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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Le Pépère était enfin au volant de sa voiture. Avéame le regardait d'un drôle d'air en se pinçant le nez. En faisant la mouflette, il s'en était mis plein le poil et sentait très mauvais. En plus en ayant traversé la route n'importe comment devant le bar, il avait roulé sous la voiture qui l'avait évité et ses moustaches qui avaient touché l'échappement étaient toutes frisées.
Pendant ce temps, tous les gendarmes affluaient vers la place de l'église face au bar.
- Toc toc toc, mais où vont-ils, toc toc toc, que se passe-t-il, j'espère que l'on ne m'a pas encore volé mon canal, toc toc toc.
- Fle fle fle, et s'il était arrivé malheur aux autres, fle fle fle, ils gardaient ma mare, fle fle fle, j'ai très peur et pour ma love gendarme aussi, fle fle fle
- Qu'est-ce qu'il se passe Pépère, tu as les moustaches toutes frisées.
- Un grand malheur, un t-rex avec des dents métalliques qui était sur la place de l'église. Il était dans un camion de cirque et ses dresseurs l'avaient échappé.
- Toc toc toc, un t-rex dans un cirque, c'est assez bizarre, toc toc toc.
- Fle fle fle, c'est même hallucinant, fle fle fle.
- Pépère, tu es sûr que c'était un t-rex ?
- Oui, c'est une vengeance de chatrkvador il m'ont envoyé un t-rex Android, il sont indestructibles ma vie est menacée. Il a fait croire au cirque que c'était un dromadaire lunaire en se déguisant en faux éleveur de bananiers lunaire.
Bon je suis quand même arrivé avec mon souffle ultra puissant à le renvoyer dans l'espace, mais il va sûrement revenir faisons attention à nous.
- D'accord Pépère, mais c'est quoi cette odeur épouvantable ça sent mauvais dans la voiture, on dirait que l'odeur vient de toi.
- Ne m'en parle pas, devant le bar en surveillant mon poivrot sous une poussette, j'ai été victime par une morveuse qui était dans sa poussette d'une explosion de couche. C'est pour ça que les gendarmes vont là-bas, pêcheur. Ne m'en parle pas, devant le bar en surveillant mon poivrot sous une poussette, j'ai été victime par une morveuse qui était dans sa poussette d'une explosion de couche.
- Et mon chatmoureux Fripouille non plus n'est plus très loin.
- Toc toc toc, mon canal est à côté, toc toc toc.
- Fle fle fle et ma love gendarme, donne du pain aux petites pattes à côté, fle fle fle.
- Oui mes amis, nous sommes très proches. Donc, figurez-vous que la chouinarde un ventre comme un ballon de baudruche. C'était de la colique et elle s'est liquidifiée dans sa couche qui a explosée et m'a inondée. C'était horrible une odeur indescriptible, figurez vous que les pompiers ont du intervenir, ils ont appelés en renfort le gipn, la dge, le fbi, la cia le kgb l'armée américaine et russe et il y a une zone de quarantaine.
- Quand même, qu'avait elle mangé pour être dans cet état.
- Toc toc toc, des déchets nucléaires, toc toc toc.
- Fle fle fle, certainement pas des miettes de pain, fle fle fle. - Écoutez, rien de tout ça, je l'avais vu une minute avant la morveuse avait un biberon rempli de Malibu à la main. Je pense que la mère Dracula doit être une sœur à la comparse du poète où la Strasbourgeoise. Vous, vous rendez compte un gozilla en couche culotte boire ça. La drôlesse à vingt ans, elle se descendra une baignoire de bière par jour. C'est une honte !
Pendant ce temps-là, le long de la mare à Coin-coin, les amis de Pépère faisaient attention aux rôdeurs. Il ne fallait surtout pas que quelqu'un s'approche de la haie au risque de voir la palette de poulets.
- Hé bien, Un-œil, ton feu d'artifice était très réussi, chat chat chat.
