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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Le général était toujours dans l'épicerie et après avoir mis ses lunettes trouvait que la femme devant lui était très belle.
- Peut-être avait-il besoin de changer de lunettes, on ne sait pas, chat chat chat.
- Pépère, tu es gentil, mais je suis en train d'écrire.
- Tais toi soûlard, je veux, rétablir la vérité sur l'anorexique toute rouillée qui tiens ce coupe gorge où les chats n'ont même pas le droit d'avoir un joli poulet en dédommagement d'avoir insulté de bouboule l'un des plus beaux chats du monde en ma personne.
- Oui mon, Pépère, tu as faim, tu veux des croquettes.
- Tes croquettes pourries remplies de cocaïne, tu n'as qu'à t'en servir comme des cerises pour t'en faire une tarte. Tu m'as bien regardé, j'ai une tête à manger du poulet, moi un chat de ma classe. Allez, écrit, et n'oublie pas le héros, c'est Pépère dans l'histoire. Si tu crois que tu vas m'endormir avec des rogatons et de la nourriture pour chats maladifs tu peux te l'accrocher et n'oublies pas de dire, Je t'aime ma love gendarme dixit Pépère a ma soûlarde que j'aime et qui me traite bien par rapport à toi. Révérence à ton chat et des bisous sur mes grosses joues.
- D'accord Pépère, je peux écrire.
- Oui, soûlard, et pose se verre de vin.
Donc, le général était toujours dans l'épicerie et après avoir mis ses lunettes trouvait que la femme devant lui était très belle.
- Belle, chat chat chat, c'est vite dit.
- C'est une histoire, et j'écris. Tu es le héros de cette histoire super Pépère.
- Bon, là, c'est mieux, au fait, j'ai oublié, les saucissons, biens moelleux s'il vous plaît.
La femme était en fasse de lui et le trouvait pour le moins un peu étrange. Il garda ses lunettes et la regardant dans les yeux lui dit.
- Écoutez, avant de retourner à ma tâche, laissez moi vous dire que vous êtes ravissante.
Toi, belle comme un cageot de carotte où serait tombée une grenade. Quel génie de la guerre a pu donner cette belle couleur d'obus à tes cheveux. J'aime les grains noirs de ton visage, tu es belle comme celle, qui aspergée de gaz bactériologique se décompose sur pied comme une douce lépreuse. Tes jolis yeux ont cet éclat de fut de char d'assaut ayant tiré sa salve sur la ville assiégée. Tes bras sont comme ces manches de pelles que l'on utilise pour creuser un trou de combat. Aussi lisse et tachetée de dovers poussières de terre. Tes jambes sont belles comme les jolis piquets d'un barnum après qu'il eût explosé sous l'assaillant. Érigées telles des allumettes tachetées du lambeau des jeunes troufions feus sous l'explosion, ils me rappellent tant de belle victoire. Que j'aimerai un jour, belle guerrière, vous voir dans une tenue de combat bazooka en main vous voir auprès de moi. Et le soir nous irions finir les gourdes des morts sur le champ de bataille. Et vaincus buvant cette eau nous braverions la syphilis et légionellose. Enfin, rentrant sous la tente, nous dévorerions ensemble ces affreux moustiques avant qu'ils nous transmettent le paludisme. Voyez madame comme je ferai de vous cette amazone bardée de médailles ayant bu l'eau croupie et manger la chair pétrifiée. Pour vous, je me laisserai tombé dans le vide sans parachute pour le peu que vous soyez en dessous pour me rattraper au risque de vous briser les jambes et les bras. Pour vous, je ferai cracher des salves toute une nuit, de mon char d'assaut. Et vous de ce feu naissant de la bouche du canon vous cautériserez le moignon de l'un de vos bras arraché le matin même au combat.
La pauvre femme en avait assez entendu et tomba dans les pommes.
Le général sorti avec précipitation et vit le brigadier qui arrivait avec Coco.
Le président qui était toujours vers le monument aux morts vit de loin le brigadier arrivé.
