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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
À Sancoins proche de la mare à Coin-coin, Isidore et Fripouille n'en revenaient toujours pas du sauvetage d'Avéame.
- Tu te rends compte mon copain, ta chatmoureuse est arrivée à tailler des gourdins dans un arbre. Avec ses dents, tu vois un peu le boulot. Elle est vraiment très forte ta love chatte mon copain.
- C'est normal mon copain, c'est moi qui lui aie appris à faire ça. C'était lors d'un entraînement où je faisais faire des chronos à Turbo.
- Ha, bon, tu as fait courir Turbo, mais où ça ?
- Hé bien, sur l'ancien circuit de Magny-Cours. Oui, Pépère faisait dessus des essais de propulsion sur sa voiture qu'il a fabriqué entièrement de ses pattes et de son extrême intelligence.
- Mais pourquoi tailler des rondins de bois sur un circuit de formule un, je ne vois pas le rapport.
- Hé bien, je vais te l'expliquer mon copain.
Voilà, Turbo était déjà super entraîné et voulait passer le cap des trois cent cinquante kilomètres à l'heure.
Avéame avait décidé de m'accompagner, car je devais tester un prototype que Pépère avait inventé pour que je puisse suivre Turbo. Oui, je le suivais auparavant avec des jumelles des gradins et c'était assez compliqué. Nous y avions été la veille et sommes rentrés plus tôt, car le bitume était échauffé de la course des pattes puissantes de Turbo. En rentrant, je tombe sur Pépère qui était un peu gêné, car il me préparait ma surprise. Des cuichat'ardes électriques tout en solaire avec des panneaux mignatures.
- C'est quoi des cuichat'ardes mon copain ?
- Ce sont des cuissardes électriques pour chat. Tu les enfiles et tes cuisses deviennent des cuisses électriques. C'est donc le lendemain que nous sommes allez à l'entraînement avec Avéame. C'était magique, grâce à l'invention de Pépère, je courais à plus de trois cents à l'heure. Tout se passait à merveille et Turbo était sur le point de pulvériser son record, quand d'un seul coup une explosion s'est fait entendre. Grâce au cuichat'ardes, j'ai pu monter à quatre cent et partis devant Turbo voir ce qui se passait. Un énorme trou dans la piste qui était infranchissable. Il fallait faire vite, car Turbo risquait de perdre son record qui devait être chamologué par des chat'arbitres professionnels. C'est alors qu'Avéame est arrivé et me dit, ho non mon Fripouille, que pouvons nous faire ?
- Mais qui avait fait sauter la piste mon copain ?
- Hé bien, une bande de terroristes que Pépère et Turbo avaient fait arrêter. Ils avaient retrouvé Turbo, et l'explosif devait sauter quand il passait dessus. Heureusement, la piste était surchauffée par ses puissantes pattes, car il venait de faire dix tours, voilà mon copain. Donc, je réponds à ma chatmoureuse pas de problème. Un peu plus haut à l'écart de la piste, il y avait un petit-bois d'orme. Avec mes puissantes moustaches, j'ai cisaillé la clôture et avec mes puissantes dents, j'ai taillé des rondins de bois pour faire un pont. Avéame à vu comment je faisais et elle m'a aidé, voilà mon copain comment elle a appris à faire ça. Ce jour-là Turbo a battu le record de vitesse sur piste à pattes nues.
Tiens, nos copains reviennent, que vont-ils nous raconter.
- Hé bien, tu es vraiment très fort quand même, Fripouille et ta chatmoureuse aussi.
Sur la route de l'étang, le brigadier était toujours avec le président. Celui-ci comme Pépère ne tarissait pas de fraîches histoires à raconter.
- Oui parfaitement monsieur le brigadier, la NASA, sans mon cheveu, vous n'auriez pas de téléphonie mobile.
- Vous venez de me dire à l'instant, que c'était sur la lune.
- Non, je vous disais que si mon cheveu avait existé à cette époque, les hommes qui étaient sur la lune à pique-niquer auraient pu jouer du smartphone avec leurs familles en mangeant leur cordon-bleus.
- Mais il n'y avait pas de mobile à l'époque !
