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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
À l'épicerie, la panique générale s'était atténuée. Le général Picolle faisait les yeux doux à la gérante et le brigadier lui caressait une bouteille du regard avec amour.
Seul le président était en train de se ronger les ongles.
- Hé bien, mon maréchal, ne vous inquiétez pas comme ça. Le peloton vous ramène vos amis. De plus, une dépanneuse est en route pour le retour de la voiture de capot blanc.
- Oui, mon maréchal, je vous laverai de cet affront en condamnant cette brigade d'un sursis de bouton rouge.
Et c'est vous, ma jolie guerrière, poste émetteur sur le dos, chargée de treize kilos de matériel, qui irait au pas cadencé, délivré cet ultimatum. Et vous transpireriez des aisselles ma douce fleur faisant fleurir de belles auréoles sous vos bras. Et vous donneriez l'ordre à ces policiers d'opérette, bazooka en main, cette sentence ultime. Et vous reviendriez assoiffée, moi, derrière dans ma jeep, vous disant, un, deux, un, deux, allez-y mon aimée. Et revenu dans votre capharnaüm, je vous décorerai, de la médaille du, mérite, international, pour avoir vengé mon maréchal. Et les mouches voleraient autour de vous avant d'être asphyxiée par l'odeur pestilentielle de vos aisselles. Et vos clients vous porteraient au triomphe, ô ma belle amazone des temps modernes. Et assoiffée vous iriez boire l'eau de rinçage de la rôtissoire tandis que...
- Stop, mon général, vous allez me donner la migraine, cela me rappelle trop de souvenirs. Les ongles, le poste émetteur, les maux de tête, sur le front de combat, toutes ces choses me ramènent à mon cheveu frontal.
- Hé, bien mon général, vous êtes bien galant, mais je suis épicière pas guerrière.
- Oui, ne vous inquiétez pas pour eux, moi, brigadier Tatouvu, je m'occupe de leur cas. Mais quelle est donc cette folle histoire que ces événements vous rappellent mon maréchal.
- Hé bien, brigadier, cela me rappelle, qu'enfant, je me rongeais les ongles. Oui, à cause de mon cheveu frontal, je supportais mal cette situation. Le cordon-bleu que je devais suivre, les lunettes de plongée, le tir de missile dont je vous ai entretenu l'incident tout à l'heure. Ma mère, ayant marre de cette fâcheuse manie de me dévorer les ongles comme un cinéphile mange des pop-corns, eut décidée un jour de me passer cette addiction. Oui, j'en étais arrivé à entreprendre l'ingestion de mes ongles de pieds la nuit au lieu de dormir. C'est ainsi qu'à ne plus dormir, je me retrouvai avec des poches sous les yeux et je ne pouvais plus mettre mes lunettes de plongée. Les poches remontaient devant l'œil et j'étais aveugle. C'est alors qu'elle eut l'idée de les oindre d'ail. Cela ne m'empêchait pas de continuer. Néanmoins, les filles me fuyaient comme la peste. C'est alors que je redoublais d'efforts à dévorer mes pieds et mes mains que ma mère eut une autre idée. Elle me tartinait les ongles du caca de mon chien labrador. C'était assez efficace, mais un jour dans la rue, j'ai été coursé par un malinois qui me prenait pour une femelle labrador avec qui il avait eu, une folle passion avant de rompre. Il pensait que s'était elle, car il fut trompé par le musc de mes ongles qu'il prit pour le parfum de son ex compagne. Ma mère a eu très peur et du coup a essayé de trouver d'autres idées. C'est ainsi, qu'un spécialiste de l'onglophagie lui demanda si, elle voulait essayer sur moi un nouvel appareil. Cet appareil était muni d'un récepteur et d'un émetteur. Je m'explique, sur mes ongles et sur mes lèvres étaient appliquées deux substances qui en entrant en contact créait une fréquence. Celle-ci était reçue par le récepteur et la transmettait à l'émetteur qui envoyait un signal sur un autre boîtier à distance. Ainsi, avec ce boîtier, ma mère savait que je me mangeais les ongles et me disait, arrête, sinon plus de cordons-bleus. L'appareil diffusait la réponse par des hauts parleurs qui étaient sur ma tête. Cet éminent spécialiste dit à ma mère, c'est exceptionnellement rare, mais là pas besoin d'antenne. Nous utiliserons son cheveu frontal comme antenne. Hé bien, en huit jours, j'avais arrêté de me ronger les ongles. Malheureusement, j'étais sourd à cause des hauts parleurs et j'avais dix hernies discales à cause des quarante kilos de matériel que je devais porter. C'est alors que j'ai commencé à avoir des migraines à causes des fréquences qui passaient dans mon cheveu frontal antenne de par mon cerveau. Oui, je ne vous l'ai pas dit, mais à côté de chez moi, il y avait un émetteur de télévision et il tomba en panne juste après que j'eus fini de ronger mes ongles. C'est ainsi que l'onglophogue dit comme ça à ma mère et s'il servait de relais le temps de la réparation. Mon père dit oui tout de suite, car nous étions en pleine coupe du monde, ainsi, il ne ratait aucuns maths à la télé. Résultat, j'ai fini avec des migraines terribles et j'entendais le sifflet de l'arbitre même cinq après cet événement, alors comprenez, Monsieur le Brigadier que tout cela me perturbe.
