, c'est qu'il est très nerveux et ses nerfs mangent la moitié de ce qu'il absorbe, puis l'alcool mange un tiers de ce qu'il reste, voilà pourquoi il ne grossit pas. N'oublie pas non plus que c'est un glouton qui a des dents en titane dans le ventre.
Grisou se mit alors à avoir un chat fou rire impressionnant.
- Hé bien, il est joyeux le grisou.
- Oui, tu l'as dit Toutblanc, ça, c'est rigoler où je ne m'y chat connaît pas, chat chat chat.
- Oui, Lolo, on se demande bien ce qu'il lui prend, chat chat chat.
Grisou au bout d'un moment reprit son souffle et leur répondit.
- Hé bien, voilà, devant sa cabane, il y a deux énormes pneus et je me chat disais qu'il avait peut-être mangé la voiture à qui ils appartiennent et que c'était tout ce qu'il en reste, chat chat chat.
- Hé bien, Grisou, va savoir, avec un ventre sur patte comme ça, il en serait capable.
- Oui, s'il a gardé les pneus, va savoir, Pépère.
- C'est qu'il s'en servait pour se déplacer, et ce, justement grâce à sa taille de fil de fer. Mais ça n'a pas été, car il faisait du vinaigre en rentrant d'Intermarcher.
- Mais qu'est-ce que c'est que cette histoire encore.
- Ce n'en est pas une, c'est la vérité vraie réelle pas fausse, d'un soûlard qui pensait avoir trouvé un moyen de transport révolutionnaire.
- Ha bon, avec un pneu, c'est assez étonnant !
- Hé bien, oui, tu l'as dit, Toublanc, c'est une drôle d'histoire.
Voilà, c'était à l'automne dernier. Un matin love colis était passé chez la mère tomate à Sancoins et elle lui donna les dernières de la saison. Pour la remercier, elle donna à la vieille une caisse de vin nucléaire du soûlard. Après s'être refait le crépit de la rate à grand coup de stylo à rhum scandinave, elle laissa la vieille. Après, je ne te raconte pas que la mère tomate fut retrouvée sur la place du marché devant l'église en train de danser de la techno MP3 vissé sur les oreilles et déambulateur en main, chat chat chat.
Donc, après s'être ruinée la rate à grand coup de pelle à moule elle vint voir mon estropié saoudien imbibé de vin sibérien. Ensemble, ils fêtèrent à nouveau les tomates. Si bien que mon Mohican à force à fini par tomber de la plate-forme devant le gourbi. Il avait fini dans le pneu et ce fut comme ça qu'il dormit à l'intérieur.
Love colis l'a retrouvé comme ça le matin et pour le réveiller a mis le pneu debout et s'est amusée à le pousser dans l'allée avec la Dacia histoire de rire.
Il n'était pas très content du réveil et répartit dans son gourbi se faire une orgie de denrées alimentaires. Puis la messe à fond, je l'entendais crier, je suis le meilleur, c'est révolutionnaire, c'est moi le plus fort.
Puis il s'en va à Sancoins avec la chatlauréane. Moi, j'attendais pour manger et il m'avait oublié. Je peux vous garantir qu'au retour, il ne lui a rien manqué. Je lui ai dit, alors c'est à cette heure-là qu'on arrive soûlard, nous avons faim nous autres.
Puis il me servait René habillé en smoking avec Penelope l'escalope qui l'accompagnait. J'ai trouvé ça suspect et me suis dit, il va te demander quelque chose.
Effectivement, il vint me trouver et me donnait un sac avec tes chaînes de vélo, des micros moteurs et des batteries de téléphone portable ultra fine et tout le nécessaire pour faire un système de recharge. C'est alors qu'il me dit, mon gentil minet, tu vois ces gros pneus, hé, bien, avec tu vas faire un moyen de transport révolutionnaire, tu fixes les chaînes de vélo sur le côté avec les moteurs pour qu'il roule tout seul.
