Le Belge dans la cellule du commissariat se réveilla et vit le gendarme à terre.
Seul dans la cellule résidait son compatriote hollandais qui dormait à poings fermés. Il essaya de le réveiller, mais n'y parvint pas. Il se précipita vers le gendarme que les quatre zouaves avaient mis ko en l'assommant. Il le secoua et l'homme revenait à lui naturellement.
- Hé bien, c'est une drôle d'histoire encore que celle-là. C'est une drôle de contrée n'empêche pas. Il est ivre une fois et les autres en ont profité, ça, c'est un monde alors.
Le pauvre Belge réussit tant bien que mal à ramener l'homme dans un bureau et l'assit devant un bureau où était en gros, Brigadier Tatouvu. Le gendarme se réveilla totalement hébété ne se souvenant même pas avoir arrêté l'homme qui était en face de lui, quelque temps plus tôt.
Il était commotionné, mais n'avait rien de grave. Il regarda le Belge et le prit pour le brigadier.
- Écoute, j'espère que tu n'as pas tout bu, aie ma tête, j'ai soif...
L'homme ouvrit un tiroir et prit une bouteille et but au goulot la moitié du contenu et il s'assoupit sur le fauteuil.
Le Belge n'en revenait pas et ne savait que faire. Il était agacé de tous ces événements et une mouche volant à ses oreilles l'énervait un peu plus. L'insecte vint se poser sur le rebord du goulot de la bouteille et s'envola aussitôt sur deux centimètres. La pauvre mouche fit bzeee et tomba raide morte à côté de la bouteille.
- Hé bien mon gaillard, je me demande ce que c'est que cette boisson qui pourrait déboucher un WC. Voyons ça que je sente cet alcool une fois.
Il saisit la bouteille et sentit le contenu. De suite, il roula des yeux et posa la bouteille avant de s'asseoir à son tour face au gendarme qui dormait.
- Hé bien, c'est du décolle papier peint ou de l'acide de batterie ce n'est pas possible. Je comprends mieux si les Soubirou boivent de tels produits pourquoi ils sont autant intoxiqués. C'est une honte n'est-ce pas, voir ça dans un commissariat. Monsieur, je ne vous salue pas pour l'arrestation arbitraire. Une fois, quand même, c'est un scandale, les policiers belges ne boivent pas du débouche évier.
Que j'aille retrouver mon épouse une fois. Quand, je vais raconter ça à Pépère, bin, il ne voudra jamais me croire une fois.
L'homme reprit le chemin de la liberté et partit vers son camping-car. Il retrouva son épouse et reprit le chemin du canal espérant revoir Pépère.
Bibou avait rejoint ses amis et il était rentré dans la cabane à Cookie, car la fumée qui venait de la haie l'indisposait.
Chatdore lui continuait d'essayer d'envoyer des messages à Pépère sans même se rendre compte que Lucie, Cookie, Lolo, Turbo et Sybage étaient partis juste en face dans le champ voir les exploits des Américains.
Bibou se posait une question qui le tracassait depuis un moment. Il ne put tenir plus longtemps et demanda une précision à Chatdore.
- Je pense à une chose sur toi Chatdore.
C'est bizarre, car Pépère m'a dit qu'au début où il était arrivé ici, il t'avait pris pour un chacamain pour minette mondaine.
- Non, pas du tout, c'est que le premier jour où il a cru me rencontrer ce n'était pas moi.
- Ha, bon, c'était une minette qui te ressemble ?
