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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Pendant ce temps-là, près de la mare, les animaux s'étaient tous réunis derrière la palette.
Celle-ci, étant à couvert sous des branchages, leur dissimulait des regards indiscrets.
Fripouille, n'avait pu s'empêcher de parler du journal intime de Pépère. Il en parlait avec Toublanc et Avéame et les autres étaient curieux d'en savoir plus sur son contenu.
Les trois chats se réunir et se mirent face aux autres.
Turbo était toujours à côté de Chadore qui reçut le message d'Ettesion.
- Les amis, attention Pépère arrive bientôt, nous ne faisons pas prendre la patte sur le journal, chat, chat, chat.
- Toc toc toc, il n'aimerait pas que l'on sache ses secrets, toc toc toc.
- Fle fle fle, ma love gendarme poète n'a aucun secret pour moi, fle fle fle, elle dit tout aux petites pattes, fle fle fle, et celle-ci m'ont dit qu'elle me canard love autant que Dranac.
- Fle fle fle fle, oui mon Coin-coin, je te super love canard, fle fle fle fle.
- Moi aussi, elle me parle de ses enquêtes et en faisant le scénario sur le prime time de toutes griffes dehors, elle m'a dit que Pépère était allergique à l'eau.
- Ha bon, Isidore, hé bien moi, je sais que Pépère à peur des fourmis, conclut, Un-œil.
- Whouaf, moi, il m'a écrit un super titre Pépère, alors je l'aime beaucoup et grâce à lui j'ai vécu plein d'aventure.
Whouaf tu es mon whouaf et quand je te whouaf je fais whouaf whouaf.
- Moi aussi, je suis content de connaître Pépère et sachant que Sybage habite non loin de chez lui ça me rassure, dit, Lolo.
- Moi grâce à Pépère, je me suis évadé, j'ai sauvé le père Noël et maintenant, je suis son coéquipier, je suis heureux ici, loin de Trappes.
- Alors, Fripouille, qu'est-ce que raconte Pépère dans ce journal ?
- Hé bien, il parle de ses amours, il y a des poèmes dédiés à, Quentin le crottin, Paulette la paupiette, René le poulet, Armand le croissant, et des dessins de sa pattes.
- Ha bon et des dessins de quoi donc, fait nous voir nous voulons les voir nous autres.
Fripouille fit voir à Turbo la plupart des croquis et tomba sur deux doubles pages qui était collées l'une sur l'autre.
Quand il avait fait ce dessin il était en train de manger une de ses amours, Henri le rôti et ils avaient les pattes pleines de gras.
C'était en fait deux dessin très particulier de ses maîtres. Plusieurs petits croquis.
Ils représentaient son maître installé sous un barnum monté sur un rond-point. Il était habillé en soutane et faisait la messe. Ciboire en main plein de vin. Derrière lui, un autel était représenté avec à ses pieds des pleines caisses de vin.
Juste en face la nationale était dessinée et sa maîtresse était en plein milieu. Elle arrêtait les voitures avec en guise de matraque, une bouteille tenue par le goulot.
Derrière elle, on voyait la Dacia les porte ouverte. Sur le dessin suivant la voiture avait le toit en choux-fleurs. À l'intérieur totalement explosé ce qui restait d'un éthylomètre. Elle était à côté de la voiture de son maître. La xsara avait le toit bleu et sa maîtresse à côté, masquait l'inscription et l'on ne voyait que deux lettres ( po) sans que l'on sache le reste. Sur l'image suivante sa maîtresse décriait, je vous jure chef soûlard, je n'ai pas bu. Dans l'auto, le maître à Pépère, disait au nom du vin ma fille, je te bénis. La femme ayant bougé, on voyait à présent distinctement l'inscription sur la voiture, pochetron. À côté de l'auto, Pépère s'était représenté en policier et rigolait en disant, vous êtes en chat vin d'arrestation, chat chat chat.
Dans le bois, chacun était près à partir.
Ettesion avait décidé de conduire la voiture de son père.
