Lolo se prenait pour Pépère et fonçais vers Mornay quand il se rendit compte qu'il n'avait pas pris Toublanc avec lui comme cela était convenu.
Le pauvre chat était parti en courant derrière le scooter, mais n'avait pas pu le rattraper.
Il s'était mis en retard à cause d'un bout d'os de poulet dans la gencive. C'est Avéame qui l'avait aidé et le temps qu'elle y arrive, Lolo avait déjà franchi le pseudo-barrage de police.
C'est alors qu'il tomba sur le général Picolle.
- Halte, nom, âge, profession, chatpapier d'identité.
- Toublanc, cinq ans, agent secret pour le compte de Pépère. Je n'ai que mon chatsport international, ça ira monsieur l'agent.
- Oui, ça ira, mais dites moi, c'est bien votre chatpasport. Sur la photo, vous portez des lunettes de chatvue. Alors mon gaillard, on se fait passer pour un agent de la force publique. Ton compte est bon, je vais te coller dix ans de bouton rouge et tu feras moins le chat malin après ça !
- C'est parce que je porte des lentilles de correction à présent mon général, vous parlez d'une histoire.
- Non d'un bazooka, c'est inimaginable, quelle effronterie.
C'est alors qu'apparut Lolo sur le scooter.
Il comprit de suite que le pauvre toublanc était embêté par le général Picolle.
Il gara le scooter et vint à l'aide de son ami.
- Hé, que se passe-t-il général ?
- Hé bien, ce gaillard se fait passer pour un agent secret sous les ordres de Pépère. Je vais procéder à son chatrestation pour usurpation d'identité.
- Mais c'est Toutblanc mon coéquipier et c'est bien un agent de Pépère, comme moi.
- Ha bon, excuser moi, la loi est une vocation pour moi.
- C'est ce que nous voyons mon général, vous êtes né avec.
- Hé bien, messieurs chats, Toublanc et Lolo, on peut le dire car le premier procès-verbal que j'ai dressé était pour le chien de mon père alors que je n'avais que trente minutes de vie.
- Ah bon au bout de trente minutes, c'est étonnant ça, comment se fait-il ?
- Hé bien, monsieur Toutblanc je vais vous l'expliquer.
Voilà déjà sachez que ma mère était informée de ma carrière avant ma naissance.
- Ha, bon, c'est étonnant, mais comment la savait-elle ?
- Oui, car lors des échographies, j'étais rentré en contact avec le médecin. Et c'est en mors que je soumis mon désir de passer mes classes et ma formation militaire dans le ventre de ma mère. C'est ainsi qu'à la naissance me fut alloué un costume de général. Deux minutes plus tard j'étais décoré de la Légion d'honneur. Oui, de mon ventre et en mors j'étais arrivé à diriger une mission militaire au Tchad.
C'est donc après quatre minutes que je me mis à sillonner les couloirs de la maternité en chantant la Marseillaise.
C'est alors que je rencontrais un homme qui fut mon père. Il était dans l'établissement sans masque et cela fut obligatoire à l'époque, car je suis né durant une épidémie de malaria.
Et c'est comme ça que je ne le connus qu'à l'âge de cinq ans.
- Ha bon, pourquoi à l'âge de cinq ans.
-Voilà déjà sachez que ma mère était informée de ma carrière avant ma naissance.
Je peux vous assurer qu'il filait droit, je lui avais promis un dressage en règle.
Lolo et toutblanc avaient écouté l'histoire du général et ils se posaient beaucoup de questions sur sa santé mentale.
Ils ne répondirent rien si ce n'est qu'il était l'un des militaires les plus importants pour la France.
Ils remontèrent sur le scooter et partirent doucement jusqu'à la route.
- Tu crois que son histoire est vraie, Lolo.
- Laisse le parler, il raconte n'importe quoi. Ce n'est pas comme nous autres qui ne disons que la vérité vraie authentique et pas fausse et authentiquement avérée vraie par l'huissier de la vérité qui n'est pas fausse, chat chat chat.