Lolo Sybage et Bibou étaient toujours avec Cookie et Lucie dans la cabane. Ils attendaient que Pépère vienne les visiter accompagné d'Avéame, Chatdore, Coin-coin et Pêcheur.
Pour passer le temps hors de la vue des Américains qui couraient dans tous les sens, ils étaient partis se réfugier à l'intérieur de la maison de Cookie.
De l'autre côté du champ, le Pépère chatlua sa chatmoureuse d'un gros chat bisou, car elle devait rentré chez elle.
C'est alors qu'il partit seul vers son automobile où les attendaient ses amis, et la tant redoutée Avéame qu'il avait un jour chatdragué devant Intermarché sans savoir que s'était la love chatte de Fripouille.
Il sauta sur la plate-forme du chalet pour jeter un coup d'œil par le carreau.
- Alors, soûlard, c'est à cette heure-là qu'on mange. À peine quinze heures et tu as déjà presque fini ton bison. Tu dois être un extraterrestre ça, c'est possible, aucun humain ne peux manger de telle quantités de nourriture. Tu manges autant que peux boire de rhum ta compagne en une soirée. Et pendant ce temps nous autres nous mourrons de faim, c'est une honte soûlard.
Il s'en alla vers les autres en rangeant son trac d'Avéame.
- Chatlut les copains, heureux de vous revoir, j'ai été voir ce que faisait mon décapsuleur d'os de bison pour soûlarde alcoolisée au rhum. C'est bon, il finit sa douzième bouteille de vinasse donc il va bientôt roupiller pour digérer le bison.
- Toc toc toc, ça fait plaisir de te revoir, toc toc toc, Lolo à électrocuté le cochon, toc toc toc.
- Fle fle fle, et moi, je lui ai donné une correction pour avoir osé essayer de lui donner un coup de pied, fle fle fle.
- Moi, j'ai aidé Ainos, ta chatmoureuse à délivrer Avéame des foies jaunes. Il faut prévenir la gendarmerie et leur dire où ils sont.
- Chatlut, moi s'est Avéame, il me semble que je t'ai déjà vu de près à Sancoins. Tu sais, je suis trop love fan de tes missions mon gros téméraire. J'espère que tu vas nous raconter le sauvetage de Bibou que je connais par Voichat de tous ces reportages sur vos missions. Dit moi mon gros téméraire, il paraît que tu es papa d'une petite fille.
- Je suis content de vous Pêcheur et Coin-coin, vous avez accompli votre mission avec brio. Chatdore tu sera décoré de la médaille des chatcadémiciens pour l'héroïsme dont tu as fait preuve avec Ainos qui est désormais en plus de ma chatmoureuse une nouvelle recrue qui sera en mission de temps en temps avec nous. Écoute Avéame, je te connais par ce que m'a dit Fripouille de toi et je ne t'ai jamais chatdragué à Sancoins. C'est peut-être ma maîtresse qui s'était déguisé en Pépère qui a fait ça pour me porter préjudice, la brigade est à côté de l'intermarché.
- Comment sais-tu que c'était devant Intermarché ?