Il vit au même instant, le général sortir en courant de l'épicerie.
Du coup, il partit en courant les rejoindre pour savoir ce qui se passait.
- Mon maréchal, mon maréchal, la jeune recrue que je viens de nommer commandant des armées universelles vient de s'évanouir sous mes yeux.
- Au rond du bois, hic, je vais aller lui jeter un trousseau d'eau pour la réveiller.
- Cocorico, Monsieur le Président c'est mon ami Totof qui m'envoie. Vous l'avez oublié le long de la route, il est désespéré.
- Oui, je sais Coco, sœur Mathilde et le pape sont en route pour aller le récupérer. Allons voir ce qui tient la vilaine à l'intérieur. Vu ses taches de rousseur méfions nous, elle a peut-être aussi un cheveu frontal là-dessous.
Tout le monde rentra et la femme s'était relevée et elle revenait à elle doucement.
- Brigadier, allez cherchez de la goutte artisanale, cette femme est militaire à présent. Je lui ai déclaré ma flamme tel un char d'assaut crachant ses obus sur l'Irak.
Le président se demandait si le pauvre général Picolle avait bien toute sa raison.
Le brigadier s'assit à côté de sa cousine et regardait les deux hommes en fasse de lui.
- Au rond du bois, je vais m'assoupir un pneu avec Bob.
Ça rate cousine ?
- Écoutez, Monsieur le Général votre poésie est effrayante.
Sybage n'était pas trop rassurée par l'histoire de Pépère. Elle se demandait si cette libellule qu'il citait était bien réelle. Après tous les exploits de son cousin dans l'espace, elle ne savait plus quoi en penser.
- Dit moi Pépère, tu es sûr pour la libellule. Je n'ai plus trop confiance de rester ici à présent. Si seulement Turbo était là pour me protéger. Mais où es mon chatmoureux, tu l'as laissé avec Coin-coin et Pêcheur ?
- Oui, il est là-bas avec eux, ils surveillent le cochon.
Pendant ce temps, Lolo reprenait ses esprits.
La pauvre Cookie se sentait aussi impuissante que Lucie.
Il commença à se relever et il finit par y arriver totalement.
- Houlala, les moustaches me font mal. J'ai les dents qui ne captent plus le réseau, je ne peux pas prévenir Pépère. Bastet est électrocuté et le cochon a allumé un barbecue.
- Hiii, ce chat n'est pas bien, hiii, police secours, le CHAMU, hiii, je suis inquiète.
- Viens te reposer sur le lit à Cookie mon méga love Lolo.
Lolo n'opposa pas de résistance et partit se reposer sur le lit de paille de la jument. Le coup de taser l'avait vraiment mis KO, il avait besoin de repos.
À quelques mètres de là, le Pépère était totalement ignorant de l'état de son coéquipier. Il entendait Cookie hennir et se demandait quand même ce qui se passait.
Le poète était sorti pour voir ce qu'il y avait dans le champ pour que la jument fasse un tel raffut.
Il avait été jusqu'à la haie et n'avait rien vu de spécial si ce n'est les Américains qui regardaient le ciel dans tous les sens avec des jumelles.
Le Pépère jeta un œil en se penchant sur le côté et le vit de derrière le fourgon.
- Ha, je comprends, c'est le cep de vinasse violette destinée aux Martiens qui rêvent de chez Cookie. À tous les coup, il a été faire ses besoins là-bas et la bougresse est énervée. Où bien il y a été pour enterrer ses armes vu que la gendarmerie est dans les parages. N'oublions pas qu'un agent de la CIA sort d'ici.
- Il ne va quand même pas là-bas pour faire ses besoins.
