Pépère était toujours dans la voiture en attendant de repartir vers le canal. Saturne était rassuré par les histoires de Pépère sur la peinture invisible qui faisait que le poète n'avait pas pu le voir. Saturne se demandait bien comment ça se faisait qu'il l'ait emmené avec une auto et qu'il était avec une autre.
Le Pépère regardait devant le bar et voyait les gens se boucher le nez. Il était satisfait de son travail. Non loin du bar dans la fourgonnette des gendarmes, la femme attendait toujours qu'on l'emmène au poste pour sa déposition. Ils étaient embêtés à cause de l'enfant dont ils ne savaient que faire. Ils avaient à plusieurs reprises demandé à la dame si quelqu'un pouvait venir la récupérer et la seule réponse qu'ils obtinrent fut, on ne lâche rien, ah où ah où !!!
Le Pépère regardait la femme s'agiter et les gendarmes avec la poussette et il fut pris d'une idée.
Il arrêta le temps et descendit de l'automobile et se dirigea vers le bar.
- Alors vilaine, comme ça tu ne lâches rien, ça ne t'a pas empêché de traiter Pépère de gros lard et de fifille. Attends sac d'os mal dégrossi des rotules. Tu n'as pas fini de te ramasser des procès pour pollution de fourgon. Quant à ton gozilla en couche culotte, tu n'as qu'à le confier à ma love ne boit pas d'eau. Tu verras, elle pourra lui donner le biberon. D'ailleurs, c'est bien pratique, car elle dispose de cinq poches de rhum ventrales. Tu vas voir comme ton Dracula va se régaler. La drôlesse va en inonder sa couche de plaisir et toi vilaine, tu feras moins la maline avec ton râtelier dans la bouche. D'ailleurs à quoi te serre ce fil de fer barbelé alors que tu as une dent tous les deux mètres. J'ai compris, tu t'en sers comme décapsuleur ou pour arraché les bouchons de vinasse. Tu vas voir ce qu'il en coûte d'insulter un agent secret comme Pépère. En plus, je viens d'être victime d'insulte de là par de mon roi du château des armagnacs pour cuisiniers alcooliques.
Le Pépère avec sa magie ouvrit la porte de fourgon et y rentra. Une fois bien en place, il fit la mouflette et en mit partout.
- Voilà vilaine, cadeau de Pépère, crème d'intelligence nappée à la peau de poulet, chat chat chat. Maintenant occupons nous du bar.
Il se posa devant le bistrot et décora la vitrine.
- Tiens soûlard, cadeau de ton chat qui en a marre de se faire insulter dans cette histoire, voilà brise de Niagara caramélisé à l'intelligence de Pépère.
Totalement satisfait de ses œuvres, il répartit vers sa voiture.
- Maintenant, nous aurons la paix nous autres pour que je puisse faire un partage équitable des poulets avant de retourner chercher, Lolo, Sybage, Chatdore et Turbo. J'espère que l'autre journaliste pour vinasse magasine aura su le ramener à sa cabane sans l'accidenter que je le récupère. Allez, au canal, temps reprend ton cours.
Le temps reprit son cours et Saturne sursauta.
- Mais qu'est-ce que c'est que cette odeur épouvantable, mais d'où ça vient.
Devant le bar, c'était de nouveau la panique. Dans le fourgon des gendarmes, la femme n'arrêtait pas de hurler.
Le Pépère décida de prendre la fuite au plus vite. Il démarra comme un fou et remonta par la route qui longeait l'église plutôt que de passer devant le bar. C'est alors qu'en tournant, il perdit le contrôle de la voiture. Celle-ci était lancé au moins à soixante-dix kilomètres à l'heure et Pépère fit des roulés-boulés sur la route jusqu'au bar. La femme dans le fourgon le vit se relever et criait, c'est le gras-double qui est là qui a fait ça, attrapez le, c'est un sale chat, attrapez le.
Le pauvre Pépère se releva et chercha la voiture du regard. Il vit au loin celle-ci dont l'arrière dépassait de la rangée de thuyas qui bordaient l'église.
Il répartit en courant sur deux cent mètres devant une foule en délire.
- C'est du caca de chat, c'est ce gras-double, faisons lui sa fête, c'est la baleine sur pattes qui est devant vite... Mais où est-il ?
Le Pépère venait de sauter dans son auto et là recula de la haie. Le pauvre Saturne était complètement défait, mais pépère essoufflé gardait le contrôle.
- Arf arf arf, vite partons, arf arf arf, chat chat où t'es où as-tu mis ton chat chat.
Il remonta la rue à cent vingt kilomètres l'heure et fit un bon sur le ralentisseur qui était à la sortie du village. La voiture retomba sur ses roues et il s'arrêta pour rassurer Saturne.
- Arf arf arf, ce n'est rien mon copain, arf arf arf, Pépère est indestructible ne t'inquiète pas, allons voir mes amours.
