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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Le long de la mare à Coin-coin, toute la bande s'était rapproché de la palette.
Suivant l'ordre à Isidore chacun s'était mis dans la tête qu'il ne fallait pas laisser perdre les poulets.
Bibou, Elchaponne, Fripouille, Avéame, Lolo, Sybage et Un-œil étaient l'un contre l'autre devant Isidore qui faisait le décompte des poulets.
- Alors nous avons cent vingt poulets. Pépère à déjà pris ces trente-sept donc ils nous restent donc cette centaine de poulets nous autres et nous sommes huit. Donc cela fait quinze poulets chacun.
- Whouaf, on va bien manger, c'est bon ça, hum, whouaf.
- Attends, Isidore, c'est moi qui dois faire la moyenne compensée.
- Pourquoi ça mon chamoureux, c'est Isidore qui les a compté pour les partager. En plus, il nous a dits que ça faisait quinze poulets chacun.
- Oui, Sybage, tu as raison. Mais pourquoi veux-tu les partager Lolo.
- Parce que Pépère m'a dit que j'étais le chef en son absence, chat chat chat.
Donc vous me devez chacun un poulet et vous en aurez chacun quatorze et moi quinze plus sept, chat chat chat.
- Whouaf, tu ne vas pas manger vingt-deux poulets.
- Hé bien si mon copain, mais déjà mangeons en un déjà pour les goûter. Simplement, maintenant vous savez que vingt-deux René de cette palette sont pour moi.
Pendant ce temps-là, Chatdore était dans son laboratoire avec Saturne et Turbo, ignorant qu'il n'y aurait plus de poulets à son retour. Il travaillait sur l'histoire du dentifrice comme lui avait indiqué le professeur.
Il avait essayé sur Turbo le dentifrice en question et le pauvre avait fait une allergie et il était devenu tout vert. Chatdore lui avait promis dix poulets de la palette pour s'excuser. Alors, à leur retour, le pauvre Turbo ne serait pas déçu.
À la brasserie, le président était coi devant le professeur et l'histoire des dents de sa femme.
- Hé bien, vous dites qu'elle est partie avec un milliardaire par la suite. Vous parlez d'une histoire, cela a dû vous chauffer les neurones de savoir que c'était par votre faute.
- Oui, ne m'en parlez pas, j'avais perdu gros ce jour-là. Jamais je ne pourrai retrouver un tel laideron, savez-vous.
Mais dites moi, en parlant de feu, quelle est-elle cette histoire de votre côté avec Adounette ?
- Ha oui, que je vous raconte cette petite mésaventure.
Avant d'y venir, je pense à une chose, avez-vous déjà vu la vilaine qui tient l'épicerie de Mornay ?
- C'est le village qui est à côté, s'il m'en souvient correctement. Non, je ne connais point cette brave vilaine.
- Hé bien, je pense vous la présenterai.
Je suppute que vous soyez marié d'ici la fin de cette propre année. Quand vous verrez comme elle est vilaine vous en défaillirez, je puis vous le dire monsieur Ourat.
Donc, après cette histoire de détartrage, je continuais de visiter régulièrement mon amie la jument. Il ne passait un jour sans que nous nous envoyons dix à vingt SMS. Puis l'hiver arriva avec ses turpitudes et ses vents hiémaux. La pauvre ne cessait de me dire qu'elle avait très froid les nuits durant. Les stalles étaient mal isolées et il y faisait mauvais. J'insistais alors auprès du propriétaire du château qui était à côté pour qu'il lui installât un chauffage.
- Mais c'était son propriétaire, non, je ne vous suis plus.
- Non, elle était en pension ici, car son propriétaire habitait Amiens en plein centre ville.
Donc, j'étais arrivé à le convaincre et il lui installait un chauffage à gaz qui était branché au château.
Je m'étais proposé de faire l'entretien et l'installation afin de diminuer les coups de l'opération.
Un jour m'en allant au château, le propriétaire me dit comme ça.
Le gaz est cher et l'entretien gratuit ne fait pas tout. Ce fut alors que je proposais mes services à l'entretient du parc. Ce fut donc le samedi suivant que je fis une petite bêtise.
L'après-midi de ce fameux jour j'y étais allé pour nettoyer le parc de quelques résidus de bois et de feuilles. Je fis brûler tous ces déchets verts sur le parc. J'en profitais pour vérifier l'installation du chauffage de mon amie. Ce fut ainsi que sans le vouloir en vérifiant les conduites de gaz que je fis un trou dans un tuyau avec mon cheveu.
Le lendemain matin le château était en cendre.
Forte, heureusement, les stalles n'avaient point brûlé.
- Mais qu'était-il arrivé ?
- Hé bien, le gaz s'échappa du tuyau percé et se rependit sur le parc. Il s'enflamma au contact des braises du feu que je fis la veille même. Ceci mit le feu à un garage proche où le propriétaire du château rangeât pour l'hiver trois voitures sportives.
Une Ferrari, une Bugatti et une Porche, enfin trous véhicules sans importance. Les réservoirs plein attisèrent les flammes qui finirent sur le château. Voilà, une bêtise d'enfant quoi, le préjudice ne fut que d'à peine quarante millions d'euros, une bricole. Mais mon amie était sauvée.
Beaucoup plus loin dans l'univers sur la planète qui était derrière le trou noir, sur Sumixorp, nos amis attendaient avec impatience le retour de Choûanne.