- Hé bien si ma pauvre Sybage. Aussi vrai que j'ai sauvé ma maîtresse d'une de ces libellules géantes. Le salopard se déguise en Pépère pour y aller et ma copine Cookie, avec qui je suis en bon terme depuis des années, m'en veut personnellement, car elle pense que ça vient de moi. Quand je pense que nous avons été ensemble en mission et à cause de mon brontosaure rabougri de la jambe et robotisé de l'épaule nous en sommes là, ça me rend malade. Je l'aime ma Cookie comme j'aime ma gendarme qui me fait ses bisous tous doux sur mes grosses joues.
- Le salopard se déguise en Pépère pour y aller et ma copine Cookie, avec qui je suis en bon terme depuis des années, m'en veut personnellement, car elle pense que ça vient de moi.
- Oui, je vais t'expliquer comment. Un jours, je faisais la cueillette avec mon hélicoptère. L'une d'elles née d'un vers de pommes a surgi et avec le déplacement d'air des pales elle s'est fracassées au sol. Je la croyais morte et ne m'en suis pas trop occupé. Le soir, elle est venue voir mon travail et s'est mise à l'ouvrage dans la fabrication de cidre nucléaire. Après elle y a goûté et puis voyant la libellule au sol l'a prise pour un cerf-volant. Elle va dans le gourbi pour chercher le soûlard pour qu'il lui donne de la ficelle. Il avait tellement bu de cidre que même ses cheveux avaient le hoquet et cachaient des bulles. Comprenant qu'il était totalement cramé, elle a fouillé et en a trouvé. Elle se fait donc un cerf-volant avec la libellule qui a repris vie en l'air. Puis une bourrasque l'a rabattue au sol et elle était encore inanimée. Ma soûlarde, oups, ma gentille maîtresse a cru que le soûlard avait fait un cerf-volant Android et l'a emmené avec elle en partant se disant, je vais le réparer arrivé à la brigade. Moi, j'étais parti me reposer et je l'ai laissé faire, je me disais la bête est morte elle ne craint rien. Avant de partir, elle a vidé un petit fut de cidre. C'est en route que ça a dérapé, enfin, qu'elle a dérapé et fini au fossé. Sous le coup du choc, la bête est revenue à elle. C'est alors qu'elle s'est dite, utilisons cette libellule Android pour tirer la Dacia. Heureusement, j'étais parti en courant derrière elle cinq minutes plus tard, car j'avais vu qu'elle avait oublié le harnais. Je suis arrivé juste à temps. La bête avait déjà mangé les roues le capot et le pare choc arrière. Je l'ai désintégré à coup de queue et jeté dans le bois. Je suis revenu chercher ma chatlauréane et l'ai conduit à la brigade. Pour me remercier elle m'a offert une entrée au musée de la viande et deux jolis poulets et des centaines de bisous sur mes grosses joues.
- Hé bien, heureusement que tu étais là Pépère.

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#2
Le général était toujours dans l'épicerie et après avoir mis ses lunettes trouvait que la femme devant lui était très belle.
- Peut-être avait-il besoin de changer de lunettes, on ne sait pas, chat chat chat.
- Pépère, tu es gentil, mais je suis en train d'écrire.
- Tais toi soûlard, je veux, rétablir la vérité sur l'anorexique toute rouillée qui tiens ce coupe gorge où les chats n'ont même pas le droit d'avoir un joli poulet en dédommagement d'avoir insulté de bouboule l'un des plus beaux chats du monde en ma personne.
- Oui mon, Pépère, tu as faim, tu veux des croquettes.
- Tes croquettes pourries remplies de cocaïne, tu n'as qu'à t'en servir comme des cerises pour t'en faire une tarte. Tu m'as bien regardé, j'ai une tête à manger du poulet, moi un chat de ma classe. Allez, écrit, et n'oublie pas le héros, c'est Pépère dans l'histoire. Si tu crois que tu vas m'endormir avec des rogatons et de la nourriture pour chats maladifs tu peux te l'accrocher et n'oublies pas de dire, Je t'aime ma love gendarme dixit Pépère a ma soûlarde que j'aime et qui me traite bien par rapport à toi. Révérence à ton chat et des bisous sur mes grosses joues.
- D'accord Pépère, je peux écrire.