- Justement parce que le modèle de fusée pour acheminer les satellites de télécommunications n'existaient pas.
- Il fallait les inventer, voilà tout.
- Mais c'était impossible, écoutez quand je vous parle.
- Mais pourquoi donc ? Je ne comprends pas ? Et puis les relais téléphoniques sont terrestres non !
- Arrêtez de perturber le génie de mon cheveu s'il vous plaît. Pour les communications à l'étranger ça passe par le satellite. Celui-ci a été acheminé par une fusée. Et la fusée est un modèle dessinée selon les schémas de mon cheveu par la NASA. Oui, c'est l'un des ingénieurs russes qui avait fait une photo de moi lors de mon voyage d'études où j'ai failli déclencher la troisième guerre mondiale. Vous vous souvenez, le missile dont j'ai actionné le lancement avec mon cheveu. Voilà brigadier le héros qui est à vos côtés.
- Hé bien le héros, mon maréchal, il va ranger son pipeau car mes collègues arrivent. Le héros va nous montrer ce qu'il faut dans la pratique sans son cheveu qui commence à sérieusement à me décoiffer du képi.
Sur le terrain du poète, un chat errant qui venait le visiter de temps était justement venu manger un morceau. Il vit Pépère au fond du terrain accompagné de Coin-coin et de Pêcheur. Il ne demanda pas son reste et s'enfuyait dans la pinède.
Le Pépère le vit de loin main ne prêta pas attention, car Momo était à l'entrée du terrain.
Celui-ci avait préféré faire le tour et passer voir son maître avant. L'histoire des Américains ne le rassurait pas du tout.
Il sentait une odeur de chat qu'il ne connaissait pas.
- Diantre, que nous vaut la visite d'un chat en ces contrées qui sont mon territoire exclusif. Sans doute un manant qui est venu trifouiller la machine volante du chat mythomane. Tiens, une porte de l'appareil, est ouverte allons jeter un coup d'œil à l'intérieur.
Le pauvre minet errant n'y était pour rien. Simplement, le Pépère avait oublié de la fermer quand il fut surpris par Pêcheur et Coin-coin.
Momo observait les appareillages de bord et était quand même assez étonné qu'un chat puisse voler avec ça.
- Assurément, il y a de la magie là-dedans et certainement que la fée dont parle le bougre a une existence ici-bas. Je n'aime pas à savoir ce brigand qui traîne vers chez mon maître. Mon Dieu, s'il allait à la maison et qu'on le laisse rentrer. Vite regagnons la demeure afin de prévenir tout danger. Je tremble des moustaches pour ma petite bouillette, noisette et le petit du sacripant.
Momo répartit en courant vers sa maison, en passant par le fond du terrain par acquis de conscience. Il voulait s'assurer que l'autre chat n'était pas là et qu'il risque de le suivre. Il croisa Coin-coin et Pêcheur sans même s'en soucier et le Pépère qui sortait de derrière le fourgon et parlait tout seul.
Pépère marchait en remontant et passa proche de la XM que la police avait fait rapatrier de Nevers, où elle était restée sur le rond point.
- Toc toc toc, je savais bien que j'avais entendu, un camion, toc toc toc.
- Fle fle fle, c'est ma gendarme poète, qui la conduisait, fle fle fle, elle doit être blessée, fle fle fle.
- Mon Dieu, dans quel état, il a mis ma pauvre voiture. Elle put le gasoil à plein nez qu'a-t-il trifouillé dessus alors qu'elle marchait au solaire. Le par-chocs est cassé, les phares brisés, une roue en huit. Je comprends pourquoi ma pauvre, je ne bois pas d'eau, n'est pas là, elle a dû avoir une sérieuse intoxication à respirer le fuel comme ça. Mes saucissons ont dû être avariés.
Mes pauvres amours, vous devez être en soin intensif à cette heure. Maman fée où es-tu, Chouânne, je t'aime, Leïlânne, je t'aime, je vous aime. Il s'était arrêté et envoyait des baisers dans l'espace en direction des étoiles et une larme coula sur ses moustaches avant de tomber sur le sol. Il la regardait et se remit à parler.
