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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Le poète qui avait été dérangé par le Pépère, commença par nettoyer son lit. Il décida ensuite de ramener Bibou à la maison. Il avait vu passer Momo en courant et se demandait ce qui se passait. Peut-être, a-t-il été effrayé par le chat errant se disait-il.
Il entendit les gendarmes qui passaient avec une autre voiture dans la rue et décida de se dépêcher de ramener son chien à la maison. Il avait peur que celui-ci soit effrayé par la sirène.
Ce fut au tour des Américains de s'agiter, et ils couraient aussi dans tous les sens.
Le poète partit vers la cabane et vit son chien de l'autre côté vers la jument. Il enjamba la clôture et se prit les pieds dans les barbelés. Il tomba sur les crottins de Cookie.
Pendant ce temps au loin, les sirènes de gendarmerie hurlaient autant qu'elles le pouvaient.
À l'étang, le brigadier avait rappelé du renfort.
Avec le président et à l'aide du seul auxiliaire que la brigade avait envoyé, ils avaient essayé d'arrêter la bande des foies jaunes.
Mais cela avait mal tourné et le président avait été capturé par Merguez.
Le général Picolle avait fait rater toute l'affaire.
Il était parti en repérage devant les autres leur interdisant de bouger avant son signal. Voulant briller en société, celui-ci avait décidé de les arrêter seul. Il avait démarré sa caméra sur son téléphone et il était parti à l'aventure. Plutôt que de regarder devant lui directement, il suivait l'image sur l'écran. C'est ainsi qu'arrivé proche de la porte de la cabane, il se prit les pieds dans les marches. Il n'eut que le temps de s'enfuir et en repassant par-dessus la barrière se froissa un muscle à la jambe. Il se mit à faire des signes au président et au brigadier de venir l'aider. Les trois hommes de loin pensaient que c'était le signal. L'auxiliaire arriva en courant juste devant le brigadier qui comprit que quelque chose avait mal tourné. Le président, voulant aussi avoir son quart d'heure de gloire se précipita devant la cabane. Merguez qui était sorti, s'était caché sur le côté et le rattrapa avant qu'il ne touche la poignée.
C'est ainsi qu'il était devant le brigadier et l'auxiliaire avec le président comme otage.
- Écoutez, mes collègues arrivent, lâchez cet homme. Vous ne faites que d'aggraver votre cas.
- On ne lâche rien, ha où ha où, on ne lâche rien, toi l'asticot si tu bouges, je t'épile les oreilles avec le gourdin que j'ai dans l'autre main.
Le président malgré la situation, gardait son calme.
Les trois autres dans la cabane n'osaient plus ouvrir la porte et claquaient des dents de peur.
Devant Merguez, l'auxiliaire, le brigadier et deux autres hommes arme en main le tenait en joue.
Le président fit signe de la main qu'il allait parlementer.
- Écoutez, monsieur Merguez, j'ai une arme secrète. Je suis le cousin de l'inspecteur gadget et j'ai sur le front un cheveu. Avec cette arme, je peux vous crever l'autre œil qu'il vous reste.
Merguez ne comprenait rien et se pencha en avant pour vérifier. Tout alla très vite à partir de cet instant. Le président profita que l'homme penchait en avant pour le propulser en avant en lui faisant un croche-pied. Les trois gendarmes saisirent Merguez et la porte vola en éclats. Dix minutes, plus tard, les quatre individus étaient dans le fourgon.
Le fourgon qui contenait les prisonniers s'en alla directement emmenant en même temps le général Picolle qui avait besoin de voir un médecin.
L'auxiliaire et un autre gendarme prirent les empreintes et des photos des lieux pour la chatdarmerie. En effet, l'une des empreintes sur la poignée de la porte de communication était celle d'un chat qui avait déjà eu des ennuis avec la justice. Ceci dit, ce chat était désormais rangé des affaires, mais ils devaient quand même transmettre.
Le brigadier, répartit avec le président vers l'épicerie, car le gendarme voulait voir sa cousine pour l'affaire du vol de poulet.
Les deux gendarmes qui avaient fait les relevés, partirent juste derrière. Ils devaient s'arrêter vers les Américains qui voulaient les entretenir pour une histoire de soucoupe volante et d'une antenne étrange qui était sur le champ du poète.
Sur le terrain, Pépère avait vu passer Momo devant lui. Il se demandait ce qu'il était venu faire ici. Puis il vit le poète remonter et tombé par-dessus la clôture. Les sirènes s'étaient tues, et les Américains étaient partis vers l'entrée du terrain à Cookie le long de la route.