- Oui, soûlard, et pose se verre de vin.
Donc, le général était toujours dans l'épicerie et après avoir mis ses lunettes trouvait que la femme devant lui était très belle.
- Belle, chat chat chat, c'est vite dit.
- C'est une histoire, et j'écris. Tu es le héros de cette histoire super Pépère.
- Bon, là, c'est mieux, au fait, j'ai oublié, les saucissons, biens moelleux s'il vous plaît.
La femme était en fasse de lui et le trouvait pour le moins un peu étrange. Il garda ses lunettes et la regardant dans les yeux lui dit.
- Écoutez, avant de retourner à ma tâche, laissez moi vous dire que vous êtes ravissante.
Toi, belle comme un cageot de carotte où serait tombée une grenade. Quel génie de la guerre a pu donner cette belle couleur d'obus à tes cheveux. J'aime les grains noirs de ton visage, tu es belle comme celle, qui aspergée de gaz bactériologique se décompose sur pied comme une douce lépreuse. Tes jolis yeux ont cet éclat de fut de char d'assaut ayant tiré sa salve sur la ville assiégée. Tes bras sont comme ces manches de pelles que l'on utilise pour creuser un trou de combat. Aussi lisse et tachetée de dovers poussières de terre. Tes jambes sont belles comme les jolis piquets d'un barnum après qu'il eût explosé sous l'assaillant. Érigées telles des allumettes tachetées du lambeau des jeunes troufions feus sous l'explosion, ils me rappellent tant de belle victoire. Que j'aimerai un jour, belle guerrière, vous voir dans une tenue de combat bazooka en main vous voir auprès de moi. Et le soir nous irions finir les gourdes des morts sur le champ de bataille. Et vaincus buvant cette eau nous braverions la syphilis et légionellose. Enfin, rentrant sous la tente, nous dévorerions ensemble ces affreux moustiques avant qu'ils nous transmettent le paludisme. Voyez madame comme je ferai de vous cette amazone bardée de médailles ayant bu l'eau croupie et manger la chair pétrifiée. Pour vous, je me laisserai tombé dans le vide sans parachute pour le peu que vous soyez en dessous pour me rattraper au risque de vous briser les jambes et les bras. Pour vous, je ferai cracher des salves toute une nuit, de mon char d'assaut. Et vous de ce feu naissant de la bouche du canon vous cautériserez le moignon de l'un de vos bras arraché le matin même au combat.
La pauvre femme en avait assez entendu et tomba dans les pommes.
Le général sorti avec précipitation et vit le brigadier qui arrivait avec Coco.
Le président qui était toujours vers le monument aux morts vit de loin le brigadier arrivé.
Il vit au même instant, le général sortir en courant de l'épicerie.
Du coup, il partit en courant les rejoindre pour savoir ce qui se passait.
- Mon maréchal, mon maréchal, la jeune recrue que je viens de nommer commandant des armées universelles vient de s'évanouir sous mes yeux.
- Au rond du bois, hic, je vais aller lui jeter un trousseau d'eau pour la réveiller.
- Cocorico, Monsieur le Président c'est mon ami Totof qui m'envoie. Vous l'avez oublié le long de la route, il est désespéré.
- Oui, je sais Coco, sœur Mathilde et le pape sont en route pour aller le récupérer. Allons voir ce qui tient la vilaine à l'intérieur. Vu ses taches de rousseur méfions nous, elle a peut-être aussi un cheveu frontal là-dessous.
Tout le monde rentra et la femme s'était relevée et elle revenait à elle doucement.
- Brigadier, allez cherchez de la goutte artisanale, cette femme est militaire à présent. Je lui ai déclaré ma flamme tel un char d'assaut crachant ses obus sur l'Irak.
Le président se demandait si le pauvre général Picolle avait bien toute sa raison.
Le brigadier s'assit à côté de sa cousine et regardait les deux hommes en fasse de lui.
- Au rond du bois, je vais m'assoupir un pneu avec Bob.
