Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Pépère le chat du poète, suite

#1
Pépère était très fier devant ses amis et ses Nike craquaient de toutes parts pour cause de cheville comme des melons. Il passait une fois de plus pour un héros devant ses amis qui n'avaient rien vu de la scène.
- Toc toc toc, il y a quelqu'un.
- Pêcheur ! Pourquoi me déranges-tu alors que j'écris.
- Ce n'est pas pécheur, tourne la tête vers le carreau.
- Ce n'est pas possible, la grosse tête à Pépère, mais que veux-tu encore ?
- Ce que je veux, tu ne manques pas d'air. Ça fait une heure que je gratte à la porte. Nous avons faim nous autres figure toi, pendant que tu cuves ta vinasse.
- Écoute, je n'ai rien entendu, tu m'excuseras.
- Oui, l'excuse est facile, moi par contre j'ai bien entendu tes grandes dents manger cette délicieuse brioche qui était sur l'étagère derrière toi, salopard !
Et moi pendant ce temps, je meurs de faim derrière la porte de ton gourbi.
- Tu exagères toujours, Pépère.
- Pépère n'exagère jamais et je suis toujours très loin de la réalité de peur que l'on ne me croit pas. Oui, ça fait un moment que je suis là à espérer que l'on me donne à manger. J'ai perdu deux kilos tellement cela m'a fatigué et mes dents commence à se déchausser. Si tu ne te magnes pas, tu pourras m'emmener chez le chadentiste, car je suis sur le point de perdre mes dents, soûlard. Je sais pourquoi tu n'as pas ouvert, c'était pour manger cette énorme brioche de dix personnes à toi tout seul. Puis j'ai croisé petit chat et je lui ai demandé s'il t'avait vu. Il m'a dit que tu étais arrivé avec deux bouteilles de limonades en main. Nous ne sommes pas dupes nous autres. Tu penses que l'on va te croire de leur contenu. Nous savons bien nous autres que c'est de l'alcool, du rhum blanc. Oui, je connais la combine, love képi à toujours une bouteille dans son sac qui est aussi grand que tes énormes dents. Alors pose moi ce stylo et arrête d'écrire, ton alibi ne tiens pas, j'ai entendu ton estomac parler avec tes dents et le verre causer à la bouteille.
- Oui, cinq minutes, j'arrive ne t'inquiète pas.
- Si je m'inquiète, je perds mes dents et j'ai encore perdu un kilo à l'instant vite, SOS que fait le chatmu. Au fait, est-ce que tu as vu ma bataille avec le monstre ?
- Non, j'étais en train d'écrire pourquoi ?
- Alors pourquoi dis-tu au début ;
Pépère était très fier devant ses amis et ses Nike craquaient de toutes parts pour cause de cheville comme des melons. Il passait une fois de plus pour un héros devant ses amis qui n'avaient rien vu de la scène.
Ma bataille avec le monstre est une histoire vraie réelle pas fausse allez soûlard nous avons faim nous autres.
- Amis lecteurs, excusez moi, je donnais à manger au ventre sur patte.
Donc, Pépère était tout fier d'avoir combattu un monstre.
- Toc toc toc, tu es sacrément costaud, toc toc toc.
- Fle fle fle, moi ma love gendarme poète elle défends les petites pattes, fle fle fle.
- Comme un avocat, Toc toc toc.
- Comme un avocat, tu es drôle pécheur ça me fait penser à ma guirlande de sapin coréen pour bûcheron Israélien.
- Fle fle fle, qu'est-ce que c'est que cette histoire fle fle fle.
- Toc toc toc, nous n'avons pas le temps nous devons reprendre l'hélicoptère, toc toc toc.
- Si pécheur, car j'ai dû refaire une soudure sur mon engin et il faut que ça refroidisse, sinon, nous risquons de nous brûler nous autres.
- Fle fle fle, une soudure, mais comment tu as fait, fle fle fle.
- Hé bien, avec mes yeux, c'est une fonction qu'ont mes yeux depuis ma dernière greffe. Ils sont capables d'absorber les vapeurs d'alcool de l'haleine de love rôtit et de les restituer en rayon laser au cas où j'en aurais besoin.
Donc laisser moi vous raconter l'histoire des avocats.
Un soir, mon soûlard était en train de se désespérer, concernant la liquidation de son magasin de vinasse.
Love Saint Nectaire était en train de lui parler de cuisine et il lui dit, il me faudrait un avocat.
Étant donné qu'ils étaient aussi cramé l'un que l'autre personne ne releva.
Le lendemain matin, love taser s'en va faire le marché. Elle rencontre le marchand de légumes et il lui dit ; je n'ai plus rien, car ma marchandise a été accidentée par un autre camion qui transportait du plutonium. Étant habitué à manger des légumes nucléaires, elle lui répond qu'elle lui rachète le stock.
C'est ainsi que le midi, alors que je pensais me reposer que je vis arriver un camion de dix-sept tonnes d'avocat.
C'est alors que mon soûlard furieux lui demanda ce que c'était. Tu ne voulais pas un avocat qu'elle lui dit, t'en voilà vingt tonnes.
Mon gentil minet, qu'il me dit, veux-tu me rendre un service. Est-ce que tu peux décharger le camion. Et voilà comment sous le soleil de midi par soixante degrés à l'ombre, je fis le déchargement des avocats.
Vas-y Pépère encore un carton qu'ils me disaient, bouteille en main.
À cause des radiations sur les avocats le soir mon joli pelage était devenu tout rose, je ne vous dis pas la honte.
Le soir ils en ont mangé au moins un kilo chacun. Et moi me direz-vous, pauvre souffreuteux, dans ma gamelle des noyaux et les peaux.
Durant la nuit, ils ont été voir monsieur Google pour savoir ce qu'ils pouvaient en faire.
Ce fut pour moi un cauchemar. Déjà j'ai dû faire le bûcheron. Tronçonneuse en patte sous une canicule de soixante-dix degrés à l'ombre pour récolter du bois. Oui, l'alambic allait donner l'alcool selon la recette de monsieur Google. Une fois fini, je me suis dis, déjà attendons que mes pauvres moustaches brûlées repoussent et reposons nous.
Malheureusement ce n'était pas fini. J'ai dû ranger les bouteilles dans la cave à vin qui est ce vieux fourgon au fond du terrain, dont il dit à tout le monde que c'est une réserve à outil.
Il me dit comme ça, mon gentil minet tu as fait du bon travail, demain je commande du fil de des aiguilles. Pendant que tu t'occuperas des noyaux je ferai ma commande.
Le soir, ils en ont mangé au moins un kilo chacun. Et moi me direz-vous, pauvre souffreteux, dans ma gamelle des noyaux et les peaux.