- Oui, tu as sûrement raison, mais en attendant, tu aurais pu m'attendre tout à l'heure.
- C'est que j'ai déjà été à Mornay en reconnaissance figure toi.
J'ai dû combattre un monstre là-bas.
- Mais tu étais parti depuis vingt-cinq minutes.
- Oui, mais le scooter monte à plus de deux cents à l'heure.
- Oui, mais quand même, tu as eu le temps d'aller espionner jambe d'acier et terrasser un monstre. Comment ça s'est passé ?
Hé bien, voilà, Pépère m'avait envoyé un message pour que j'aille espionner le brontosaure sur patte décapsuleur de villageoise avant de préparer la zone d'atterrissage à côté.
J'ai été à Mornay, puis de derrière la cabane, j'ai écouté une conversation avec un dealer de champignons hallucinogènes.
Ils s'en servent avec love glace pour les croquettes du commissariat, bref.
Donc, le fourgon, là-bas, est un coffre-fort. Je suis donc reparti vers le coffre-fort et je suis tombé nez à nez avec ce renard géant qui s'occupe de la culture des champignons. Au début, il a essayé de m'intimider et j'ai saisi devant lui le tronc d'un sapin et j'ai secoué l'arbre, les aiguilles lui sont toutes tombées dessus. Ensuite, j'ai mis un coup de patte à un autre et l'arbre à été déraciné. En voyant la force dont je faisais preuve, il me dit comme ça. S'il te plaît, ne me fais pas de mal. C'est alors qu'il m'a raconté son histoire. Il a été contaminé par les vignes nucléaires qui étaient en face de la cabane autrefois et il a muté en un renard de trois mètres de haut sur patte. Le soûlard lui fait cultiver les champignons hallucinogènes dans le bois et il garde la parcelle. Au début où il a rencontré le poivrot irakien, celui-ci lui donnait des madeleines et le pauvre à les poils remplis de cholestérol. Du coup, les champignons lui servent aussi de médicament. Il cueille les champignons et les entrepose dans le coffre-fort. Le soûlard les ramène au commissariat pour la préparation des croquettes.
Dans l'univers, pendant que les fées prenaient un repos bien mérité, Pépère finissait enfin son histoire devant sa fille et sa chatmoureuse.
- C'est alors qu'elle revenait vers lui qu'elle vit qu'il avait déjà mangé la table et tout ce qui était dessus.
C'est comme ça que je fus obligé d'y retourner pour trouver une solution.
Oui, déjà en temps normal, il est capable de manger un bœuf entier alors imagine avec des dents de t-rex, ma fille.
- J'ai donc été sur le terrain avec méfiance des fois qu'il ait eu l'idée de me manger. Je fis donc très attention et arrivé sur place, je vis que love brioche n'avait pas été dévoré.
Je me suis alors lancé dans des recherches pour savoir où j'avais commis une erreur dans mon sérum.
Mon sac de ciment pour maçon Coréen né en Corse de l'équateur ne pouvait plus contrôler ses dents.
Love képi vint me voir et me dit comme ça.
- Pépère écoute, il a déjà mangé la moitié de la pinède. Tu chercheras après j'ai une idée. Dans la Dacia j'ai un marteau-piqueur en panne. Il appartient à mon ami Erialubitap et il est en panne.
C'est ainsi que je dus remettre en état l'appareil. Elle le prit ensuite et pendant toute la nuit pendant que je reprenais mes notes, elle lui cisaillait les dents avec le marteau-piqueur.
C'est au petit matin que je trouvais enfin mon erreur et que je lui fis la piqûre ultime qui le guérit définitivement.
Il y eut des plaintes pour tapage nocturne à cause de l'appareil.
C'est avec audace que love ciment m'accusait et que je fis deux jours de chatprison.
Elle a juré sous serment m'avoir donné l'appareil à réparer et qu'une fois remis en état, je m'en étais servi toute la nuit pour me détartrer les dents et l'essayer. Elle invoquait le fait que je mangeais beaucoup de poulets et que c'était pour cette raison que mes dents étaient entartrées.
