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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
La sœur malgré son état d'euphorie avait été attirée par l'histoire du président de la République. Dans son récit, celui-ci avait dit plusieurs fois le mot coup. Dans l'esprit de sœur Mathilde, deux roues crantées de l'intelligence s'étaient entrechoqué et avaient amené la relation, coup à boire. Du fait, elle avait forcé les autres à être très attentifs comme elle.
- Hé bien, monsieur Emmanuel Camron, euh, Marron, euh, cordon bleu, hic. Vous êtes un maître d'art dans l'arrestation des délinquants de tous poils. Hic, ce n'est pas toi qui aurait fait ça vieux putois du Vatican. Tu n'a même pas été foutu de résoudre un simple vol de cierges dans ton fourbi.
- Hé, vielle prêtresse israélienne adepte du sadomasochisme des verres d'apéritif, tu ne pourrais pas respecter ton pape et ton président, monsieur cordon cheveu frontal à un nom. Excusez là, monsieur Emmanuel Lagaffe, cette femme n'a que le respect des bouchons de bouteilles millésimées.
- Cocorico, c'est le président le plus costaud, cocorico, Coco est très heureux avec vous.
- Hé bien mon Manu, la, tu me l'as coupé sévère, vive cheveu frontal premier.
hip hip hip, hourra !
- Cocorico !
- À la tienne Étienne !
- Tais-toi, sœur soûlarde, bravo monsieur frontal.
- Bravo, Monsieur le Cheveu frontal de l'état. Si des bandits arrivent dans mon épicerie, je suis assurée d'être en sécurité.
- Merci à tous pour vos remerciements, cela me fait chaud au cœur. Et encore, vous ne savez pas toute l'histoire. Figurerez vous que la mitraillette tombée au sol, ce n'est pas le directeur qui l'a ramassé. C'est moi-même qui l'aie rattrapé au sol avec mon cheveu par la lanière. Après, le directeur l'a rattrapé au vol et le brigand surpris de ma rapidité n'a pas pu réagir. Il a essayé de sauter sur le préposé et moi, avec mon cheveu dans un éclair de bravoure, je l'ai sévèrement assommé. Ensuite, j'ai couru dans la salle et j'ai crié, hé les deux zigotos là-bas, vous en voulez. Alors, tremblants, les deux hommes se sont rendu au directeur. Les gendarmes ont été prévenus et l'un d'eux nous a dit qu'une voiture attendait dans la ruelle derrière la banque. Un homme était au volant et avait une grenade à la main. C'est alors qu'après avoir ligoté les trois malfaiteurs avec l'écharpe d'un client que je suis sorti dans la rue par une issue de secours. J'ai rampé, cheveu en l'air pour ne pas me freiner et ventre à terre. Arrivé sur les pneus, je les ai crevés un par un avec mon cheveu. Ensuite, je me suis relevé, face à l'homme qui a été surpris, à coup de cheveu, j'ai pété la vitre et saisis de la pointe du cheveu la grenade. L'homme désarçonné s'est enfui en zigzagant et les policiers l'ont arrêté. Autant vous dire que l'heure de gloire de la licorne avait sonné dans le quartier. Oui, c'était mon surnom, la licorne. Du coup, le directeur a soigneusement gardé l'affiche que j'avais largement tachée avec les jets puissants de mes boutons d'acné. Il l'a fait encadrer et j'ai appris récemment qu'un émir saoudien en avait fait l'acquisition à une vente aux enchères pour un million d'euros. C'était en fait un cadeau pour un homologue à moi, monsieur Sarkozy, oui, Nicolas le copain à Pépère.
L'assemblée, ne put retenir un tonnerre d'applaudissements.
Le Pépère pendant ce temps continuait son récit et s'apprêtait à descendre de sa voiture.
- Deuxième avantage, c'est qu'elle pouvait aller plus vite et faisait deux tours de ravitaillement.
- Toc toc toc, mais comment remontait-elle toc toc toc.
Je t'expliquerai plus tard, mon Ivoirien londonien imbibé de vodka marseillaise est rentré, donc plus aucun danger d'être vu.
Le Pépère sortait à peine de la voiture que son téléphone sonna.
Il regarda le SMS reçu et s'écria.
- Tous aux abris, deux gendarmes reviennent vers la cabane de bout de râteau.
Effectivement, deux hommes étaient en patrouilles selon les ordres du brigadier qui était dans sa Dacia et qui avait décroché avant la fin de l'histoire du président.
