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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
À la brasserie, la sœur était restée coite, de l'histoire du dentiste pour chevaux.
- Hé bien mon bon bleu, vous avez sauvé votre amie.
- Oui, ma sœur, comprend qu'avec trente kilos de tartre sur les dents qu'elle ne pût courir.
- Hé bien, Monsieur le Président, il fallait venir me chercher, j'ai un tas de virus dans mon laboratoire.
Ils pètent le feu si vous voyez ce que je veux dire.
- Ne me parler pas de feu, cela me rappelle la vilaine suite de cette histoire. Mais qu'auriez-vous vous fait d'un virus pour les dents.
- Hé bien, c'est simple ce que j'ai fait pour celle de mon épouse propre.
Comment ça une vilaine suite, que s'était-il donc passé ?
- Ce qui s'était passé, hé bien, c'est terrible, si vous saviez.
Mais qu'est-il arrivé à votre femme, concernant ses dents. Cela m'intéresse de le savoir.
- Hé bien, voilà que je vous l'explique. Quand nous nous sommes rencontrés, elle fumait des cigarettes. Me direz-vous rien de bien étrange. C'est pour situer le contexte. Donc, un jour, nous étions partis en vacances vers Lyon. En route près de Tarare sur une route sinueuse, j'ai perdu le contrôle de ma voiture. Comme vous ne le savez peut-être pas à cet endroit, la route en quelques endroits pittoresques, surplombe les forêts. Pour vous dire, même de très haut puisque par endroits, on peut voir les maisons dessous, pas plus grosses qu'une boîte d'allumette.
Donc nous nous sommes péchés sur un arbre, quatre cent mètres en dessous. Nous n'eûmes aucun mal. Nous étions sur un séquoia qui faisait cent trente mètres de haut. C'est alors que j'ai dit à ma femme. Reste ici à l'abri dans la voiture, je vais chercher du secours. Oui, elle a le vertige et ne pouvait pas en descendre. Nous avions des réserves de nourriture, forte heureusement. Ceci me prit près de dix jours pour arriver au bas de l'arbre et deux jours pour la secourir, après. Elle était restée treize jours dans la voiture. Heureusement, comme je vous l'eus dit avant, avec des resserve en suffisance. Oui, mais elle n'avait qu'un malheureux paquet de cigarette et elle se retrouva en manque très vite. C'est comme ça qu'elle eut l'idée de fumer les peaux de bananes qu'elle avait consommé. Par la suite, elle continua de fumer cette substance qu'elle préféra au vrai tabac. De mon côté, je n'y vis aucun inconvénient propre.
Donc, beaucoup de temps plus tard, ma femme fut arrêtée par la police pour dissimulation de preuves.
- Quelle espèce de rapport peut-il bien s'y tenir, monsieur Ourat, cela est fort étrange.
- J'y viens monsieur cheveu. Donc tous les jours pour aller travailler, elle passait devant un radar automatique. Ma femme est quelque peu distraite et elle n'avait jamais remarqué ce radar qui était la depuis six mois. La zone a cet endroit était limitée à trente. Ma femme, qui a l'esprit sportif en voiture, aimait bien cette zone justement. Oui, ils y avaient des quilles partout et des ralentisseurs. Bien évidemment, elle passait bien souvent à des vitesses supérieures à trente en slalomant entre ces objets. C'est ainsi qu'elle se retrouva à passer cent quatre-vingt-seize fois devant le radar une vitesse supérieure à trente. Rien de bien méchant, cent, cent trente-cinq pour les plus petits et un cent soixante-dix-huit, enfin des broutilles.
- Mais elle n'avait jamais reçu de procès-verbaux ?
- Hé bien non, monsieur Adounette à cause de ses dents justement. Voilà, à force de fumer des bananes, elles étaient devenues tout jaune. Le problème, c'est que ma femme ignorait ce radar et à chaque fois qu'elle vit le flash elle souriait. Elle pensa à un admirateur de ses prouesses routières sur une zone à trente. La couleur de ses dents reflétait le flash et la photo était ratée à chaque fois. Voilà comment la police fit une enquête pour retrouver la personne qui passait en excès de vitesse à cet endroit depuis cent quatre-vingt-seize jours. Elle fut accusée de dissimulation de preuve. Oui, son tort fut de reconnaître au tribunal, de dire, qu'elle souriait volontairement pour la photo. Après deux jours de garde à vue, elle rentra. Elle me dit comme ça, je vais chez le dentiste et me faire nettoyer les dents. Rien n'y fit et c'est moi qui aie trouvé la solution. J'ai dressé des virus à utiliser des marteaux-piqueurs microscopique pour détartrer ses dents et cela a parfaitement marché.
- Mais c'était risqué et s'ils avaient continué jusqu'à détruire les dents ?
- Non monsieur licorne, car j'avais modifié l'ADN de ce virus pour qu'il ne vive pas plus de dix heures. Bon arrêtez les flashs, oui, je suis un génie.
Devant Pépère dans l'hélicoptère, Ettesion n'en revenait pas de son histoire de rôti.
- Elle a mangé un rôti en une seule bouchée ?
- Hé bien oui ma fille après toutes les misères que je venais de vivre, elle n'eut aucune pitié pour un pauvre miséreux comme moi. Puis elle repartit après vers la grotte des moines, pour aller prier. Oui ma fille, elle demanda à Dieu de me pardonner pour ce vol. Elle croyait que je l'avais volé, ce rôti.
Heureusement, le bol de lait que m'avait offert la bonne-dame, m'avait quelque peu remis.
Donc elle me donna l'ordre de rentrer l'attendre à la résidence. Et malheureusement, c'est sur un lit d'hôpital que je finis. Et c'est là que j'écrivis le spleen du rôti perdu.
- Ha bon, mais que s'est-il passé par la suite mon papa.
- Hé bien, voilà, je suis donc reparti avec mon désespoir. Je transpirais beaucoup car je peinais beaucoup. Oui, mon ventre était vide. Ce n'est pas compliqué si un jour, tu vas à Lourdes, tu verras devant le sanctuaire, au sol comme un chemin de croix. Tous, ces minuscules trous sont les gouttes de sueurs qui perlèrent par les moustaches du pauvre Pépère.
J'avais à peine fait dix mètres depuis que je l'avais quitté que j'avais déjà perdu trois kilos. C'est un passant qui entendit comme un bruit sourd de tambour qui vint me secourir en appelant le chatmu.
- Un roulement de tambour, mais qu'est-ce que c'était ?
- Hé bien ma pauvre fille mon cœur qui battait très fort pour que je survive. Oui, des pulsations à six cents à la minute. Je ne dois ma survie qu'à mon extraordinaire résistance.
- Ha oui, mon papa, je vois ça. Mais ce poème, tu l'as écrit dans la rue.
- Non ma fille sur mon lit de chatpital je te l'ai dit. D'ailleurs, écoute ce chef d'œuvre qui fut poème de platine.
Pépère sortit son Chatmsung et se mit à lire le texte qu'il retrouva dans l'album, mes combats.