- Je ne le sais pas et ça confirme ma théorie, il y va souvent acheter de la vinasse. Je vais envoyer un message au brigadier Tatouvu et je vous raconte le sauvetage de Bibou.
Hé bien voilà ce qui s'est passé mes amis. Bibou avait été élevé par une Martienne alcoolique qui était venue visiter mon brontosaure des prairies de blé pour whisky italien. Au début Bibou à cru que s'était ma caisse de saucissons qui venait livrer mon soûlard en rhum. Il s'est approché d'elle et... Attendez une réponse du brigadier.
Ils partent arrêter les foies jaunes à l'instant. Non, qu'est-ce que je vois, on me calomnie sur Voichat écoutez ça.
- Le célèbre détective, Pépère, demeure introuvable.
Nous apprenons à l'instant, suite a une visite de sa maîtresse à sa fille légitime, que celle-ci le réclamait. En effet, la petite n'arrêtait pas de se disputer avec les autres chats, sur les règles de la moyenne compensée. C'est alors que sa maîtresse entreprit de lui ramener le célèbre bouboule comme elle le nomme. Malgré ses recherches à la boucherie parisienne et aux boulangeries habituelles, le célèbre Pépère qui à récemment terrassé une panthère en peluche selon sa maîtresse est demeuré introuvable. C'est alors qu'elle a fait appelle a la société, RTC (retrouve ton chat.) qui nous diffuse son signalement selon ses critères. Âgé de six ans, robe tachetée de toutes sortes de détritus, Nike de couleurs blanches, qui seraient en passe d'être jaunies. Corpulence, dodue, état général très ventru, répond au nom de Pépère où fifille. Signe particulier, estomac sur pattes et sais appliquer la moyenne compensée d'une extrême précision. Autre indice, l'individu laisserait dans son passage une forte odeur.
Dès que nous en serons un peu plus nous vous reviendrons. Nous vous laissons l'avis de recherche.
Marc Jesaitou pour Voichat.
- Qu'est-ce que c'est que ce tissu de mensonges.



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Cortisone

Maître Poète
#2
À l'épicerie, la panique générale s'était atténuée. Le général Picolle faisait les yeux doux à la gérante et le brigadier lui caressait une bouteille du regard avec amour.
Seul le président était en train de se ronger les ongles.
- Hé bien, mon maréchal, ne vous inquiétez pas comme ça. Le peloton vous ramène vos amis. De plus, une dépanneuse est en route pour le retour de la voiture de capot blanc.
- Oui, mon maréchal, je vous laverai de cet affront en condamnant cette brigade d'un sursis de bouton rouge.
Et c'est vous, ma jolie guerrière, poste émetteur sur le dos, chargée de treize kilos de matériel, qui irait au pas cadencé, délivré cet ultimatum. Et vous transpireriez des aisselles ma douce fleur faisant fleurir de belles auréoles sous vos bras. Et vous donneriez l'ordre à ces policiers d'opérette, bazooka en main, cette sentence ultime. Et vous reviendriez assoiffée, moi, derrière dans ma jeep, vous disant, un, deux, un, deux, allez-y mon aimée. Et revenu dans votre capharnaüm, je vous décorerai, de la médaille du, mérite, international, pour avoir vengé mon maréchal. Et les mouches voleraient autour de vous avant d'être asphyxiée par l'odeur pestilentielle de vos aisselles. Et vos clients vous porteraient au triomphe, ô ma belle amazone des temps modernes. Et assoiffée vous iriez boire l'eau de rinçage de la rôtissoire tandis que...
- Stop, mon général, vous allez me donner la migraine, cela me rappelle trop de souvenirs. Les ongles, le poste émetteur, les maux de tête, sur le front de combat, toutes ces choses me ramènent à mon cheveu frontal.
- Hé, bien mon général, vous êtes bien galant, mais je suis épicière pas guerrière.
- Oui, ne vous inquiétez pas pour eux, moi, brigadier Tatouvu, je m'occupe de leur cas. Mais quelle est donc cette folle histoire que ces événements vous rappellent mon maréchal.