La camionnette se gara à côté de la voiture de Pépère qui leur était invisible.
- Allô, quoi que dis-tu, ha bon nous sommes coincés dans la voiture nous autres. Attends, je vais lui faire une blague pour qu'ils dégagent tous, très rapidement. Va voir Cookie en passant par-derrière, j'arrive.
- Toc toc toc, que font ces hommes ici, toc toc toc.
- Fle fle fle, que t'a dit Chatdore, fle fle fle.
- Le soûlard a rentré Bibou et le noiraud et bu le casier de vin. Il revient, nous sommes obligés d'attendre, il pourrait nous voir chez Cookie, pour peu qu'il vienne voir si ses armes n'ont pas été découvertes.
Le poète arriva assez rapidement et trouva la voiture de gendarmerie dans l'allée, mais ne vit personne. Il entendit du bruit dans le chalet et vit la porte ouverte, il pensa à Pépère et à une casserole qui contenait des aliments.
Arrivé à la porte, il n'en revint pas de ce qu'il voyait.
- Hé bien, il ne faut pas vous gêner, qu'est-ce que vous faites là !
L'un des gendarmes était en train de dévorer un chausson aux pommes sur son bureau et l'autre était accroupi sur le sol. Il avait déchiré le sac de croquettes à Pépère et les mangeait au sol. C'était un coup du Pépère et de sa magie. Les deux agents furent surpris sur le fait partir en courant. Chose curieuse, ils poussaient de long miaulements. Les deux hommes se retrouvèrent dans leur voiture à l'entrée du terrain et revinrent à eux. Ils se demandaient ce dont il leur était arrivé. L'un d'eux pensa à une intoxication dû aux émanations des crottins de la jument, l'autre prit peur et ils partirent la sirène hurlante en direction de l'épicerie où les attendait le brigadier.
Le poète était rentré dans son chalet. Il ramassa les miettes et les croquettes et s'installa à son bureau pour manger un reste de cassoulet entamé dans la nuit.
Le Pépère vit les gendarmes partir à toute allure.
- Vous voyez, l'un d'eux doit être ma maîtresse déguisée en gendarme, elle a été boire et manger et a dû être obligée d'aller en urgence à Sancoins. Le pire, c'est que l'autre va m'accuser après d'avoir mangé ses victuailles alors que les miennes sont en soins intensifs.
Tout en parlant le Pépère touchait le prospectus qui était dans son chat-ventre. Il essayait de la patte de deviner les images. Pêcheur s'en rendit compte qu'il touchait le dépliant qui dépassait un peu du chat-ventre et lui demanda avec surprise.
- Toc toc toc que fais-tu avec ces papiers, toc toc toc, c'est pour notre mission, toc toc toc .
- Fle fle fle, non, c'est l'allocation de remerciement, pour ma love gendarme pour les services rendus aux petites pattes, fle fle fle.
- Pas du tout mes amis, ça, c'est un document ultra secret où est répertorié dessus la liste des armes qu'ont caché mes deux ne boivent pas d'eau en dehors de l'apéritif dans le Ricard, il n'y a pas longtemps dans le canal. C'est le fruit de longues années d'enquête figurez-vous.
- Bon le temps que la jambe bionique et bras d'acier est dans son capharnaüm et dont Chatdore arrive, je vais vous raconter l'histoire de la remontée de l'escalier à ski. Donc quelques jours après m'avoir fait fabriquer des skis avec des coquilles d'huîtres et de la colle néoprène avec un moulin à café, je lui demande quand je les livre. Là-dessus, il me répond d'attendre du fil. Comme, il avait des limaces sur ses fleurs, je me suis dit Pépère, tu es encore à l'amende de tricoter des pull-overs pour les limaces. Oui, il avait dit à ma love ne boit que des vapeurs, qu'il espérait qu'elles n'aient pas trop froid l'hiver. Donc, le fil arrive et il me dit, Pépère, tu vas démonter le démarreur de la quatre ailes, je le remplacerai plus tard. Tu vas le monter sur le moulin à café et avec le fil en faire un remonte ski. Voilà comment Josiane s'est retrouvé de corvée pour actionner l'interrupteur du moulin motorisé pour tirer les skis. Bon, l'idée ingénieuse de ce remonte ski ne viens pas de lui. Malgré tout ça n'a pas évité qu'elle casse la Dacia avec les skis.
La suite demain.