Durant la nuit, ils ont été voir monsieur Google pour savoir ce qu'ils pouvaient en faire.

Ce fut pour moi un cauchemar. Déjà, j'ai dû faire le bûcheron. Tronçonneuse en patte sous une canicule de soixante-dix degrés à l'ombre pour récolter du bois. Oui, l'alambic allait donner l'alcool selon la recette de monsieur Google. Une fois fini, je me suis dit, déjà attendons que mes pauvres moustaches brûlées repoussent et reposons nous.
Malheureusement, ce n'était pas fini. J'ai dû ranger les bouteilles dans la cave à vin qui est ce vieux fourgon au fond du terrain, dont il dit à tout le monde que c'est une réserve à outil.
Il me dit comme ça, mon gentil minet, tu as fait du bon travail, demain, je commande du fil et des aiguilles. Pendant que tu t'occuperas des noyaux, je ferai ma commande.
Donc, le lendemain, j'ai passé mon temps à peindre les noyaux qui étaient destinés à servir de cochonnet. Il les avait revendus à une entreprise qui fait des boules de pétanque.
J'ai été tranquille pendant deux jours jusqu'à ce que les aiguilles et le fils arrivent par la poste. Voilà le truc, la toile qui couvre son gourbi était usagé et il avait décidé de me faire coudre ensemble les peaux d'avocat pour en faire une bâche. J'ai vécu l'enfer, aiguille en patte pendant deux jours, j'ai cousu, cousu, cousu...
Puis on me fit poser cette toile en avocat sur le capharnaüm.
Puis je suis parti en mission durant trois jours après et ça me fit des vacances.
À mon retour, il faisait un soleil magnifique et de loin, je l'entends dire à love avocat que le temps était couvert. Je me suis dit, Pépère, tu es bien au bon endroit, il est complètement cramé le gaillard.
C'est alors qu'arrivé devant le gourbi, je me rendis compte qu'effectivement le soleil était caché. Je lève les yeux et là, stupéfait, je vois des nuages de millions de pucerons. Oui, la bâche avocat attirait les bestioles. Et c'est encore moi qui aie encore dû rendre service avec mon hélicoptère pour disperser un insecticide pour s'en débarrasser.
Voilà mes amis, bon, reprenons l'hélicoptère.