- Hé bien, brigadier, cela me rappelle, qu'enfant, je me rongeais les ongles. Oui, à cause de mon cheveu frontal, je supportais mal cette situation. Le cordon-bleu que je devais suivre, les lunettes de plongée, le tir de missile dont je vous ai entretenu l'incident tout à l'heure. Ma mère, ayant marre de cette fâcheuse manie de me dévorer les ongles comme un cinéphile mange des pop-corns, eut décidée un jour de me passer cette addiction. Oui, j'en étais arrivé à entreprendre l'ingestion de mes ongles de pieds la nuit au lieu de dormir. C'est ainsi qu'à ne plus dormir, je me retrouvai avec des poches sous les yeux et je ne pouvais plus mettre mes lunettes de plongée. Les poches remontaient devant l'œil et j'étais aveugle. C'est alors qu'elle eut l'idée de les oindre d'ail. Cela ne m'empêchait pas de continuer. Néanmoins, les filles me fuyaient comme la peste. C'est alors que je redoublais d'efforts à dévorer mes pieds et mes mains que ma mère eut une autre idée. Elle me tartinait les ongles du caca de mon chien labrador. C'était assez efficace, mais un jour dans la rue, j'ai été coursé par un malinois qui me prenait pour une femelle labrador avec qui il avait eu, une folle passion avant de rompre. Il pensait que s'était elle, car il fut trompé par le musc de mes ongles qu'il prit pour le parfum de son ex compagne. Ma mère a eu très peur et du coup a essayé de trouver d'autres idées. C'est ainsi, qu'un spécialiste de l'onglophagie lui demanda si, elle voulait essayer sur moi un nouvel appareil. Cet appareil était muni d'un récepteur et d'un émetteur. Je m'explique, sur mes ongles et sur mes lèvres étaient appliquées deux substances qui en entrant en contact créait une fréquence. Celle-ci était reçue par le récepteur et la transmettait à l'émetteur qui envoyait un signal sur un autre boîtier à distance. Ainsi, avec ce boîtier, ma mère savait que je me mangeais les ongles et me disait, arrête, sinon plus de cordons-bleus. L'appareil diffusait la réponse par des hauts parleurs qui étaient sur ma tête. Cet éminent spécialiste dit à ma mère, c'est exceptionnellement rare, mais là pas besoin d'antenne. Nous utiliserons son cheveu frontal comme antenne. Hé bien, en huit jours, j'avais arrêté de me ronger les ongles. Malheureusement, j'étais sourd à cause des hauts parleurs et j'avais dix hernies discales à cause des quarante kilos de matériel que je devais porter. C'est alors que j'ai commencé à avoir des migraines à causes des fréquences qui passaient dans mon cheveu frontal antenne de par mon cerveau. Oui, je ne vous l'ai pas dit, mais à côté de chez moi, il y avait un émetteur de télévision et il tomba en panne juste après que j'eus fini de ronger mes ongles. C'est ainsi que l'onglophogue dit comme ça à ma mère et s'il servait de relais le temps de la réparation. Mon père dit oui tout de suite, car nous étions en pleine coupe du monde, ainsi, il ne ratait aucuns maths à la télé. Résultat, j'ai fini avec des migraines terribles et j'entendais le sifflet de l'arbitre même cinq après cet événement, alors comprenez, Monsieur le Brigadier que tout cela me perturbe.
Lolo Sybage et Bibou étaient toujours avec Cookie et Lucie dans la cabane. Ils attendaient que Pépère vienne les visiter accompagné d'Avéame, Chatdore, Coin-coin et Pêcheur.
Pour passer le temps hors de la vue des Américains qui couraient dans tous les sens, ils étaient partis se réfugier à l'intérieur de la maison de Cookie.
De l'autre côté du champ, le Pépère chatlua sa chatmoureuse d'un gros chat bisou, car elle devait rentré chez elle.
C'est alors qu'il partit seul vers son automobile où les attendaient ses amis, et la tant redoutée Avéame qu'il avait un jour chatdragué devant Intermarché sans savoir que s'était la love chatte de Fripouille.
Il sauta sur la plate-forme du chalet pour jeter un coup d'œil par le carreau.
- Alors, soûlard, c'est à cette heure-là qu'on mange. À peine quinze heures et tu as déjà presque fini ton bison. Tu dois être un extraterrestre ça, c'est possible, aucun humain ne peux manger de telle quantités de nourriture. Tu manges autant que peux boire de rhum ta compagne en une soirée. Et pendant ce temps nous autres nous mourrons de faim, c'est une honte soûlard.