- Pas du tout, je vais t'expliquer l'histoire. Après le sauvetage du onze septembre, j'ai été affecté à la CICHAT et lui était toujours au FBICHAT. On s'était donc un peu perdu de vue et on m'avait confié l'enquête sur le soûlard soudanais buveur de vin irakien. Régulièrement, j'allais manger chez lui et il était heureux de me voir, car il ne se doutait pas que je fusse un chat agent secret. Donc, un soir, sa compagne lui demande s'il n'a pas trop chaud dans son capharnaüm. J'étais très étonné, car il faisait dix degrés en dessous de zéro à l'extérieur. Je me suis dit, s'il est échauffé de ce temps-là, ça doit y aller les bols de vin chauds nucléaires arrosés de rhum. C'est après que j'aie compris, car il lui avait répondu, non les conteneurs ne sont plus sous la cabane. Un matin, je viens réclamer mon repas à sa porte et il faisait soixante-dix degrés en dessous de zéro. Je l'entends s'écrier dans son gourbi, zut la casserole d'eau est gelée. Je crie à son intention, tu n'as qu'à moins boire et tu chaufferas ta cabane. Forcément, il se réchauffe par l'intérieur et n'a jamais froid. Je le vois sortir dehors avec sa casserole d'eau gelée et partir en direction des conteneurs en plastique. Je précise qu'il avait tellement d'alcool dans le sang qu'il était en short et tee-shirt et il transpirait comme un bœuf. D'ailleurs, quand il est sorti du gourbi, j'ai cru être victime d'une rafale de mitraillette par un avion. En fait, les gouttes de sueur gelaient en tombant et il transpirait abondamment. Donc, il pose la casserole sur les déchets et en une seconde à peine l'eau s'est mise à bouillir. C'est là, que j'ai compris, car les conteneurs étaient sous la cabane montée sur pilotis. C'est alors que j'apprends qu'un vol de plutonium s'est produit à la centrale nucléaire de Belleville Sur Loire. C'est alors que j'ai été missionné pour enquêter. Quand Pépère est arrivé, j'étais dans le bois où je faisais des recherches. Il est tombé sur ma maîtresse Ambre, qui s'était déguisée en sacré de Birmanie. Voilà la vraie histoire pas fausse mon copain, tu comprends maintenant.
- Whouaf, oui, c'est une drôle d'histoire. Tu n'as toujours pas de nouvelles de Pépère ?
- Non, figure toi que les messages ne passent pas, je ne sais pas ce qui se passe le réseau est vraiment très bas.
À Sancoins, le poète qui était partit de la place, s'était rendu au commissariat pour sa plainte. Il avait été reçu avec une porte fermée et aucun signe de vie à l'intérieur. Il vit juste un camping-car démarré et l'arrêta pour demander s'il y avait quelqu'un à l'intérieur. En effet de loin, il lui avait semblé voir l'homme en sortir.
- Hé, pardon monsieur, bonjour, il me semble vous avoir vu sortir de la brigade et je ne vois personne, savez-vous s'il y a quelqu'un la dedans ?
La réponse qu'il reçut le laissa pantois.
- Hé bien, croyez-moi, bonjour monsieur, je suis Belge n'est-ce pas et policier même, là-dedans, on boit du débouche évier et on arrête les gens pour rien. N'y allez pas monsieur, c'est une arnaque des Soubirou n'est-ce pas. Je vous laisse monsieur, j'ai à voir le chat Pépère tantôt alors fuyez d'ici, et évitez les Soubirou.
L'homme s'en alla à toute allure et le poète déçu repris par la route du canal.
Cinq minutes, plus tard, il appelait sa compagne.
- Chérie, oui, c'est moi, non, je n'ai pas trop mangé. Si, si, je te l'assure un scooter électrique, si, si, c'était la fifille qui était dessus, je ne comprends plus rien.
Le poète n'avait pas rêvé s'était bien Pépère qu'il avait croisé sur la route faisant le fou.
Il n'avait pas le scooter en pattes, mais malgré tout, il se prenait pour un coureur.
- Rangez vos moustaches les minettes, attention le caïd, le Casanova du bitume est de retour. Oui, c'est moi, Pépère le magnifique, Pépère le génie, dix fois médaillé poulet d'or aux courses de scooter électrique. Regardez-moi mes belles de la boucherie avec vos jumelles, le champion de la route va faire trois fois le tour du rond-point. Poussez-vous les cacas jaunes où je vous pulvérise à coup de queue.