Ça rate cousine ?
- Écoutez, Monsieur le Général votre poésie est effrayante.
Sybage n'était pas trop rassurée par l'histoire de Pépère. Elle se demandait si cette libellule qu'il citait était bien réelle. Après tous les exploits de son cousin dans l'espace, elle ne savait plus quoi en penser.
- Dit moi Pépère, tu es sûr pour la libellule. Je n'ai plus trop confiance de rester ici à présent. Si seulement Turbo était là pour me protéger. Mais où es mon chatmoureux, tu l'as laissé avec Coin-coin et Pêcheur ?
- Oui, il est là-bas avec eux, ils surveillent le cochon.
Pendant ce temps, Lolo reprenait ses esprits.
La pauvre Cookie se sentait aussi impuissante que Lucie.
Il commença à se relever et il finit par y arriver totalement.
- Houlala, les moustaches me font mal. J'ai les dents qui ne captent plus le réseau, je ne peux pas prévenir Pépère. Bastet est électrocuté et le cochon a allumé un barbecue.
- Hiii, ce chat n'est pas bien, hiii, police secours, le CHAMU, hiii, je suis inquiète.
- Viens te reposer sur le lit à Cookie mon méga love Lolo.
Lolo n'opposa pas de résistance et partit se reposer sur le lit de paille de la jument. Le coup de taser l'avait vraiment mis KO, il avait besoin de repos.
À quelques mètres de là, le Pépère était totalement ignorant de l'état de son coéquipier. Il entendait Cookie hennir et se demandait quand même ce qui se passait.
Le poète était sorti pour voir ce qu'il y avait dans le champ pour que la jument fasse un tel raffut.
Il avait été jusqu'à la haie et n'avait rien vu de spécial si ce n'est les Américains qui regardaient le ciel dans tous les sens avec des jumelles.
Le Pépère jeta un œil en se penchant sur le côté et le vit de derrière le fourgon.
- Ha, je comprends, c'est le cep de vinasse violette destinée aux Martiens qui rêvent de chez Cookie. À tous les coup, il a été faire ses besoins là-bas et la bougresse est énervée. Où bien il y a été pour enterrer ses armes vu que la gendarmerie est dans les parages. N'oublions pas qu'un agent de la CIA sort d'ici.
- Il ne va quand même pas là-bas pour faire ses besoins.
- Hé bien si ma pauvre Sybage. Aussi vrai que j'ai sauvé ma maîtresse d'une de ces libellules géantes. Le salopard se déguise en Pépère pour y aller et ma copine Cookie, avec qui je suis en bon terme depuis des années, m'en veut personnellement, car elle pense que ça vient de moi. Quand je pense que nous avons été ensemble en mission et à cause de mon brontosaure rabougri de la jambe et robotisé de l'épaule nous en sommes là, ça me rend malade. Je l'aime ma Cookie comme j'aime ma gendarme qui me fait ses bisous tous doux sur mes grosses joues.
- Le salopard se déguise en Pépère pour y aller et ma copine Cookie, avec qui je suis en bon terme depuis des années, m'en veut personnellement, car elle pense que ça vient de moi.