Et ce fut comme ça qu'il se transformait en homme pneu. Il était content, car pour aller chercher son vin ça allait aussi vite. Malheureusement, il y avait un inconvénient, le vin en tournant en rond voyait mourir son alcool et tourner en vinaigre, il était furax et se désintéressait du pneu qui roule tout seul.
Il avait vu François par les hublots de la soucoupe qui s'était enfuit à travers la forêt. Puis il avait vu les Américains à ses trousses.
- Mon père, il y a un danger, mais nous allons quand même nous poser.
- Mais que se passe-t-il donc ?
- Hé bien, l'homme moteur est en bas et il est pris en chasse par les Américains. Je ne doute pas que Pépère sache éloigner tous ces gêneurs.
- Un homme avec un moteur, je ne vous suis pas mon chat fils, comment, c'est possible ça.
- Non, l'homme moteur, François, c'est le fils du voisin du maître à Pépère.
- Mais pourquoi l'appelez-vous donc ainsi ?
- Hé bien, le temps de revenir atterrir pendant que la soucoupe fait sa boucle, j'ai le temps de vous raconter l'histoire.
Voilà déjà, sachez que son voisin n'a eu qu'une fille. Son grand regret était de ne pas avoir de fils. C'est alors qu'un jour, le maître a Pépère avait été lui faire une réparation sur un tracteur. Bien évidemment, c'était Pépère qui l'aidait en venant l'assister. C'est alors que l'homme commençait à se plaindre de ne pas avoir de fils. Puis le maître a Pépère partit réparer le tracteur.
Ce fut comme ça que le Pépère lui proposait ses services en lui disant qu'il pourrait lui faire un fils. L'homme étonné lui dit que cela serait impossible. Pépère lui assurait qu'il pourrait avec son maître le faire.
Le fils aurait des souvenirs comme s'il le fut et un passé gravé dans sa mémoire. Une apparence humaine très réelle et qu'il aurait les mêmes sensations qu'un vrai humain, qu'il mangerait et respirerait et aurait des sentiments.
Ce fut ainsi qu'il repartir avec le tracteur démonté en mille morceaux. Arrivés chez le poète, ils sortirent une caisse remplis de cartes électroniques d'ordinateur et des disques durs d'ordinateur.
Pépère fit François en une nuit et dut malheureusement partir en mission. Son maître se proposait de faire la partie électronique. Ce qu'il fit d'ailleurs le même jour. Malheureusement, il était complètement bourré et il s'était trompé dans ses programmes. Déjà, le père voulait qu'il s'appelât Alain et il lui donnait François comme prénom, à cause de son adoration pour la messe et le pape. Ce fut comme ça que François naquit un matin d'automne. C'est l'homme moteur de la région, mais il ne sait pas.
Il passe son temps avec une enceinte Bluetooth en main et il est toujours accompagné par un hologramme qui s'appelle Adélaïde.
- Hé bien, mon chat fils, c'est extrêmement étonnant cette histoire, Pépère est un véritable génie.
- Oui, mon Pére, préparez-vous, nous allons poser la soucoupe d'ici une minute.
Au sol, Pépère attendait toujours avec ses trois amis au milieu du champ. Ils avaient préparé une nasse de camouflage pour dissimuler la soucoupe en quelques secondes. Il fallait faire très vite dès que ses occupants en seraient sortis. Les Américains n'étaient pas très loin et ils pourraient la voir si l'opération était trop longue.
Grisou était toujours étonné des histoires de Pépère et se posait une question.
- Dit moi, Pépère, s'il mange tout le temps ton maître pourquoi ne grossit il pas.
- Hé bien, c'est qu'il est très nerveux et ses nerfs mangent la moitié de ce qu'il absorbe, puis l'alcool mange un tiers de ce qu'il reste, voilà pourquoi il ne grossit pas. N'oublie pas non plus que c'est un glouton qui a des dents en titane dans le ventre.