C'est ainsi que pour avoir le scooter en patte, il fit quatre fois le tour du rond-point en empêchant les voitures d'y accéder. Il finit par en faire un cinquième et tirait la langue au automobiliste en faisant trembler sa queue. D'un seul coup, une violente douleur au ventre le prit.
- Oulala, Pépère tu as la colique, tous à l'abri, contrôle technique gratuit des essuie-glaces. Attention, sixième tour et rangez vos pneus les zozos.
Il se mit debout sur la selle et les deux pattes sur l'accélérateur, il se mit à faire la mouflette en tournant autour du rond-point. Les automobilistes essuie-glaces et lave-glace à fonds le klaxonnais autant qu'il le pouvait. Le pauvre Pépère pris dans son élan commit l'imprudence d'aller à fond. À soixante-dix kilomètres à l'heure le scooter ne pouvant plus tenir la courbe du rond-point, celui-ci partit seul tout droit en direction de Mornay. Le Pépère fut déséquilibré et fit un roulé-boulé sur la cabane du rond-point avant de retomber sur la selle du scooter. Pattes sur l'accélérateur, il répartit comme un fou. Sur le rond-point, c'était la panique totale. La cabane en s'écoulant était tombée sur un poêle à combustible et s'était enflammée.
Lui, le Pépère continua sa route comme si de rien n'était.
- Attention, le Casanova du Mans est lancé, arrêté les flashs mon poil va prendre feu. Oui les minettes, vous aurez tous un autographe, non pas tous en même temps. Hé bien quelle célébrité, oui, c'est Pépère premier sou une foule de millions de personnes qui entame son deuxième rond-point. Vite, filmez l'exploit, je suis un best je suis Pépère, je terrasse des panthères et des t-rex, yes, je ne suis pas une fifille. Chat chat où t'es où as-tu mis ton chat chat...
Seul dans la cellule résidait son compatriote hollandais qui dormait à poings fermés. Il essaya de le réveiller, mais n'y parvint pas. Il se précipita vers le gendarme que les quatre zouaves avaient mis ko en l'assommant. Il le secoua et l'homme revenait à lui naturellement.
- Hé bien, c'est une drôle d'histoire encore que celle-là. C'est une drôle de contrée n'empêche pas. Il est ivre une fois et les autres en ont profité, ça, c'est un monde alors.
Le pauvre Belge réussit tant bien que mal à ramener l'homme dans un bureau et l'assit devant un bureau où était en gros, Brigadier Tatouvu. Le gendarme se réveilla totalement hébété ne se souvenant même pas avoir arrêté l'homme qui était en face de lui, quelque temps plus tôt.
Il était commotionné, mais n'avait rien de grave. Il regarda le Belge et le prit pour le brigadier.
- Écoute, j'espère que tu n'as pas tout bu, aie ma tête, j'ai soif...
L'homme ouvrit un tiroir et prit une bouteille et but au goulot la moitié du contenu et il s'assoupit sur le fauteuil.
Le Belge n'en revenait pas et ne savait que faire. Il était agacé de tous ces événements et une mouche volant à ses oreilles l'énervait un peu plus. L'insecte vint se poser sur le rebord du goulot de la bouteille et s'envola aussitôt sur deux centimètres. La pauvre mouche fit bzeee et tomba raide morte à côté de la bouteille.
- Hé bien mon gaillard, je me demande ce que c'est que cette boisson qui pourrait déboucher un WC. Voyons ça que je sente cet alcool une fois.
Il saisit la bouteille et sentit le contenu. De suite, il roula des yeux et posa la bouteille avant de s'asseoir à son tour face au gendarme qui dormait.