- Maman fée, mon amour de fée que j'aime cette larme, est une perle d'espérance et je vais souffler dessus pour qu'elle s'envole dans l'espace et fasse une pluie de soleil qui écrira dans le ciel, maman fée, je t'aime, Leïlânne, je t'aime. Il souffla sur la larme où le soleil se reflétait et elle s'envola en faisant un halo et se transforma en cœur avant de pleuvoir en sont centre des lettres qui écrivaient son souhait sous le soleil qui scintillait au-dessus. C'est le cœur battant la chamade et les pattes tremblantes qu'il arriva vers son hélicoptère.
- Tiens, la porte, n'est pas close, c'est bizarre ça. Non ! Catastrophe, on m'a volé mon magazine. Au secours maman fée vite au secours, Leïlânne vite il partit en courant vers le chalet et vit par le carreau le poète qui dormait d'avoir trop mangé. Puis, il vit la porte entrouverte. Il était tellement affolé qu'il ne l'avait pas vu en arrivant. Il entra et commença à crier.
- Hé soûlard d'URSS décoloré à l'ammoniaque occidentale, pendant que tu dors quelqu'un à volé mon catalogue du musée de la viande. Allez réveille toi espèce de poivrot imbibé de chlorure de méthylène d'Afghanistan. Voyant que son maître ne se levait pas, il sauta sur le lit et urina. Le poète se réveillant vit le Pépère faire son affaire.
- Hé, dégoûtant, tu veux un coup de main à pisser sur mon lit.
- Hé soûlard, tu veux un coup de main à picolé de l'acide chlorhydrique pendant qu'on me vole mes textes. Vite, lève-toi appelle ma love boit pas d'eau qu'elle vienne enquêter.
Il se précipita et tomba de la plate-forme. Son chatventre amortit le choc en s'ouvrant.
Il se dépêcha de tout ramasser et vit le prospectus. Il avait oublié qu'il l'avait déjà mis dans le chatventre.

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Cortisone

Maître Poète
#2
À Sancoins proche de la mare à Coin-coin, Isidore et Fripouille n'en revenaient toujours pas du sauvetage d'Avéame.
- Tu te rends compte mon copain, ta chatmoureuse est arrivée à tailler des gourdins dans un arbre. Avec ses dents, tu vois un peu le boulot. Elle est vraiment très forte ta love chatte mon copain.
- C'est normal mon copain, c'est moi qui lui aie appris à faire ça. C'était lors d'un entraînement où je faisais faire des chronos à Turbo.
- Ha, bon, tu as fait courir Turbo, mais où ça ?
- Hé bien, sur l'ancien circuit de Magny-Cours. Oui, Pépère faisait dessus des essais de propulsion sur sa voiture qu'il a fabriqué entièrement de ses pattes et de son extrême intelligence.
- Mais pourquoi tailler des rondins de bois sur un circuit de formule un, je ne vois pas le rapport.
- Hé bien, je vais te l'expliquer mon copain.
Voilà, Turbo était déjà super entraîné et voulait passer le cap des trois cent cinquante kilomètres à l'heure.
Avéame avait décidé de m'accompagner, car je devais tester un prototype que Pépère avait inventé pour que je puisse suivre Turbo. Oui, je le suivais auparavant avec des jumelles des gradins et c'était assez compliqué. Nous y avions été la veille et sommes rentrés plus tôt, car le bitume était échauffé de la course des pattes puissantes de Turbo. En rentrant, je tombe sur Pépère qui était un peu gêné, car il me préparait ma surprise. Des cuichat'ardes électriques tout en solaire avec des panneaux mignatures.
- C'est quoi des cuichat'ardes mon copain ?