Il s'en alla vers les autres en rangeant son trac d'Avéame.
- Chatlut les copains, heureux de vous revoir, j'ai été voir ce que faisait mon décapsuleur d'os de bison pour soûlarde alcoolisée au rhum. C'est bon, il finit sa douzième bouteille de vinasse donc il va bientôt roupiller pour digérer le bison.
- Toc toc toc, ça fait plaisir de te revoir, toc toc toc, Lolo à électrocuté le cochon, toc toc toc.
- Fle fle fle, et moi, je lui ai donné une correction pour avoir osé essayer de lui donner un coup de pied, fle fle fle.
- Moi, j'ai aidé Ainos, ta chatmoureuse à délivrer Avéame des foies jaunes. Il faut prévenir la gendarmerie et leur dire où ils sont.
- Chatlut, moi s'est Avéame, il me semble que je t'ai déjà vu de près à Sancoins. Tu sais, je suis trop love fan de tes missions mon gros téméraire. J'espère que tu vas nous raconter le sauvetage de Bibou que je connais par Voichat de tous ces reportages sur vos missions. Dit moi mon gros téméraire, il paraît que tu es papa d'une petite fille.
- Je suis content de vous Pêcheur et Coin-coin, vous avez accompli votre mission avec brio. Chatdore tu sera décoré de la médaille des chatcadémiciens pour l'héroïsme dont tu as fait preuve avec Ainos qui est désormais en plus de ma chatmoureuse une nouvelle recrue qui sera en mission de temps en temps avec nous. Écoute Avéame, je te connais par ce que m'a dit Fripouille de toi et je ne t'ai jamais chatdragué à Sancoins. C'est peut-être ma maîtresse qui s'était déguisé en Pépère qui a fait ça pour me porter préjudice, la brigade est à côté de l'intermarché.
- Comment sais-tu que c'était devant Intermarché ?
- Je ne le sais pas et ça confirme ma théorie, il y va souvent acheter de la vinasse. Je vais envoyer un message au brigadier Tatouvu et je vous raconte le sauvetage de Bibou.
Hé bien voilà ce qui s'est passé mes amis. Bibou avait été élevé par une Martienne alcoolique qui était venue visiter mon brontosaure des prairies de blé pour whisky italien. Au début Bibou à cru que s'était ma caisse de saucissons qui venait livrer mon soûlard en rhum. Il s'est approché d'elle et... Attendez une réponse du brigadier.
Ils partent arrêter les foies jaunes à l'instant. Non, qu'est-ce que je vois, on me calomnie sur Voichat écoutez ça.
- Le célèbre détective, Pépère, demeure introuvable.
Nous apprenons à l'instant, suite a une visite de sa maîtresse à sa fille légitime, que celle-ci le réclamait. En effet, la petite n'arrêtait pas de se disputer avec les autres chats, sur les règles de la moyenne compensée. C'est alors que sa maîtresse entreprit de lui ramener le célèbre bouboule comme elle le nomme. Malgré ses recherches à la boucherie parisienne et aux boulangeries habituelles, le célèbre Pépère qui à récemment terrassé une panthère en peluche selon sa maîtresse est demeuré introuvable. C'est alors qu'elle a fait appelle a la société, RTC (retrouve ton chat.) qui nous diffuse son signalement selon ses critères. Âgé de six ans, robe tachetée de toutes sortes de détritus, Nike de couleurs blanches, qui seraient en passe d'être jaunies. Corpulence, dodue, état général très ventru, répond au nom de Pépère où fifille. Signe particulier, estomac sur pattes et sais appliquer la moyenne compensée d'une extrême précision. Autre indice, l'individu laisserait dans son passage une forte odeur.
Dès que nous en serons un peu plus nous vous reviendrons. Nous vous laissons l'avis de recherche.
Marc Jesaitou pour Voichat.
- Qu'est-ce que c'est que ce tissu de mensonges.



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J'ai bien aimé l'appareil pour ne plus se ronger les ongles.
Quel nouveauté au prochain épisode
Amicalement
Gaby