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Cortisone

Maître Poète
#2
La sœur malgré son état d'euphorie avait été attirée par l'histoire du président de la République. Dans son récit, celui-ci avait dit plusieurs fois le mot coup. Dans l'esprit de sœur Mathilde, deux roues crantées de l'intelligence s'étaient entrechoqué et avaient amené la relation, coup à boire. Du fait, elle avait forcé les autres à être très attentifs comme elle.
- Hé bien, monsieur Emmanuel Camron, euh, Marron, euh, cordon bleu, hic. Vous êtes un maître d'art dans l'arrestation des délinquants de tous poils. Hic, ce n'est pas toi qui aurait fait ça vieux putois du Vatican. Tu n'a même pas été foutu de résoudre un simple vol de cierges dans ton fourbi.
- Hé, vielle prêtresse israélienne adepte du sadomasochisme des verres d'apéritif, tu ne pourrais pas respecter ton pape et ton président, monsieur cordon cheveu frontal à un nom. Excusez là, monsieur Emmanuel Lagaffe, cette femme n'a que le respect des bouchons de bouteilles millésimées.
- Cocorico, c'est le président le plus costaud, cocorico, Coco est très heureux avec vous.
- Hé bien mon Manu, la, tu me l'as coupé sévère, vive cheveu frontal premier.
hip hip hip, hourra !
- Cocorico !
- À la tienne Étienne !
- Tais-toi, sœur soûlarde, bravo monsieur frontal.
- Bravo, Monsieur le Cheveu frontal de l'état. Si des bandits arrivent dans mon épicerie, je suis assurée d'être en sécurité.
- Merci à tous pour vos remerciements, cela me fait chaud au cœur. Et encore, vous ne savez pas toute l'histoire. Figurerez vous que la mitraillette tombée au sol, ce n'est pas le directeur qui l'a ramassé. C'est moi-même qui l'aie rattrapé au sol avec mon cheveu par la lanière. Après, le directeur l'a rattrapé au vol et le brigand surpris de ma rapidité n'a pas pu réagir. Il a essayé de sauter sur le préposé et moi, avec mon cheveu dans un éclair de bravoure, je l'ai sévèrement assommé. Ensuite, j'ai couru dans la salle et j'ai crié, hé les deux zigotos là-bas, vous en voulez. Alors, tremblants, les deux hommes se sont rendu au directeur. Les gendarmes ont été prévenus et l'un d'eux nous a dit qu'une voiture attendait dans la ruelle derrière la banque. Un homme était au volant et avait une grenade à la main. C'est alors qu'après avoir ligoté les trois malfaiteurs avec l'écharpe d'un client que je suis sorti dans la rue par une issue de secours. J'ai rampé, cheveu en l'air pour ne pas me freiner et ventre à terre. Arrivé sur les pneus, je les ai crevés un par un avec mon cheveu. Ensuite, je me suis relevé, face à l'homme qui a été surpris, à coup de cheveu, j'ai pété la vitre et saisis de la pointe du cheveu la grenade. L'homme désarçonné s'est enfui en zigzagant et les policiers l'ont arrêté. Autant vous dire que l'heure de gloire de la licorne avait sonné dans le quartier. Oui, c'était mon surnom, la licorne. Du coup, le directeur a soigneusement gardé l'affiche que j'avais largement tachée avec les jets puissants de mes boutons d'acné. Il l'a fait encadrer et j'ai appris récemment qu'un émir saoudien en avait fait l'acquisition à une vente aux enchères pour un million d'euros. C'était en fait un cadeau pour un homologue à moi, monsieur Sarkozy, oui, Nicolas le copain à Pépère.
L'assemblée, ne put retenir un tonnerre d'applaudissements.
Le Pépère pendant ce temps continuait son récit et s'apprêtait à descendre de sa voiture.
- Deuxième avantage, c'est qu'elle pouvait aller plus vite et faisait deux tours de ravitaillement.
- Toc toc toc, mais comment remontait-elle toc toc toc.
Je t'expliquerai plus tard, mon Ivoirien londonien imbibé de vodka marseillaise est rentré, donc plus aucun danger d'être vu.
Le Pépère sortait à peine de la voiture que son téléphone sonna.
Il regarda le SMS reçu et s'écria.
- Tous aux abris, deux gendarmes reviennent vers la cabane de bout de râteau.
Effectivement, deux hommes étaient en patrouilles selon les ordres du brigadier qui était dans sa Dacia et qui avait décroché avant la fin de l'histoire du président.