Pépère se mit en avant et dit à sa fille.

- Écoute ceci, je vais recevoir ma maman fée Choûanne et comme tu peux le voir, je suis parfaitement toiletté. Oui, il te faudra enseigner ça à tes petits. La propreté est un art et si tu veux, je pourrai te faire découvrir mon savon révolutionnaire. Oui, écoute bien ceci ma fille, il suffit de le regarder pour être propre. Alors qui c'est le meilleur et le plus génial des inventeurs, c'est Pépère, oui, ma fille.
- Mais tes Nike sont toutes tâchés, chat chat chat.
- Oui, c'est à cause de love huile, avant de prendre le départ.
- Ha bon, et pourquoi ça, que s'est il passé ?
- Hé bien, dans le champ à Coin-coin il y a une culture de pomme de terre. Alors elle voulait manger des frites et j'ai dû faire l'arracheur de pommes de terre, voilà comment j'ai sali mes belles baskets que je ne suis pas arrivé à détacher.
Elle me dit comme ça, pour fêter ton départ nous allons nous faire un poulet frite. Aller Pépère, creuse, creuse, déterre, sont les paroles que j'ai encore au souvenir.
Je lui dis comme ça, mais nous n'avons pas de feu pour le poulet. C'est alors qu'elle me répond, j'ai de l'anti-gel.
- De l'anti-gel, mais que fait-elle avec ça.
- C'est le nom qu'elle donne au rhum. Donc elle but une bouteille et souffla sur la bête et celle-ci se retrouva cuite. Moi, je creusais et j'entendais ses grandes dents. Je me suis dit, adieu poulet nous n'en aurons pas nous autres. Et après, j'ai fait les frites, elle m'en laissa dix grammes après avoir fait une moyenne compensée en comptant la saleté de mes pauvres Nike.
Voilà ma fille, ma pauvre vie de misère.