- Oui, min frérot, mais pourquoi cette odeur épouvantable s'est de nouveau rependue dans les airs.
- Hé bien figure toi que la couche du Dracula a explosé. La bougresse avait tété un biberon d'au moins deux litres de vinasse et la couche n'a pas résisté, ne t'inquiète pas mon frérot.
Le Pépère reprit tranquillement la route du canal et passa lentement devant l'estrade en envoyant des bisous à sa maman fée Chouânne qui était avec Mike.
- Je t'aime maman fée, je t'aime, je t'aime, j'ai retrouvé mon frérot, je t'aime ma love fée.
Le Pépère arriva dans le dos d'Isidore qui finissait son histoire de moyenne compensée.
- Ça fait donc, deux plus deux pour eux ce qui nous donne un demi et pour moi les poulets. Donc en moyenne compensée ça fait, les poulets pour moi et les ficelles pour vous, chat chat chat. Les autres chat le regardaient et se mirent à en rire.
- Chat chat chat chat chat chat chat chat chat.
C'est alors qu'Elchaponne regarda Isidore et lui dit.
- Isidore, Pépère, il y a Pépère.
- Oui, je suis Pépère, moyenne compensée, sort de ce corps, chat chat chat.
- Isidore, je disais Pépère, il y a Pépère.
- Chat chat chat, mais où ça, c'est moi.
- Derrière toi Isidore avec un autre chat.
Isidore se retourna et fut très confus de le retrouver derrière lui.
- Pépère, mais mais, que fait tu là ?
Mais qui est ce chat ?
Pépère présenta son prétendu frère, entre guillemets et tous le saluèrent avec enthousiasme. Puis, il regarda Isidore pour avoir une explication.
- Alors comme ça, on imite son chef.
- Pas du tout mon éminence, je racontais aux autres, une anecdote de toutes griffes dehors. Un chat était venu dans l'émission en se faisant passer pour toi. Tu me connais, je ne ferais jamais une chose pareille mon copain.
- Bon, passons, où est cette palette d'amours.
Toutblanc et Un-œil l'emmenèrent vers la haie et ils écartèrent les arbustes.
- Chat alors, qu'est-ce qu'elles sont belles, vite une photo, prenez moi en photo devant. Oulala, quelles jolies cuisses, humm de jolies peaux bien nourries hummm des centaines de mètres de ficelles en souvenir, nous en ferons des scoubidous pour ne pas oublier ce moment mémorable. Ce n'est pas tout ça, passons au partage sans oublier, Sybage, Lolo, Chatdore, Turbo et Bibou.
Le Pépère regardait devant le bar et voyait les gens se boucher le nez. Il était satisfait de son travail. Non loin du bar dans la fourgonnette des gendarmes, la femme attendait toujours qu'on l'emmène au poste pour sa déposition. Ils étaient embêtés à cause de l'enfant dont ils ne savaient que faire. Ils avaient à plusieurs reprises demandé à la dame si quelqu'un pouvait venir la récupérer et la seule réponse qu'ils obtinrent fut, on ne lâche rien, ah où ah où !!!
Le Pépère regardait la femme s'agiter et les gendarmes avec la poussette et il fut pris d'une idée.
Il arrêta le temps et descendit de l'automobile et se dirigea vers le bar.
- Alors vilaine, comme ça tu ne lâches rien, ça ne t'a pas empêché de traiter Pépère de gros lard et de fifille. Attends sac d'os mal dégrossi des rotules. Tu n'as pas fini de te ramasser des procès pour pollution de fourgon. Quant à ton gozilla en couche culotte, tu n'as qu'à le confier à ma love ne boit pas d'eau. Tu verras, elle pourra lui donner le biberon. D'ailleurs, c'est bien pratique, car elle dispose de cinq poches de rhum ventrales. Tu vas voir comme ton Dracula va se régaler. La drôlesse va en inonder sa couche de plaisir et toi vilaine, tu feras moins la maline avec ton râtelier dans la bouche. D'ailleurs à quoi te serre ce fil de fer barbelé alors que tu as une dent tous les deux mètres. J'ai compris, tu t'en sers comme décapsuleur ou pour arraché les bouchons de vinasse. Tu vas voir ce qu'il en coûte d'insulter un agent secret comme Pépère. En plus, je viens d'être victime d'insulte de là par de mon roi du château des armagnacs pour cuisiniers alcooliques.
Le Pépère avec sa magie ouvrit la porte de fourgon et y rentra. Une fois bien en place, il fit la mouflette et en mit partout.
- Voilà vilaine, cadeau de Pépère, crème d'intelligence nappée à la peau de poulet, chat chat chat. Maintenant occupons nous du bar.
Il se posa devant le bistrot et décora la vitrine.