Screenshot_20200712_152401.jpg istockphoto-115048810-612x612.jpg téléchargement.jpeg Screenshot_20200709_151619.jpg FB_IMG_1593093398904.jpg
 

Cortisone

Maître Poète
#2
Pépère était très fier devant ses amis et ses Nike craquaient de toutes parts pour cause de cheville comme des melons. Il passait une fois de plus pour un héros devant ses amis qui n'avaient rien vu de la scène.
- Toc toc toc, il y a quelqu'un.
- Pêcheur ! Pourquoi me déranges-tu alors que j'écris.
- Ce n'est pas pécheur, tourne la tête vers le carreau.
- Ce n'est pas possible, la grosse tête à Pépère, mais que veux-tu encore ?
- Ce que je veux, tu ne manques pas d'air. Ça fait une heure que je gratte à la porte. Nous avons faim nous autres figure toi, pendant que tu cuves ta vinasse.
- Écoute, je n'ai rien entendu, tu m'excuseras.
- Oui, l'excuse est facile, moi par contre j'ai bien entendu tes grandes dents manger cette délicieuse brioche qui était sur l'étagère derrière toi, salopard !
Et moi pendant ce temps, je meurs de faim derrière la porte de ton gourbi.
- Tu exagères toujours, Pépère.
- Pépère n'exagère jamais et je suis toujours très loin de la réalité de peur que l'on ne me croit pas. Oui, ça fait un moment que je suis là à espérer que l'on me donne à manger. J'ai perdu deux kilos tellement cela m'a fatigué et mes dents commence à se déchausser. Si tu ne te magnes pas, tu pourras m'emmener chez le chadentiste, car je suis sur le point de perdre mes dents, soûlard. Je sais pourquoi tu n'as pas ouvert, c'était pour manger cette énorme brioche de dix personnes à toi tout seul. Puis j'ai croisé petit chat et je lui ai demandé s'il t'avait vu. Il m'a dit que tu étais arrivé avec deux bouteilles de limonades en main. Nous ne sommes pas dupes nous autres. Tu penses que l'on va te croire de leur contenu. Nous savons bien nous autres que c'est de l'alcool, du rhum blanc. Oui, je connais la combine, love képi à toujours une bouteille dans son sac qui est aussi grand que tes énormes dents. Alors pose moi ce stylo et arrête d'écrire, ton alibi ne tiens pas, j'ai entendu ton estomac parler avec tes dents et le verre causer à la bouteille.
- Oui, cinq minutes, j'arrive ne t'inquiète pas.
- Si je m'inquiète, je perds mes dents et j'ai encore perdu un kilo à l'instant vite, SOS que fait le chatmu. Au fait, est-ce que tu as vu ma bataille avec le monstre ?
- Non, j'étais en train d'écrire pourquoi ?
- Alors pourquoi dis-tu au début ;
Pépère était très fier devant ses amis et ses Nike craquaient de toutes parts pour cause de cheville comme des melons. Il passait une fois de plus pour un héros devant ses amis qui n'avaient rien vu de la scène.
Ma bataille avec le monstre est une histoire vraie réelle pas fausse allez soûlard nous avons faim nous autres.
- Amis lecteurs, excusez moi, je donnais à manger au ventre sur patte.
Donc, Pépère était tout fier d'avoir combattu un monstre.
- Toc toc toc, tu es sacrément costaud, toc toc toc.
- Fle fle fle, moi ma love gendarme poète elle défends les petites pattes, fle fle fle.
- Comme un avocat, Toc toc toc.
- Comme un avocat, tu es drôle pécheur ça me fait penser à ma guirlande de sapin coréen pour bûcheron Israélien.
- Fle fle fle, qu'est-ce que c'est que cette histoire fle fle fle.
- Toc toc toc, nous n'avons pas le temps nous devons reprendre l'hélicoptère, toc toc toc.
- Si pécheur, car j'ai dû refaire une soudure sur mon engin et il faut que ça refroidisse, sinon, nous risquons de nous brûler nous autres.
- Fle fle fle, une soudure, mais comment tu as fait, fle fle fle.
- Hé bien, avec mes yeux, c'est une fonction qu'ont mes yeux depuis ma dernière greffe. Ils sont capables d'absorber les vapeurs d'alcool de l'haleine de love rôtit et de les restituer en rayon laser au cas où j'en aurais besoin.
Donc laisser moi vous raconter l'histoire des avocats.
Un soir, mon soûlard était en train de se désespérer, concernant la liquidation de son magasin de vinasse.
Love Saint Nectaire était en train de lui parler de cuisine et il lui dit, il me faudrait un avocat.
Étant donné qu'ils étaient aussi cramé l'un que l'autre personne ne releva.
Le lendemain matin, love taser s'en va faire le marché. Elle rencontre le marchand de légumes et il lui dit ; je n'ai plus rien, car ma marchandise a été accidentée par un autre camion qui transportait du plutonium. Étant habitué à manger des légumes nucléaires, elle lui répond qu'elle lui rachète le stock.
C'est ainsi que le midi, alors que je pensais me reposer que je vis arriver un camion de dix-sept tonnes d'avocat.
C'est alors que mon soûlard furieux lui demanda ce que c'était. Tu ne voulais pas un avocat qu'elle lui dit, t'en voilà vingt tonnes.
Mon gentil minet, qu'il me dit, veux-tu me rendre un service. Est-ce que tu peux décharger le camion. Et voilà comment sous le soleil de midi par soixante degrés à l'ombre, je fis le déchargement des avocats.
Vas-y Pépère encore un carton qu'ils me disaient, bouteille en main.
À cause des radiations sur les avocats le soir mon joli pelage était devenu tout rose, je ne vous dis pas la honte.
Le soir ils en ont mangé au moins un kilo chacun. Et moi me direz-vous, pauvre souffreuteux, dans ma gamelle des noyaux et les peaux.
Durant la nuit, ils ont été voir monsieur Google pour savoir ce qu'ils pouvaient en faire.
Ce fut pour moi un cauchemar. Déjà j'ai dû faire le bûcheron. Tronçonneuse en patte sous une canicule de soixante-dix degrés à l'ombre pour récolter du bois. Oui, l'alambic allait donner l'alcool selon la recette de monsieur Google. Une fois fini, je me suis dis, déjà attendons que mes pauvres moustaches brûlées repoussent et reposons nous.
Malheureusement ce n'était pas fini. J'ai dû ranger les bouteilles dans la cave à vin qui est ce vieux fourgon au fond du terrain, dont il dit à tout le monde que c'est une réserve à outil.
Il me dit comme ça, mon gentil minet tu as fait du bon travail, demain je commande du fil de des aiguilles. Pendant que tu t'occuperas des noyaux je ferai ma commande.
Le soir, ils en ont mangé au moins un kilo chacun. Et moi me direz-vous, pauvre souffreteux, dans ma gamelle des noyaux et les peaux.