- Ce sont des cuissardes électriques pour chat. Tu les enfiles et tes cuisses deviennent des cuisses électriques. C'est donc le lendemain que nous sommes allez à l'entraînement avec Avéame. C'était magique, grâce à l'invention de Pépère, je courais à plus de trois cents à l'heure. Tout se passait à merveille et Turbo était sur le point de pulvériser son record, quand d'un seul coup une explosion s'est fait entendre. Grâce au cuichat'ardes, j'ai pu monter à quatre cent et partis devant Turbo voir ce qui se passait. Un énorme trou dans la piste qui était infranchissable. Il fallait faire vite, car Turbo risquait de perdre son record qui devait être chamologué par des chat'arbitres professionnels. C'est alors qu'Avéame est arrivé et me dit, ho non mon Fripouille, que pouvons nous faire ?
- Mais qui avait fait sauter la piste mon copain ?
- Hé bien, une bande de terroristes que Pépère et Turbo avaient fait arrêter. Ils avaient retrouvé Turbo, et l'explosif devait sauter quand il passait dessus. Heureusement, la piste était surchauffée par ses puissantes pattes, car il venait de faire dix tours, voilà mon copain. Donc, je réponds à ma chatmoureuse pas de problème. Un peu plus haut à l'écart de la piste, il y avait un petit-bois d'orme. Avec mes puissantes moustaches, j'ai cisaillé la clôture et avec mes puissantes dents, j'ai taillé des rondins de bois pour faire un pont. Avéame à vu comment je faisais et elle m'a aidé, voilà mon copain comment elle a appris à faire ça. Ce jour-là Turbo a battu le record de vitesse sur piste à pattes nues.
Tiens, nos copains reviennent, que vont-ils nous raconter.
- Hé bien, tu es vraiment très fort quand même, Fripouille et ta chatmoureuse aussi.
Sur la route de l'étang, le brigadier était toujours avec le président. Celui-ci comme Pépère ne tarissait pas de fraîches histoires à raconter.
- Oui parfaitement monsieur le brigadier, la NASA, sans mon cheveu, vous n'auriez pas de téléphonie mobile.
- Vous venez de me dire à l'instant, que c'était sur la lune.
- Non, je vous disais que si mon cheveu avait existé à cette époque, les hommes qui étaient sur la lune à pique-niquer auraient pu jouer du smartphone avec leurs familles en mangeant leur cordon-bleus.
- Mais il n'y avait pas de mobile à l'époque !
- Justement parce que le modèle de fusée pour acheminer les satellites de télécommunications n'existaient pas.
- Il fallait les inventer, voilà tout.
- Mais c'était impossible, écoutez quand je vous parle.
- Mais pourquoi donc ? Je ne comprends pas ? Et puis les relais téléphoniques sont terrestres non !
- Arrêtez de perturber le génie de mon cheveu s'il vous plaît. Pour les communications à l'étranger ça passe par le satellite. Celui-ci a été acheminé par une fusée. Et la fusée est un modèle dessinée selon les schémas de mon cheveu par la NASA. Oui, c'est l'un des ingénieurs russes qui avait fait une photo de moi lors de mon voyage d'études où j'ai failli déclencher la troisième guerre mondiale. Vous vous souvenez, le missile dont j'ai actionné le lancement avec mon cheveu. Voilà brigadier le héros qui est à vos côtés.
- Hé bien le héros, mon maréchal, il va ranger son pipeau car mes collègues arrivent. Le héros va nous montrer ce qu'il faut dans la pratique sans son cheveu qui commence à sérieusement à me décoiffer du képi.
Sur le terrain du poète, un chat errant qui venait le visiter de temps était justement venu manger un morceau. Il vit Pépère au fond du terrain accompagné de Coin-coin et de Pêcheur. Il ne demanda pas son reste et s'enfuyait dans la pinède.
Le Pépère le vit de loin main ne prêta pas attention, car Momo était à l'entrée du terrain.
Celui-ci avait préféré faire le tour et passer voir son maître avant. L'histoire des Américains ne le rassurait pas du tout.
Il sentait une odeur de chat qu'il ne connaissait pas.
- Diantre, que nous vaut la visite d'un chat en ces contrées qui sont mon territoire exclusif. Sans doute un manant qui est venu trifouiller la machine volante du chat mythomane. Tiens, une porte de l'appareil, est ouverte allons jeter un coup d'œil à l'intérieur.
Le pauvre minet errant n'y était pour rien. Simplement, le Pépère avait oublié de la fermer quand il fut surpris par Pêcheur et Coin-coin.