Le spleen du rôti perdu.

C'est de sur le trottoir
Comme un pauvre minet
Regardant son désespoir
Que Pépère vécu se méfait,

Même pas un petit coup d'œil
Et sur lui tombent les feuilles
Et elle qui prie pour un vol
Et le met délicieux s'envole

C'est un pauvre chat qui saliva
Affamé au point des olives
Manger, qui regarda gargantua
Lui dire, tu ne l'auras pas,

Mais je vais t'en laisser
Toi mon joli minet,
Et Pépère tout content
Ne sait ce qui l'attends,

Et son âme reste forte
Espérant qu'apporte
Love colis ce rôti
Que vilainement elle lui prit

Où bien la jolie tranche
Qui joliment glisse
Le long de sa manche
Aujourd'hui c'est la fête,

Enfin, me regardant, elle s'en va
Et c'est mon désarroi
Car je n'aie eu que ficelle
Et sonne la citadelle.

C'est l'heure de la prière
Que va faire love colis
En finissant le rôti
Qui était pour le pauvre Pépère...

Guillaume Pépère.
Tous droits réservés.

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Dernière édition:

Cortisone

Maître Poète
#2
À la brasserie, la sœur était restée coite, de l'histoire du dentiste pour chevaux.
- Hé bien mon bon bleu, vous avez sauvé votre amie.
- Oui, ma sœur, comprend qu'avec trente kilos de tartre sur les dents qu'elle ne pût courir.
- Hé bien, Monsieur le Président, il fallait venir me chercher, j'ai un tas de virus dans mon laboratoire.
Ils pètent le feu si vous voyez ce que je veux dire.
- Ne me parler pas de feu, cela me rappelle la vilaine suite de cette histoire. Mais qu'auriez-vous vous fait d'un virus pour les dents.
- Hé bien, c'est simple ce que j'ai fait pour celle de mon épouse propre.
Comment ça une vilaine suite, que s'était-il donc passé ?
- Ce qui s'était passé, hé bien, c'est terrible, si vous saviez.
Mais qu'est-il arrivé à votre femme, concernant ses dents. Cela m'intéresse de le savoir.
- Hé bien, voilà que je vous l'explique. Quand nous nous sommes rencontrés, elle fumait des cigarettes. Me direz-vous rien de bien étrange. C'est pour situer le contexte. Donc, un jour, nous étions partis en vacances vers Lyon. En route près de Tarare sur une route sinueuse, j'ai perdu le contrôle de ma voiture. Comme vous ne le savez peut-être pas à cet endroit, la route en quelques endroits pittoresques, surplombe les forêts. Pour vous dire, même de très haut puisque par endroits, on peut voir les maisons dessous, pas plus grosses qu'une boîte d'allumette.
Donc nous nous sommes péchés sur un arbre, quatre cent mètres en dessous. Nous n'eûmes aucun mal. Nous étions sur un séquoia qui faisait cent trente mètres de haut. C'est alors que j'ai dit à ma femme. Reste ici à l'abri dans la voiture, je vais chercher du secours. Oui, elle a le vertige et ne pouvait pas en descendre. Nous avions des réserves de nourriture, forte heureusement. Ceci me prit près de dix jours pour arriver au bas de l'arbre et deux jours pour la secourir, après. Elle était restée treize jours dans la voiture. Heureusement, comme je vous l'eus dit avant, avec des resserve en suffisance. Oui, mais elle n'avait qu'un malheureux paquet de cigarette et elle se retrouva en manque très vite. C'est comme ça qu'elle eut l'idée de fumer les peaux de bananes qu'elle avait consommé. Par la suite, elle continua de fumer cette substance qu'elle préféra au vrai tabac. De mon côté, je n'y vis aucun inconvénient propre.
Donc, beaucoup de temps plus tard, ma femme fut arrêtée par la police pour dissimulation de preuves.
- Quelle espèce de rapport peut-il bien s'y tenir, monsieur Ourat, cela est fort étrange.