Le Pépère avait repris sa voiture et il était juste à l'entrée du terrain du poète. Il profitait de son invisibilité. Puis il vit le poète remonter et tombé par-dessus la clôture.
- Chat chat chat, ça t'apprendra poivrot à désossé ma chalauréane.
- Toc toc toc, que faisons nous, toc toc toc, pourquoi est-il sorti, toc toc toc.
- Fle fle fle, il se relève, fle fle fle, il a une laisse à la main, fle fle fle. Il va chercher Bibou, fle fle fle, il doit y avoir ma love gendarme par là, fle fle fle.
- C'est bizarre ça, déjà bout de râteau pour jardinier polonais buveur de thé au rhum qui récupère mon copain, et l'espion russe habillé en fourrure de vison qui rôde dans les parages. C'est bizarre ça, déjà bout de râteau pour jardinier polonais buveur de thé au rhum qui récupère mon copain, et l'espion russe habillé en fourrure de vison qui rôdes dans les parages.Le poète était enfin reparti vers la maison et se demandait ce que faisaient les Américains avec les gendarmes.
Le poète était enfin reparti vers la maison et se demandait ce que faisaient les Américains avec les gendarmes.
Chatdore qui était sorti dans la rue un quart d'heure plus tôt pour voir ce qui se passait à cause des sirènes, était justement caché dans la haie face aux Américains. Il se glissa sous la voiture des gendarmes.
Le Pépère reçu un appel de Chatdore et mit le haut-parleur. Il fit signe à Pêcheur et Coin-coin de rester silencieux.
- Chef suprême, je suis posté sous la voiture des gendarmes qu'est ce que je fais maintenant ? Le Pépère écoutait avec stupéfaction. Visiblement, Chatdore était couché sur le téléphone et la communication était inaudible.
- Mais qu'est ce qu'il fait, c'est long il a deux pattes gauches ma parole de chat. Ah un message de pattes cassées alors que je lui réponds et lui parle, mais que fait-il.
Il lui renvoya un message.
Je t'appelle, tu décroches et tu tiens le téléphone sous ton corps idiot où quoi. Tiens le au bout de ta patte que nous écoutions nous autres.
Chatdore reçut le message et répondit discrètement.
-Pépère, c'est toi ?
- Tu es idiot ou tu le fais exprès qui veux-tu que ce soit. Tends ce téléphone en l'air que nous écoutions nous autres.
Le Pépère tapait de la patte et regarda Coin-coin et Pêcheur.
- votre coéquipier n'est pas encore au top. Bon écoutons la conversation.
- Où avez-vous relevé ces empreintes ?
- Celles-ci dans la cabane de l'étang, c'est un chat qui est fiché, mais il est maintenant un agent secret.
- Qui ça, un agent, secret, nous pas compris. Nous faisons guerre au fucking extraterrestre, cats and horse, you understood.
- Oui, nous avons compris, hot dog ketchup, ha ha ha. Ces empreintes sont celle d'un certain Tigrou qui se faisait appeler aussi poulet rôti dans le milieu.
Le Pépère regardait Coin-coin et Pêcheur et ne savait que dire. Bon, se dit-il ici, je suis Pépère, ils ne feront pas le rapprochement. Pour ce qui est de Chatdore apparemment, il a une cervelle d'escargot rassure toi Pépère tout le monde n'a pas ton intelligence.
- En quoi cela concerne le pentagone ?
- J'y viens monsieur, voilà ce fameux Tigrou à appartenu à une certaine Choux Anne qui est inscrite sur nos fichiers comme disparition inquiétante elle est supposée avoir été enlevée par des extraterrestres et cela vous concerne.
- Effectivement, si nous mettons la main sur ce chat Android, nous avons une chance de savoir d'où viennent ces extraterrestres qui perturbent nos radars.
À vrai dire depuis une journée ce n'est pas rare quand même de voir des fucking horses.
- Vous parlez, beaucoup mieux que votre collègue.
Le Pépère en avait un peu rien à faire de ces histoires et dit à Chatdore de raccrocher.
- Ça ne concerne pas mon soûlard, ce n'est pas important.
- D'accord chef, je rentre ?
- Non, rejoint nous chez Cookie, j'y vais avec Pêcheur et Coin-coin. Mais avant suis le soûlard qui emmène Bibou. Assure-toi qu'il soit bien arrivé que l'autre ne soit pas tombé dessus, j'ai déjà assez de mes amours en soin intensif.