- Tiens soûlard, cadeau de ton chat qui en a marre de se faire insulter dans cette histoire, voilà brise de Niagara caramélisé à l'intelligence de Pépère.
Totalement satisfait de ses œuvres, il répartit vers sa voiture.
- Maintenant, nous aurons la paix nous autres pour que je puisse faire un partage équitable des poulets avant de retourner chercher, Lolo, Sybage, Chatdore et Turbo. J'espère que l'autre journaliste pour vinasse magasine aura su le ramener à sa cabane sans l'accidenter que je le récupère. Allez, au canal, temps reprend ton cours.
Le temps reprit son cours et Saturne sursauta.
- Mais qu'est-ce que c'est que cette odeur épouvantable, mais d'où ça vient.
Devant le bar, c'était de nouveau la panique. Dans le fourgon des gendarmes, la femme n'arrêtait pas de hurler.
Le Pépère décida de prendre la fuite au plus vite. Il démarra comme un fou et remonta par la route qui longeait l'église plutôt que de passer devant le bar. C'est alors qu'en tournant, il perdit le contrôle de la voiture. Celle-ci était lancé au moins à soixante-dix kilomètres à l'heure et Pépère fit des roulés-boulés sur la route jusqu'au bar. La femme dans le fourgon le vit se relever et criait, c'est le gras-double qui est là qui a fait ça, attrapez le, c'est un sale chat, attrapez le.
Le pauvre Pépère se releva et chercha la voiture du regard. Il vit au loin celle-ci dont l'arrière dépassait de la rangée de thuyas qui bordaient l'église.
Il répartit en courant sur deux cent mètres devant une foule en délire.
- C'est du caca de chat, c'est ce gras-double, faisons lui sa fête, c'est la baleine sur pattes qui est devant vite... Mais où est-il ?
Le Pépère venait de sauter dans son auto et là recula de la haie. Le pauvre Saturne était complètement défait, mais pépère essoufflé gardait le contrôle.
- Arf arf arf, vite partons, arf arf arf, chat chat où t'es où as-tu mis ton chat chat.
Il remonta la rue à cent vingt kilomètres l'heure et fit un bon sur le ralentisseur qui était à la sortie du village. La voiture retomba sur ses roues et il s'arrêta pour rassurer Saturne.
- Arf arf arf, ce n'est rien mon copain, arf arf arf, Pépère est indestructible ne t'inquiète pas, allons voir mes amours.
- Oui, min frérot, mais pourquoi cette odeur épouvantable s'est de nouveau rependue dans les airs.
- Hé bien figure toi que la couche du Dracula a explosé. La bougresse avait tété un biberon d'au moins deux litres de vinasse et la couche n'a pas résisté, ne t'inquiète pas mon frérot.
Le Pépère reprit tranquillement la route du canal et passa lentement devant l'estrade en envoyant des bisous à sa maman fée Chouânne qui était avec Mike.
- Je t'aime maman fée, je t'aime, je t'aime, j'ai retrouvé mon frérot, je t'aime ma love fée.
Le Pépère arriva dans le dos d'Isidore qui finissait son histoire de moyenne compensée.
- Ça fait donc, deux plus deux pour eux ce qui nous donne un demi et pour moi les poulets. Donc en moyenne compensée ça fait, les poulets pour moi et les ficelles pour vous, chat chat chat. Les autres chat le regardaient et se mirent à en rire.
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- Isidore, Pépère, il y a Pépère.
- Oui, je suis Pépère, moyenne compensée, sort de ce corps, chat chat chat.
- Isidore, je disais Pépère, il y a Pépère.
- Chat chat chat, mais où ça, c'est moi.
- Derrière toi Isidore avec un autre chat.
Isidore se retourna et fut très confus de le retrouver derrière lui.
- Pépère, mais mais, que fait tu là ?
Mais qui est ce chat ?
Pépère présenta son prétendu frère, entre guillemets et tous le saluèrent avec enthousiasme. Puis, il regarda Isidore pour avoir une explication.
- Alors comme ça, on imite son chef.
- Pas du tout mon éminence, je racontais aux autres, une anecdote de toutes griffes dehors. Un chat était venu dans l'émission en se faisant passer pour toi. Tu me connais, je ne ferais jamais une chose pareille mon copain.
- Bon, passons, où est cette palette d'amours.
Toutblanc et Un-œil l'emmenèrent vers la haie et ils écartèrent les arbustes.
- Chat alors, qu'est-ce qu'elles sont belles, vite une photo, prenez moi en photo devant. Oulala, quelles jolies cuisses, humm de jolies peaux bien nourries hummm des centaines de mètres de ficelles en souvenir, nous en ferons des scoubidous pour ne pas oublier ce moment mémorable. Ce n'est pas tout ça, passons au partage sans oublier, Sybage, Lolo, Chatdore, Turbo et Bibou.