- J'y viens monsieur cheveu. Donc tous les jours pour aller travailler, elle passait devant un radar automatique. Ma femme est quelque peu distraite et elle n'avait jamais remarqué ce radar qui était la depuis six mois. La zone a cet endroit était limitée à trente. Ma femme, qui a l'esprit sportif en voiture, aimait bien cette zone justement. Oui, ils y avaient des quilles partout et des ralentisseurs. Bien évidemment, elle passait bien souvent à des vitesses supérieures à trente en slalomant entre ces objets. C'est ainsi qu'elle se retrouva à passer cent quatre-vingt-seize fois devant le radar une vitesse supérieure à trente. Rien de bien méchant, cent, cent trente-cinq pour les plus petits et un cent soixante-dix-huit, enfin des broutilles.
- Mais elle n'avait jamais reçu de procès-verbaux ?
- Hé bien non, monsieur Adounette à cause de ses dents justement. Voilà, à force de fumer des bananes, elles étaient devenues tout jaune. Le problème, c'est que ma femme ignorait ce radar et à chaque fois qu'elle vit le flash elle souriait. Elle pensa à un admirateur de ses prouesses routières sur une zone à trente. La couleur de ses dents reflétait le flash et la photo était ratée à chaque fois. Voilà comment la police fit une enquête pour retrouver la personne qui passait en excès de vitesse à cet endroit depuis cent quatre-vingt-seize jours. Elle fut accusée de dissimulation de preuve. Oui, son tort fut de reconnaître au tribunal, de dire, qu'elle souriait volontairement pour la photo. Après deux jours de garde à vue, elle rentra. Elle me dit comme ça, je vais chez le dentiste et me faire nettoyer les dents. Rien n'y fit et c'est moi qui aie trouvé la solution. J'ai dressé des virus à utiliser des marteaux-piqueurs microscopique pour détartrer ses dents et cela a parfaitement marché.
- Mais c'était risqué et s'ils avaient continué jusqu'à détruire les dents ?
- Non monsieur licorne, car j'avais modifié l'ADN de ce virus pour qu'il ne vive pas plus de dix heures. Bon arrêtez les flashs, oui, je suis un génie.
Devant Pépère dans l'hélicoptère, Ettesion n'en revenait pas de son histoire de rôti.
- Elle a mangé un rôti en une seule bouchée ?
- Hé bien oui ma fille après toutes les misères que je venais de vivre, elle n'eut aucune pitié pour un pauvre miséreux comme moi. Puis elle repartit après vers la grotte des moines, pour aller prier. Oui ma fille, elle demanda à Dieu de me pardonner pour ce vol. Elle croyait que je l'avais volé, ce rôti.
Heureusement, le bol de lait que m'avait offert la bonne-dame, m'avait quelque peu remis.
Donc elle me donna l'ordre de rentrer l'attendre à la résidence. Et malheureusement, c'est sur un lit d'hôpital que je finis. Et c'est là que j'écrivis le spleen du rôti perdu.
- Ha bon, mais que s'est-il passé par la suite mon papa.
- Hé bien, voilà, je suis donc reparti avec mon désespoir. Je transpirais beaucoup car je peinais beaucoup. Oui, mon ventre était vide. Ce n'est pas compliqué si un jour, tu vas à Lourdes, tu verras devant le sanctuaire, au sol comme un chemin de croix. Tous, ces minuscules trous sont les gouttes de sueurs qui perlèrent par les moustaches du pauvre Pépère.
J'avais à peine fait dix mètres depuis que je l'avais quitté que j'avais déjà perdu trois kilos. C'est un passant qui entendit comme un bruit sourd de tambour qui vint me secourir en appelant le chatmu.
- Un roulement de tambour, mais qu'est-ce que c'était ?
- Hé bien ma pauvre fille mon cœur qui battait très fort pour que je survive. Oui, des pulsations à six cents à la minute. Je ne dois ma survie qu'à mon extraordinaire résistance.
- Ha oui, mon papa, je vois ça. Mais ce poème, tu l'as écrit dans la rue.
- Non ma fille sur mon lit de chatpital je te l'ai dit. D'ailleurs, écoute ce chef d'œuvre qui fut poème de platine.
Pépère sortit son Chatmsung et se mit à lire le texte qu'il retrouva dans l'album, mes combats.