- Hé bien, c'est du décolle papier peint ou de l'acide de batterie ce n'est pas possible. Je comprends mieux si les Soubirou boivent de tels produits pourquoi ils sont autant intoxiqués. C'est une honte n'est-ce pas, voir ça dans un commissariat. Monsieur, je ne vous salue pas pour l'arrestation arbitraire. Une fois, quand même, c'est un scandale, les policiers belges ne boivent pas du débouche évier.
Que j'aille retrouver mon épouse une fois. Quand, je vais raconter ça à Pépère, bin, il ne voudra jamais me croire une fois.
L'homme reprit le chemin de la liberté et partit vers son camping-car. Il retrouva son épouse et reprit le chemin du canal espérant revoir Pépère.
Bibou avait rejoint ses amis et il était rentré dans la cabane à Cookie, car la fumée qui venait de la haie l'indisposait.
Chatdore lui continuait d'essayer d'envoyer des messages à Pépère sans même se rendre compte que Lucie, Cookie, Lolo, Turbo et Sybage étaient partis juste en face dans le champ voir les exploits des Américains.
Bibou se posait une question qui le tracassait depuis un moment. Il ne put tenir plus longtemps et demanda une précision à Chatdore.
- Je pense à une chose sur toi Chatdore.
C'est bizarre, car Pépère m'a dit qu'au début où il était arrivé ici, il t'avait pris pour un chacamain pour minette mondaine.
- Non, pas du tout, c'est que le premier jour où il a cru me rencontrer ce n'était pas moi.
- Ha, bon, c'était une minette qui te ressemble ?
- Pas du tout, je vais t'expliquer l'histoire. Après le sauvetage du onze septembre, j'ai été affecté à la CICHAT et lui était toujours au FBICHAT. On s'était donc un peu perdu de vue et on m'avait confié l'enquête sur le soûlard soudanais buveur de vin irakien. Régulièrement, j'allais manger chez lui et il était heureux de me voir, car il ne se doutait pas que je fusse un chat agent secret. Donc, un soir, sa compagne lui demande s'il n'a pas trop chaud dans son capharnaüm. J'étais très étonné, car il faisait dix degrés en dessous de zéro à l'extérieur. Je me suis dit, s'il est échauffé de ce temps-là, ça doit y aller les bols de vin chauds nucléaires arrosés de rhum. C'est après que j'aie compris, car il lui avait répondu, non les conteneurs ne sont plus sous la cabane. Un matin, je viens réclamer mon repas à sa porte et il faisait soixante-dix degrés en dessous de zéro. Je l'entends s'écrier dans son gourbi, zut la casserole d'eau est gelée. Je crie à son intention, tu n'as qu'à moins boire et tu chaufferas ta cabane. Forcément, il se réchauffe par l'intérieur et n'a jamais froid. Je le vois sortir dehors avec sa casserole d'eau gelée et partir en direction des conteneurs en plastique. Je précise qu'il avait tellement d'alcool dans le sang qu'il était en short et tee-shirt et il transpirait comme un bœuf. D'ailleurs, quand il est sorti du gourbi, j'ai cru être victime d'une rafale de mitraillette par un avion. En fait, les gouttes de sueur gelaient en tombant et il transpirait abondamment. Donc, il pose la casserole sur les déchets et en une seconde à peine l'eau s'est mise à bouillir. C'est là, que j'ai compris, car les conteneurs étaient sous la cabane montée sur pilotis. C'est alors que j'apprends qu'un vol de plutonium s'est produit à la centrale nucléaire de Belleville Sur Loire. C'est alors que j'ai été missionné pour enquêter. Quand Pépère est arrivé, j'étais dans le bois où je faisais des recherches. Il est tombé sur ma maîtresse Ambre, qui s'était déguisée en sacré de Birmanie. Voilà la vraie histoire pas fausse mon copain, tu comprends maintenant.
- Whouaf, oui, c'est une drôle d'histoire. Tu n'as toujours pas de nouvelles de Pépère ?