La camionnette se gara à côté de la voiture de Pépère qui leur était invisible.
- Allô, quoi que dis-tu, ha bon nous sommes coincés dans la voiture nous autres. Attends, je vais lui faire une blague pour qu'ils dégagent tous, très rapidement. Va voir Cookie en passant par-derrière, j'arrive.
- Toc toc toc, que font ces hommes ici, toc toc toc.
- Fle fle fle, que t'a dit Chatdore, fle fle fle.
- Le soûlard a rentré Bibou et le noiraud et bu le casier de vin. Il revient, nous sommes obligés d'attendre, il pourrait nous voir chez Cookie, pour peu qu'il vienne voir si ses armes n'ont pas été découvertes.
Le poète arriva assez rapidement et trouva la voiture de gendarmerie dans l'allée, mais ne vit personne. Il entendit du bruit dans le chalet et vit la porte ouverte, il pensa à Pépère et à une casserole qui contenait des aliments.
Arrivé à la porte, il n'en revint pas de ce qu'il voyait.
- Hé bien, il ne faut pas vous gêner, qu'est-ce que vous faites là !
L'un des gendarmes était en train de dévorer un chausson aux pommes sur son bureau et l'autre était accroupi sur le sol. Il avait déchiré le sac de croquettes à Pépère et les mangeait au sol. C'était un coup du Pépère et de sa magie. Les deux agents furent surpris sur le fait partir en courant. Chose curieuse, ils poussaient de long miaulements. Les deux hommes se retrouvèrent dans leur voiture à l'entrée du terrain et revinrent à eux. Ils se demandaient ce dont il leur était arrivé. L'un d'eux pensa à une intoxication dû aux émanations des crottins de la jument, l'autre prit peur et ils partirent la sirène hurlante en direction de l'épicerie où les attendait le brigadier.
Le poète était rentré dans son chalet. Il ramassa les miettes et les croquettes et s'installa à son bureau pour manger un reste de cassoulet entamé dans la nuit.
Le Pépère vit les gendarmes partir à toute allure.
- Vous voyez, l'un d'eux doit être ma maîtresse déguisée en gendarme, elle a été boire et manger et a dû être obligée d'aller en urgence à Sancoins. Le pire, c'est que l'autre va m'accuser après d'avoir mangé ses victuailles alors que les miennes sont en soins intensifs.
Tout en parlant le Pépère touchait le prospectus qui était dans son chat-ventre. Il essayait de la patte de deviner les images. Pêcheur s'en rendit compte qu'il touchait le dépliant qui dépassait un peu du chat-ventre et lui demanda avec surprise.
- Toc toc toc que fais-tu avec ces papiers, toc toc toc, c'est pour notre mission, toc toc toc .
- Fle fle fle, non, c'est l'allocation de remerciement, pour ma love gendarme pour les services rendus aux petites pattes, fle fle fle.
- Pas du tout mes amis, ça, c'est un document ultra secret où est répertorié dessus la liste des armes qu'ont caché mes deux ne boivent pas d'eau en dehors de l'apéritif dans le Ricard, il n'y a pas longtemps dans le canal. C'est le fruit de longues années d'enquête figurez-vous.
- Bon le temps que la jambe bionique et bras d'acier est dans son capharnaüm et dont Chatdore arrive, je vais vous raconter l'histoire de la remontée de l'escalier à ski. Donc quelques jours après m'avoir fait fabriquer des skis avec des coquilles d'huîtres et de la colle néoprène avec un moulin à café, je lui demande quand je les livre. Là-dessus, il me répond d'attendre du fil. Comme, il avait des limaces sur ses fleurs, je me suis dit Pépère, tu es encore à l'amende de tricoter des pull-overs pour les limaces. Oui, il avait dit à ma love ne boit que des vapeurs, qu'il espérait qu'elles n'aient pas trop froid l'hiver. Donc, le fil arrive et il me dit, Pépère, tu vas démonter le démarreur de la quatre ailes, je le remplacerai plus tard. Tu vas le monter sur le moulin à café et avec le fil en faire un remonte ski. Voilà comment Josiane s'est retrouvé de corvée pour actionner l'interrupteur du moulin motorisé pour tirer les skis. Bon, l'idée ingénieuse de ce remonte ski ne viens pas de lui. Malgré tout ça n'a pas évité qu'elle casse la Dacia avec les skis.
La suite demain.

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Alors vivement demain hi hi !!!!
Amicalement et bonne soirée Daniel
Gaby