- Oui, je vais t'expliquer comment. Un jours, je faisais la cueillette avec mon hélicoptère. L'une d'elles née d'un vers de pommes a surgi et avec le déplacement d'air des pales elle s'est fracassées au sol. Je la croyais morte et ne m'en suis pas trop occupé. Le soir, elle est venue voir mon travail et s'est mise à l'ouvrage dans la fabrication de cidre nucléaire. Après elle y a goûté et puis voyant la libellule au sol l'a prise pour un cerf-volant. Elle va dans le gourbi pour chercher le soûlard pour qu'il lui donne de la ficelle. Il avait tellement bu de cidre que même ses cheveux avaient le hoquet et cachaient des bulles. Comprenant qu'il était totalement cramé, elle a fouillé et en a trouvé. Elle se fait donc un cerf-volant avec la libellule qui a repris vie en l'air. Puis une bourrasque l'a rabattue au sol et elle était encore inanimée. Ma soûlarde, oups, ma gentille maîtresse a cru que le soûlard avait fait un cerf-volant Android et l'a emmené avec elle en partant se disant, je vais le réparer arrivé à la brigade. Moi, j'étais parti me reposer et je l'ai laissé faire, je me disais la bête est morte elle ne craint rien. Avant de partir, elle a vidé un petit fut de cidre. C'est en route que ça a dérapé, enfin, qu'elle a dérapé et fini au fossé. Sous le coup du choc, la bête est revenue à elle. C'est alors qu'elle s'est dite, utilisons cette libellule Android pour tirer la Dacia. Heureusement, j'étais parti en courant derrière elle cinq minutes plus tard, car j'avais vu qu'elle avait oublié le harnais. Je suis arrivé juste à temps. La bête avait déjà mangé les roues le capot et le pare choc arrière. Je l'ai désintégré à coup de queue et jeté dans le bois. Je suis revenu chercher ma chatlauréane et l'ai conduit à la brigade. Pour me remercier elle m'a offert une entrée au musée de la viande et deux jolis poulets et des centaines de bisous sur mes grosses joues.
- Hé bien, heureusement que tu étais là Pépère.

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Le général était toujours dans l'épicerie et après avoir mis ses lunettes trouvait que la femme devant lui était très belle.
- Peut-être avait-il besoin de changer de lunettes, on ne sait pas, chat chat chat.
- Pépère, tu es gentil, mais je suis en train d'écrire.
- Tais toi soûlard, je veux, rétablir la vérité sur l'anorexique toute rouillée qui tiens ce coupe gorge où les chats n'ont même pas le droit d'avoir un joli poulet en dédommagement d'avoir insulté de bouboule l'un des plus beaux chats du monde en ma personne.
- Oui mon, Pépère, tu as faim, tu veux des croquettes.
- Tes croquettes pourries remplies de cocaïne, tu n'as qu'à t'en servir comme des cerises pour t'en faire une tarte. Tu m'as bien regardé, j'ai une tête à manger du poulet, moi un chat de ma classe. Allez, écrit, et n'oublie pas le héros, c'est Pépère dans l'histoire. Si tu crois que tu vas m'endormir avec des rogatons et de la nourriture pour chats maladifs tu peux te l'accrocher et n'oublies pas de dire, Je t'aime ma love gendarme dixit Pépère a ma soûlarde que j'aime et qui me traite bien par rapport à toi. Révérence à ton chat et des bisous sur mes grosses joues.
- D'accord Pépère, je peux écrire.
- Oui, soûlard, et pose se verre de vin.
Donc, le général était toujours dans l'épicerie et après avoir mis ses lunettes trouvait que la femme devant lui était très belle.
- Belle, chat chat chat, c'est vite dit.
- C'est une histoire, et j'écris. Tu es le héros de cette histoire super Pépère.
- Bon, là, c'est mieux, au fait, j'ai oublié, les saucissons, biens moelleux s'il vous plaît.
La femme était en fasse de lui et le trouvait pour le moins un peu étrange. Il garda ses lunettes et la regardant dans les yeux lui dit.
- Écoutez, avant de retourner à ma tâche, laissez moi vous dire que vous êtes ravissante.