Grisou se mit alors à avoir un chat fou rire impressionnant.
- Hé bien, il est joyeux le grisou.
- Oui, tu l'as dit Toutblanc, ça, c'est rigoler où je ne m'y chat connaît pas, chat chat chat.
- Oui, Lolo, on se demande bien ce qu'il lui prend, chat chat chat.
Grisou au bout d'un moment reprit son souffle et leur répondit.
- Hé bien, voilà, devant sa cabane, il y a deux énormes pneus et je me chat disais qu'il avait peut-être mangé la voiture à qui ils appartiennent et que c'était tout ce qu'il en reste, chat chat chat.
- Hé bien, Grisou, va savoir, avec un ventre sur patte comme ça, il en serait capable.
- Oui, s'il a gardé les pneus, va savoir, Pépère.
- C'est qu'il s'en servait pour se déplacer, et ce, justement grâce à sa taille de fil de fer. Mais ça n'a pas été, car il faisait du vinaigre en rentrant d'Intermarcher.
- Mais qu'est-ce que c'est que cette histoire encore.
- Ce n'en est pas une, c'est la vérité vraie réelle pas fausse, d'un soûlard qui pensait avoir trouvé un moyen de transport révolutionnaire.
- Ha bon, avec un pneu, c'est assez étonnant !
- Hé bien, oui, tu l'as dit, Toublanc, c'est une drôle d'histoire.
Voilà, c'était à l'automne dernier. Un matin love colis était passé chez la mère tomate à Sancoins et elle lui donna les dernières de la saison. Pour la remercier, elle donna à la vieille une caisse de vin nucléaire du soûlard. Après s'être refait le crépit de la rate à grand coup de stylo à rhum scandinave, elle laissa la vieille. Après, je ne te raconte pas que la mère tomate fut retrouvée sur la place du marché devant l'église en train de danser de la techno MP3 vissé sur les oreilles et déambulateur en main, chat chat chat.
Donc, après s'être ruinée la rate à grand coup de pelle à moule elle vint voir mon estropié saoudien imbibé de vin sibérien. Ensemble, ils fêtèrent à nouveau les tomates. Si bien que mon Mohican à force à fini par tomber de la plate-forme devant le gourbi. Il avait fini dans le pneu et ce fut comme ça qu'il dormit à l'intérieur.
Love colis l'a retrouvé comme ça le matin et pour le réveiller a mis le pneu debout et s'est amusée à le pousser dans l'allée avec la Dacia histoire de rire.
Il n'était pas très content du réveil et répartit dans son gourbi se faire une orgie de denrées alimentaires. Puis la messe à fond, je l'entendais crier, je suis le meilleur, c'est révolutionnaire, c'est moi le plus fort.
Puis il s'en va à Sancoins avec la chatlauréane. Moi, j'attendais pour manger et il m'avait oublié. Je peux vous garantir qu'au retour, il ne lui a rien manqué. Je lui ai dit, alors c'est à cette heure-là qu'on arrive soûlard, nous avons faim nous autres.
Puis il me servait René habillé en smoking avec Penelope l'escalope qui l'accompagnait. J'ai trouvé ça suspect et me suis dit, il va te demander quelque chose.
Effectivement, il vint me trouver et me donnait un sac avec tes chaînes de vélo, des micros moteurs et des batteries de téléphone portable ultra fine et tout le nécessaire pour faire un système de recharge. C'est alors qu'il me dit, mon gentil minet, tu vois ces gros pneus, hé, bien, avec tu vas faire un moyen de transport révolutionnaire, tu fixes les chaînes de vélo sur le côté avec les moteurs pour qu'il roule tout seul.
Et ce fut comme ça qu'il se transformait en homme pneu. Il était content, car pour aller chercher son vin ça allait aussi vite. Malheureusement, il y avait un inconvénient, le vin en tournant en rond voyait mourir son alcool et tourner en vinaigre, il était furax et se désintéressait du pneu qui roule tout seul.