Le pauvre chat était parti en courant derrière le scooter, mais n'avait pas pu le rattraper.
Il s'était mis en retard à cause d'un bout d'os de poulet dans la gencive. C'est Avéame qui l'avait aidé et le temps qu'elle y arrive, Lolo avait déjà franchi le pseudo-barrage de police.
C'est alors qu'il tomba sur le général Picolle.
- Halte, nom, âge, profession, chatpapier d'identité.
- Toublanc, cinq ans, agent secret pour le compte de Pépère. Je n'ai que mon chatsport international, ça ira monsieur l'agent.
- Oui, ça ira, mais dites moi, c'est bien votre chatpasport. Sur la photo, vous portez des lunettes de chatvue. Alors mon gaillard, on se fait passer pour un agent de la force publique. Ton compte est bon, je vais te coller dix ans de bouton rouge et tu feras moins le chat malin après ça !
- C'est parce que je porte des lentilles de correction à présent mon général, vous parlez d'une histoire.
- Non d'un bazooka, c'est inimaginable, quelle effronterie.
C'est alors qu'apparut Lolo sur le scooter.
Il comprit de suite que le pauvre toublanc était embêté par le général Picolle.
Il gara le scooter et vint à l'aide de son ami.
- Hé, que se passe-t-il général ?
- Hé bien, ce gaillard se fait passer pour un agent secret sous les ordres de Pépère. Je vais procéder à son chatrestation pour usurpation d'identité.
- Mais c'est Toutblanc mon coéquipier et c'est bien un agent de Pépère, comme moi.
- Ha bon, excuser moi, la loi est une vocation pour moi.
- C'est ce que nous voyons mon général, vous êtes né avec.
- Hé bien, messieurs chats, Toublanc et Lolo, on peut le dire car le premier procès-verbal que j'ai dressé était pour le chien de mon père alors que je n'avais que trente minutes de vie.
- Ah bon au bout de trente minutes, c'est étonnant ça, comment se fait-il ?
- Hé bien, monsieur Toutblanc je vais vous l'expliquer.
Voilà déjà sachez que ma mère était informée de ma carrière avant ma naissance.
- Ha, bon, c'est étonnant, mais comment la savait-elle ?
- Oui, car lors des échographies, j'étais rentré en contact avec le médecin. Et c'est en mors que je soumis mon désir de passer mes classes et ma formation militaire dans le ventre de ma mère. C'est ainsi qu'à la naissance me fut alloué un costume de général. Deux minutes plus tard j'étais décoré de la Légion d'honneur. Oui, de mon ventre et en mors j'étais arrivé à diriger une mission militaire au Tchad.
C'est donc après quatre minutes que je me mis à sillonner les couloirs de la maternité en chantant la Marseillaise.
C'est alors que je rencontrais un homme qui fut mon père. Il était dans l'établissement sans masque et cela fut obligatoire à l'époque, car je suis né durant une épidémie de malaria.
Et c'est comme ça que je ne le connus qu'à l'âge de cinq ans.
- Ha bon, pourquoi à l'âge de cinq ans.
-Voilà déjà sachez que ma mère était informée de ma carrière avant ma naissance.
Je peux vous assurer qu'il filait droit, je lui avais promis un dressage en règle.
Lolo et toutblanc avaient écouté l'histoire du général et ils se posaient beaucoup de questions sur sa santé mentale.
Ils ne répondirent rien si ce n'est qu'il était l'un des militaires les plus importants pour la France.
Ils remontèrent sur le scooter et partirent doucement jusqu'à la route.
- Tu crois que son histoire est vraie, Lolo.
- Laisse le parler, il raconte n'importe quoi. Ce n'est pas comme nous autres qui ne disons que la vérité vraie authentique et pas fausse et authentiquement avérée vraie par l'huissier de la vérité qui n'est pas fausse, chat chat chat.
- Oui, tu as sûrement raison, mais en attendant, tu aurais pu m'attendre tout à l'heure.