Toi, belle comme un cageot de carotte où serait tombée une grenade. Quel génie de la guerre a pu donner cette belle couleur d'obus à tes cheveux. J'aime les grains noirs de ton visage, tu es belle comme celle, qui aspergée de gaz bactériologique se décompose sur pied comme une douce lépreuse. Tes jolis yeux ont cet éclat de fut de char d'assaut ayant tiré sa salve sur la ville assiégée. Tes bras sont comme ces manches de pelles que l'on utilise pour creuser un trou de combat. Aussi lisse et tachetée de dovers poussières de terre. Tes jambes sont belles comme les jolis piquets d'un barnum après qu'il eût explosé sous l'assaillant. Érigées telles des allumettes tachetées du lambeau des jeunes troufions feus sous l'explosion, ils me rappellent tant de belle victoire. Que j'aimerai un jour, belle guerrière, vous voir dans une tenue de combat bazooka en main vous voir auprès de moi. Et le soir nous irions finir les gourdes des morts sur le champ de bataille. Et vaincus buvant cette eau nous braverions la syphilis et légionellose. Enfin, rentrant sous la tente, nous dévorerions ensemble ces affreux moustiques avant qu'ils nous transmettent le paludisme. Voyez madame comme je ferai de vous cette amazone bardée de médailles ayant bu l'eau croupie et manger la chair pétrifiée. Pour vous, je me laisserai tombé dans le vide sans parachute pour le peu que vous soyez en dessous pour me rattraper au risque de vous briser les jambes et les bras. Pour vous, je ferai cracher des salves toute une nuit, de mon char d'assaut. Et vous de ce feu naissant de la bouche du canon vous cautériserez le moignon de l'un de vos bras arraché le matin même au combat.
La pauvre femme en avait assez entendu et tomba dans les pommes.
Le général sorti avec précipitation et vit le brigadier qui arrivait avec Coco.
Le président qui était toujours vers le monument aux morts vit de loin le brigadier arrivé.
Il vit au même instant, le général sortir en courant de l'épicerie.
Du coup, il partit en courant les rejoindre pour savoir ce qui se passait.
- Mon maréchal, mon maréchal, la jeune recrue que je viens de nommer commandant des armées universelles vient de s'évanouir sous mes yeux.
- Au rond du bois, hic, je vais aller lui jeter un trousseau d'eau pour la réveiller.
- Cocorico, Monsieur le Président c'est mon ami Totof qui m'envoie. Vous l'avez oublié le long de la route, il est désespéré.
- Oui, je sais Coco, sœur Mathilde et le pape sont en route pour aller le récupérer. Allons voir ce qui tient la vilaine à l'intérieur. Vu ses taches de rousseur méfions nous, elle a peut-être aussi un cheveu frontal là-dessous.
Tout le monde rentra et la femme s'était relevée et elle revenait à elle doucement.
- Brigadier, allez cherchez de la goutte artisanale, cette femme est militaire à présent. Je lui ai déclaré ma flamme tel un char d'assaut crachant ses obus sur l'Irak.
Le président se demandait si le pauvre général Picolle avait bien toute sa raison.
Le brigadier s'assit à côté de sa cousine et regardait les deux hommes en fasse de lui.
- Au rond du bois, je vais m'assoupir un pneu avec Bob.
Ça rate cousine ?
- Écoutez, Monsieur le Général votre poésie est effrayante.
Sybage n'était pas trop rassurée par l'histoire de Pépère. Elle se demandait si cette libellule qu'il citait était bien réelle. Après tous les exploits de son cousin dans l'espace, elle ne savait plus quoi en penser.
- Dit moi Pépère, tu es sûr pour la libellule. Je n'ai plus trop confiance de rester ici à présent. Si seulement Turbo était là pour me protéger. Mais où es mon chatmoureux, tu l'as laissé avec Coin-coin et Pêcheur ?
- Oui, il est là-bas avec eux, ils surveillent le cochon.
Pendant ce temps, Lolo reprenait ses esprits.
La pauvre Cookie se sentait aussi impuissante que Lucie.
Il commença à se relever et il finit par y arriver totalement.
- Houlala, les moustaches me font mal. J'ai les dents qui ne captent plus le réseau, je ne peux pas prévenir Pépère. Bastet est électrocuté et le cochon a allumé un barbecue.
- Hiii, ce chat n'est pas bien, hiii, police secours, le CHAMU, hiii, je suis inquiète.
- Viens te reposer sur le lit à Cookie mon méga love Lolo.
Lolo n'opposa pas de résistance et partit se reposer sur le lit de paille de la jument. Le coup de taser l'avait vraiment mis KO, il avait besoin de repos.