- Non, figure toi que les messages ne passent pas, je ne sais pas ce qui se passe le réseau est vraiment très bas.
À Sancoins, le poète qui était partit de la place, s'était rendu au commissariat pour sa plainte. Il avait été reçu avec une porte fermée et aucun signe de vie à l'intérieur. Il vit juste un camping-car démarré et l'arrêta pour demander s'il y avait quelqu'un à l'intérieur. En effet de loin, il lui avait semblé voir l'homme en sortir.
- Hé, pardon monsieur, bonjour, il me semble vous avoir vu sortir de la brigade et je ne vois personne, savez-vous s'il y a quelqu'un la dedans ?
La réponse qu'il reçut le laissa pantois.
- Hé bien, croyez-moi, bonjour monsieur, je suis Belge n'est-ce pas et policier même, là-dedans, on boit du débouche évier et on arrête les gens pour rien. N'y allez pas monsieur, c'est une arnaque des Soubirou n'est-ce pas. Je vous laisse monsieur, j'ai à voir le chat Pépère tantôt alors fuyez d'ici, et évitez les Soubirou.
L'homme s'en alla à toute allure et le poète déçu repris par la route du canal.
Cinq minutes, plus tard, il appelait sa compagne.
- Chérie, oui, c'est moi, non, je n'ai pas trop mangé. Si, si, je te l'assure un scooter électrique, si, si, c'était la fifille qui était dessus, je ne comprends plus rien.
Le poète n'avait pas rêvé s'était bien Pépère qu'il avait croisé sur la route faisant le fou.
Il n'avait pas le scooter en pattes, mais malgré tout, il se prenait pour un coureur.
- Rangez vos moustaches les minettes, attention le caïd, le Casanova du bitume est de retour. Oui, c'est moi, Pépère le magnifique, Pépère le génie, dix fois médaillé poulet d'or aux courses de scooter électrique. Regardez-moi mes belles de la boucherie avec vos jumelles, le champion de la route va faire trois fois le tour du rond-point. Poussez-vous les cacas jaunes où je vous pulvérise à coup de queue.
C'est ainsi que pour avoir le scooter en patte, il fit quatre fois le tour du rond-point en empêchant les voitures d'y accéder. Il finit par en faire un cinquième et tirait la langue au automobiliste en faisant trembler sa queue. D'un seul coup, une violente douleur au ventre le prit.
- Oulala, Pépère tu as la colique, tous à l'abri, contrôle technique gratuit des essuie-glaces. Attention, sixième tour et rangez vos pneus les zozos.
Il se mit debout sur la selle et les deux pattes sur l'accélérateur, il se mit à faire la mouflette en tournant autour du rond-point. Les automobilistes essuie-glaces et lave-glace à fonds le klaxonnais autant qu'il le pouvait. Le pauvre Pépère pris dans son élan commit l'imprudence d'aller à fond. À soixante-dix kilomètres à l'heure le scooter ne pouvant plus tenir la courbe du rond-point, celui-ci partit seul tout droit en direction de Mornay. Le Pépère fut déséquilibré et fit un roulé-boulé sur la cabane du rond-point avant de retomber sur la selle du scooter. Pattes sur l'accélérateur, il répartit comme un fou. Sur le rond-point, c'était la panique totale. La cabane en s'écoulant était tombée sur un poêle à combustible et s'était enflammée.
Lui, le Pépère continua sa route comme si de rien n'était.
- Attention, le Casanova du Mans est lancé, arrêté les flashs mon poil va prendre feu. Oui les minettes, vous aurez tous un autographe, non pas tous en même temps. Hé bien quelle célébrité, oui, c'est Pépère premier sou une foule de millions de personnes qui entame son deuxième rond-point. Vite, filmez l'exploit, je suis un best je suis Pépère, je terrasse des panthères et des t-rex, yes, je ne suis pas une fifille. Chat chat où t'es où as-tu mis ton chat chat...