Durant la nuit, ils ont été voir monsieur Google pour savoir ce qu'ils pouvaient en faire.

Ce fut pour moi un cauchemar. Déjà, j'ai dû faire le bûcheron. Tronçonneuse en patte sous une canicule de soixante-dix degrés à l'ombre pour récolter du bois. Oui, l'alambic allait donner l'alcool selon la recette de monsieur Google. Une fois fini, je me suis dit, déjà attendons que mes pauvres moustaches brûlées repoussent et reposons nous.
Malheureusement, ce n'était pas fini. J'ai dû ranger les bouteilles dans la cave à vin qui est ce vieux fourgon au fond du terrain, dont il dit à tout le monde que c'est une réserve à outil.
Il me dit comme ça, mon gentil minet, tu as fait du bon travail, demain, je commande du fil et des aiguilles. Pendant que tu t'occuperas des noyaux, je ferai ma commande.
Donc, le lendemain, j'ai passé mon temps à peindre les noyaux qui étaient destinés à servir de cochonnet. Il les avait revendus à une entreprise qui fait des boules de pétanque.
J'ai été tranquille pendant deux jours jusqu'à ce que les aiguilles et le fils arrivent par la poste. Voilà le truc, la toile qui couvre son gourbi était usagé et il avait décidé de me faire coudre ensemble les peaux d'avocat pour en faire une bâche. J'ai vécu l'enfer, aiguille en patte pendant deux jours, j'ai cousu, cousu, cousu...
Puis on me fit poser cette toile en avocat sur le capharnaüm.
Puis je suis parti en mission durant trois jours après et ça me fit des vacances.
À mon retour, il faisait un soleil magnifique et de loin, je l'entends dire à love avocat que le temps était couvert. Je me suis dit, Pépère, tu es bien au bon endroit, il est complètement cramé le gaillard.
C'est alors qu'arrivé devant le gourbi, je me rendis compte qu'effectivement le soleil était caché. Je lève les yeux et là, stupéfait, je vois des nuages de millions de pucerons. Oui, la bâche avocat attirait les bestioles. Et c'est encore moi qui aie encore dû rendre service avec mon hélicoptère pour disperser un insecticide pour s'en débarrasser.
Voilà mes amis, bon, reprenons l'hélicoptère.

Afficher la pièce jointe 29686 Afficher la pièce jointe 29687 Afficher la pièce jointe 29688 Afficher la pièce jointe 29689 Afficher la pièce jointe 29690
Un camion d'avocats.....
Vous ne savez plus quoi inventer pour notre plus grand plaisir. Merci Daniel
Amicalement
Gaby