À quelques mètres de là, le Pépère était totalement ignorant de l'état de son coéquipier. Il entendait Cookie hennir et se demandait quand même ce qui se passait.
Le poète était sorti pour voir ce qu'il y avait dans le champ pour que la jument fasse un tel raffut.
Il avait été jusqu'à la haie et n'avait rien vu de spécial si ce n'est les Américains qui regardaient le ciel dans tous les sens avec des jumelles.
Le Pépère jeta un œil en se penchant sur le côté et le vit de derrière le fourgon.
- Ha, je comprends, c'est le cep de vinasse violette destinée aux Martiens qui rêvent de chez Cookie. À tous les coup, il a été faire ses besoins là-bas et la bougresse est énervée. Où bien il y a été pour enterrer ses armes vu que la gendarmerie est dans les parages. N'oublions pas qu'un agent de la CIA sort d'ici.
- Il ne va quand même pas là-bas pour faire ses besoins.
- Hé bien si ma pauvre Sybage. Aussi vrai que j'ai sauvé ma maîtresse d'une de ces libellules géantes. Le salopard se déguise en Pépère pour y aller et ma copine Cookie, avec qui je suis en bon terme depuis des années, m'en veut personnellement, car elle pense que ça vient de moi. Quand je pense que nous avons été ensemble en mission et à cause de mon brontosaure rabougri de la jambe et robotisé de l'épaule nous en sommes là, ça me rend malade. Je l'aime ma Cookie comme j'aime ma gendarme qui me fait ses bisous tous doux sur mes grosses joues.
- Le salopard se déguise en Pépère pour y aller et ma copine Cookie, avec qui je suis en bon terme depuis des années, m'en veut personnellement, car elle pense que ça vient de moi.
- Oui, je vais t'expliquer comment. Un jours, je faisais la cueillette avec mon hélicoptère. L'une d'elles née d'un vers de pommes a surgi et avec le déplacement d'air des pales elle s'est fracassées au sol. Je la croyais morte et ne m'en suis pas trop occupé. Le soir, elle est venue voir mon travail et s'est mise à l'ouvrage dans la fabrication de cidre nucléaire. Après elle y a goûté et puis voyant la libellule au sol l'a prise pour un cerf-volant. Elle va dans le gourbi pour chercher le soûlard pour qu'il lui donne de la ficelle. Il avait tellement bu de cidre que même ses cheveux avaient le hoquet et cachaient des bulles. Comprenant qu'il était totalement cramé, elle a fouillé et en a trouvé. Elle se fait donc un cerf-volant avec la libellule qui a repris vie en l'air. Puis une bourrasque l'a rabattue au sol et elle était encore inanimée. Ma soûlarde, oups, ma gentille maîtresse a cru que le soûlard avait fait un cerf-volant Android et l'a emmené avec elle en partant se disant, je vais le réparer arrivé à la brigade. Moi, j'étais parti me reposer et je l'ai laissé faire, je me disais la bête est morte elle ne craint rien. Avant de partir, elle a vidé un petit fut de cidre. C'est en route que ça a dérapé, enfin, qu'elle a dérapé et fini au fossé. Sous le coup du choc, la bête est revenue à elle. C'est alors qu'elle s'est dite, utilisons cette libellule Android pour tirer la Dacia. Heureusement, j'étais parti en courant derrière elle cinq minutes plus tard, car j'avais vu qu'elle avait oublié le harnais. Je suis arrivé juste à temps. La bête avait déjà mangé les roues le capot et le pare choc arrière. Je l'ai désintégré à coup de queue et jeté dans le bois. Je suis revenu chercher ma chatlauréane et l'ai conduit à la brigade. Pour me remercier elle m'a offert une entrée au musée de la viande et deux jolis poulets et des centaines de bisous sur mes grosses joues.
- Hé bien, heureusement que tu étais là Pépère.

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Merci pour ce nouvel épisode Daniel
Amicalement
Gaby