Pépère était sur le scooter avec Saturne.
Il avait montré à Ettesion la façon de conduire sa voiture et celle-ci avait parfaitement comprise. Le Pépère voulait épater sa fille et il partit comme un fou derrière une file de camion. Elle le regarda partir et le vit rouler sur la roue arrière. Le pauvre Saturne se tenait tant bien que mal et sa queue faisait office de gouvernail. Il se mit à accélérer et bondit sur la remorque du camion qu'il monta à la verticale.
Puis une fois sur le toit il fit des zigzags et sauta de camion en camion avant de faire des loopings et d'atterrir devant le chef de file.
Ettesion, d'où elle était, ne le vit pas atterrir et se demandait si elle allait les retrouver entier à l'entrée de Sancoins.
Elle mit le contact et commença à rouler doucement au départ pour avoir la voiture en patte.
- Hé bien, il règne une odeur épouvantable dans cette voiture. Ce n'est pas possible, je vais devoir lui dire qu'il se lave avant de partir à Paris. Il est un peu sale mon papounet, j'ai l'impression.
Papa où t'es, certainement accidenté, papa où t'es, tu fais des cabrioles, papa où t'es ta vitesse est folle, papa où t'es, tu sens très mauvais papa où t'es, où as-tu mis ton savon, papa, dit le à Ettesion, chat chat chat.
Progressivement, Ettesion pris de la vitesse et arriva derrière les camions. À son tour, elle fit l'exploit de les doubler par la droite et par la gauche si bien qu'elle fit un ( s) en les dépassant.
- Ettesion où t'es, tu es vraiment un champion, Ettesion où t'es, tu es la meilleure sur la route, papa où t'es où as-tu mis ton savon.
Elle arriva juste derrière le Pépère qui était avec les gendarmes. Ceux-ci avaient été prévenus par le Pépère dont sa fille arrivait et il lui ouvrir la route. C'est ainsi que Pépère retrouva sa fille sur le parking de l'intermarcher.
- Alors ma fille, comment est cette voiture.
- Elle est aussi puissante que tu es sale mon papounet, chat chat chat. Tu devrais te nettoyer un peu avant de partir vers Paris, non.
- Oui, mon frérot, c'est vrai que tu as une vilaine odeur sur toi.
- Oui, je sais, c'est en combattant la girafe aux dents d'acier dans le bois que je me suis sali. Oui, vous connaissez tous la célèbre propreté de Pépère qui se lave dix fois par jour. Ce toilettage était prévu figurez-vous et dans le magasin derrière le rayon de mes amours il y a une douche.
Le Pépère partit dans le magasin et se précipita derrière l'étal du boucher. Était en train d'essayer de voler des steaks quand l'homme le surpris. Il arrivait avec un plein seau d'eau, pour nettoyer un autre rayon et le Pépère qui ne s'y attendait pas le reçu sur le coin du museau.
- Au secours terroriste, à l'aide on me verse de l'acide sur le dos, vite ma tenue de combat, à l'aide, colis, soûlard, vite votre chat est en détresse.
C'est ainsi que pris de panique, il partit comme un fou vers ce qu'il prit pour une sortie de secours. C'était en fait la gaine d'aération dont on avait enlevé la grille pour nettoyer les filtres. Le pauvre Pépère fut aspiré dans le conduit. Un énorme ventilateur était à l'intérieur et brassait l'air. Le pauvre était aspiré et les pales allaient le broyer. Il essayait de se retenir d'une patte l'autre tenant deux côtes de porc. Ne pouvant rien faire, il jeta les côtes qui partirent sur l'hélice. Les os, là bloquèrent et il en profita pour passer et se retrouva à l'extérieur. La ventilation l'avait séché et l'eau nettoyé. C'est ainsi qu'il arriva vers sa fille.
- Hé bien mon papounet tu es parfaitement propre.
- Oui, au risque de ma vie, car le soûlard a essayé de m'assommer avec un calice dans le conduit d'aération...
La suite demain.



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