- C'est que j'ai déjà été à Mornay en reconnaissance figure toi.
J'ai dû combattre un monstre là-bas.
- Mais tu étais parti depuis vingt-cinq minutes.
- Oui, mais le scooter monte à plus de deux cents à l'heure.
- Oui, mais quand même, tu as eu le temps d'aller espionner jambe d'acier et terrasser un monstre. Comment ça s'est passé ?
Hé bien, voilà, Pépère m'avait envoyé un message pour que j'aille espionner le brontosaure sur patte décapsuleur de villageoise avant de préparer la zone d'atterrissage à côté.
J'ai été à Mornay, puis de derrière la cabane, j'ai écouté une conversation avec un dealer de champignons hallucinogènes.
Ils s'en servent avec love glace pour les croquettes du commissariat, bref.
Donc, le fourgon, là-bas, est un coffre-fort. Je suis donc reparti vers le coffre-fort et je suis tombé nez à nez avec ce renard géant qui s'occupe de la culture des champignons. Au début, il a essayé de m'intimider et j'ai saisi devant lui le tronc d'un sapin et j'ai secoué l'arbre, les aiguilles lui sont toutes tombées dessus. Ensuite, j'ai mis un coup de patte à un autre et l'arbre à été déraciné. En voyant la force dont je faisais preuve, il me dit comme ça. S'il te plaît, ne me fais pas de mal. C'est alors qu'il m'a raconté son histoire. Il a été contaminé par les vignes nucléaires qui étaient en face de la cabane autrefois et il a muté en un renard de trois mètres de haut sur patte. Le soûlard lui fait cultiver les champignons hallucinogènes dans le bois et il garde la parcelle. Au début où il a rencontré le poivrot irakien, celui-ci lui donnait des madeleines et le pauvre à les poils remplis de cholestérol. Du coup, les champignons lui servent aussi de médicament. Il cueille les champignons et les entrepose dans le coffre-fort. Le soûlard les ramène au commissariat pour la préparation des croquettes.
Dans l'univers, pendant que les fées prenaient un repos bien mérité, Pépère finissait enfin son histoire devant sa fille et sa chatmoureuse.
- C'est alors qu'elle revenait vers lui qu'elle vit qu'il avait déjà mangé la table et tout ce qui était dessus.
C'est comme ça que je fus obligé d'y retourner pour trouver une solution.
Oui, déjà en temps normal, il est capable de manger un bœuf entier alors imagine avec des dents de t-rex, ma fille.
- J'ai donc été sur le terrain avec méfiance des fois qu'il ait eu l'idée de me manger. Je fis donc très attention et arrivé sur place, je vis que love brioche n'avait pas été dévoré.
Je me suis alors lancé dans des recherches pour savoir où j'avais commis une erreur dans mon sérum.
Mon sac de ciment pour maçon Coréen né en Corse de l'équateur ne pouvait plus contrôler ses dents.
Love képi vint me voir et me dit comme ça.
- Pépère écoute, il a déjà mangé la moitié de la pinède. Tu chercheras après j'ai une idée. Dans la Dacia j'ai un marteau-piqueur en panne. Il appartient à mon ami Erialubitap et il est en panne.
C'est ainsi que je dus remettre en état l'appareil. Elle le prit ensuite et pendant toute la nuit pendant que je reprenais mes notes, elle lui cisaillait les dents avec le marteau-piqueur.
C'est au petit matin que je trouvais enfin mon erreur et que je lui fis la piqûre ultime qui le guérit définitivement.
Il y eut des plaintes pour tapage nocturne à cause de l'appareil.
C'est avec audace que love ciment m'accusait et que je fis deux jours de chatprison.
Elle a juré sous serment m'avoir donné l'appareil à réparer et qu'une fois remis en état, je m'en étais servi toute la nuit pour me détartrer les dents et l'essayer. Elle invoquait le fait que je mangeais beaucoup de poulets et que c'était pour cette raison que mes dents étaient entartrées.