Le spleen du rôti perdu.

C'est de sur le trottoir
Comme un pauvre minet
Regardant son désespoir
Que Pépère vécu se méfait,

Même pas un petit coup d'œil
Et sur lui tombent les feuilles
Et elle qui prie pour un vol
Et le met délicieux s'envole

C'est un pauvre chat qui saliva
Affamé au point des olives
Manger, qui regarda gargantua
Lui dire, tu ne l'auras pas,

Mais je vais t'en laisser
Toi mon joli minet,
Et Pépère tout content
Ne sait ce qui l'attends,

Et son âme reste forte
Espérant qu'apporte
Love colis ce rôti
Que vilainement elle lui prit

Où bien la jolie tranche
Qui joliment glisse
Le long de sa manche
Aujourd'hui c'est la fête,

Enfin, me regardant, elle s'en va
Et c'est mon désarroi
Car je n'aie eu que ficelle
Et sonne la citadelle.

C'est l'heure de la prière
Que va faire love colis
En finissant le rôti
Qui était pour le pauvre Pépère...

Guillaume Pépère.
Tous droits réservés.

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J'ai apprécié ma lecture encore plus qu'habituellement
Particulièrement à la fin le poème de Guillaume PÉPÈRE
Merci pour ce partage
Amicalement
Gaby