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Cortisone

Maître Poète
#2
Le poète qui avait été dérangé par le Pépère, commença par nettoyer son lit. Il décida ensuite de ramener Bibou à la maison. Il avait vu passer Momo en courant et se demandait ce qui se passait. Peut-être, a-t-il été effrayé par le chat errant se disait-il.
Il entendit les gendarmes qui passaient avec une autre voiture dans la rue et décida de se dépêcher de ramener son chien à la maison. Il avait peur que celui-ci soit effrayé par la sirène.
Ce fut au tour des Américains de s'agiter, et ils couraient aussi dans tous les sens.
Le poète partit vers la cabane et vit son chien de l'autre côté vers la jument. Il enjamba la clôture et se prit les pieds dans les barbelés. Il tomba sur les crottins de Cookie.
Pendant ce temps au loin, les sirènes de gendarmerie hurlaient autant qu'elles le pouvaient.
À l'étang, le brigadier avait rappelé du renfort.
Avec le président et à l'aide du seul auxiliaire que la brigade avait envoyé, ils avaient essayé d'arrêter la bande des foies jaunes.
Mais cela avait mal tourné et le président avait été capturé par Merguez.
Le général Picolle avait fait rater toute l'affaire.
Il était parti en repérage devant les autres leur interdisant de bouger avant son signal. Voulant briller en société, celui-ci avait décidé de les arrêter seul. Il avait démarré sa caméra sur son téléphone et il était parti à l'aventure. Plutôt que de regarder devant lui directement, il suivait l'image sur l'écran. C'est ainsi qu'arrivé proche de la porte de la cabane, il se prit les pieds dans les marches. Il n'eut que le temps de s'enfuir et en repassant par-dessus la barrière se froissa un muscle à la jambe. Il se mit à faire des signes au président et au brigadier de venir l'aider. Les trois hommes de loin pensaient que c'était le signal. L'auxiliaire arriva en courant juste devant le brigadier qui comprit que quelque chose avait mal tourné. Le président, voulant aussi avoir son quart d'heure de gloire se précipita devant la cabane. Merguez qui était sorti, s'était caché sur le côté et le rattrapa avant qu'il ne touche la poignée.
C'est ainsi qu'il était devant le brigadier et l'auxiliaire avec le président comme otage.
- Écoutez, mes collègues arrivent, lâchez cet homme. Vous ne faites que d'aggraver votre cas.
- On ne lâche rien, ha où ha où, on ne lâche rien, toi l'asticot si tu bouges, je t'épile les oreilles avec le gourdin que j'ai dans l'autre main.
Le président malgré la situation, gardait son calme.
Les trois autres dans la cabane n'osaient plus ouvrir la porte et claquaient des dents de peur.
Devant Merguez, l'auxiliaire, le brigadier et deux autres hommes arme en main le tenait en joue.
Le président fit signe de la main qu'il allait parlementer.
- Écoutez, monsieur Merguez, j'ai une arme secrète. Je suis le cousin de l'inspecteur gadget et j'ai sur le front un cheveu. Avec cette arme, je peux vous crever l'autre œil qu'il vous reste.
Merguez ne comprenait rien et se pencha en avant pour vérifier. Tout alla très vite à partir de cet instant. Le président profita que l'homme penchait en avant pour le propulser en avant en lui faisant un croche-pied. Les trois gendarmes saisirent Merguez et la porte vola en éclats. Dix minutes, plus tard, les quatre individus étaient dans le fourgon.
Le fourgon qui contenait les prisonniers s'en alla directement emmenant en même temps le général Picolle qui avait besoin de voir un médecin.
L'auxiliaire et un autre gendarme prirent les empreintes et des photos des lieux pour la chatdarmerie. En effet, l'une des empreintes sur la poignée de la porte de communication était celle d'un chat qui avait déjà eu des ennuis avec la justice. Ceci dit, ce chat était désormais rangé des affaires, mais ils devaient quand même transmettre.
Le brigadier, répartit avec le président vers l'épicerie, car le gendarme voulait voir sa cousine pour l'affaire du vol de poulet.
Les deux gendarmes qui avaient fait les relevés, partirent juste derrière. Ils devaient s'arrêter vers les Américains qui voulaient les entretenir pour une histoire de soucoupe volante et d'une antenne étrange qui était sur le champ du poète.
Sur le terrain, Pépère avait vu passer Momo devant lui. Il se demandait ce qu'il était venu faire ici. Puis il vit le poète remonter et tombé par-dessus la clôture. Les sirènes s'étaient tues, et les Américains étaient partis vers l'entrée du terrain à Cookie le long de la route.