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Cortisone

Maître Poète
#2
Le long de la mare à Coin-coin, toute la bande s'était rapproché de la palette.
Suivant l'ordre à Isidore chacun s'était mis dans la tête qu'il ne fallait pas laisser perdre les poulets.
Bibou, Elchaponne, Fripouille, Avéame, Lolo, Sybage et Un-œil étaient l'un contre l'autre devant Isidore qui faisait le décompte des poulets.
- Alors nous avons cent vingt poulets. Pépère à déjà pris ces trente-sept donc ils nous restent donc cette centaine de poulets nous autres et nous sommes huit. Donc cela fait quinze poulets chacun.
- Whouaf, on va bien manger, c'est bon ça, hum, whouaf.
- Attends, Isidore, c'est moi qui dois faire la moyenne compensée.
- Pourquoi ça mon chamoureux, c'est Isidore qui les a compté pour les partager. En plus, il nous a dits que ça faisait quinze poulets chacun.
- Oui, Sybage, tu as raison. Mais pourquoi veux-tu les partager Lolo.
- Parce que Pépère m'a dit que j'étais le chef en son absence, chat chat chat.
Donc vous me devez chacun un poulet et vous en aurez chacun quatorze et moi quinze plus sept, chat chat chat.
- Whouaf, tu ne vas pas manger vingt-deux poulets.
- Hé bien si mon copain, mais déjà mangeons en un déjà pour les goûter. Simplement, maintenant vous savez que vingt-deux René de cette palette sont pour moi.
Pendant ce temps-là, Chatdore était dans son laboratoire avec Saturne et Turbo, ignorant qu'il n'y aurait plus de poulets à son retour. Il travaillait sur l'histoire du dentifrice comme lui avait indiqué le professeur.
Il avait essayé sur Turbo le dentifrice en question et le pauvre avait fait une allergie et il était devenu tout vert. Chatdore lui avait promis dix poulets de la palette pour s'excuser. Alors, à leur retour, le pauvre Turbo ne serait pas déçu.
À la brasserie, le président était coi devant le professeur et l'histoire des dents de sa femme.
- Hé bien, vous dites qu'elle est partie avec un milliardaire par la suite. Vous parlez d'une histoire, cela a dû vous chauffer les neurones de savoir que c'était par votre faute.
- Oui, ne m'en parlez pas, j'avais perdu gros ce jour-là. Jamais je ne pourrai retrouver un tel laideron, savez-vous.
Mais dites moi, en parlant de feu, quelle est-elle cette histoire de votre côté avec Adounette ?
- Ha oui, que je vous raconte cette petite mésaventure.
Avant d'y venir, je pense à une chose, avez-vous déjà vu la vilaine qui tient l'épicerie de Mornay ?
- C'est le village qui est à côté, s'il m'en souvient correctement. Non, je ne connais point cette brave vilaine.
- Hé bien, je pense vous la présenterai.
Je suppute que vous soyez marié d'ici la fin de cette propre année. Quand vous verrez comme elle est vilaine vous en défaillirez, je puis vous le dire monsieur Ourat.
Donc, après cette histoire de détartrage, je continuais de visiter régulièrement mon amie la jument. Il ne passait un jour sans que nous nous envoyons dix à vingt SMS. Puis l'hiver arriva avec ses turpitudes et ses vents hiémaux. La pauvre ne cessait de me dire qu'elle avait très froid les nuits durant. Les stalles étaient mal isolées et il y faisait mauvais. J'insistais alors auprès du propriétaire du château qui était à côté pour qu'il lui installât un chauffage.
- Mais c'était son propriétaire, non, je ne vous suis plus.
- Non, elle était en pension ici, car son propriétaire habitait Amiens en plein centre ville.
Donc, j'étais arrivé à le convaincre et il lui installait un chauffage à gaz qui était branché au château.
Je m'étais proposé de faire l'entretien et l'installation afin de diminuer les coups de l'opération.
Un jour m'en allant au château, le propriétaire me dit comme ça.
Le gaz est cher et l'entretien gratuit ne fait pas tout. Ce fut alors que je proposais mes services à l'entretient du parc. Ce fut donc le samedi suivant que je fis une petite bêtise.
L'après-midi de ce fameux jour j'y étais allé pour nettoyer le parc de quelques résidus de bois et de feuilles. Je fis brûler tous ces déchets verts sur le parc. J'en profitais pour vérifier l'installation du chauffage de mon amie. Ce fut ainsi que sans le vouloir en vérifiant les conduites de gaz que je fis un trou dans un tuyau avec mon cheveu.
Le lendemain matin le château était en cendre.
Forte, heureusement, les stalles n'avaient point brûlé.
- Mais qu'était-il arrivé ?
- Hé bien, le gaz s'échappa du tuyau percé et se rependit sur le parc. Il s'enflamma au contact des braises du feu que je fis la veille même. Ceci mit le feu à un garage proche où le propriétaire du château rangeât pour l'hiver trois voitures sportives.
Une Ferrari, une Bugatti et une Porche, enfin trous véhicules sans importance. Les réservoirs plein attisèrent les flammes qui finirent sur le château. Voilà, une bêtise d'enfant quoi, le préjudice ne fut que d'à peine quarante millions d'euros, une bricole. Mais mon amie était sauvée.
Beaucoup plus loin dans l'univers sur la planète qui était derrière le trou noir, sur Sumixorp, nos amis attendaient avec impatience le retour de Choûanne.

Pépère se mit en avant et dit à sa fille.

- Écoute ceci, je vais recevoir ma maman fée Choûanne et comme tu peux le voir, je suis parfaitement toiletté. Oui, il te faudra enseigner ça à tes petits. La propreté est un art et si tu veux, je pourrai te faire découvrir mon savon révolutionnaire. Oui, écoute bien ceci ma fille, il suffit de le regarder pour être propre. Alors qui c'est le meilleur et le plus génial des inventeurs, c'est Pépère, oui, ma fille.
- Mais tes Nike sont toutes tâchés, chat chat chat.
- Oui, c'est à cause de love huile, avant de prendre le départ.
- Ha bon, et pourquoi ça, que s'est il passé ?
- Hé bien, dans le champ à Coin-coin il y a une culture de pomme de terre. Alors elle voulait manger des frites et j'ai dû faire l'arracheur de pommes de terre, voilà comment j'ai sali mes belles baskets que je ne suis pas arrivé à détacher.
Elle me dit comme ça, pour fêter ton départ nous allons nous faire un poulet frite. Aller Pépère, creuse, creuse, déterre, sont les paroles que j'ai encore au souvenir.
Je lui dis comme ça, mais nous n'avons pas de feu pour le poulet. C'est alors qu'elle me répond, j'ai de l'anti-gel.
- De l'anti-gel, mais que fait-elle avec ça.
- C'est le nom qu'elle donne au rhum. Donc elle but une bouteille et souffla sur la bête et celle-ci se retrouva cuite. Moi, je creusais et j'entendais ses grandes dents. Je me suis dit, adieu poulet nous n'en aurons pas nous autres. Et après, j'ai fait les frites, elle m'en laissa dix grammes après avoir fait une moyenne compensée en comptant la saleté de mes pauvres Nike.
Voilà ma fille, ma pauvre vie de misère.

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Toujours très inventif. J'apprécié énormément
Merci Daniel
Amicalement
Gaby