Momo observait les appareillages de bord et était quand même assez étonné qu'un chat puisse voler avec ça.
- Assurément, il y a de la magie là-dedans et certainement que la fée dont parle le bougre a une existence ici-bas. Je n'aime pas à savoir ce brigand qui traîne vers chez mon maître. Mon Dieu, s'il allait à la maison et qu'on le laisse rentrer. Vite regagnons la demeure afin de prévenir tout danger. Je tremble des moustaches pour ma petite bouillette, noisette et le petit du sacripant.
Momo répartit en courant vers sa maison, en passant par le fond du terrain par acquis de conscience. Il voulait s'assurer que l'autre chat n'était pas là et qu'il risque de le suivre. Il croisa Coin-coin et Pêcheur sans même s'en soucier et le Pépère qui sortait de derrière le fourgon et parlait tout seul.
Pépère marchait en remontant et passa proche de la XM que la police avait fait rapatrier de Nevers, où elle était restée sur le rond point.
- Toc toc toc, je savais bien que j'avais entendu, un camion, toc toc toc.
- Fle fle fle, c'est ma gendarme poète, qui la conduisait, fle fle fle, elle doit être blessée, fle fle fle.
- Mon Dieu, dans quel état, il a mis ma pauvre voiture. Elle put le gasoil à plein nez qu'a-t-il trifouillé dessus alors qu'elle marchait au solaire. Le par-chocs est cassé, les phares brisés, une roue en huit. Je comprends pourquoi ma pauvre, je ne bois pas d'eau, n'est pas là, elle a dû avoir une sérieuse intoxication à respirer le fuel comme ça. Mes saucissons ont dû être avariés.
Mes pauvres amours, vous devez être en soin intensif à cette heure. Maman fée où es-tu, Chouânne, je t'aime, Leïlânne, je t'aime, je vous aime. Il s'était arrêté et envoyait des baisers dans l'espace en direction des étoiles et une larme coula sur ses moustaches avant de tomber sur le sol. Il la regardait et se remit à parler.
- Maman fée, mon amour de fée que j'aime cette larme, est une perle d'espérance et je vais souffler dessus pour qu'elle s'envole dans l'espace et fasse une pluie de soleil qui écrira dans le ciel, maman fée, je t'aime, Leïlânne, je t'aime. Il souffla sur la larme où le soleil se reflétait et elle s'envola en faisant un halo et se transforma en cœur avant de pleuvoir en sont centre des lettres qui écrivaient son souhait sous le soleil qui scintillait au-dessus. C'est le cœur battant la chamade et les pattes tremblantes qu'il arriva vers son hélicoptère.
- Tiens, la porte, n'est pas close, c'est bizarre ça. Non ! Catastrophe, on m'a volé mon magazine. Au secours maman fée vite au secours, Leïlânne vite il partit en courant vers le chalet et vit par le carreau le poète qui dormait d'avoir trop mangé. Puis, il vit la porte entrouverte. Il était tellement affolé qu'il ne l'avait pas vu en arrivant. Il entra et commença à crier.
- Hé soûlard d'URSS décoloré à l'ammoniaque occidentale, pendant que tu dors quelqu'un à volé mon catalogue du musée de la viande. Allez réveille toi espèce de poivrot imbibé de chlorure de méthylène d'Afghanistan. Voyant que son maître ne se levait pas, il sauta sur le lit et urina. Le poète se réveillant vit le Pépère faire son affaire.
- Hé, dégoûtant, tu veux un coup de main à pisser sur mon lit.
- Hé soûlard, tu veux un coup de main à picolé de l'acide chlorhydrique pendant qu'on me vole mes textes. Vite, lève-toi appelle ma love boit pas d'eau qu'elle vienne enquêter.
Il se précipita et tomba de la plate-forme. Son chatventre amortit le choc en s'ouvrant.
Il se dépêcha de tout ramasser et vit le prospectus. Il avait oublié qu'il l'avait déjà mis dans le chatventre.

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Une fin poétique et sentimentale: très joli
Amicalement et à ce soir pour la suite
Gaby