Le Pépère avait repris sa voiture et il était juste à l'entrée du terrain du poète. Il profitait de son invisibilité. Puis il vit le poète remonter et tombé par-dessus la clôture.
- Chat chat chat, ça t'apprendra poivrot à désossé ma chalauréane.
- Toc toc toc, que faisons nous, toc toc toc, pourquoi est-il sorti, toc toc toc.
- Fle fle fle, il se relève, fle fle fle, il a une laisse à la main, fle fle fle. Il va chercher Bibou, fle fle fle, il doit y avoir ma love gendarme par là, fle fle fle.
- C'est bizarre ça, déjà bout de râteau pour jardinier polonais buveur de thé au rhum qui récupère mon copain, et l'espion russe habillé en fourrure de vison qui rôde dans les parages. C'est bizarre ça, déjà bout de râteau pour jardinier polonais buveur de thé au rhum qui récupère mon copain, et l'espion russe habillé en fourrure de vison qui rôdes dans les parages.Le poète était enfin reparti vers la maison et se demandait ce que faisaient les Américains avec les gendarmes.
Le poète était enfin reparti vers la maison et se demandait ce que faisaient les Américains avec les gendarmes.
Chatdore qui était sorti dans la rue un quart d'heure plus tôt pour voir ce qui se passait à cause des sirènes, était justement caché dans la haie face aux Américains. Il se glissa sous la voiture des gendarmes.
Le Pépère reçu un appel de Chatdore et mit le haut-parleur. Il fit signe à Pêcheur et Coin-coin de rester silencieux.
- Chef suprême, je suis posté sous la voiture des gendarmes qu'est ce que je fais maintenant ? Le Pépère écoutait avec stupéfaction. Visiblement, Chatdore était couché sur le téléphone et la communication était inaudible.
- Mais qu'est ce qu'il fait, c'est long il a deux pattes gauches ma parole de chat. Ah un message de pattes cassées alors que je lui réponds et lui parle, mais que fait-il.
Il lui renvoya un message.
Je t'appelle, tu décroches et tu tiens le téléphone sous ton corps idiot où quoi. Tiens le au bout de ta patte que nous écoutions nous autres.
Chatdore reçut le message et répondit discrètement.
-Pépère, c'est toi ?
- Tu es idiot ou tu le fais exprès qui veux-tu que ce soit. Tends ce téléphone en l'air que nous écoutions nous autres.
Le Pépère tapait de la patte et regarda Coin-coin et Pêcheur.
- votre coéquipier n'est pas encore au top. Bon écoutons la conversation.
- Où avez-vous relevé ces empreintes ?
- Celles-ci dans la cabane de l'étang, c'est un chat qui est fiché, mais il est maintenant un agent secret.
- Qui ça, un agent, secret, nous pas compris. Nous faisons guerre au fucking extraterrestre, cats and horse, you understood.
- Oui, nous avons compris, hot dog ketchup, ha ha ha. Ces empreintes sont celle d'un certain Tigrou qui se faisait appeler aussi poulet rôti dans le milieu.
Le Pépère regardait Coin-coin et Pêcheur et ne savait que dire. Bon, se dit-il ici, je suis Pépère, ils ne feront pas le rapprochement. Pour ce qui est de Chatdore apparemment, il a une cervelle d'escargot rassure toi Pépère tout le monde n'a pas ton intelligence.
- En quoi cela concerne le pentagone ?
- J'y viens monsieur, voilà ce fameux Tigrou à appartenu à une certaine Choux Anne qui est inscrite sur nos fichiers comme disparition inquiétante elle est supposée avoir été enlevée par des extraterrestres et cela vous concerne.
- Effectivement, si nous mettons la main sur ce chat Android, nous avons une chance de savoir d'où viennent ces extraterrestres qui perturbent nos radars.
À vrai dire depuis une journée ce n'est pas rare quand même de voir des fucking horses.
- Vous parlez, beaucoup mieux que votre collègue.
Le Pépère en avait un peu rien à faire de ces histoires et dit à Chatdore de raccrocher.
- Ça ne concerne pas mon soûlard, ce n'est pas important.
- D'accord chef, je rentre ?
- Non, rejoint nous chez Cookie, j'y vais avec Pêcheur et Coin-coin. Mais avant suis le soûlard qui emmène Bibou. Assure-toi qu'il soit bien arrivé que l'autre ne soit pas tombé dessus, j'ai déjà assez de mes amours en soin intensif.

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J'ai apprécié ma lecture et attends demain avec impatience
Amicalement
Gaby