- Oui, Elchaponne et toi, tu es un pro de la conduite. Personne n'a eu le temps de te voir dérober les poulets.
- Je suis content que mon maître ne t'ait pas vu, j'espère que Pépère va arriver bientôt.
- Ton maître était à atac.
- Oui, Isidore, il aide les gens pour ramasser les poulets. Normalement, je devais l'attendre devant le camping-car.
- Ne t'inquiète pas Isidore, Toublanc ne lui dira rien. Ha un message de ma chatmoureuse arrive à l'instant. Pépère arrive, il a dû délivré la ville d'un t-rex ils sont juste à côté. Il a dit à ma chatmoureuse qu'il passait au musée de la viande poser un papier et ils arrivent. Mais qu'est-ce que c'est que cette odeur épouvantable qui nous revient.
Isidore consultait son téléphone et dit aux autres ce qu'il lisait des médias.
- Hé bien, ils disent qu'une canalisation d'égout emmenant probablement les déchets des fosses septiques à explosée juste devant le bar. D'après eux un serpent du type boa aurait bouché le conduit qui a éclaté. Les services de désinfection sont sur place. Ils ont cru au début à une attaque terroriste et à des gaz bactériologique. Une femme a déclaré qu'un chat lui avait uriné dessus et qu'il avait la même odeur. Ils disent que c'est probablement lui qui en fermant la trappe devant le bar a empêché le boa de sortir. C'est comme ça que la pression a cédé. Ils racontent n'importe quoi en fait, ils disent que le chat est un complice du serpent. Il est décrit comme assez massif, gris avec les bouts de pattes blanches, grosses joues, doubles ventres et double menton. Chat chat chat, on dirait la fiche de Pépère.
Tous les chats rigolèrent ensemble.
- Hé soûlard, ça t'amuse d'écrire des horreurs sur moi ?
- C'est l'histoire, ne t'inquiète pas.
- Mais oui bien sûr, n'empêche que je vois tout moi, n'oublie pas que je peux me déguiser aussi bien en bouchon de pot de confiture qu'en frelon pour espionner réserve de rhum sur des jambes, salopard.
- Je peux continuer mon histoire.
- Oui, soûlard, j'ai un vol à faire du côté de Lourdes, en corneille va savoir...
À l'épicerie, le pape n'en pouvait plus d'impatience de connaître la suite de l'histoire du président.- Oui, mais la pince cheveu alors, Monsieur le Président. - J'y viens monsieur le pape. Donc j'étais puni et tenais la maison. Seule ma petite amie venait me voir. Le problème était que si je la prenais dans mes bras je devais lever la tête pour ne pas en faire une brochette à cause de mon cheveu. Oui, avec mes jambes en PVC, je mesurais quarante centimètres de moins. C'est alors que tête en l'air entre ses bras, j'ai malheureusement dû éternuer et je l'ai assommé avec mon cheveu. Résultat, fracture du crâne, tassement des vertèbres, enfin j'avais bien réussi mon œuvre. C'est alors que visité par le dresseur de chevaux à qui j'enseignais le cheval, il ait eu lui-même une idée. Essayer de fendre ce cheveu en deux. Ensuite l'équiper de moteur pour qu'il s'écarte comme l'on ouvre les bras. C'est un maçon avec un marteau et un burin qui est arrivé à le fendre après trois heures d'effort. Ensuite, et électronicien l'a équipé de moteurs. C'est comme ça qu'après je pus enfin sortir. C'était simplement génial, ça me faisait un troisième bras. J'aidais les gens dans les magasins pour prendre les denrées en hauteur. C'est comme ça que j'ai été plusieurs fois aider mon ami à l'épicerie. J'étais celui qui rangeais le plus vite car j'étais équipé de trois bras avec mon cheveu pince. Voilà l'anecdote que tout un chacun aurait pu vivre. Screenshot_20191112_182316.jpg